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Hockey Freak

Saison 2016-2017 - Pee-Wee AAA - Meilleures équipes

Messages recommandés

Francois,

 

Merci, thank you, For your kind words, but to be honest there was a lot of parents involved along the way on the journey which started in the 2003s , and then it escalated to the 2004s.....

 

Legault, Chaput and Ricci, were the 3 guys who were the back bone of our journey in the 2003s....

 

Robert Boutin was the original guy hope started all this with TEAM QUEBEC 2003.....

 

In the 2004S Vidicek-Kelechian-Vetrano, who steamed rolled the 2004s, and today we are where we are, because of the sacrifices we did for our players.

 

 

Karel Svoboda

Raz

Marcin Snita

Gaston Gingras

Denis   Chalifoux

 

All the coaches that helped the development of our boys.....and still going strong.....

 

The philosophy is not to make NHLERs, that's their (kid) dream, but as a parent, a good education that will go along way with the help of hockey.

 

I'm very happy there's lots of success in Lac St-Louis Lions in 03-04,  but that's attributed to the parents of those successful kids who sacrifices for their kid!

 

Tony

Beaucoup de classe Tony, comme toujours.

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Il faudrait me dire francois ou tu achètes tes lunettes roses !

 

Si je t ecoute, un eclair de genie a frapper dans l ouest de l ile et un individu est descendu du ciel avec des ailes en ayant trouver la recette magique pour gagner des gros tournois: prendre les meilleurs et aller a Toronto.

 

Tu t es fait envoutee je crois.

 

Oui au qualite d organisateur de l individu mais il n a tout de meme pas invente le bouton a 4 trous.

 

Un truc que je ne comprends pas est comment se fait il que ton fils ne soit pas avec les jr lions apres toutes ces belles tranches de vie.

 

Tu comprendras que je respecte ton opinion mais arrete de marquer n importe quoi ....ses mon opinions.

Bergie75, Malgré le respect que j'ai pour toi, tu me semble bien biaisé et tu a de la difficulté a comprende ce que je dis ou tu veux bien comprende ce qui fait ton affaire. J'ai écrit que lorsque qu'une ville ou une région ont du succès, ce n'est pas le fruit du hasard, pour chaque ville ou ça arrive, ils y a une ou des personnes qui son derrière ce succès. J'ai donné l'exemple d'un bon coach à Mont-Laurier qui grâce à lui, il y a plusieurs joueurs qui ont joué LNH et LHJMQ. J'ai aussi nommé un personne du Lac St-Louis qui fait que la cuvé 2003 et 2004 ont y retrouve plusieurs bon joueur. Il y en a un a Rouyn dont je ne me rappel plus son nom mais qui a emmené plusieurs joueur LNH et il y en a d'autre aussi que je ne connait pas. Depuis plus d'un mois et 5 a 6 sujets, le sujet de discussion reviens toujours au Lac St-Louis, or, cette région ne fait pas exception, ça prend de bon coach et organisateur pour formé des tops. Si tu ne comprend pas cela, je n'irai pas plus loin car ont vois bien dans tes postes que tu n'est pas enchanté par cette organisation.  PS ce que j'écris, j'y crois profondément même si tu semble pensé que je porte des lunette rose. 

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Je te rejoins François que certains entraineurs et programmes ont réussi à faire graduer plusieurs joueurs d'un même groupe.

 

À Laval au temps de KPR une tonne de jeunes de ce programme ont reussis à se rendre a la LNH. Laval etait une pepiniere dans les annees 80. Les kids jouaient Senateurs ou Riverain et ensuite jouaient KPR. Les meilleurs des autres regions se joignaient aussi à ces équipes.

 

Dans l'ouest les gens de AAA d'ete qui forment ces joueurs elites depuis le mahg ont le privilege et la chance d'etre dans une organisation d'hiver qui a la même philosophie de développement on peut dire que t'es en business... c'est une autre particularité du west island eux croient et ont du respect pour les gens qui aident à développer les jeunes. On se le cachera pas c'est assez unique.

 

Si les tops jeunes de ces programmes jouaient deux trois shifts par période dans leurs clubs respectifs ils seraient moins tendres et coopérants. C'est normal.

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Un instant messieurs. Le développement par des spécialistes ne compensera jamais le manque de talent pur au Québec, il n'y a pas de baguette magique même en mettant les jeunes plus sur la glace (sur-entrainement ne donne rien). Pas pour rien qu'il y avait plus de québécois avant qui perçaient qu'aujourd'hui, il y avait tout simplement plus de talent au kilomètre carré au Québec auparavant et cela n'a rien à voir avec qui poussent les jeunes de nos jours pour prendre le dessus sur les autres régions amorphes. LSL domine dans la LEQ, ok, mais combien de territoires ont des problèmes avec leur clientèle pour réunir et garder leur élite? Je suis de la région Richelieu et regardez dans la fin des années 1980 début des années 1990 qui a joué pour les Élites du Richelieu, 47 du Richelieu, Toros 87; des grands joueurs de talent y ont passé. D'autres régions c'était pareil où la culture du hockey a évolué. Aujourd'hui, le même territoire voit peu de joueurs d'aussi haut niveau, mais pourtant jamais autant de jeunes ont joué Midget AAA et dans la pépinière (Espoir, etc.) e avec en plus 2 clubs Midget AAA qui couvrent le Richelieu depuis nombre d'années (avant c'était juste à Sorel). On aura beau faire jouer les jeunes au hockey 4 jours par semaine à l'école en remplacement à des heures d'enseignement de matières scolaires, mais quand un grand talent n'y est pas alors ça n'aboutira à rien pour ce que Hockey Québec souhaite : plus de québécois dans les ligues professionnelles. On a juste créé plus de business autour du hockey, point à la ligne; pas plus de talent. Et les résultats actuels sont à l'inverse du passé pour produire plus de québécois en haut. La culture a changé du hockey, associer hockey et école sous la catégorie midget est une grande erreur de mon opinion étant donné la grandeur des régions au Québec à couvrir. LSL a une particularité indéniable : beaucoup de gens sont en moyens et en 2016 les moyens financiers jouent pour beaucoup pour développer n'importe quel jeune dans n'importe quelle discipline.

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Géographie et culture, cpourrait expliquer pourquoi il y avait plus de québécois. Ceux qui jouaient NHL au début des années 80 sont nés au début des années soixante et ´a l'époque il y avait moins d'aréna au sud et pas d'Européens. Je n'ai jamais fait de recherche, ce n'est qu'une déduction loguque qui est peut être bonne.

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Maskoutain...ça n'arrive pas souvent, mais je suis d'accord avec toi. Le joueur qui réussit aujourd'hui doit avoir des parents en moyen pour absorber le coût exorbitant d'une carrière mineur élite...Des parents avec salaire très moyen et pas d'autos, absolument impossible de passer au travers. les jeunes ne jouent plus à l'arèna du coin comme dans les années 70-80. Le meilleur joueur québécois avec un grand potentiel est peut-être un jeune qui ne joue aujourd'hui qu'à la patinoire du parc.

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oui en Ontario il y a eu une baisse de jeunes ontariens repêcher  dans la LNH  quand tu regarde les dernières années de repêchage 

il y a plus d américains et européens évoluant dans les ligues en Ontario 

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Le bassin de joueurs mondiales a augmentés depuis 30 ans, il est donc normal de voir le pourcentage de Québécois diminué.

 

L'Internet a fait circuler les techniques d'entraînement un peu partout.

 

La professionnalisation d'experts en hockey a fait augmenter les coûts pour les parents et créer une nouvelle demande pour leurs services 12 mois par année.

 

J'ai joué MAAA a l'époque des 9 équipes et les meilleurs atomes / pw de nos jours ont plus d'habilités que j'en ai jamais eu (saison de 37 pts). Le calibre de nos jours est 100 fois mieux. Ceci dit, la même chose est vrai pour le reste des joueurs hors Québec. Le jeu est beaucoup plus rapide mais les joueurs de nos jours n'ont pas plus de Hockey IQ...Pe qu'on les laisse pas assez jouer au parc et qu'on fait trop de tournage de cônes dans nos pratiques :)

 

Aucun doute qu'un groupe de parents qui prend en charge une cuvée donnée dans une ville aura une influence certaine sur les chances de produire de future joueurs élites. La clé réside dans la qualité et la fréquence des entraînements.

 

Exemples dans mon coin : St-Jean sur Richelieu pour la cuvé 2005, St-Hyacinthe, Repentigny et St-Bruno pour le 2006

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De nos jours dans notre nouvelle culture au hockey on ne distingue plus la présence d'un "talent supérieur" à "des jeunes en avance sur d'autres" parce qu'ils ont simplement été mieux encadrés par des parents qui ont pris les choses en main dès qu'ils avaient 4 ans (le jeune indépendamment de son talent hockey qui commence à magh 2 est "cuit" dans la plupart des AHM au Québec); mais la résultante en bout de ligne sera la même puisque sans un grand talent la courbe d'apprentissage va plafonner et Hockey Québec n'observera pas plus de joueurs dans les ligues professionnelles. La salade vendue par Hockey Québec est qu'on va "construire" des joueurs de hockey avec plus d'heures de glace et surtout à l'école secondaire où il y a de la business à faire, sans se soucier des standards de c'est quoi un joueur élite, c'est quoi le talent des joueurs. Pourquoi 25 organisations en LEQ qui ont des restrictions territoriales? La raison est la géographie des territoires comme le hockey d'association. Aujourd'hui un joueur élite est celui qui passe la coupure indépendamment de standards, les équipes dites élites n'ont pas de standards de performances à accomplir pour être dans une ligue dite d'excellence et la culture a trop changé au Québec face aux générations des parents. Il n'y a aucune raison pour du PW AAA ou BT AAA de ne pas avoir 3 lignes dangereuses en power play, on sait tous dans la réalité actuelle des équipes qui manque de talent que souvent après le 4e attaquants d'une équipe les habilités offensives des autres ne sont pas digne d'un réel calibre AAA, il y a des défenseurs au PW AAA que leur shot de la bleue se rend à peine au filet, est-ce normal? Il sera bientôt grand temps d'ouvrir les territoires et d'avoir une libre sélection de réels joueurs élites qui joueront pour des organisations de leur choix. C'est le seul moyen de propulser tout le monde vers le haut, les jeunes qui tirent de la patte ne seront pas sélectionnés, les organisations qui coupent dans le service donné et la qualité verront les gens ignorer leurs camps au profit de d'autres organisations dans un réel libre-choix pour tous. En attendant, on observe davantage ce que l'on voit actuellement : des équipes où le talent est dispersé, parfois plus concentré, parfois plus dilué avec d'autres offres de service, ce n'est plus homogène en 2016 la pratique du hockey au Québec. C'est quasi comme la boxe où il y a presqu'une demi-douzaine de ceintures de champions par catégorie de poids, au Québec le hockey dit élite ressemble à ça en 2016.

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