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Peniflon

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  1. EQUIPE BRICK 2013 MONTREAL ICE STORM 2003

    Notion d'élite en bas âge... Hockey Québec... Hockey AAA privé... Brick Tournament... Coupe Dodge... Licence pour le Brick... Compétition nord américaine... Par où commencer ??? OK... Je me risque...sans filet. Vous m'attraperez si je tombe. Premièrement, pour la notion d'élite... Du classement, direct ou indirect, il y en a toujours eu et il y en aura tout le temps, partout. De l'assisté social au millionnaire, du soldat au Général, de l'employé au patron, de la maternelle à l'université, du décrocheur à l'universitaire. C'est le devoir de toute société de permettre l'épanouissement de ses individus dans des sphères de compétences données. On ne peut échapper au classement. Le classement permet l'avancement... Le hockey ne devrait pas faire exception. Le surdoué devrait pouvoir profiter d'une attention particulière à la mesure de son talent. La crème doit toujours remonter à la surface. Que ce soit à l'école, en musique, dans le sport. Prenez exemple de la musique: on doit isoler les musiciens surdoués du reste du groupe car il serait ridicule de forcer les talentueux à ne faire que des gammes alors qu'ils peuvent jouer des morceaux au complet. Pourquoi ne serait-ce pas ainsi au hockey ? Une structure d'élite ( lire novice AA, atome AA et AAA) devrait être en place pour développer davantage ceux qui ( je dirai ) sont en "avance" sur les autres, afin d'entretenir cette longueur d'avance. Le MAHG ne devrait pas être en fonction de l'âge mais plutôt de la compétence, à la limite sous forme d' "examens" d'habiletés techniques requises pour accéder au niveau 2, 3 ou 4. Tous débutent au niveau 1 et graduent en cours de route, certains après deux sessions d'autres après une année. Le classement serait basé sur les habilités techniques et l'avancement conditionnel à la réussite de tests d'habilités techniques. À l'atome, l'âge est à nouveau pris en considération avec bien entendu le calibre du joueur. Hockey Québec tarde trop à mettre des structures favorisant l'élite ( contrairement au reste de l'Amérique du Nord ). Pas pour rien que l'on se classe difficilement au Québec parmi l'élite "de groupe" nord américaine. L'élite s'obtient par pyramide "naturelle", avec un sommet étroit pour l'élite et une base large pour la "masse", pas le contraire. Ma région immédiate aura cet hiver 2 Novice A, 2 novice B et 1 novice C. LA PYRAMIDE EST À L'ENVERS ET SE TIENT SUR LA TÊTE !!!! Wow... La Coupe Dodge.... C'est quoi la Coupe Dodge ? À l'extérieur du Québec, c'est l'équivalant d'une finale paroissiale d'un tournoi de pétanque maison pour les clubs de l'âge d'Or. Vous ne savez pas ce qu'est le Brick Tournament ici au Québec!?!? C'est parce que vous ne regardez que le feuillet paroissial pour voir les résultats de la pétanque de votre quartier. Mais si vous voulez faire un parallèle plus provincial que "paroissial", prenez exemple le tournoi Hockey PeeWee de Québec. Quand la dernière fois qu'une équipe du Québec a rivalisé en Coupe Internationale contre des puissances reconnues ( Detroit Compuware, Toronto Malborough, etc... )? Pour rivaliser contre ces équipes, ça prend de l'ÉLITE D'HIVER et de l'élite PRÉCOCE. Hockey Québec vient de réaliser le retard au niveau PeeWee et lance un programme de AAA d'hiver. Ce programme est déjà trop loin dans la structure. Il doit être instauré plus tôt pour récolter des fruits au Tournoi PeeWee, pas seulement dans les catégories "inférieures" CC, BB ou AA mais dans la top catégorie (Internationale). SOLUTION BRICK !? Pour ce qui est de former l'équipe du Brick, plusieurs points seraient à éclaircir pour instaurer un modèle fructifiable, reproductible dont la recette serait à répéter d'année en année. La licence appartient à un particulier qui la cède sous certaines conditions. Ces conditions devraient être accessibles et connues de tous, surtout de ceux intéressés à structurer une équipe. Les conditions connues, la licence devrait être attribuée avec un appel d'offre de compétence sous forme d'entrevues aux responsables compétents leur permettant de former l'équipe DEUX ANNÉES avant la tenue du tournoi Brick. La compétence devrait exclure les liens d'affaires, d'organisations et d'interactions familiales. L'entraîneur-chef serait ensuite choisi sans avoir de lien filial ( pas de fils dans l'équipe ) Deux ans avant le Brick, deux équipes BRICK PROSPECTS devraient être mises en place: Une pour la région de Montréal, une pour l'est de la province ( Drummondville vers l'est par exemple ) Ces équipes de printemps AAA devraient jouer régulièrement l'une contre l'autre en matchs hors-concours PUIS DANS LES TOURNOIS AAA mais surclassé D-2 pour les deux premiers tournois puis en D-1 dans sa catégorie pour le Meltdown. Enfin, le Meltdown serait peut-être gagné par des clubs du Québec dans les catégories "précoces" et non par les équipes de Toronto. L'année pré-BRICK, une seule équipe est formée pour l'ensemble du Québec, L'ÉQUIPE BRICK QUÉBEC ou ICE STORM. Les instructeurs auraient l'avantage d'avoir vu évoluer plus de 90% des joueurs susceptibles de faire l'équipe lors des affrontements hors-concours des deux équipes BRICK PROSPECTS de l'année d'avant. L'équipe ICE STORM ne serait ni plus ni moins qu'une fusion entre les deux équipes BRICK PROSPECTS. Pratiques régulières dans l'est et dans l'ouest en alternance puis participations aux tournois AAA du Québec en surclassement puis à ceux de l'Ontario et des USA dans sa catégorie d'âge en SUPER AAA. Une équipe provinciale dans la formule AAA, impossible dirons certains. S'agit de vouloir et de se regrouper. Le ICE DRAGONS 2000 de PP était à certains égards une élite "multi-régionale". Le palmarès de cette équipe parle de lui même et devrait être l'inspiration de futures équipes d'élites susceptibles de développer les joueurs de niveau BRICK capables de jouer avec cohésion. Le hockey se compare à la musique. Le MAHG permet de se familiariser avec l'instrument et la musique, mais déjà à cet âge vous remarquez des surdoués... Amenez vos surdoués plus loin en les obligeant à se dépasser en compagnie de d'autres surdoués. Les tournois sont comme les concerts, tous doivent être capables de jouer les uns avec les autres. L'ensemble doit primer, fini le temps des solos. Le BRICK, c'est pour les jeunes de 10 ans la compétition ultime des orchestres de l'Amérique du Nord. Malheureusement, au Québec, nous formons notre orchestre beaucoup trop tardivement, la cohésion n'est pas à point et malgré que notre orchestre soit composé de petits virtuoses, ils ne jouent pas en harmonie et ont tendance à vouloir faire encore trop de solos. À 10 ans, le BRICK est le summum de la compétition. Rendez-vous sur l'alumni du site du Brick pour y voir les top de cet âge qui sont passés par le Brick et qui font carrière aujourd'hui dans la NHL ( Subban, Hall, Eberle, Bouwmeester, Stamkos, etc ) Je vous mets au défi de trouver la même brochette à la Coupe Dodge. On parle plutôt ici d'une petite compétition disons "provinciale". Ne vous méprenez pas toutefois... L'élite coûte cher. Plus le sommet est haut, plus il est dispendieux à atteindre, peu importe la sphère de la vie ( études, sports, musique, arts, carrières, etc.) Voyez loin, visez grand. Ceux qui atteignent le centre de la cible l'on d'abord visée !!!! Peniflon Dans un aréna près de chez vous!
  2. VOTRE RÊVE...ET LA RÉALITÉ

    Faut se rappeler que les moeurs ont bien changé depuis une dizaine d'années. Faut maintenant voir le sport comme une source d'intérêt afin de garder les jeunes sur les bancs d'école. Le football scolaire en est la principale preuve... on garde des décrocheurs potentiels sur les bancs d'école grâce au sport suffisamment longtemps pour qu'ils maturent et découvrent une passion scolaire qui leur permettra de faire un choix de carrière stimulant et de poursuivre des études post-secondaires. Les programmes Sport-études permettent aux intéressés d'aménager un horaire permettant justement d'allier la passion pour un sport sans négliger les études. Le hockey doit aujourd'hui être vu comme un moteur permettant aux jeunes de se développer, d'acquérir une discipline, une autonomie et un rythme de vie sain et équilibré. On ne parle pas de sacrifier les études pour faire du hockey. On devrait même parler du hockey pour augmenter les chances de réussite scolaire. Et si cela amène le jeune à se dépasser, à se fixer des objectifs élevés et atteindre des sommets ( scolaires ou sportifs ) et bien tant mieux. Nous sommes loin du temps où il fallait sacrifier les études pour réussir dans le sport. Il est plus réaliste de dire qu'il faut maintenant réussir à l'école pour pouvoir réussir dans le sport. Les programmes d'élite se développent de plus en plus en milieu scolaire. En passant, 100% de ceux qui se sont rendus à la LNH y ont cru, et c'est aussi vrai pour ceux du Junior majeur , du Collégial américain ou du Midget AAA, et même de l'atome CC... L'école donne des outils pour modifier les rêves en cas d'échecs Il y a pire que de ne pas réaliser ses rêves... c'est de cesser de rêver !!!! Peniflon Dans un aréna près de chez vous!
  3. C'est avec beaucoup d'intérêt mais aussi avec un petit pincement au cœur que je suis les performances du Ice Storm au Brick depuis quelques années. Comment ne pas réaliser, pour celui qui suit un temps soit peu le hockey mineur et le hockey d'été au Québec, que ce n'est pas le talent qui fait défaut mais plutôt la structure établie dans la Belle Province. Les arénas regorgent de talent ici, les facilités sont présentes, mais nous sommes en retard au niveau de l'organisation et de la structure. Prenez l'exemple des Bulldogs de Toronto 2005. Ils ont déjà effectués un try out (le 7 décembre 2012 à Vaughan, mon fils y était). Ils ont déjà constitué une équipe et participé à quelques tournois (Niagara, Meltdown) pour roder leur équipe, peaufiner la stratégie, ajuster l'intensité et continuer d'évaluer les joueurs sous une adversité et une opposition de grande qualité contre des équipes de haut calibre. Cette équipe ( Toronto Bulldogs ) s'est présentée au Meltdown 2013 de Pierrefonds avec la conviction de remporter le tournoi, ce qu'elle a fait. Par contre, elle a réussi son exploit à l'arrachée, l'emportant 1-0 en prolongation contre les Nordiques Prospects de Québec. Nous parlons ici d'une équipe composée des joueurs étoiles de Toronto ( 5,5 millions d'habitants pour le Grand Toronto ) qui a peiné pour vaincre une équipe régulière SUPER AAA composée d'excellents joueurs du Grand Québec ( 600,000 habitants ) Une logique simpliste me permettrait de croire qu'une équipe composée des meilleurs joueurs du Québec ( 8 millions de population ) aurait été en mesure de surclasser cette équipe de Toronto au Meltdown MAIS CETTE ÉQUIPE DU QUÉBEC N'EXISTE PAS !! On n'en parle que comme un projet à démarrer sur le présent forum de discussion. La structure et l'organisation font défaut. Pendant ce temps, les Bulldogs de Toronto pratiquent, peaufinent, élaborent, recrutent, repeaufinent, se présentent à des tournois de haut calibre et s'ajustent à l'opposition. Regardez les résultats obtenus par les Bulldogs de Toronto lors des 4 derniers tournois BRICK: 2013 Invaincus jusqu'à maintenant en ronde préliminaire 2012 Champions 2011 Champions 2010 Éliminés en ronde préliminaire 2009 Champions IL NOUS FAUT CONSTRUIRE L'ÉQUIPE PRÉ-BRICK 2005 pour 2015 DÈS MAINTENANT! Sinon, je serai devant mon ordinateur en 2015 à regarder les Bulldogs célébrer leur victoire au Brick en me disant qu'en 2013, une équipe régulière SUPER AAA de la région de Québec les avait "chauffé" au Meltdown et que si nous avions débuté notre structure d'équipe dès 2013, une équipe d'étoiles du Québec auraient pu facilement développer un concept d'équipe permettant de surclasser les équipes de Toronto. L'équipe Brick Québec 2015 doit prendre forme maintenant sinon l'écart va se creuser... Peniflon Dans un aréna près de chez vous!
  4. Équipe Brick 2015, l'écart va se creuser

    Votre pseudonyme est tout à fait destiné à la réponse qui suit cher Yankee: Connaissez-vous le film MoneyBall mettant en vedette Brad Pitt et qui relate l'histoire d'une saison des A's d'Oakland qui se sont servi de leur jugement, de leurs intuitions pour construire une équipe gagnante malgré le fait qu'il n'avait qu'une fraction de l'argent dont disposait les Yankees de l'époque. C'est en innovant et en sortant des sentiers battus qu'ils ont réussi l'exploit d'être compétitif avec une masse salariale 20 fois inférieure à celle des Yankees. Je ne parle pas ici de réinventer le hockey, mais seulement de mettre en place une structure permettant de construire deux ou trois ans d'avance une équipe qui saura nous représenter adéquatement au tournoi Brick. L'argent ne remplacera jamais le talent. Certes, l'argent permet de développer le talent. L'argent donne les moyens. Mais, de grâce, mettons en place une structure qui au moins nous placera aux côtés des autres sur la ligne de départ. Si nous sommes au minimum à l'heure pour le moment du départ, on pourra espérer que notre talent fera fi des extravagances financières de nos adversaires... Exactement comme l'on fait les A's dans MoneyBall Peniflon Dans un aréna près de chez vous
  5. Équipe Brick 2015/ L'écart se creuse

    Si ce tournoi est à la portée de ton jeune, pourquoi ne pas y donner d'importance. Si, comme vous dites, rien ne se joue avant le Bantam, raison de plus pour permettre à certains jeunes de vivre ce qui sera peut-être l'événement sportif le plus marquant de leur vie, surtout pour les talentueux dont la grandeur et la grosseur ne leur permettront pas d'atteindre des rangs supérieurs. Faut savoir un peu rêver mais garder les pieds sur terre. Tant mieux si certains peuvent se rendre à ce tournoi et encore d'y compétitionner correctement. Ce n'est pas parce qu'il y a un reset au Bantam qu'on doit cesser d'entretenir le rêve avant. La LNH est le rêve ultime mais des bourses collégiales (américaines ou autres) sont maintenant accessibles et permettent aux jeunes de s'instruire gratuitement grâce à leurs habiletés de hockeyeur. Oseriez-vous dire à un joueur de la LHJMQ de ne pas s'endetter ni de sacrifier de vacances pour la Coupe Mémorial sous prétexte qu'avant le repêchage de la LNH rien n'est dessiné et que le reset se fait à partir du repêchage !?!?! J'ose espérer que non. Et pourtant, la coupe Mémorial ce n'est pas rien malgré le fait que peut-être 5-6 joueurs participant à ce tournoi chaque année se rendent à la LNH. Je pense qu'il en est de même pour le Brick, à un niveau inférieur Ne vous fermez pas de portes... Vous ne savez jamais où cela peut vous mener !! Peniflon Dans un aréna près de chez vous
  6. Tournoi des champions ! application des reglements

    !?
  7. SAISON 2014 LEAAAQ OU BIEN THAAAQ ????

    2005 THAAAQ super AAA (D-1). Le fait d'aménager des divisions a été une excellente décision de la part des dirigeants. Les disparités vécues l'an passé ont presque toutes disparues. Les matchs D-1 ont pour la plupart été chaudement disputés. La parité s'est fait sentir: Les trois tournois majeurs ( St-Hubert, Québec et Meltdown ) ont tous été gagnés en prolongation. Au tournoi de St-Hubert: 17 parties jouées, 2 nulles, 5 parties avec un but d'écart, 0 partie avec deux buts d'écart, 6 parties avec 3 buts d'écart. DONC 41% des parties se sont terminées avec un but d'écart ou moins et 76% des parties se sont terminées avec 3 buts ou moins d'écart. Au tournoi de Québec: 15 parties jouées, 3 nulles, 4 parties avec un but d'écart, 1 partie avec deux buts d'écart, 3 parties avec 3 buts d'écart DONC 46% des parties se sont terminées avec un but d'écart ou moins et 73% des parties se sont terminées avec 3 buts ou moins d'écart. Au Meltdown, entre les équipes du Québec: 5 parties, 2 parties avec 1 but d'écart et 1 partie avec 3 buts d'écart. DONC 60% des parties avec moins de 1 buts d'écart. Les jeunes âgés de seulement 8 ans ont appris à jouer des matchs serrés, qui se sont parfois soldés par des victoires, parfois par des défaites. Lorsque près de la moitié des matchs se terminent par un but d'écart ou moins, c'est du bagage de compétition qu'accumule les jeunes pour les années à venir... Ils ont appris qu'il est essentiel de " se présenter " à chaque match car les "no show" vous coûtaient rapidement une participation aux demi-finales. La Coupe Challenge de Québec reçoit mon coup de chapeau: présence accrue des organisateurs, bel accueil, finales avec présentation des joueurs, finales diffusées sur le web, T-Shirt remis aux joueurs. La saison a répondu au-delà de mes attentes. Je m'attendais à plus de l'équipe TBT Stars qui arrivait de la défunte ATEQ avec la réputation de SUPERPUISSANCE. Ouf ! Le réveil a dû leur paraître brutal. Ils n'ont pas été déclassé, mais ont difficilement rivalisé. Les Nordiques ont été l'équipe à battre, ce qui était prévu compte tenu de la "fusion" et du large territoire qu'ils ratissaient ( Grand Québec + Rive Sud + Beauce ). La règle de l'acceptation de 2 joueurs ou moins en provenance d'une même équipe externe n'a pas semblé s'appliquer pour eux. Qu'à cela ne tienne, la compétition n'a été que meilleure pour les autres équipes. C'est en battant les meilleurs que l'on peut se proclamer les meilleurs. La déception vient de la non-tenue du Tournoi des Champions pour le D-1 2005 et dans la plupart des catégories où il y avait du Super. Faudra obligatoirement repenser la formule. Pour ce qui est de la protection de territoire, elle sera difficile à défendre. Le AAA demeure un libre marché. Plus les joueurs avancent en âge, plus il est primordial de laisser se regrouper le talent, si l'on veut que le Québec demeure le moindrement compétitif contre les équipes de l'Ontario et des USA. Peniflon Dans un aréna près de chez vous...
  8. KINGSTON INTERNATIONAL YOUTH HOCKEY 28 au 30 juin

    Nous y sommes allés l'été passé avec des 2005. Nous y retournons cette année. Côté hockey, la compétition se fait entre les équipes du Québec et celles de Toronto. Quelques équipes des États-Unis s'y sont présentées mais n'étaient pas de calibre. Belle occasion pour les instructeurs de tenter d'amener des joueurs d'équipes rivales qui ont mis fin à leur saison après le Meltdown. Si ton équipe est compétitive, les joueurs "importés" pour ce tournoi voudront peut-être revenir avec ton équipe l'année suivante. Donc possibilité d'attraper de belles prises. Les équipes du Québec et celles de Toronto accèdent habituellement aux demi-finales, bien que certaines des grosses équipes de Toronto ne s'y présentent plus faute de compétition. Belle fin de semaine de l'année pour un tournoi avec de belles festivités dans le centre-ville de Kingston la journée de la fête du Canada ( feux d'artifice, etc... ). Cadeau très cul-cul du tournoi pour les joueurs ( l'an passé un bracelet et des lunettes soleil en plastique du genre Dollarama d'une valeur approximative de 2$ !!!!!! avant le rabais qu'a obtenu le tournoi pour achat de groupe !!!! ). Pour l'hôtel, faites vite car très achalandé pour la fin de semaine de la fête du Canada, Kingston est la ville du premier Premier Ministre canadien Sir John A. McDonald.
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