Président

Stanley, On est habituer a ce genre de remarque. Merci de le rappeler :mrgreen:

Stanley, Je fait mention d'une parti ou l'arbitre a errer. Et non en générale.

Stanley, Je pense qu'a certain endroit ce mythes est encore réel. Au tournoi Espoir au Saguenay si tu avait été présente au match d'ouverture entre notre équipe et l'équipe locale tu changerait d'idée. Même les gens locaux en était gêner. Heureusement que cette arbitre a pris le bord après cette parti.

Ok. Stanley lui semble dire que de jouer contre les Conquérants a domicile ( il doit parler de vendredi ;-)) les arbitres semble conciliant pour les locaux :razz:

Rive-Nord tu t'adresse a qui ?

Stanley j'espère que votre défaite tu ne l'inculque pas sur le dos des arbitres. ;-)

Et ce sont des modèles pour leur enfant... Incroyable !!!

gilbert, Comment arrive tu a cette conclusion ''que ca ce passe dans l'est cette saison'' ? Combien de fois avez vous affronter les clubs de l'ouest ? J'ai déjà dit ici que l'on ce croit aussi fort contre qui l'on joue. Quand les tournoi majeur serons joueur entre des équipes Est-Ouest on auras une bonne idée des forces. Mais en attendent ton analyse est prématuré... En passant Conquérant-Intrépide en fin de semaine dernière la parti ces soldé par une nul 1 a 1 ;-)

Du 22 au 24 Mai a Brossard pour le U13 et du 29 au 31 Mai pour le U14 a Brossard.

Cette année le négociateur, ils auront t'ils un horaire a leur mesure ?

Ne jamais oublier que tu es aussi fort que contre qui tu joues :idea: Je dirait qu'une équipe ce pense aussi forte que celle qu'elle n'affronte pas... ;-)

international de hockey pee-wee de Québec en 2013. Autres joueurs nés en 2000 engagés avec une université américaine Jake Wise L’attaquant par excellence de la classe AA-Élites du Tournoi international de hockey pee-wee de Québec en 2013 pourrait joindre les Terriers de Boston University en 2018-2019. JT Walsh Coéquipier de Jake Wise à Québec en 2013, Walsh a une entente avec l’équipe rivale des Terriers, les Eagles de Boston College. Mathias Emilio Petersen La jeune sensation norvégienne qui s’est fait connaître sur internet s’est entendu verbalement avec l’Université de Denver. Il pourrait y faire ses débuts en 2018. Jacob Pivonka Le fils de Michal Pivonka a un entente verbale avec l’Université Notre-Dame. Oliver Wahlstrom n’a que 14 ans, mais il sait déjà pour quelle université américaine il jouera en... 2019-2020! En janvier dernier, le jeune Américain, qui était alors âgé de 13 ans, s’est engagé avec les Black Bears de l’Université du Maine. Il devenait, évidemment, le plus jeune joueur de l’histoire à s’entendre avec un collège américain. Mais il n’est pas le seul: quelques autres joueurs nés en 2000 (!) ont également une entente verbale avec des universités aux États-Unis. Wahlstrom, né à Yarmouth, Maine, d’un père suédois, ne sera admissible au repêchage de la LNH qu’en 2018... Mais pourquoi donc s’engager si rapidement? Certains croient qu’il s’agit d’un moyen de diminuer l’attention des différents recruteurs, que ce soit d’autres universités, ou de la Ligue canadienne de hockey. Toutefois, une entente verbale n’empêchera ni à une équipe de la LCH de le repêcher et de tenter de l’attirer, ni au joueur de changer d’idée en vieillissant. Un exemple probant: l’espoir Sonny Milano. L’Américain avait une entente verbale avec l’Université de Notre-Dame, avant de changer pour Boston College. Au final, il a évolué pour le programme de développement américain des moins de 17 ans, avant d’être repêché par les Blue Jackets de Columbus en première ronde en 2014, et de joindre les Whalers de Plymouth dans la WHL cette année... La magie d’Internet Wahlstrom fait parler de lui depuis l’âge de neuf ans. Il avait réalisé une feinte impressionnante lors d’un concours de tirs de pénalité au TD Garden de Boston, en 2009. Ce but était devenu viral sur YouTube et le jeune garçon était devenu une vedette instantanée sur les réseaux sociaux. Récemment, les prouesses sur glace du jeune hockeyeur japonais de 11 ans Iguchi Aito sont devenues virales sur YouTube au cours des dernières semaines et ont été vues par plus d’un million d’internautes. Dans une ère où les réseaux sociaux dominent, il n’est pas le premier, et certainement pas le dernier, à faire fureur sur la toile. Il y a quelques années, le jeune Norvégien Mathias Emilio Pettersen avait également impressionné. Ce dernier, d’ailleurs, également né en 2000, s’est entendu verbalement avec l’Université de Denver pour la saison 2018-2019

Charge des neurologues contre les mises en échec Selon les neurologues québécois, seuls les hockeyeurs élite... (Photo Patrick Woodbury, archives Le Droit) Selon les neurologues québécois, seuls les hockeyeurs élite devraient pouvoir utiliser la mise en échec. Photo Patrick Woodbury, archives Le Droit Gabriel Béland La Presse Dans une série de recommandations coup-de-poing, l'Association des neurologues du Québec demande l'interdiction complète des mises en échec au hockey avant l'âge de 15 ans. Ces spécialistes du cerveau estiment que les commotions cérébrales représentent «un problème de santé publique chez les jeunes» et «qu'il y a urgence d'agir». Selon les neurologues, seuls les hockeyeurs élite devraient pouvoir utiliser la mise en échec et seulement à partir du niveau midget. Ils demandent son abolition dans le hockey scolaire et dans les catégories bantam AAA, AA, BB, CC, ainsi que dans le midget AA et BB. Si ces mesures étaient appliquées, la mise en échec serait virtuellement éliminée dans le hockey mineur. Elle ne serait plus permise que pour une infime minorité de hockeyeurs: 1368 sur les quelque 100 000 que regroupe Hockey Québec. À l'heure actuelle, la mise en échec est pratiquée par un peu plus de 10 000 joueurs dans la province et à partir de l'âge de 13 ans. «Les études prouvent que les commotions cérébrales ne sont pas à prendre à la légère et qu'elles ont des conséquences à long terme, explique le président de l'Association des neurologues du Québec, le Dr Marc Girard. Il faut donc s'assurer de les prévenir. Réduire les mises en échec au hockey est une façon d'y arriver.» Ces recommandations des neurologues québécois ont été déposées au groupe de travail sur les commotions cérébrales, mis en place par Québec en janvier dernier. Elles ont pour l'instant été tenues secrètes, mais seront dévoilées mercredi prochain dans Le Spécialiste, magazine de la Fédération des médecins spécialistes du Québec. La Presse a mis la main sur un exemplaire du magazine. Le groupe de travail sur les commotions cérébrales, piloté par le Dr Dave Ellemberg, doit quant à lui remettre son rapport au ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport d'ici deux semaines. On ne sait pas si ce rapport reprendra les propositions des neurologues. «On espère que les recommandations du groupe de travail iront dans le sens de la prévention des commotions cérébrales, pas seulement de la prise en charge, note le Dr Girard. C'est notre souhait le plus sincère.» Hors des écoles Cet appel des neurologues québécois arrive au moment où Hockey Québec réfléchit à la place des mises en échec. La Presse révélait en septembre que la fédération envisageait leur abolition dans les catégories bantam BB et CC, ainsi que midget BB. «Cette proposition est sur la table. Des décisions vont être prises dès cette saison pour la saison prochaine, expliquait alors Sylvain Lalonde, directeur général de Hockey Québec. Les échos sont très positifs. Il y a une prise de conscience de nos dirigeants partout en région sur la sécurité des joueurs.» Ce que voudraient les neurologues, c'est que Hockey Québec aille encore plus loin, en étendant l'abolition des mises en échec à davantage de catégories. «Il est possible d'interdire la mise en échec sans dénaturer le sport. La mise en échec n'est pas autorisée au hockey féminin, pourtant reconnu comme discipline olympique», font valoir les neurologues dans le magazine Le Spécialiste. L'Association veut aussi que les mises en échec disparaissent des écoles. Elles sont actuellement permises dans certaines catégories dans le Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ) ainsi que dans la Ligue de hockey préparatoire scolaire (LHPS). Ces ligues compétitives ne sont pas considérées comme faisant partie de l'élite, aussi les neurologues estiment-ils que les mises en échec n'y ont pas leur place. «La mise en échec est la principale cause des commotions au hockey. Elle est aussi la principale cause de blessures chez les jeunes hockeyeurs à tous les niveaux de compétition où elle est permise, causant de 45 à 86% des blessures», rappellent les spécialistes. Les recommandations des neurologues ne concernent pas simplement le hockey. L'Association recommande par exemple de ne pas introduire les têtes au soccer avant l'âge de 12 ans chez les garçons et de 14 ans chez les filles. Elle invite le gouvernement à «encourager les adultes et les enfants à se tourner vers d'autres activités sportives» que le football et à interdire la boxe chez les moins de 18 ans. Les neurologues aimeraient aussi qu'on mette sur pied une formation obligatoire de 30 minutes sur les commotions cérébrales dans le cours d'éducation physique au secondaire

Oui ;-)

Bravo pour leur dominations !!! Je rêve tu ou quoi ???

11 année consécutive a gagner le championnat et la le gars a une cause...Comme moi, Avoir sue j'aurai marier une millionnaire :oops: :oops: :oops:

Bon ! bon ! bon !. Les enfants s'énerve avec une boutade. :oops: :oops: :oops: Retourner lire tranquillement. Et toi AAA je suis surpris que tu la pas pogner... Je pense que boqué a raison. POC est devenue trop sérieux pour moi... Comme mon PM préférer a dit. A une prochaine fois. !!!

Mon téléphone me joue des tours. ????

Mon téléphone me joue des tours. ????

Faut toute vous expliquer. Je fessait référence que c'est ecrit sur fond rose. ????????????

Carey. Tu voit en rose ;-)

Oui la SAINTE paix ????????????????

Je te sugere toumbouctou. ????????????

Ben voyons ! C'est du AAA s't'affaire ! On demande pas ;-)

carey, Ma tu trouver ? :mrgreen: