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monsieur x

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  1. 3 ans de bantam à partir de la saison 2010-2011

    Ce n'est pas mauvais comme solution loupi. C'est très pertinent sur certains points. Ce que j'aime le plus, c'est l'idée que lorsqu'un joueur passe trois ans dans une même catégorie, celui-ci a plus de temps pour bien assimiler les apprentissages de la catégorie. Surtout qu'au bantam, c'est l'arrivée de la mise en échec et on ne joue plus de la même manière qu'au pee-wee. De plus, ce que tu as mentionné, on l'observe déjà beaucoup dans les associations de hockey mineur: Ce ne sont que des joueurs d'exception (ou qui possèdent de bons contacts) qui font le AA à leur première année bantam, la plupart des bons première années se retrouvent dans le CC ou BB. Ce n'est pas une mauvaise chose. Cependant, quand tu parles d'envoyer les premières années dans du BB-CC, est-ce que le BB-CC est accessible à tous les joueurs bantam même ceux de 15 ans? Si c'est le cas, c'est évident que les premières années auront, au départ, beaucoup de mal à faire l'équipe car les 15 ans seront beaucoup et que s'ils font l'équipe, leur première année bantam risque d'être dangereuse pour leur santé et qu'ils ne se développeront pas comme ils devraient. Pourquoi ne pas inverser le tableau d'âge si on ne peut pas faire mineur-majeur? C'est-à-dire, mettre la première année bantam de la même manière que l'est la première année du midget? On fait jouer des 13 ans contre des 13 ans. Ils peuvent bien mieux assimiler la mise en échec, et "l'après pee-wee" serait énormément moins pénible. On sait qu'un joueur qui expérimente le contact pour la première fois dans du hockey d'été AAA peut en général mieux l'assimiler vu la différence d'âge moins grande. Si l'on évite de parler d'argent ou de coûts de voyages pour ceux en région, ça pourrait ressembler à ça: 13 ans: 1re année bantam (bantam espoir?). Seulement des 13 ans. Tu fais du AA avec les territoires midget espoir actuels. Puis, pour ceux qui ne réussissent pas à faire le AA, tu fais du BB, mais avec les mêmes territoires, pas par organisation de hockey mineur. Tu as donc de très bons joueurs dans le BB. Puis, tu fais du CC, toujours avec les mêmes territoires. Pour le A et le B, c'est par organisation. On aurait donc du très bon AA, du BB très bon aussi et du CC correct. Mais pour ça, il faut la collaboration des organisations de hockey mineur, fusions etc. 14 et 15 ans: 2e et 3e année bantam. Tu fais du bantam AAA avec les territoires midget AAA actuels (15 équipes au Québec). Si tu es excellent, tu fais le bantam AAA à 14 ans. Sinon, tu peux te reprendre à 15 ans. Puis, on fait du AA avec les territoires midget espoir actuels. On a de très bons joueurs premières années prospects pour le bantam AAA l'année suivante et des 3e année qui seront considérés, peut-être pas tout de suite au midget AAA, mais au midget AA, et qui pourraient éventuellement jouer midget AAA à leur 2e et dernière année midget. Après le AAA et le AA, on fait du BB et du CC, toujours en gardant les mêmes territoires. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le CC ne serait pas si faible que ça puisqu'il regrouperait des joueurs de plusieurs organisations. Encore ici, le A et B est maison. Et comme loupi l'a dit, on permet aux joueurs de 15 ans qui sont exceptionnels de faire le midget AAA tout de suite (max 2 avants, 1 défenseur et un gardien par équipe midget AAA, et le gardien est mieux d'être très bon). Enfin, on fait le midget sur 2 ans. De quelle façon le faire, je ne sais pas, mais on permet à tous les 2e année midget (17 ans) d'avoir accès au midget AAA, pas seulement les ex-lates et ce, même si cela constitue l'année de repêchage pour certains (ceux nés entre le 1er janv. et le 15 sept.). Pareil pour tout le monde, point à la ligne. Le problème serait que plusieurs seraient au cégep, et on ne peut pas demander au MEQ de changer les âges scolaires à cause du hockey non?! Faudra faire avec. Selon moi, ce système marcherait très bien. Mais ô que c'est tout un défi l'implanter! les organisations doivent grandement collaborer, et ça occasionne des déplacements pour ceux en régions, et des coûts énormes. Ce n'est pas à la veille d'être fait. Mais d'après moi, ça règlerait le problème de la 3e année midget qui ne sert à rien côté développement et ça règlerait en partie le problème que le midget espoir soit la catégorie où "ça passe où ça casse" à tout prix. LA meilleure solution reste le mineur-majeur. En résumé: Bantam mineur (13 ans): AA, BB, CC et le A et B par organisation de hockey mineur. Bantam majeur (14-15 ans): AAA, AA, BB, CC et le A et B par organisation Midget (16-17 ans): AAA, AA, BB, CC et le A et B par organisation.
  2. 3 ans de bantam à partir de la saison 2010-2011

    C'est un problème assez complexe. Un joueur qui passe trois ans dans une même catégorie a amplement le temps d'assimiler tous les apprentissages et aptitudes de la catégorie, mais en même temps, ça n'a aucun sens de faire jouer des gars de 15 à 16 ans contre d'autres de 13 ans à peine, vu l'écart de talent, de poids et de force physique. Sauf que quand on y pense, on fait 3 ans de midget. Bien sûr, la courbe de croissance est moins importante chez les 16-17 ans, mais ce n'est pas seulement un problème d'écart de poids et de talent. Pour la plupart des joueurs, la 3e année midget est inutile en terme de développement, puisque le midget AAA fonctionne avec les écoles secondaires, et que la plupart des joueurs qui sont 3e année midget sont au cégep. L'exception: les ex-lates, qui sont très avantagés car ils sont en secondaire 5 à leur 3e année midget et peuvent donc jouer midget AAA. De plus, si on pense LNH et repêchage, ces ex-lates se présenteront au repêchage en même temps que les autres qui sont non-lates, puisqu'il faut avoir 18 ans avant le 15 septembre de l'année du repêchage. Par exemple, un joueur né en décembre 94 pourra jouer trois ans dans le midget et un an dans la LHJMQ avant d'être éligible au repêchage, alors qu'un joueur né en février 95 pourra jouer seulement deux ans dans le midget et un an dans la LHJMQ. ces deux joueurs se présenteront au repêchage en même temps puisqu'ils auront tous les deux 18 ans avant le 15 septembre 2013. Ainsi, pour la plupart des joueurs, si on pense seulement développement, la troisième année midget ne sert à rien (sauf pour les ex-lates bien entendu). C'est une partie du problème. L'autre partie est le fait que lorsqu'un joueur ne réussit pas à faire l'espoir pour diverses raisons, il est grandement écarté et peut même se retrouver dans le midget A car les 3e année lui prennent sa place au BB ou CC, étant plus forts et plus gros. J'adore l'espoir puisque cela permet à des jeunes d'être comparés à d'autres du même âge qu'eux et ils n'ont pas à se battre contre des plus vieux. Mais il faudrait que les autres catégories soient semblables, c'est à dire du mineur-majeur. Seulement au Québec, c'est difficile à cause des régions. Une autre partie du problème est qu'on catalogue les bons joueurs et les mauvais dès l'atome. On convient qu'un joueur qui réussi à faire le pee-wee AA à sa première année pee-wee, qu'il le mérite ou non, pourra difficilement être tassé du pee-wee AA l'année suivante et etc. Sa place à l'espoir dans quelques années est presque assurée. Sans parler de ceux qui se faufilent grace à leur père, mais ça c'est une autre histoire. Il ne faut surtout pas mettre le bantam sur 3 ans, ce qu'il faut, c'est du mineur majeur.
  3. hockey québec programme des moins 14 ans

    Si j'ai bien compris Hockey Québec formera 15 équipes d'élites pour chaque groupe d'âge (1995, 1996...) en fonction des territoires des équipes midget AAA ce printemps? Si c'est le cas, alors wow. Excellente idée. Pourvu que les camps de sélection soient bien organisés et autant que possibles impartiaux, pourvu que ça ne coûte pas une fortune aux parents des joueurs et que les pratiques et tournois soient bien encadrés et organisés. Ça ressemble au AAA qui est joué en Ontario durant l'hiver. J'ai bien hâte de voir ça mais ça m'a l'air très bien. Un pas dans la bonne direction, c'est sûr que ça ne dure que deux mois, mais si l'on prend ce programme comme une alternative aux ligues d'été actuelles, c'est très bien.
  4. Votre enfant a participé à combien de coupe Dodge

    Euh, petit détail, je crois que c'est plutôt 2007 : Richelieu et 2008 : Saguenay - Lac-St-Jean - Côte-Nord... Oui, la coupe Dodge est une très belle expérience. Peu de joueurs peuvent y participer. Quand je pense qu'il y en a qui s'y rendent 4 fois!! Ça dépend aussi beaucoup de la région dans laquelle vous jouez. Se rendre à la coupe Dodge quand tu joues dans la région de Québec ou de Montréal... pas facile. Le mien n'y a jamais participé mais est venu près 2 fois (2 défaites en finale aux régionaux pee-wee cc et bantam cc).
  5. Grippe H1N1

    En tout cas, pour le petit gars de Toronto, c'est très flou... Un docteur du Québec a déclaré vendredi dernier que ce serait la méningite qui aurait tué le jeune, chose qui semble peut-être plus plausible vu la manière dont il est mort. Mais les autorités ontariennes maintiennent que sa mort est directement liée au virus H1N1, donc les deux provinces ne s'entendent pas. C'est le coroner qui a déclaré dès le lendemain (jugement rapide) que la grippe l'a tué et il n'y a pas eu d'autres études depuis. Et le père a refusé qu'une autopsie soit pratiquée sur son fils. Peut-être est-il vraiment mort du virus... Mais à une période où on tente de convaincre les gens de se faire vacciner pour que les millions que les gouvernements ont investi servent à quelque chose, on s'est peut-être servi de ce cas comme un argument pour que les gens se fassent vacciner. Je ne suis pas spécialiste, mais c'est mon opinion. J'ai entendu quelque part que les premiers symptômes apparaissaient 24h après le début de la grippe, mais ce ne serait donc pas vrai. C'est une drôle de grippe, mais il ne faut pas oublier que ça reste une grippe justement. C'est juste qu'on dirait que cette année, on tente tout ce que l'on peut pour éviter que des gens la contracte. On n'a pas fait ça pour la gastro l'an dernier, pour la grippe de l'automne passé. Je vais me faire vacciner, mais ça ne m'énerve pas du tout.
  6. Grippe H1N1

    2 gros cas de H1N1 confirmés chez les Wildcats de Moncton et une quizaine d'autres cas potentiels... L'équipe est sur le dos et ne jouera pas ses matchs en fin de semaine. Mais la meilleure, c'est que l'équipe a reçu le vaccin vendredi dernier. Quand on sait que les premiers symptômes de la grippe surviennent 24 h après qu'on l'ait contractée, ils l'ont donc attrapée après avoir été vaccinés. C'est à se demander si le vaccin est réellement efficace.
  7. Grippe H1N1

    La vaccination, selon moi, est importante, car même si cette grippe en général n'est pas mortelle, elle peut être très désagréable et durer plus d'une semaine et il faut une certaine période de temps par la suite pour revenir en pleine forme. Donc, pour un joueur de hockey surtout, ça peut être très énervant. De plus, les adolescents sont parmi les groupes les plus à risque de la contracter et peuvent, par la suite, être plus atteints que exemple, des adultes de 45 ans. Je crois que les joueurs de hockey doivent surtout faire attention à leur mouth piece. C'est un véritable ramasse-microbes qu'on se met directement dans la bouche et beaucoup de joueurs le laissent traîner un peu partout. Les joueurs devraient surveiller davantage leur mouth piece en plus de la poignée de main.
  8. Grippe H1N1

    Oui... mais est-il vraiment mort de la grippe H1N1?? Jusqu'à maintenant, à peu près tous les décès reliés à cette grippe (et ils sont rares) sont survenus après des complications de la grippe sur une période assez longue, durant généralement plus d'une ou deux semaines. Il a un peu de fièvre, a mal à la gorge... et boum il s'effondre, perd conscience et finalement, décède. C'est tragique, oui, mais l'autopsie n'a pas encore été pratiquée et je ne serais pas surpris qu'on nous apprenne qu'il avait une malformation cardiaque ou quelque chose du genre (si les médias nous l'apprennent... ils ne veulent pas gâcher leur campagne de peur...) Donc avant de capoter, attendons un peu. La semaine dernière, on disait à la télé que le vaccin pourrait comporter des risques. Maintenant, on nous presse de se faire vacciner au plus vite... ça sent la manipulation médiatique. Je pense que, au niveau du hockey, il serait important que chaque joueur se traîne une petite bouteille de désinfectant à mains (s'il en reste en magasin) ça peut servir, faire attention à leur "mouth piece" (certains le laissent traîner un peu partout...), autant que possible, ne pas cracher nulle part (ou installer des bacs pour cracher à la limite), avoir leur bouteille personnelle, ne plus donner la main après les matchs ( un signe de tête fait l'affaire), ne pas aller aux douches nus pieds, s'essuyer avec leur propre serviette. Des choses banales mais qui font la différence. Et par dessus tout, si atteint de la grippe, ne pas se pointer aux pratiques ni aux matchs (logique). Le mieux, c'est de se faire vacciner. Personnellement, je vais me faire vacciner car non, le vaccin n'est pas dangereux, et efficace ou pas, c'est quand même le meilleur moyen de se protéger. Même si on n'en mourra pas, cette grippe est quand même fort désagréable, plus forte que la grippe saisonnière.
  9. Joueurs Francophone dans laLNH

    Cet article veut tout dire.
  10. Joueurs Francophone dans laLNH

    À chaque année, de nombreux gars qui auraient pu avoir beaucoup de succès dans le hockey disparaissent. Soit parce qu'il choisissent un autre sport (souvent le football) qui est soit moins dispendieux et souvent plus plaisant, soit parce qu'il ont simplement d'autres intérêts que le hockey, parce qu'ils manquent d'argent etc. Mais la plupart du temps parce qu'ils n'ont pas étés "étiquettés" au AA étant plus jeunes, et que par la suite, ils ont eu un mal fou à se tailler un poste rendu bantam et midget... Pour avoir vu du hockey midget, je crois (et c'est même évident) qu'il y a de TRÈS bons joueurs de hockey dans le midget AA et même dans le midget BB. Ces deux calibres sont souvent plus forts que l'espoir... Je crois donc qu'à quelque part, le système actuel ne favorise pas le développement de ceux qui ont réellement du potentiel. Ici, on ne développe pas des joueurs, on étiquette des joueurs selon leur performance en bas-âge et on fait un suivi par la suite. Le reste, on les surveille, on leur donne leur chance à l'occasion, certains finissent par faire le midget AAA, mais beaucoup trop de joueurs qui finissent par avoir un réel talent au hockey au bantam ou début midget par leur jeu physique, leur intensité et leurs aptitudes défensives finissent AA ou BB et on n'entend plus parler d'eux. Et c'est presque compréhensible! Comment refuser à l'espoir un gars qui a fait deux ans atome BB, un an pee-wee AA, un an bantam AA (de justesse) même s'il n'aurait en fait pas sa place? C'est presque illogique d'en prendre un qui a joué un an atome BB, pas de pee-wee AA, pas de bantam AA mais qui en fait serait pleinement de calibre... Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de bons joueurs à l'espoir, ça veut dire que le système actuel ne favorise pas le développement de plusieurs joueurs qui auraient un réel potentiel. Sans parler des coûts... Dans le fond, actuellement, plus tu es (paraît) fort en bas âge, plus tes parents ont de l'argent, plus ta réputation est forte, meilleures sont tes chances d'être mieux encadré et de te rendre au midget AAA. Sans parler des contacts, des amis dans l'organisation. Sans parler du nombre de gens qui s'improvisent entraîneurs et qui on un impact sur nos jeunes (pas juste au hockey, mais dans la vie) en leur faisant confiance ou en les "bullshitant". En leur montrant les bonnes choses ou les mauvaises. Sans parler de notre manière d'enseigner la mise en échec, le jeu physique en général. Ouf. Dans le moment, plusieurs joueurs qui font le midget AAA n'ont même pas de potentiel d'être repêchés plus tard. Plusieurs ont aussi du potentiel, mais c'est bizarre il leur manque toujours un élément clé dans leur jeu. Les joueurs complets sont assez rares et c'est peut-être ça le problème. C'est mon opinion. C'est du bla bla mais je pense qu'il faut en parler et voir les choses en face.
  11. Joueurs Francophone dans laLNH

    Et voilà. Cela rejoint exactement ma pensée. Cela s'ajoute au fait que: -Nous marchons selon un système d'entraîneurs-bénévoles. Oui, cela sauve de l'argent et ces gens sont très aimables de donner de leur temps aux jeunes, mais il faudrait penser à engager des spécialistes au AA et à l'ensemble du double-lettre (comme en Europe). -Le mineur-majeur favoriserait le développement des joueurs (notamment en raison du relative age effect) car on procéderait une année à la fois et non une catégorie à la fois. La question des premières années à garder dans les équipes AA pour le développement serait réglée, puisqu'il n'y aurait plus de premières années. -Il faudrait créer une ligue AAA pour chaque catégorie de hockey mineur (comme en Ontario avec la Eastern AAA Association) regroupant une quinzaine d'équipes au maximum à travers la province. Et s'arranger pour couvrir de quelconque façon les dépenses liées au transport que cela implique non seulement pour les joueurs vivant en région, mais aussi pour ceux des grands centres. -Il faudrait idéalement associer les équipes AA (ou AAA) aux écoles secondaires au moins à partir du pee-wee. -Il faudrait penser à enseigner correctement les techniques individuelles comme le maniement de rondelle, les batailles 1 contre 1, le patinage, l'exécution d'une passe voire même initier à la mise en échec tout cela en bas âge et à partir du pee-wee, enseigner les tactiques collectives à temps plein. Au lieu d'enseigner à chaque année, durant la moitié de l'année, les techniques individuelles, et pendant l'autre moitié, le jeu collectif. À chaque année, on recommence à apprendre les mêmes techniques. On enseigne la mise en échec durant seulement quelques heures et hop, après on pense que c'est acquis pour des années... -Il faudrait mettre l'accent sur les entraînements plutôt que sur les matchs. Durant une partie, le temps où un joueur est en possession de la rondelle est généralement bien inférieur à celui en pratique. -On ne met pas suffisamment l'accent sur le jeu défensif collectif. Je crois qu'ici, on a encore la mentalité qu'être défenseur est une position secondaire à laquelle n'importe qui peut jouer. C'est un cliché. On aime de nos ailiers qu'ils marquent des buts et produisent offensivement. Pas assez souvent on remarque ceux qui bloquent des tirs, couvrent leur zone défensive, jouent physique. Et le midget espoir est une farce. Quel type de joueur développe-t-on le plus dans le novice, l'atome et le pee-wee au Québec? Les petits joueurs d'avants rapides, car l'absence du jeu physique les favorise. Rendu au bantam et au midget, ces joueurs ont un grand talent certes, et continuent à jouer dans les hauts calibres puisqu'on les a encadrés plus tôt. Les joueurs plus costauds, qui jouent bien défensivement et qui jouent de l'épaule, on n'en veut pas dans l'atome. On les ignore, et plus tard ceux-ci n'auront pas eu un développement adéquat. Quel type de joueur recherche-t-on au repêchage? Les grands costauds qui jouent bien défensivement tout en exécutant bien l'attaque.
  12. Joueurs Francophone dans laLNH

    Voici un article tiré du RDS.ca le 21 octobre. Pour alimenter le sujet. On peut en penser ce que l'on veut. « On peut bien parler de discrimination pour expliquer la faible proportion de francophones au hockey, mais il est peut-être temps de se demander si notre hockey mineur et notre hockey junior font correctement leur travail. À Hockey Québec, on a mis en place ce qu'on appelle une structure intégrée pour suivre l'évolution du joueur des rangs pee-wee jusqu’au midget AAA. On veut mettre l'accent sur la préparation physique, le jeu collectif, le jeu à un contre un et l'augmentation du niveau de compétitivité, un élément qu'on a souvent reproché aux joueurs francophones dans les dernières années. "Notre plus grand défi est de mettre en place et de s'assurer que la structure soit respectée du niveau pee-wee à midget", explique le directeur général de Hockey Québec, Sylvain Lalonde. Quand on jette un coup d'oeil aux statistiques publiées par l’ancien joueur de la LNH Bob Sirois plus tôt cette semaine, on se rend compte qu'un seul joueur midget francophone sur 618 est sélectionné dans la Ligue nationale trois ans plus tard, contre un sur 334 pour un anglophone. Il faut l'avouer, la différence entre les deux est énorme. D'ailleurs, certains entraîneurs juniors ne se cachent pas pour dire qu'il y a de grosses lacunes dans le développement des joueurs au hockey mineur, particulièrement au niveau midget Espoirs et midget AAA. "Des joueurs nous arrivent du midget AAA et ont de grosses lacunes au niveau du patin et de la qualité des passes, remarque l’entraîneur et directeur général des Saguenéens de Chicoutimi, Richard Martel. C'est assez renversant." "La Ligue midget AAA en est une de développement, mais elle doit s'appliquer à développer toutes sortes de joueurs, pas juste les petits attaquants rapides", croit pour sa part Pascal Vincent, du Junior de Montréal. "Les Européens arrivent ici et ils sont 25 longueurs en avant de nos joueurs au point de vue des habiletés de base", estime Martel. Moins talentueux? Le Québec représente 23% de la population canadienne. Pourtant, dans la LNH, seulement 13% des joueurs canadiens sont francophones. On tente de trouver des réponses et oui, il y a peut-être une forme de discrimination. Mais se peut-il aussi que nos joueurs francophones aient tout simplement moins de talent ? "Je remarque que depuis quelques années, le talent des joueurs d'ici a considérablement diminué, observe Alain Chainey, recruteur au Québec pour le compte des Ducks d’Anaheim. Sans rien enlever aux joueurs, je crois qu'il y a une baisse notable." "Notre hockey mineur est mené par des bénévoles. En Europe, les éducateurs sont bien payés pour développer le hockey à partir des rangs novices", compare Martel. "Nous tentons d'intégrer lentement les instructeurs semi-rémunérés, rétorque Sylvain Lalonde. C'est un changement de culture qui commence à s'opérer." Hockey Québec doit poursuivre cette démarche amorcée il y a quelques années quant à l'encadrement du joueur qui doit devenir sa priorité. On peut bien blâmer les dirigeants de la LNH et les accuser de tous les maux, encore faut-il que les joueurs qui sont appelés à graduer soient du calibre de ceux des autres provinces. »
  13. Joueurs Francophone dans laLNH

    Justement mctru, il n'y a pas de statistique officielle qui peut prouver qu'il y a de la discrimination. C'est irrationnel. C'est sûr que le fait que 12 équipes sur 30 n'ont pas de recruteur au Québec, ça ne "prouve" pas qu'il y a du favoritisme. Lors d'un repêchage, les directeurs et recruteurs de chaque équipe vont faire ce qu'on appelle du "lobbying" pour tenter de parler à divers entraîneurs, agents ou recruteurs au junior afin d'en savoir plus sur les qualités des joueurs. La centrale de recrutement classe les joueurs selon leur fiche personnelle et leur façon de jouer, mais les recruteurs cherchent également à en savoir plus sur chaque joueur au niveau de l'attitude, du style de joueur, de l'effort etc. et surtout leur progression et cheminement au cours des années précédentes. C'est dans ces moments qu'on peut supposer, pas prouver, que les joueurs anglophones seraient favorisés. Mais en effet, tu as raison, aucune statistique officielle ne prouve le favoritisme. D'ailleurs, si M. Sirois compare le repêchage proportionnellement à la population, c'est complètement déplacé. Cependant, le fait que 12 équipes ne s'intéressent vraisemblablement pas à notre hockey, ça vient de diminuer les chances de nos joueurs de 40 %. Et là, c'est seulement au repêchage sans compter ce qui se produit par la suite. On ne parle pas beaucoup d'Alexandre Giroux, qui est dans l'organisation des Capitals de Washington, a compté 60 buts et obtenu 37 passes pour 97 points l'an dernier. Meilleur buteur, meilleur pointeur de l'américaine avec les Bears de Hershey l'an dernier et de loin. Meilleur pointeur des séries l'an dernier. A conduit les Bears de Hershey à la conquête de la coupe Calder. Élu joueur le plus utile de la saison 08-09. Et les Caps refusent toujours de lui offrir un poste. Cette année, il a 10 points en 6 matchs. Peut-être qu'ils désirent le garder à Hershey car il remplit les gradins et l'équipe gagne comme jamais. Peut-être que les Capitals ont de la profondeur comme jamais au point qu'il n'y a même pas une petite place pour lui sur le 4e trio. Quoiqu'il en soit, bien des gens ne comprennent pas pourquoi il n'est pas dans la LNH. Washington ont leurs raisons et on peut les respecter... Mais la plus grande question avec un joueur comme ça est : Qu'est-ce que ça va lui prendre pour qu'un jour il puisse se tailler un poste? 93 buts et 45 passes??? Il doit franchement être découragé. Cela fait quelques années qu'il cogne à la porte, mais jamais on ne lui donne une réelle chance. Il a remplacé l'an dernier quelques joueurs blessés et n'a pas mal paru du tout, mais on l'a renvoyé aux mineures après une dizaine de matchs. Et la on ne parle pas d'un Desharnais à 5' 7'', on parle d'un gars de 6' 3''.
  14. Midget AAA, est-ce du vrai DÉVELOPPEMENT ?

    Très bien dit lovehockey
  15. Joueurs Francophone dans laLNH

    Il y a 12 équipes sur 30 qui n'ont pas de dépisteur au Québec. Ça montre que nos joueurs sont carrément ignorés par certaines équipes. On ne peut pas dire le contraire.
  16. Joueurs Francophone dans laLNH

    En effet avec Bettman et sa petite clique, la LNH est en effet en quelque sorte un club de petits amis... Moi, pour ce qui est du "favoritisme", je ne pense pas que les haut-dirigeants aient quoi que ce soit contre les joueurs francophones ou une mauvaise opinion. Ils ne sont pas nécessairement "racistes". Je crois plutôt qu'ils se foutent un peu de ce qui se passe au Québec. Ils ne pensent simplement pas assez à considérer les hockeyeurs du Québec. Nous sommes loin des grands centres, le Québec n'est pas très "plogué" dans le monde de la LNH et la LHJMQ avec ses 4 titres à la coupe Memorial est simplement ignorée. Oui, je crois qu'il y a plus de talent dans l'ouest et en Ontario, mais on oublie à chaque année de nombreux québécois tout aussi talentueux et robustes que les gars de l'ouest car ils sont pris dans un système où on les ignore. Quand tu joues pour une équipe performante de la LHJMQ, comme Drummondville ou Shawinigan l'an passé, tu as plus de chances d'être repêché car tu es spotté. L'exemple de Riopel est flagrant. Tout comme Guillaume Latendresse aux mondiaux juniors de 2006. Celui-ci était au départ promu sur le premier trio (de la poudre aux yeux pour montrer que team canada s'intéressait au Québec). Latendresse connaît une seule mauvaise présence en début de tournoi et hop, par la suite, il se retrouve sur le 4e trio et ne joue presque plus. Il n'a même pas eu la chance de se faire valoir par la suite. Oui, il faut demeurer objectif quand on se penche sur un problème comme celui-là, mais il ne faut pas oublier que le favoritisme n'est pas quelque chose d'objectif. On peut le déduire, mais on peut difficilement le prouver. Dans un camp de sélection, tu as un joueur qui est moyen mais qui réussit à faire l'équipe et tu sais très bien que son père connaît un membre de l'organisation. Tu peux déduire que c'est son père qui l'a mis dans l'équipe mais tu ne peux pas le prouver... C'est la même chose. La discrimination envers les joueurs francophones n'excuse pas le fait que notre système de développement au Québec ne fonctionne pas. Il y a bien des lacunes dans le hockey québécois. Mais il y a bel et bien de la discrimination envers nos joueurs et ça n'aide pas notre cause. C'est dommage, mais on ne peut pas faire grand chose.
  17. Joueurs Francophone dans laLNH

    Eh ben mctru! Wow. Toute une analyse. Tous les chiffres sont là.Tu devrais peut-être songer à écrire un livre sérieusement ça serait profond comme étude. Je suis vraiment d'accord avec le fait que généralement, au Québec, on a tendance à négliger l'aspect défensif du jeu dans le développement de nos joueurs ça se voit très bien. Mais là ou je suis le plus d'accord, c'est avec le fait que le midget AAA favorise les joueurs de 15 ans au lieu de ceux qui ont 16. Quand on parle de visibilité, le midget espoir est une catégorie ou les joueurs sont plus spottés que le midget AA ou CC. Est-ce normal? Surtout quand on sait que le midget AA et même assez souvent le CC sont des calibres supérieurs à l'espoir. On en voit chaque année de ces joueurs qui auraient un bon physique et beaucoup de talent mais qui ne se retrouvent jamais midget AAA car ils ne font pas l'espoir. Est-ce normal? Mais très bon texte mctru. Ça montre qu'il faut parfois pousser plus loin au lieu de simplement s'arrêter à ce qui nous saute dans la face. Cependant, ça n'enlève rien au fait que 12 équipes de la LNH n'ont aucun dépisteur au Québec. Ni au fait que généralement, des dirigeants anglophones vont se fier à leurs contacts anglophones et repêcher des joueurs anglophones. Donc, en conclusion. Nous avons un système de développement qui justement n'est pas très favorable au développement, notre "structure" n'a pas plus de sens, on compare le repêchage des joueurs de hockey à la population ce qui n'a pas non plus aucun sens et en plus, les anglais se foutent de nous. C'est pas d'avance vous trouvez pas...
  18. Joueurs Francophone dans laLNH

    Lors d'un repêchage, dans les 3e, 4e, 5e ronde etc., les membres d'une organisation de la LNH vont consulter non seulement leurs dépisteurs, mais aussi leurs contacts comme coachs, directeurs généraux etc. Comme la plupart des équipes comportent des dirigeants anglophones, ceux-ci ont majoritairement des contacts et des liens avec d'autres associations anglophones. Le hockey est une business où les relations d'affaires sont assez importantes, et ces relations sont en grande majorité anglophones... Ça paraît stupide comme raisonnement, mais c'est la réalité. C'est comme ça que ça marche C'est sûr qu'il y aura quand même des québécois de repêchés, mais ceux doivent se démarquer du lot énormément. Pareil comme un joueur qui arrive du simple lettre dans un camp de sélection au AA. Il a beau connaître un bon camp et en accoter plusieurs, il a une étiquette de simple lettre collée sur lui... C'est sensiblement la même chose.
  19. Joueurs Francophone dans laLNH

    Voici des statistiques fort intéressantes. Apparement M. Sirois avait de bonnes raisons de publier ce livre. 12 équipes de la LNH sur 30 n'ont AUCUN recruteur en sol québécois. Tiens, tiens. On compte 30 recruteurs chefs, 30 entraîneurs-chefs et 30 directeurs généraux dans la ligue. Un total de 90 postes importants. Sur ces 90 personnes, seulement 8 sont francophones. Cela a un certain impact. De 1979 à 1994 (15 ans), les Nordiques de Québec ont repêché 38 joueurs francophones. De 1995 à 2009 (15 ans également), l'Avalanche du Colorado a repêché 8 joueurs francophones. Une importante diminution, et il s'agit de la même organisation. Les raisons à cela sont probablement la géographie et le milieu culturel dans lequel l'équipe jouait. Sans oublier Pat Quinn qui avait mentionné l'an dernier qu'il n'allait jamais voir les matchs de la LHJMQ! En plus, il se permettait de qualifier la ligue de "ligue en tutu" ou un truc du genre. Si ça ce n'est pas un préjugé... Les dirigeants de la LNH, qui sont majoritairement anglophones, se réfèrent généralement à leurs contacts anglophones pour le recrutement des joueurs et ceux-ci proposent aussi généralement des joueurs anglophones par conséquent. Même M. Stéphane Leroux de RDS approuve la thèse de M. Sirois par ses nombreuses expériences passées hors-glace dans le monde junior. Il y avait d'ailleurs un autre livre qui avait paru il y a une dizaine d'années sur le même sujet. De nombreux chiffres sont également à l'appui. On ne parle pas ici d'un simple texte d'opinion publié dans un journal, on parle d'un livre officiel qui se base sur des faits pour expliquer un phénomène. Donc, oui, au Québec, notre système a des lacunes, le programme de développement des joueurs n'est pas nécessairement le meilleur et on pourrait faire mieux quant à l'apprentissage des aptitudes individuelles avant le collectif. Mais il y a BEL ET BIEN un préjudice défavorable envers les joueurs francophones présentement dans la LNH et au junior. Personnellement, et je l'avait mentionné dans mon commentaire précédent, je crois qu'actuellement, au Québec, il y a une très grande quantité de joueurs très talentueux et robustes qui sont ignorés chaques année car ils jouent au travers d'une masse de joueurs moyens et qu'ils ont de la difficulté à se faire reconnaître des dépisteurs. Et il y a la géographie également. Les joueurs du Junior de Montréal (on va dire The Juniors car ça fait plus sharp, plus NHL :lol: ) ont bien plus de visibilité que les joueurs du Drakkar de Baie-Comeau car ils sont plus près du Canada anglais ou le recrutement est bien plus intense. Je suis certain que le simple fait que les Voltigeurs et l'Océanic aient très bien performé à la coupe Memorial a éclairé les yeux de certaines équipe de la LNH envers le Québec. Quand on y pense, c'est un peu drôle, car ce ne sont que deux équipes. Mais tout est une question de visibilité. Les victoires d'équipe Canada au championnat junior éveille les recruteurs à l'idée que les joueurs canadiens sont meilleurs au hockey. Comme M. Sirois dit, si le Québec serait représenté aux championnats juniors, peut-être que les dépisteurs seraient plus intéressés aux joueurs québécois? Penser que les francophones sont victimes de discrimination paraît stupide et paraît comme du chialage, mais en bout de ligne, le phénomène est réel.
  20. Joueurs Francophone dans laLNH

    Oui, au Québec, on chiale. On dit que nous sommes victimes d'injustice, que les anglais nous haïssent etc. Mais quand tu regardes la façon dont les équipes choisissent leurs joueurs, la façon dont on perçoit le contact (ici on appelle ça jouer salaud) et notre manière d'apprendre aux jeunes à jouer collectif et appliquer des systèmes de jeu d'équipe avant même de leur apprendre à bien EXÉCUTER les différentes techniques du hockey (patin, maniement, batailles 1 contre 1, faire de belles passes, et surtout la mise en échec). Donc, nous avons une structure organisationelle très élaborée en comparaison des autres sports ainsi qu'une grande couverture médiatique et beaucoup de cash qui roule dans le monde du hockey mais si on regarde ce que l'on fait sur la glace, ça pourrait être mieux. Et ce sont ces lacunes qui vont amener différents préjugés de la part des recruteurs anglophones. Au Québec, nous avons plusieurs joueurs de grand talent et robustes qui sont ignorés chaque année car ils se fondent dans une grosse masse de joueurs qui ne répondent pas aux critères que les dépisteurs recherchent. Par exemple, si tu prends Trevor Timmins, celui-ci aurait un jour avoué qu'il ne croit pas en la ligue junior majeure du Québec pour "diverses" raisons. Et ça paraît dans les prospects qu'il vend à l'organisation du Canadien. Celui-ci a la conviction que les universités américaines sont la clé. Il n'en a pas contre les Québécois, il n'aime pas le système québécois. À preuve, il a repêché Louis Leblanc qui joue pour Harvard. Si Leblanc aurait joué au Québec, je me demande s'il l'aurait choisi. Donc, notre système a des lacunes et cela reflète sur ce que les gens de l'ouest du Canada et des USA pensent de nous. Il y a aussi la géographie. Val d'Or, Rouyn, Baie-Comeau, Chicoutimi sont des villes très éloignées du "center canada" (Toronto, Hamilton, London etc.) et des USA, donc les dépisteurs ne se rendent probablement pas souvent dans ces endroits. Mais il y a une statistique que je trouve drôle, c'est celle concernant les joueurs québécois avec un nom soit à consonance anglophone ou francophone. Apparement, si tu est québécois et que tu as un nom avec une consonance anglophone (ex: Matthew Lombardi) tu as 2 fois plus de chances d'être repêché qu'un québécois avec un nom francophone. Et ce, chiffres à l'appui. C'est étonnant.
  21. Parent mécontent qui trouve que son jeune ne joue pas assez

    Effectivement j'ai remarqué la même chose. On dirait qu'une équipe joue mieux à 8 joueurs d'avants (ici 6 ailiers et 2 centres), car oui le tour de tout le monde vient plus rapidement, mais surtout car chaque joueur n'est pas pris pour jouer toujours avec les mêmes et donc quand un joueur s'entend moins bien avec un autre, eh bien ça ne vient qu'un tour de temps en temps. Et je suis du même avis que mikel
  22. Les stats individuelles

    Est-il vraiment souhaitable que les statistiques individuelles des joueurs soient affichées sur Internet alors que très souvent, l'arbitre donne le but au mauvais joueur et donne des assists à des joueurs qui étaient sur le banc? Il faudrait un statisticien dans les estrades, car les arbitres ont mieux à faire que de s'occuper des points aux joueurs (ils s'en foutent très souvent). Mais comme on est au hockey mineur et que c'est une solution assez « grosse ligue », le mieux serait d'enlever les stats sur Internet. Du même coup, on éviterait des petites chicanes de parents, on favoriserait le jeu collectif, qui manque beaucoup trop dans le hockey aujourd'hui et tout le monde serait content. S'il faut absolument avoir une statistique sur le web, pourquoi pas les + et les - ? Cela favoriserait le jeu défensif et serait moins compliqué à observer.
  23. les organisation de hockey

    Voyons donc! Eille! Un fond de pension! C'est quoi cette manière de penser! Moi le premier je trouve ça ridicule de penser de même et je n'ai jamais fait allusion à ça. Avant d'interpréter SVP... Et ça n'a aucun lien direct avec la sélection des joueurs ou le deux lettres. Ce que je voulais dire, c'est que bon, oui, plusieurs organisations font du bon travail et sans elles, il n'y aurait pas de hockey organisé. Mais il reste qu'il y a plusieurs choses que les associations cachent même si ce ne sont pas de grosses histoires. Pensez-vous que les gens qui travaillent dans les associations sont toujours neutres et objectifs, et ne font jamais passer leurs intérêts personnels en premier? Dans plusieurs associations, le travail est généralement assez bien fait pour le bien de tous, mais il y en a certaines où il s'agit d'un groupe de gens ayant un lien soit monétaire ou autre qui se cachent sous l'identité de professionnels du développement très crédibles alors que leurs agissements n'ont pas de sens. Je me suis peut-être mal exprimé en mentionnant que les associations sont « généralement » tout croches, je voulais plutôt dire qu'il y en a quelques unes qui se foutent du bien des enfants et dans ceux là les parents se la ferment et les joueurs paient le prix. Ça ne paraît pas toujours il faut se méfier mais il y en a, ca on peut le confirmer. En passant mon fils n'a pas été retranché cette année mais j'ai vu des cas spéciaux, sans que ce soit la faute des jeunes. Et c'est dommage.
  24. les organisation de hockey

    Le problème est là aussi 80 % des gens trouvent que ça n'a aucun sens mais personne ne s'unit pour tenter de régler les problèmes. Les gens ont la plupart du temps peur que ça leur revienne dans la face ou que leur enfant soit pénalisé donc tout le monde se la ferme et suit la parade.C'est beaucoup plus facile de tenter de se mettre chum avec quelqu'un dans l'organisation que de commencer à vouloir tasser le président, tout changer et c'est pour ça qu'on avance pas.
  25. les organisation de hockey

    C'est vrai que ça sert à rien présentement de se plaindre mais bordel que nos associations de hockey sont broches à foin ça na aucun sens (en général). À chaque semaine il y a toujours des histoires qui sortent qui sont vraiment drôles. Qu'est-ce qu'on peut faire? Le système est tout croche (c'est pas nécessairement la faute de la fédération, mais plutôt de chaque petite clique locale) ça n'est pas près de changer et ce sont nos enfants qui paient le prix. On leur apprend le respect, à être honnête, correct etc. mais quand on voit agir les adultes... ouf
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