mctru

123456, explique nous ton post SVP?

Je me rends compte que lorsqu'on écrit pour des ignorants ou des gens sans culture il est très difficile de pouvoir communiquer.

Quand on ne sait pas de quoi on parle...

Jean-François Brunelle du Séminaire St-Joseph de Trois-Rivières estime que Hockey-Québec encadre bien 97 ou 98 pour cent de sa clientèle. Mais à ses yeux, les joueurs qui se situent en haut de la pyramide, les 100 meilleurs joueurs de chaque groupe d’âge par exemple, ne reçoivent pas toute l’aide dont ils ont besoin pour se développer. Il n’a sans doute pas tort. Depuis le début des années 2000, le Québec n'a jamais produit aussi peu de hockeyeurs de haut niveau. Le cadre conceptuel du programme de hockey échafaudé par Brunelle est très impressionnant. Ce programme tient compte du développement athlétique général et celui à long terme de l’athlète. Il cerne le niveau où se situe les athlètes et les qualités à peaufiner. Le programme décortique les six phases de jeu du hockey et prévoie le raffinement technique et tactique individuel des joueurs. Et, outre le développement musculaire, il comprend des disciplines aussi variées que le power yoga, la pliométrie, des routines de course et le ultimate frisbee. Bref, bienvenue dans le 21e siècle! La philosophie de Brunelle repose beaucoup sur l’exploitation de la «zone proximale de développement», qui veut qu’un athlète en progression doive toujours avoir un apprentissage à porter. Pour favoriser son développement, l’athlète doit constamment être entouré de pairs aussi talentueux que lui. «Si on le place dans une zone de confort, il ne sera pas porté à progresser», explique-t-il. Lorsqu’ils ont rencontré Brunelle, les experts de la LHJMQ ont été fort impressionnés. Mais pas Hockey Québec...

SISU, pour ton info, RC fait partie de l'organisation du hockey mineur de la région de MTL. Il est partie prenante du programme qu'il défend.

Le Québec au complet est meilleur qu'une seule école de l'ouest...rien à dire là dessus. Cela ne change rien qu'entre 2004 et 2008 et qu'en 2011 notre dame n'a pas gagné dans l'ouest. Ce n'est pas eux qui ont eu l'honneur de représenté l'ouest à la Coupe Telus. Qui est une compétions nationale. L'article de Martin concernait cette compétition. Et c'est sur ces statistiques que je m'appui. Je dirais au contraire que ND ont gagné la coupe Telus et 2008-2009 et 2009-2010. En fait c'est la seule équipe canadienne à avoir pu défendre son titre, et le gagner deux fois de suite depuis les débuts de la coupe Telus. Je ne parlerai pas de l'encadrement spirituel, sportif et académique de ND, certains vont m'écrire que j'écris contre nos belles valeurs québécoises du nivellement par le bas. Finalement seulement trois joueurs du SSJ sont allés à ND cette année. Trois autres sont aux USA et les autres sont retournés jouer AA et Midget AAA dans le bas du fleuve. Ils ont joué dans des équipes qui les ont accueillis à bras ouvert étant donné leur grand talent. Je sais que ça dérange bien des gens qu'on compare ce qui se fait ici à ce qui se fait ailleurs. Pourquoi? Parce que ça démontre que le hockey québécois est entre les mains de gens incompétents et sans formation, surtout dans les associations locales dont certains ici font parti comme dirigeants. Et pourtant...tous connaissent l'importance des apprentissages en bas âge.

RC c'est cerrtain que c'est les gens des écoles qui essaient d'en mettre plus que nécessaire. C'est le genre de personne qui va faire en sorte que les parents seront déçus. On ne doit jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Coco, voilà qui pourrait vous aider à comprendre pourquoi personnellement j'en ai tant contre HQ... en fait contre ses dirigeants. Tout d'abord parlons de leur sommet à la con où personne à part leurs intervenants n'ont droit de parole. Et deuxièmement cela, je crois que c'est important de bien le lire et de le relire pour certains car c'est ainsi que tout a commencé. La fédération HQ a créé elle-même la LHPS avec l'aide du petit roi Lalonde. Hockey-Québec: l’art de détruire un bon programme La chronique de Martin Leclerc Dimanche, 12 septembre 2010 07:02 Ce texte est un peu plus long que mes chroniques habituelles, mais si vous vous intéressez aux problèmes que traverse le hockey québécois, il vaut a peine d’être lu jusqu’au bout. Il y a en Saskatchewan une école secondaire, le collège Notre Dame, que les recruteurs considèrent comme une véritable pépinière de hockeyeurs. Les meilleurs jeunes joueurs de partout au Canada rêvent de fréquenter cette école, qui soit dit en passant a remporté la coupe Telus (le Championnat canadien midget AAA) au cours des deux dernières années. Le modèle de Notre Dame fait ses preuves depuis des décennies. Il a produit un grand nombre de joueurs de la LNH, dont Brad Richards, Vincent Lecavalier et Rod Brind'Amour. Une telle pépinière de hockeyeurs ne pourrait toutefois pas exister au Québec. Les dirigeants du Séminaire St-Joseph de Trois-Rivières peuvent en témoigner. La saison dernière, Hockey-Québec a tout fait pour détruire un programme de très haut niveau qui avait été mis sur pied par cette maison d’enseignement réputée. Pourtant, le programme du SSJ était tellement innovateur et bien structuré qu’il avait reçu l’approbation, les encouragements et le support des experts du comité hockey de la Ligue de hockey junior majeur du Québec et de son commissaire Gilles Courteau. Hockey-Québec a toutefois refusé de reconnaître ce programme de sport scolaire de grande qualité et de lui faire une place dans ses rangs. Ensuite, les dirigeants de la fédération n’ont ménagé aucun effort pour faire disparaître cette équipe composée de joueurs de 14 ans et ainsi s’assurer de protéger leur monopole. Ils ont tenté d’empêcher le SSJ d’obtenir des locations de glace auprès des autorités municipales de Trois-Rivières.. Ils sont intervenus auprès de USA Hockey pour les faire bannir de tournois en sol américain alors que l’équipe était déjà arrivée sur les lieux. Ils les ont qualifiés de «hors-la-loi» dans les journaux et, sans la moindre justification ou la moindre juridiction, ils sont allés jusqu’à intervenir auprès de la Fédération du sport étudiant pour les faire exclure du circuit des écoles secondaires de la Mauricie. Une véritable histoire d’horreur ! Ce programme avait été mis sur pied par Jean-François Brunelle. Âgé de 34 ans, ce dernier est un pur produit du hockey mineur québécois. En tant que joueur, il a d’ailleurs représenté le Québec à six reprises à l’occasion de championnats nationaux: une fois à la coupe Air Canada (midget AAA), deux fois à la coupe Memorial et trois fois au Championnat universitaire canadien, dans l’uniforme des Patriotes de l’UQTR. Et il est retourné au Championnat universitaire pour une septième fois l’an dernier en tant qu’entraîneur adjoint à l’UQTR.Brunelle entreprend une maîtrise en activité physique. Il faut dire qu’il est un peu tombé dans cette discipline quand il était petit. Son père est doyen de la faculté d’Activité physique à l’Université de Sherbrooke. Son grand-père faisait la même chose à l’Université Laval. Bref, voilà une exceptionnelle tête de sport qui s’implique auprès des jeunes et qui, au fil des ans, a monté une structure de hockey printanier assez impressionnante – appelée Les Albatros - dans la région du Bas-Saint-Laurent. Au cours des dernières années, son programme était tellement solide qu’il a réussi à se faufiler et à dominer au sein du réseau nord-américain de hockey AAA, où les meilleurs jeunes hockeyeurs du Canada anglais et des États-Unis s’affrontent sur une base régulière à l’occasion de tournois. Occasion unique Au début de l’hiver 2008, les parents de son équipe printanière se regroupent et demandent à Brunelle s’il pourrait accueillir tous ses joueurs au Séminaire Saint-Joseph, où il est enseignant. Cette initiative, estiment les parents, pourrait permettre à l’équipe de rester intacte et de disputer des saisons complètes. Et elle favoriserait le développement des joueurs. Dans les faits, il s’agit vraiment d’un groupe d’athlètes exceptionnels. On ne parle pas ici de rêveurs. La LHJMQ estime d’ailleurs que plusieurs membres de ce groupe seront des choix de première ronde au repêchage junior de 2011. Brunelle voit dans cette demande une occasion unique de mettre sur pied un projet-pilote et de permettre à la fine élite du hockey mineur québécois de faire une incursion au niveau AAA nord-américain, «là où les vraies choses se passent», estime-t-il. «Les meilleurs jeunes joueurs du Canada anglais et des États-Unis s’affrontent constamment. Ils recherchent sans cesse le plus haut niveau de compétition et ils le font dans une perspective de développement, pas pour remporter des trophées. Au Québec, nous sommes plus refermés sur nous-mêmes», estime Brunelle. «Il n’y a pas si longtemps, on retrouvait au sein d’Équipe Canada Junior pas moins de neuf joueurs qui provenaient de la Greater Toronto Hockey League (alors qu’à chaque année, le Québec au grand complet a de la difficulté à placer un ou deux joueurs au sein de l’équipe canadienne), poursuit Brunelle. «En les affrontant avec mes équipes, j’ai vu que ces gens (de la GTHL et des gros programmes américains) font beaucoup de bonnes choses. Nous étions prêts à utiliser notre programme à titre de projet-pilote et à refiler à Hockey-Québec toutes les informations pertinentes sur notre cheminement. Nous voulions collaborer avec eux.» Brunelle estime que Hockey-Québec encadre bien 97 ou 98 pour cent de sa clientèle. Mais à ses yeux, les joueurs qui se situent en haut de la pyramide, les 100 meilleurs joueurs de chaque groupe d’âge par exemple, ne reçoivent pas toute l’aide dont ils ont besoin pour se développer. Il n’a sans doute pas tort. Depuis le début des années 2000, le Québec n'a jamais produit aussi peu de hockeyeurs de haut niveau. Le cadre conceptuel du programme de hockey échafaudé par Brunelle était «en béton», selon ce dernier. Je l'ai lu et il est effectivement très impressionnant. Ce programme tenait compte du développement athlétique général et celui à long terme de l’athlète. Il cernait le niveau où se situaient les athlètes et les qualités à peaufiner. Le programme décortiquait les six phases de jeu du hockey et prévoyait le raffinement technique et tactique individuel des joueurs. Et, outre le développement musculaire, il comprenait des disciplines aussi variées que la jonglerie, le yoga, la pliométrie, des routines de course et le ultimate frisbee. Bref, bienvenue dans le 21e siècle! La philosophie de Brunelle repose beaucoup sur l’exploitation de la «zone proximale de développement», qui veut qu’un athlète en progression doive toujours avoir un apprentissage à porter. Pour favoriser son développement, l’athlète doit constamment être entouré de pairs aussi talentueux que lui. «Si on le place dans une zone de confort, il ne sera pas porté à progresser», explique-t-il. Lorsqu’ils ont rencontré Brunelle, les experts de la LHJMQ ont été fort impressionnés. «Il nous apparaissait que c'était un programme extrêmement intéressant et pertinent, explique le commissaire de la LHJMQ, Gilles Courteau. Tout le calendrier de compétition et le programme d'entraînement hors glace et sur glace étaient extrêmement bien planifiés et offraient un encadrement optimal aux joueurs. Mes experts en hockey étaient vraiment emballés». Le programme a eu droit à une lettre d’appui du commissaire. Pour témoigner de son support à ce nouveau programme, le commissaire de la LHJMQ écrit une lettre à l’intention des autorités municipales de Trois-Rivières pour aider le SSJ à obtenir des heures de glace à un taux avantageux. Il rédige aussi une série de lettres à l’intention des dirigeants des différents tournois ontariens et américains auxquels la formation du SSJ compte participer au cours de la saison 2009-2010. Et surtout, sachant que Hockey-Québec n'est pas entichée de ce programme, Courteau organise une rencontre entre Brunelle et le directeur général de la fédération, Sylvain Lalonde, pour que ce dernier puisse vraiment constater de quoi il en retourne. «Nous nous sommes présentés aux bureaux de Hockey-Québec avec notre cahier, notre programmation, les dates de nos tournois et toutes les autres informations pertinentes. Je leur ai donné mon concept et je leur ai demandé de prendre le temps de le lire. Sylvain Lalonde a dit donnez-moi une semaine et je vous reviens là-dessus», raconte Brunelle. Malgré plusieurs appels ultérieurs répétés des représentants du SSJ, Lalonde rappelle six semaines plus tard, selon Brunelle. Et c’est pour annoncer aux instigateurs du programme du SSJ que Hockey-Québec ne les reconnaîtra pas. Toujours selon Brunelle, Lalonde ne laisse aucune autre indication quant à ses intentions. Histoire de glace En coulisses, toutefois, Hockey-Québec ne ménage aucun effort pour mettre des bâtons dans les roues du SSJ. Lalonde écrit au directeur du service des loisirs de Trois-Rivières pour lui demander, subtilement, de ne pas louer d’heures de glace à l’équipe du SSJ. On croirait avoir affaire à la police secrète d’un pays du défunt bloc de l’Est! Le SSJ existe depuis 150 ans. Mais Hockey-Québec se sent suffisamment puissante pour l'empêcher de louer des heures de glace pour ses élèves! «La direction du séminaire a dû intervenir auprès des élus et cette histoire s’est finalement rendue jusqu’au conseil municipal, raconte Brunelle. Il a fallu que le conseil municipal décide s’il nous louait des glaces et à quel prix. Les conseillers ne comprenaient pas pourquoi un dossier aussi anodin atterrissait dans leur cour. Le pire, c’est que nous avions réservé des blocs d’heures qui n’étaient loués par personne, au beau milieu de l’après-midi. C’étaient des heures de glace que personne n’utilisait!» Le programme SSJ a fini par obtenir ses heures de glaces.( au prix normal au lieu du prix école) Dehors, les étudiants! La réglementation de Hockey Canada prévoit de façon très claire que les équipes des écoles secondaires ne sont pas reconnues comme étant «hors-la-loi» et œuvrant à l’extérieur des cadres de la fédération. Donc, devant le refus de collaborer de Hockey-Québec, les dirigeants du SSJ présentent une demande d’admission au sein de l’Association régionale de sport étudiant de la Mauricie (ARSEM). Ils sont immédiatement accueillis à bras ouverts par la directrice générale de l’ARSEM, Micheline Guillemette. Mais voilà, Hockey-Québec a le bras long. Peu de temps après avoir accepté le SSJ dans ses rangs, la directrice générale de l’ARSEM reçoit une lettre de la Fédération québécoise du sport-étudiant l’enjoignant de les expulser! Le contenu de la lettre signée par Roland Grand’Maison, directeur des programmes collégiaux de la fédération, est assez spectaculaire. En gros, elle dit «Normalement, on ne devrait pas intervenir dans ce dossier mais on le fait quand même. Si vous voulez maintenir de bonnes relations avec Hockey-Québec, expulsez cette équipe de vos rangs.» L’ARSEM se retrouve coincée entre l’arbre et l’écorce. Ne voulant pas causer de problèmes au sein de l’Association régionale, le programme de hockey du SSJ décide tout simplement de retirer sa candidature. L'équipe enteprend donc sa saison – composée d'une quinzaine de tournois – sans être affiliée à qui que soit. Pourchassés aux États-Unis Les trois premiers tournois, à Toronto, Detroit et Rochester, se déroulent normalement. Puis à la fin du mois d’octobre, alors que son équipe a déjà disputé deux matchs au tournoi de Chicago, Brunelle reçoit un message des organisateurs, qui sont affolés. Hockey-Québec et Hockey Canada sont intervenus auprès de USA Hockey. Et ils demandent que l’équipe du SSJ, soi-disant «hors-la-loi», soit disqualifiée sur-le-champ. «Ça n’avait aucun bon sens, raconte Brunelle. Nous étions là-bas avec 16 enfants et nous avions fait 15 heures d’autobus pour y aller. Est-ce que ma conception de l’éthique est erronée? Ce sont des choses qui ne se font pas! Je m'étais présenté devant les gens de Hockey-Québec de bonne foi, je leur avais donné toute ma documentation. S’ils avaient dit On va tout faire pour vous empêcher de participer à ces tournois, nous aurions trouvé des solutions avant de partir!» Brunelle conteste la disqualification de son club. Branle-bas de combat à Chicago. Après avoir reçu des preuves que tous les joueurs étudiaient effectivement au SSJ, les organisateurs leur permettent de compléter le tournoi. Cachés derrière les rideaux, les dirigeants de Hockey-Québec écrivent un peu partout pour discréditer le programme du SSJ et l’empêcher d’exister. En plus de ces manœuvres, les parents des joueurs se font qualifier de «hors-la-loi» sur la place publique par le directeur général de Hockey-Québec. Ils sont ébranlés. À la lumière du document de Hockey Canada présenté plus haut, il est permis de se demander si M. Lalonde interprète la réglementation de façon juste. Il est ici question d’une équipe d’école secondaire qui est composée, rappelons-le, de joueurs de 14 ans. L’équipe du SSJ ne déroge pas à son plan. Elle continue néamoins de participer à d’autres tournois auxquels elle a été spécifiquement invitée à cause de sa renommée et de la qualité de ses joueurs. Et elle connaît beaucoup de succès. Quelques mois plus tard (en février), trois jours avant de partir pour Boston où se déroule un tournoi de grande envergure, Jean-François Brunelle reçoit un coup de fil du registraire de la compétition. USA Hockey, à la demande de Hockey Canada et de Hockey-Québec, vient de les bannir de la compétition. «Le monsieur m’a dit qu’il n’avait jamais rien vu de tel en 25 ans. Il ne comprenait pas comment une équipe représentant une école secondaire pouvait être considérée comme étant hors-la-loi. Ils étaient désolés. Ils nous ont remboursés en plus de faire des démarches auprès de notre hôtel pour nous éviter toute pénalité», raconte Brunelle. Au lieu d’aller à Boston, le SSJ est invité par Al MacInnis à aller faire une tournée dans la région de Saint Louis. En plus, grâce aux contacts de MacInnis, les jeunes Québécois ont aussi la chance de se rendre au Minnesota pour affronter Shattuck-Saint Mary’s, une école secondaire dont le programme de haut niveau est reconnu partout en Amérique. Ce programme a notamment accueilli Sidney Crosby, Jonathan Toews et Zach Parise. Ils ont quitté le Québec Ce projet-pilote innovateur devait en principe durer deux ans. Mais au terme de cette première campagne, écoeurés par les manœuvres de Hockey-Québec, la plupart des parents décident d'aller voir ailleurs. Ailleurs dans le sens de… très loin. Sept joueurs figurant parmi les plus beaux espoirs québécois de leur âge quittent donc le SSJ pour aller jouer en Saskatchewan… au collège Notre Dame ! Ils sont sur le point d’entamer leur saison là-bas. Cette histoire ne vous rappelle-t-elle pas celle de Sean Couturier? Ou ne vous rappelle-t-elle pas plutôt le cas de l’ex-hockeyeur Stéphane Matteau que Hockey-Québec a écarté à titre d’entraîneur parce que son fils avait décidé d’aller jouer aux États-Unis? «Ces gens ont connu le plus haut niveau de compétition en Amérique et ils ont profité au SSJ d’un encadrement sans pareil. Ils ne voulaient pas retourner dans un niveau inférieur, ils voulaient poursuivre l’aventure sans se faire harceler par leur fédération et sans se faire qualifier de «hors-la-loi». Ils sont donc partis en Saskatchewan, où la fédération supporte les programmes comme celui que nous avions», de déplorer Brunelle. Cette histoire résume parfaitement pourquoi, cette année, le SSJ figure parmi les membres fondateurs de la nouvelle Ligue de hockey préparatoire scolaire, qui opérera évidemment à l'extérieur des cadres de Hockey-Québec. Intransigeante, voire bornée, la fédération est maintenant aux prises avec une ligue crédible et structurée qui finira peut-être par lui ravir ses meilleurs éléments. «Dès que quelqu'un se présente à Hockey-Québec avec un projet qui ne cadre pas parfaitement avec la structure actuelle, il est rejeté. Les faits démontrent qu'il n'y a pas de souplesse de la part de la fédération, et ça fait en sorte qu'on assiste à une prolifération de programmes et de ligues qui évoluent à l'extérieur des cadres fédérés», déplore Gilles Courteau. «J'ai parlé avec les dirigeants de Hockey-Québec et j'ai tenté de leur expliquer que les gens qui sont derrière ces programmes sont de très bonnes personnes, de très bons hommes de hockey. Ce ne sont pas des jobbers venus de nulle part et qui ont décidé de lancer des programmes tout croches. Mes experts en hockey me disent que le programme du séminaire Saint-Joseph et du programme Ulysse de Terrebonne alignaient l'an passé plusieurs des meilleurs joueurs de 14 ans au Québec. «Il faut que la fédération pratique l'art du compromis avec ces gens qui montent des programmes intéressants et qu'on trouve un moyen de les inclure», estime le commissaire de la LHJMQ. Que peut-on ajouter, sinon que cette histoire et ces comportements totalitaires de Hockey-Québec sont une véritable honte? Après, on se demandera comment il se fait que le Québec est incapable de développer ses meilleurs joueurs !

La question ne se pose RC pas car il n'a jamais été invité à un camp Midget AAA. Admettons qu'il aurait été invité et qu'il aurait fait l'équipe, j'aurais fait comme tous les autres parents et j'aurais fermé ma gueule pour ne pas nuire à mon fils. Et quand tu dis `` Tu te fais fourrer une fois et tu aimes tellement cela que tu vas aller te faire fourrer une deuxième fois.`` Il y en a plusieurs qui reviennent de ta ligue. Ils doivent s'ennuyer de cela? Certainement pas avec les Conquistadors...si vous appliquez votre règlement. :D Blague à part. quand je dis cela c'est parce que des écoles qui offrent le Midget AAA, font miroiter aux parents le fait que leur enfant pourra jouer Midget AAA s'il s'améliore en jouant Juvenile AAA. Alors que s'il vont ailleurs on ne les prendra pas. T'appeles cela comment RC? Et le nouveau règlement de HQ tu appelles cela comment RC? Finalement, pour répondre à ta dernière question, on ne peut pas être constructif avec un regroupement qui a comme dirigeants un groupe qui penses plus à leur statut et à leur poche qu'au bien-être des enfants. Va voir leur nouveau programme de hockey d'été U-ce que vous voulez, et dis-moi qui on voit dans les trois premières pages du programme...des jeunes joueurs qui s'amusent en jouant au hockey l'été ou une bande de vieux schnocks inutiles fiers de montrer leur importance? Tous ensemble au service du joueur... :D :D :D

dakota, si on prends le temps de bien lire ce dont parle Foreur, on comprend qu'il parle de Hockey Québec et de leurs nouvelles positions sur le hockey scolaire et d'été. Il ne parle pas de choix de parents. Je crois que tu n'as pas bien saisi son propos. Ton gars joue Midget CC, il joue pour s'amuser, laisse-le faire, c'est parfait. S'il désire jouer avec ses chums de sport-étude et que tu as l'argent pour le payer, c'est très bien. Il est un manuel, il ne fera pas d'études supérieures, tant mieux pour lui, il deviendra plus riche, plus rapidement que bien des ''...ogues''. Comme tu le dis si bien:''j'ai fait du scolaire dans 2 sport il y a longtemps et c'était quand même bien , je crois que l'encadrement scolaire a plusieurs points positifs que l'on ne retrouve pas au civil !! '' Tu as raison à 100%. J'ai moi-même jouer au football universitaire canadien et je ne peux qu'être d'accord avec toi. Pour ce qui est de la pertinence de cette ligue juvénile AAA, je viens de parler avec M Denis Francoeur ( ancien coach Junior Majeur et LAH), et il pense la même chose que moi. HQ ''patche'' pour ne pas perdre sa clientèle. Il n'ont rien à foutre du développement des jeunes. Pour eux c'est clair: Bantam AA, Midget AAA et LHJMQ. Un point c'est tout. Money talks. Comme monsieur Francoeur me l'a si bien expliqué: d'ici quelques années la ligue LHPS de par son mode de fonctionnement va dépasser la structure de HQ. Lui-même sera entraîneur chef dans la LHPS au Collège St-Bernard de Drummondville cet automne. Quand on laisse prendre les décisions importantes par une ou deux personnes dirigeantes et une bande de gens dépassés, rien de bon ne peut en sortir. J'ai toujours dit que la révolution du hockey québécois passerait par une nouvelle structure dirigée majoritairement par les écoles privées. C'est ce que l'on est en train de vivre actuellement. Grand bien nous en fasse, HQ réagit dans le bon sens pour une fois, même si c'est trop peu, trop tard. Au moins ton gars, dakota, aura un programme qui le fera accroché à l'école pour la fin de son secondaire. Souhaite lui la meilleure des chances.

L'appartenance existe au Quebec, regarde tout les parents qui se promenent avec des blousons "AA". . Qu'ils achetent a travers leurs organi$ation$. :D :D :D :D :D :D :D est-ce de l'appartenance ou de la vantardise??? :D :D :D Pour ce qui est des maîtrises et des doctorats, je parlais d'écoles secondaires privées.... Maintenat une classe de 30 ou de 12 cela ne constitue pas un gage de succes, Toutes les études prouvent le contraire...

Est-ce qu'il n'y a que Philips Exeter,Philips Andover, St-Paul's, Lawrenceville, Groton, Deerfield, Hill ou Hotchkiss dans la vie? Cela dit, oui ton fils peut aller à Philips Exeter et jouer pour la IJHL. Si tu as 55,000.00$ par année pour ses frais de scolarité et que ton gars a une moyenne académique de plus de 95%, pas de problèmes. Tu pourrais même avoir une aide financière. Pour être un peu plus terre à terre, le jeune a terminé son secondaire 5 au Québec, il peut donc aller dans un junior college, prendre trois cours par session ( pour garder son égibilité NCAA), avoir d'EXCELLENTES notes et par la suite être accepté dans un College ou une University et jouer au hockey avec de l'aide financière ou une bourse. C'est ça le cheminement. Ce n'est pas un endroit, ni une option pour les parents qui n'ont pas les moyens de débourser au moins 10,000.00$ par année pour les études de leur fils. Ce qui revient au même que de jouer MIdget AAA et de payer une pension.

Nous n'avons pas besoin de Prep School au Quebec. La phobie de vouloir aller etudier au US est ridicule pas avec le genre d'univercites que nous avons a MTL et au Quebec. Micco, je suis d'accord avec toi sauf pour cette phrase. Oui on a d'excellente écoles au Québec. Mais ces écoles n'acceptent pas de sportifs qui arrivent du système scolaire au hockey. Ils ne prennet que des anciens de la LHJMQ. Il est là le problème. Pour les autres sports c'est vrai, un jeune peut performer dans son école et gravir les échelons jusqu'à l'université. Combien d'argent l'université lui donnera-t-elle? 0$ avec une barre. Le parent devra payer. Un jeune talentueux au hockey ou dans n'importe quel autre sport peut aller étudier aux USA logé et nourri pour moins de 10,000.00$ par année. J'en connais beaucoup qui ne paient que 5,000.00$. 7 à 12 étudiants par classe au secondaire tu trouves ça où au Québec? Des professeurs avec des doctorats qui enseignent au secondaire tu trouves ça où au Québec? Un encadrement strict et respectueux tu trouves ça où au Québec? (sauf quelques exceptions) Un sentiment d'appartenance à son école et de fierté, tu trouves ça où au Québec? En Mauricie on a une équipe de hockey qui est championne canadienne pratiquement d'année en année, Les Patriotes de l'UQTR. Ils jouent devant 80 à 100 personnes. Boston College joue devant 5,000 personnes à chaque matchs. Hotchkiss Varsity ( secondaire) joue devant plus de 300 personnes à chaque match. Voilà, elle est là la différence, et je ne te parle pas du standing académique et du bilinguisme...

Félicitation à ton gars Foreur!

donc pourquoi HOCKEY QUÉBEC garde t'il les ligues BB et AA , si cela nuit aux jeunes ??? pour moi c'est simplement , prendrent 18 jeunes dans le BB ou le CC ou le AA ou même le A pour les changés de placent me semble que , tu optent pour ce qui est INTELLIGENT et tu balance le reste par desus bord donc Hockey Québec favorisent , la BONNE nouvelle ligue et FAVORISE les mauvaises et anciennes ligue AA - BB - CC pour moi que la nouvelle ligue soit SUPER , c'est génial! qu'ils gardent les autres ça prouve simplement , qu'ils courent TOUS les lièvres à la fois, pour ne pas perdre de joueurs RIEN de PLUS donc , si je suis ton raisonnement HQ garde pleins de coachs INCOMPÉTENTS dans les catégories ATOMES- PEE-WEE - BANTAM et MIDGET double lettre, puisque les bons seront les profs d'éduc , qui pour la majoritées sont de loin meilleurs pour enseignés le basket - handball - Volley etc que le hockey anyway ... y a 4 ans , ce même Lalonde avait oser dire que le hockey dans les écoles c'était pas le but de HQ il avait également dit que passé le mois de mai, HQ ne ferait jamais de hockey l'été faut-être un peu ***** pour pas se rendre compte , que la seule chose qui compte , c'est leur STANDING $$$$$ , qu'il veulent pas perdrent pour la majoritée y se foutent totalement des jeunes dans leurs décisions des 2 dernières années le hockey d'été ,les a obligés de changer leur fusil de bord les ligues scolaire, les obligent à changer leur fusil d'épaule enlever les 2 : hockey d'été et nouvelle ligue scolaire = HQ aurait JAMAIS changer quoi que ce soit par contre , au moins ça les obligent à bouger leur *ding ding ding * c'est déjà ça d'acquis et dans 2 ans , ils vont tous faire pour obliger les écoles de la ligue Juvénile , a devenir responsable de leur ligue à 100% mais , avec une petite cotisation pour faire partie de HQ donc , aucun avenir hockey pour les jeunes sauf , avoir du hockey le matin cibole mes gars auraient adorés ça Il semble qu'il n'y ait que Foreur ici qui comprends vraiment ce qui se passe....

Ligue juvénile AAA Les pratiques se font sur les heures de cours. La majorité des programmes exigent que les jeunes soient en sport-étude hockey ( $$$$$$$$$$$$$$ ). Sport-étude hockey: 3 heures de cours par jour. Déjà là ça me suffit........My son's have been there and done that shit. Quand il a quitté le programme sport-étude pour aller à la LHPS il m'a dit: ''P'pa je suis un mois en retard sur tout le monde dans mes cours de SCIENCE et de MATH !'' Peut importe la ''bullshitt'' qu'on vous a servie, si ça vous intéresse de la manger c'est votre problème. Est-ce votre rêve ou celui de votre enfant? Les études sérieuses avant le sport. Pas de l'école-spectacle tabaslak!

HUM, attends d'entendre notre cher directeur général de HQ se vanter des mérites de notre système de développement. et Coutteau se vanter sur toutes les tribunes qu'on est vraiment bon. Combien de québécois repêchés déja??? En enlevant celui qui étudie à Choate Rosemary...

Président...président...ben non je te le dis...aucune implication de près ou de loin à part des connaissances qui sont impliquées dans la LHPS. Two scoops of raisin in Kellogg's Raisin Brand

Pourquoi on en a pas encore entendu parler? Quelqu'un est au courant? Il jouait dans la même équipe que Mackinnon avec le fils de Martin Brodeur, Anthony. http://hockey.s-sm.org/teams/2010-2011/ ... -u16-stats

Un peu comme St-Cyr...

Malheureusement pour toi président, je n'ai aucun lien avec la LHPS à part celui d'avoir eu un fils qui a joué dans cette ligue l'an passé et qui quitte le hockey québécois pour jouer prep aux USA l'an prochain ( hockey, lacrosse et fooball ). Mais, je vais t'avouer que j'ai assez de contacts un peu partout dans le monde pour savoir ce qui s'y passe.

Président, réponds à mes questions au lieu d'écrire des niaiseries. Votre ligue sérieuse, qui prends les études au sérieux, doit avoir ces statistiques

Et dire que tu te crois... :D :D :D

que de débuter dans une ligue comme la IJHL pour un 17 ans (comme exemple) pourrait s'avéré une très bonne porte d'entrée aux USA ( selon moi ) C'est en plein ça foreur, tu sembles être le seul ici qui a compris. Un jeune qui ne parle pas anglais, qui n'a pas les notes pour être accepté dans un prep, qui n'a pas les moyens financiers pour payer ses études prep, fait un excellent choix en allant jouer IJHL. Dire que les colleges où ils étudient sont ordinaires et faux, dire qu'ils sont placés dans des College et University de second ordre est aussi faux. Surtout quand on regarde la liste des placements 2010 de la EJHL: http://easternjunior.pointstreaksites.c ... s-1/2010-1

http://www.nestarshockey.com/#112556

Il y a une personne désignée dans la LHPS pour faire cela et ce n'est pas moi. En fait, contrairement à toi, je n'ai aucune relation avec cette ligue.