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mctru

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Messages posté(e)s par mctru


  1. Comment les gens deviennent bons en science, en musique ou en sport? Est-ce de l’inné ou de l’acquis?

     

    Ces questions ont soulevé pendant longtemps d’intenses débats en psychologie. Et contrairement à certains spécialistes qui insistent sur le rôle déterminant de la pratique et du travail, David  Z. Hambrick et Elizabeth J. Meinz, deux professeurs de psychologie, soutiennent dans un article du New York Times que le talent et l’intelligence ont un impact bien plus marquant sur nos actions.

     

    Les deux chercheurs rappellent qu’il y a moins de vingt ans, une étude pionnière dirigée par le psychologue K. Anders Ericsson de l’université de Floride a montré que bien jouer de la musique relevait surtout du nombre d’heures de pratique. Ainsi a-t-il remarqué avec ses collègues qu’à l’âge de 20 ans, les meilleurs étudiants du département de musique de l’université de Floride avaient accumulé pas moins de 10.000 heures de répétition, contre 8.000 pour les élèves jugés bons mais pas excellents et 5.000 heures pour les moins performants.

     

    Comme le soulignent David  Z. Hambrick et Elizabeth J. Meinz, ces résultats fondateurs ont été suivis par de nombreuses études «enthousiastes» allant dans le même sens: ce qui sépare les meilleurs des bons c’est l’acharnement au travail et la détermination. Malcolm Gladwell en tire d’ailleurs la même conclusion quand il résume l’importance des recherches d’Ericsson dans son livre Outliers:

     

    «La pratique, ce n’est pas ce que vous faites une fois que vous êtes bon, mais ce que vous faites pour devenir bon.»


  2. Un autre talent naturel

     

    C'est dans l'arrière-cour de sa maison de Brantford, dans l'Ontario, que Walter Gretzky, réparateur de téléphones, aménage une petite patinoire où il enseigne à son fils Wayne, comme ensuite à ses frères, les rudiments du patinage et les fondamentaux du hockey sur glace, ce sport qu'il fait découvrir chaque samedi aux gamins en allumant la télévision pour le match des Toronto Maple Leafs. C'est dans ces exercices d'apprentissage, assez similaires en fin de compte à ceux qu'ont mis au point de leur côté, au-delà du rideau de fer, les entraîneurs soviétiques, que Wayne développe très jeune sa technique. Il apprend d'abord seul à maîtriser parfaitement le palet.

     

     

    Mais pour jouer dans le club local et non plus sur la rivière gelée du coin, il faut attendre qu'il ait dix ans. Il se présente à cinq ans et essuie un refus. Il s'entraîne toute l'année et revient à la charge un an plus tard, et le club finit par céder. Face à des joueurs de quatre ans ses aînés, le garçon n'a pas la partie facile, mais dès qu'il a une crosse en main, toute peur disparaît. Ce sera toutefois la seule fois de sa carrière où il sera dominé par les autres. S'il doit attendre le dernier match de la saison pour marquer un but, il a sa volonté pour lui. Au dîner de fin de saison, le petit Wayne pleure parce presque tout le monde a droit à un trophée, sauf lui. Son père lui répond qu'un jour, il en aura tellement qu'il n'aura plus de place pour les mettre. Il ne croit pas si bien dire...

     

    Pourtant, le petit Gretzky n'a en aucun cas été un hockeyeur prédestiné. Le terrain de jeu de l'arrière-cour servait surtout à ses parents à pouvoir surveiller les enfants depuis la cuisine, et le petit Wayne ne s'est pas voué qu'à une seule passion. Enfant, il ne rêve pas d'une carrière dans le hockey, mais plus dans le baseball, auquel il n'arrêtera de jouer qu'en passant professionnel. Il joue également au lacrosse, sport typiquement canadien et assez brutal, et c'est là qu'il apprend à protéger son corps des charges les plus violentes.


  3. Jagr...

    De la façon dont il s’entraine et dont il se comporte lors des pratiques, il n’a vraiment pas l’air d’un joueur de 40 ans », explique le pilote des Flyers, Peter Laviolette. « Juste par son attitude… L’âge n’est qu’un chiffre. Il ne s’entraîne pas comme un gars de cet âge.  Il ne demande pas de journée de congé sous prétexte qu’il a 40 ans, je dirais même que c’est l’inverse. Il a une influence positive inestimable pour nos jeunes joueurs. Il les influence à rester après les entraînements et à faire de l’extra sur la glace.

    Un talent naturel...


  4. Quand on va le voir sur la glace on va dire...''hey ce gars là il a le sens du hockey''...yeah right...Il n'a pas le sens du hockey, ça n'existe pas. Il a le sens d'une seule chose, il a le sens de vouloir être le meilleur.


  5. Que veux-tu pat29 on a ce qu'on mérite.

     

    C'est comme notre système de santé.

    Un système pour les riches et un système pour les pauvres.

    Lequel préfères-tu?

     

    Quand on voudra avoir un système de développement des joueurs de hockey efficace et performant, il faudra y mettre le prix.

    Mais comme on est une petit peuple qui compte toujours sur les autres pour régler ses problèmes, et qui ne veut jamais payer, ce n'est pas demain la veille.

    ( Demande à Carey combien ça coûte une saison AAA en Ontario et aux USA )

     

    Pour ce qui est de la violence, les seuls moments où j'ai entendu des commentaires dans les gradins lors de la coupe Dodge, c'est lors des appels ou des non-appels des arbitres.

    Peu importe que ça soit mérité ou non, ils sont responsables de la majorité de la violenve dans les arénas. Les statistiques sont là pour le prouver, ce sont eux qui en sont les principales victimes.

     

    Est-ce de leur faute? Non!

    C'est de la faute des responsables des associations et de la fédération qui les laisse arbitrer sans les former convenablement et surtout sans les SUPERVISER convenablement.


  6. En effet Éric25, un beau spectacle des perdants. L'équipe devrait être éliminée du tournoi, mais on a pas de couilles à HQ.

     

    Avant le match de 18hre, tous les intervenants ont lu le petit message sur la violence à tour de rôle dans un système de son où l'on entendait rien. Pathétique...

     

    Pour revenir à la violence dans le arénas et HQ, la bataille sur la glace au peewee AA devait encore être de la faute des parents...


  7. Je viens d'ecouter l'emission...clisse que Lalonde et sa clique, je ne suis plus capable. Le parent est responsable de tous les malheurs!

    Nous on va lui montrer a vivre.

    Bizarre, durant toute la journee du tournoi, je n'ai assiste a aucune violence...

    On mets tous les maux sur le dos des parents, de cette facon on peut continuer a etre incompetent sans se faire achaler

    Lalonde est plus un politicien qu'un homme d'action...tout pour garder sa job!


  8. Sur ce...MCTRU vous quitte pour le weekend.

    Je vous souhaite à tous la meilleure des Coupe Dodge...et que les meilleurs l'emportent!

     

    Winning is not everything...it's the only thing!

    ( Vince Lombardi )


  9. Après avoir identifié un bassin potentiel, tu complètes l'équipe mais tu gardes une porte ouverte pour apporter des légères modifications si ya des aberrations. Genre pe demander aux parents/joueurs qui se sentent flouer de soumettre leur dossier pour réviser. Et donner même l'opportunité aux coachs de soumettre un dossier pour 2e révision par le comité de pre-screening.

     

    Et quoi encore, un comité pour reviser la seconde revision?

     

    On fait des tests, on les note.

    On fait une moyenne des résultats.

    On a un score pour chaque joueur.

     

    On les regarde jouer, on les note.

    On fait une moyenne des résultats.

    On a un score pour chaque joueur.

     

    On fait une moyenne des deux résultats.

    On fait un choix en se basant sur ce qu'on a observé et comptabilisé.

    Final!


  10. Comparons avec le football américain, mon fils est justement en train d'appliquer dans différentes universités. Je suis très au courant du processus de sélection.

     

    Premièrement, on contacte et on inscrit notre enfant dans une banque de donnée de l'équipe de l'université.

     

    Deuxièmement, envoie un HIGHLIGHTS de ses matchs avec ses résultats de COMBINE ( ce sont des testings précis ).

     

    Troisièmement...on attend.

     

    Les entraîneurs ont des critères très stricts.

     

    1- grandeur et poids

    2- vitesse

    3- agilité

    4- un contre un

    5- vision du jeu

     

    Un joueur qui applique actuellement pour jouer dans l'élite, c'est à dire en Division I, doit en premier satisfaire les critères de grandeur et de poids de sa position.

    Un quart-arrière de 6'00'' est immédiatement rejeté.

    Il en est de même d'un linebacker de moins de 6'2''.

     

    Là où je veux en venir c'est ceci:

     

    Au hockey on se base sur quelles données mesurables et comparables pour choisir la composition d'une équipe?

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