nickel

La LHPS est le genre d'offre complémentaire qu'il faut développer au QC pour ajouter de la profondeur au hockey des 15-18 ans. Ne pas perdre les bon joueurs qui mettent les études en premier. Leur offrir un bon cadre de développement. Il y aurait plus de joueurs pour alimenter les réseaux universitaire et semi-pro. HQ devrait tirer la leçon de son erreur d'avoir misé sur le seul circuit LHJMQ pour développer une élite et encourager ce réseau au lieu de chercher à le concurrencer.

C'est là que j'ai cherché, mais sans succès.

Toutes les régions qui adoptent le texte de hockey richelieu font référence à deux jugements que je n'arrive pas à retrouver. (1) Commission des droits de la personne (Turbide)c.Fédération québécoise de Hockey sur Glace Inc (1987) C.S. 1076 (2) Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (Paquin) c. Hockey Mauricie Inc. (2000) N/réf : QUÉ-4328 Est-ce que quelqu'un sait où on peut trouver ces jugements ?

Avez-vous des nouvelles des cliniques contact qui devaient avoir lieu au peewee/bantam AA ? Pour le U, après une saison test, dans certaines régions, avec des activités en plus de celles de leurs équipes d'origine causant pas mal de problèmes (surcharge, conflits), il semblerait que HQ passe à la vitesse supérieure: pratiques distinctes obligatoires, regroupement lors d'une fin de semaine.... Le début d'un programme sérieux ?

Je suis d'accord qu'il y a un vide entre les niveaux élite (AA, MAAA, Junior) où la priorité est le sport et le scolaire où c'est les études. En plus les kids doivent choisir leur voie à un âge beaucoup trop jeune à mon avis (ni diplôme, ni carrière). Deux structures indépendantes, je n'y croie pas tant que le développement des joueurs au Québec reposera exclusivement sur des organisations de bénévoles farouchement attachées à leurs privilèges (bassin, bannières, infrastructures). Tout changement est vécu comme un traumatisme (suppression des lates, classification, regroupement de villes) et les résistances sont énormes. Très difficile pour HQ de "mettre ses culottes". Le résultat est un développement peu homogène: élite clairsemée et sans aucune profondeur. Impossible d'alimenter deux structures. C'est très différent de ce qui se fait dans le reste du Canada et USA où les clubs privés/scolaires (AAA, academies, preps) jouent un rôle important dans le développement des joueurs à chaque niveau avec les encouragements de Hockey Canada (http://www.hockeycanada.ca/index.php/ci_id/63102/la_id/2.htm). Le résultat est un bassin plus grand et plus homogène: chacun peut jouer à son niveau. J'aimerais bien voir un tel circuit intérmédiaire se mettre en place au Québec, avec plus de développement et moins de joutes - scolaire ou pas - où l'on conserverait longtemps la possibilité de rejoindre des filières pro ou universitaires qui seraient là nettement séparées. Je crois que HQ est sensible à ce problème comme le montrent la mise en place des structures intégrées, ou les thèmes du sommet du hockey québecois 2011: Sujet #1 Développement à long terme du joueur de hockey Sujet #2 Développement du joueur à travers les programmes d'excellence Sujet #4 Recrutement et rétention des joueurs Mais la priorité est de retirer le développement des mains des associations.

Dans mon expérience, parce que l'offre ne correspond plus à la demande. Rendu bantam, certains réalisent qu'ils n'ont pas d'avenir dans le hockey compétitif tel qu'il est organisé au Québec. Tous ne sont pas équipés physiquement et/ou mentalement pour survivre dans un environnement toxique où l'accent est mis sur la performance immédiate avec l'objectif de jouer pro. Lorsque tu n'es pas sélectionné au hockey deux lettres ou que tu n'en peux plus des exigences imposées, tu réalises l'absence de ressources au simple lettre et les autres activités (sports, école) deviennent beaucoup plus attrayantes. Et à cet âge, un jeune sait dire non.

L'âge chronologique n'est pas suffisant pour déterminer si l'entrainement est adapté. À 13 ans, certains jeunes ont des corps d'enfants et d'autres sont plus mûrs. Il faut aussi une certaine maturité intellectuelle pour suivre les consignes et ne pas se comparer aux autres. Tout entrainement, pas seulement plyo/muscu, devrait commencer par une évaluation sérieuse faite par un spécialiste pour savoir ce qui est possible, ce qu'il faut travailler et dans quel ordre. Les séances doivent se dérouler sous la supervision d'une personne compétente. Correctement fait, le renforcement musculaire avec des charges adaptées est bénéfique et donne une meilleure protection contre les chocs (fracture, dislocation). Le problème c'est d'en faire trop (usure) ou mal (blessure). Pour progresser, il faut aussi recharger ses batteries et même régresser. Un coach compétent le sait et l'intègre dans son plan. Donc lorsque vous apprenez qu'un jeune s'entraîne, au lieu de lancer des 'Ouh là là, c'est pas bien, jamais avant xx ans', demandez s'il est suivi par un professionnel et laissez faire, deux enfants peuvent être aussi différents l'un de l'autre que deux adultes. Inutile de niveler par le bas. Souvent, ce sont les parents qui surchargent l'enfant d'activités et veulent qu'il performe tout le temps. Au parent qui se plaint que le programme d'entrainement de son jeune n'est pas assez fort je lui dis d'essayer de le faire avec son kid. Ça calme rapidement...

La situation est : Tu es scolarisé à Jean-Eudes, tu essaies pour l'équipe de l'école, tu es choisi et tu te retires. Ce n'est pas exactement la même chose que tu hésites entre LHPS et HQ, tu fais le camps "pour voir" et Jean-Eudes fait pression. Les joueurs de Jean-Eudes sont pris dans leur bassin d'élèves. Est-ce que HQ rembourse aux joueurs non sélectionnés dans ses équipes "sport-études" les frais des tests, précamps, camps et changement d'école ? Est-ce que les associations remboursent l'inscription aux joueurs qui "partent" avant le début de la saison ?

Je ne comprends pas l'acharnement de HQ à vouloir éliminer toute concurrence. En tant que fédération, elle devrait au contraire chercher à réunir et favoriser les offres scolaire, civiles et autres. Comme le dit Foreurs, la pauvreté des choix qui s'offrent à 15-16 ans, au monent ou le hockey devient vraiment sérieux, fait peur. Ici, l'alternative études ou hockey LHJMQ ne fait que sacrifier des bons étudiants ou des bon joueurs. Au Minnesota, les association mineures sont encouragées à organiser des fin de semaines de scrimmage entre équipes, hors ligue, sans trophés ni médailles (ou prix d'entrée) juste pour que les kids jouent. Les joueurs scolaires qui ne font pas l'équipe Varsity de leur école peuvent choisir de jouer Junior Varsity ou retourner dans le civil si le calibre est meilleur. Une année HQ à voulu "encadrer" les programmes concentration hockey du primaire, leur fournissant un logo, un kit de formation et moyennant une redevance assez salée. La majorité des écoles ont dit non. Leur livre de réglement fait aussi pleurer lorsqu'ils détaillent les montants qu'ils perçoivent pour une partie d'exhibition, un tournoi à l'extérieur, etc. Je ne doute pas qu'il y ait de bonnes volontés à HQ et les structures intégrées, les ligues collègiales et juvéniles ou l'introduction du contact en peewee sont des réalisations intéressantes, mais comme tout politique, entre ce qu'ils disent faire et ce qu'ils font, il y a parfois un monde.

Ce réglement est la version HQ du Progressive Checking Skill Development Program adopté en juin 2011 par Hockey USA. C'est un programme très complet qui encadre le contact (12 ans) et restreint la mise en échec (13-14 ans). Pas question d'intimidation, de finir son check, de toucher le cou ou la tête... s'il n'y a pas intention de jouer la rondelle, c'est illégal. En gros on apprend en peewee durant les pratiques et contact sur les bandes en game et on met en échec en bantam avec des restrictions. Gros effort aussi sur la formation des entraineurs et des arbitres ainsi que le suivi des effets du changement de réglementation. Toute l'information est disponible sur les sites de Minnesota Hockey et USA Hockey: http://www.minnesotahockey.org/news_art ... r_id=80470 http://www.usahockey.com/Template_Usaho ... &ID=299508 Il n'y a aucune photo des dirigeants et pas mal de videos du tournoi PW de Québec. L'absence d'information sur le site de HQ fait craindre le pire.

Avez-vous lu ce document disponible sur le site d'Hockey Québec ? Quels sont vos commentaires ? Pour moi, je le trouve très interessant, il y a un net effort de communication de la part de HQ ces dernières années. Voici quelques points que je relève: LHJMQ/MAAA : Même si le protocole d’entente avec la Ligue de hockey junior majeure du Québec (LHJMQ) a été renouvelé en cours d’exercice, un des sujets principaux qui a fait l’objet de discussions continue d’animer nos échanges avec les dirigeants de ce circuit : la fédération revendique qu’il lui remette, annuellement, une somme globale récurrente en considération du travail qu’elle effectue pour le développement des joueurs, des entraîneurs et des officiels, travail qui sert particulièrement bien les fins de ce circuit dont les franchises sont exploitées sur une base commerciale. Le protocole a été reconduit sans modification importante si ce n’est une nouvelle clause portant sur une nouvelle compensation financière que doit verser la LHJMQ aux équipes midget AAA lorsqu’un joueur affilié est rappelé par son club majeur avant la période des fêtes. Cette situation, on le comprend, cause des aléas à l’équipe ainsi dépouillée en pleine saison. … l’arrivée de la ligue collégiale masculine se répercute sur les joueurs de catégorie midget AA qui auront dorénavant officiellement droit à une double affiliation, soit auprès de cette ligue et des circuits midget AAA et junior AAA. Ligue juvénile : Bien que cette nouvelle ligue provinciale vienne heurter la vitalité de quelques équipes régionales de notre réseau traditionnel, sa création se justifie par un ensemble de préoccupations favorables : un accroissement du nombre d’adeptes du hockey, la possibilité de maximiser les installations sportives durant les journées de semaine et la pression sociale prévalant pour que les études priment toute chose. Hockey Féminin : ... nous considérons que les Jeux du Québec pourraient être une vitrine encore plus pertinente pour les meilleures joueuses du Québec. Nous constatons qu’il y a encore des lacunes dans le travail des régions pour s’assurer que ce sont bien les joueuses les plus talentueuses qui représentent les territoires délimités par Sports-Québec. De même, il a été encore difficile de recruter en région des entraîneurs disposant de la certification adéquate pour diriger ces équipes de sélections. Affiliation 2010-2011 : 258 équipes féminines, 6969 équipes masculines Contact : le groupe de travail a établi le concept d’un nouveau programme d’éducation et d’enseignement de la mise en échec autour de onze (11) situations de jeu. Celles-ci comporteront les enseignements pour illustrer non seulement la manière efficace d’appliquer et de recevoir une mise en échec, mais aussi les gestes à poser pour que la technique demeure sécuritaire. Le groupe de travail ne cache pas qu’il s’est largement inspiré de la méthode d’apprentissage mis au point par Hockey USA et présenté au congrès 2010 de l’IIHF. … Le programme se décortiquera en trois étapes : 1. Une conférence de 60 à 75 minutes s’adressant tant aux parents qu’aux entraîneurs et aux joueurs qui traitera des apprentissages de la mise en échec, de la sécurité de son application et de l’éthique sportive. 2. Un entraînement en gymnase pour les joueurs d’une durée de 90 minutes. Chaque joueur, endossant l’ensemble de son équipement à l’exception des patins, sera soumis à 20 exercices représentant les 11 situations de jeu distinctes identifiées par le programme. 3. Deux sessions de 80 minutes sur la glace pour appliquer les exercices pratiqués en gymnase. Tous les joueurs se hissant pour la première fois dans la division bantam en 2011-2012 et candidats à un poste d'une équipe de classe double lettre devront obligatoirement être soumis à l'intégralité de ce programme lors de leur camp d'entraînement, avant même de jouer un premier match hors-concours. L'intégration du contact physique à la division pee-wee bénéficiera également d’un nouveau support didactique, alliant là aussi des éléments visuels. On insistera sur les différences entre le contact physique et la mise en échec en insistant sur les limites de la première technique. Ce programe d’enseignement est naturellement moins laboré que celui sur la mise en échec. Sa mise en place permettra cependant une meilleure préparation de ces joueurs en vue de leur transition ultérieure vers la division bantam où ils devront alors appliquer la technique de la mise en échec. Tous les hockeyeurs pee-wee verront eux aussi ces enseignements dès le début de la prochaine saison. Entraîneurs/officiels : Les sessions techniques à la carte (communément appelées cliniques pécialisées) ont rassemblé de nouveau un nombre impressionnant de participants. La fédération a répondu à 35 demandes distinctes de la part des associations et bien souvent, ce sont d’anciens hockeyeurs professionnels qu’elle a engagés pour se rendre animer en région ces ateliers sur glace et hors glace d’une durée de trois heures. L’une d’entre elles s’est déroulée à Blanc-Sablon, sur la Basse-Côte-Nord. Hockey Québec constate cependant que peu d’associations de hockey mineur se prévalent de ce service gratuit. Toutefois, les organisations qui l’expérimentent en redemandent à profusion tellement elles en apprécient la valeur. Autour de plus d’une demi-douzaine de thématiques – du patinage au système de défensive –, ces sessions répondent pourtant à des besoins criants. … Quant au programme d’aide financière à la supervision, encore une fois une douzaine de régions s’y sont inscrites, mais une partie d’entre elles seulement complètent leur démarche et obtiennent ainsi les subsides dégagés pour cette activité que la fédération cherche à systématiser auprès des officiels recrues. Antécédents judiciaires : Les administrateurs de Hockey Québec ont déterminé en cours d’année que toutes ses associations membres devront dorénavant valider annuellement la probité de leurs bénévoles et de leur personnel. Calendrier de saison : Dans la division atome, on aurait voulu devancer de quinze (15) jours la possibilité de programmer des matchs du calendrier régulier pour rendre ce type d’activités loisible dès le 15 octobre. La direction technique de la fédération a signalé qu’un tel raccourci pourrait nuire au développement des joueurs et a rappelé que Hockey Canada suggère également que le 1er novembre soit fixé comme date des premières compétitions officielles de la saison. Néanmoins, Hockey Québec a reconnu que les parties simulées et les entraînements orchestrés avant la date des premiers matchs pouvaient cependant tenir compte des acquis et des progressions relevées durant les deux premiers mois du calendrier d’activités.

Je suis très surpris que personne n'ait relevé le changement de réglementation suivant: 4. Contact à la tête Hockey Canada entérinait récemment, suite à sa propre AGA, une modification à sa règlementation sur les mises en échec à la tête. Soulignons que Hockey Québec avait déjà passé de la parole aux actes dans ce dossier suite à la modification de la sévérité de ses sanctions face aux coups à la tête et aux mises en échec par derrière déjà en place depuis 2008. La nouvelle mesure mise en place par l’entité nationale en est une de tolérance zéro pour tous les contacts ou coups à la tête dans le hockey mineur, féminin, junior et senior : au hockey mineur et féminin, une pénalité mineure doit être décernée pour tout contact à la tête accidentel, une pénalité double mineure ou une pénalité majeure et une inconduite de partie à la discrétion de l’arbitre selon le degré de violence de l’impact doivent être imposées pour tout contact intentionnel à la tête; dans le junior (A, B, C, D) et le hockey senior, une pénalité mineure et une inconduite de partie ou une pénalité majeure et une inconduite de partie doivent être décernées pour tout coup à la tête, à la discrétion de l’arbitre; une pénalité majeure et une inconduite de partie, ou une punition de match, doivent être imposées à tout joueur qui blesse un adversaire par un coup à la tête.

La région Laurentides-Lanaudière au AA (PW/BT/MG) en 2010 a procédé à des tests hors glace assez complets (flexibilité, puissance, agilité, vitesse et endurance). Les résultats affichés anonymement (numéros attribués) permettaient à chacun de se situer dans l'ensemble des joueurs, de voir ses points forts et à travailler, mais aussi de juger la hauteur de la marche suivante. Parfait pour suivre l'évolution d'un joueur et la qualité du développement offert. Vraiment une excellente initiative.

En fait non, il n'y a effectivement rien de clair... autant de versions différentes que d'intervenants et tout pour laisser libre cours aux interprétations les plus farfelues.

Extrait du rapport annuel HQ 2009 p.36 http://www.hockey.qc.ca/servlet/downloaddoc/?doc_file_id=335: Commission du hockey féminin Autrement, le comité restreint qui s’est penché sur la réglementation a convenu d’adopter un nouveau texte régissant la participation des jeunes filles auprès du réseau de hockey mineur. C’est ainsi qu’à l’avenir, la fédération ne pourra plus contraindre une hockeyeuse, peu importe son âge et ses habiletés, à jouer pour une équipe féminine. On se souvient qu’en 2004-2005, notre organisme avait adopté une réglementation qui forçait les hockeyeuses de divisions bantam, midget et junior à revêtir l’uniforme d’une équipe féminine à moins qu’elles aient réussi à intégrer les rangs d’une équipe masculine double lettre. La mesure - qui visait avant tout à solidifier le réseau féminin en favorisant une émulation des joueuses en raison de la présence de coéquipières plus douées - avait généré, sur le coup, un certain lot de protestations qui s’étaient progressivement éteintes. Toutefois, des régions avaient simultanément adopté une réglementation encore plus contraignante, obligeant quelquefois toutes leurs plus jeunes hockeyeuses à se rallier au réseau féminin. C’est ainsi qu’une plainte avait été portée ultérieurement à l’attention du Tribunal des droits de la personne. Consécutivement, la Commission des droits de la personne nous avait demandé d’apporter des mesures correctives à notre réglementation. Comme nous ne voulions pas y donner suite, nous avons évalué la situation et l’étendue juridique du débat qui se préparait : nous avons préféré modifié totalement notre réglementation. C'est clair, non ?

La joueuse notifie sa présence au camp de sélection, elle ne demande pas une dérogation. Ce réglement ne sert que pour le décompte des joueurs par la région et le calcul du nombre d'équipes à former. Mais ici le point n'est pas l'accès des filles au hockey simple lettre masculin. Au récréatif, il n'y a jamais eu de problème à séparer joueurs et joueuses, d'autant que le hockey féminin local est bien implanté. Cependant, pour les joueuses qui recherchent développement et compétition, l'alternative AA Féminin ou AA/BB/CC Mixte (rappel: le hockey double lettre est MIXTE, pas masculin) n'en est pas une: plus de transport (la LHFAADQ http://www.publicationsports.com/group_view.php?group=7469 partage le Québec en deux sections dès peewee), moins de ressources parce que les glaces sont allouées par les associations APRÈS celles des garçons et certaines se font tirer l'oreille, moindre qualité d'entraineurs (souvent les papas) et calibre similaire au BB/CC. Les filles élites ne veulent pas jouer avec les gars, elles veulent profiter de la structure de développement qui existe aujourd'hui pas dans 3 ans. Avant de faire des comparaisons avec les autres sports et/ou du sexisme, donnez les mêmes conditions aux filles qu'aux garçons et vous aller voir où elles iront (cf NCAA DI 50% filles, 50% gars). Les termes exacts du règlement de HR sont toute joueuse de la région Richelieu éligible à évoluer dans les divisions pee-wee, bantam, midget et junior qui ne peut se tailler une place avec une équipe masculine de compétition "AA" seulement, devra se rapporter à l'organisation locale de hockey féminine de son territoire d'appartenance. Il s'agit donc d'empêcher les (10, 15 ?) filles de calibre BB/CC de se présenter à ces camps de sélection. Faire un réglement pour barrer l'accès au camp de sélection à une minorité de joueurs en fonction de leur sexe, de la position jouée (gardienne OK, pouquoi pas ailier gauche OK?) ou encore de la provenance (LHPS, Ontario), c'est faire de la discrimination, pas du développement. Lors de l'introduction de la classe CC, HQ a fait un règlement similaire (pas de CC pour les filles). Une plainte au CDPDJ et les filles ont eu TOUTES les équipes accessibles. Le code d'éthique de HQ stipule (extraits): Code d'éthique de l'administrateur Le pouvoir décisionnel est entre les mains des administrateurs. Ils ont la responsabilité ultime de la qualité du hockey amateur pratiqué au Québec. L'administrateur local, régional ou provincial est la personne clé qui doit garantir que le déroulement du jeu rejoigne les valeurs de l'esprit sportif et s'assurer que le hockey amateur poursuive des fins éducatives et sociales. Pour bien remplir son rôle, l'administrateur doit: A. Reconnaître le joueur comme la personne à privilégier qui motivera toutes ses décisions et ses actions. B. S'assurer qu'une chance égale de participer aux activités de Hockey Québec soit offerte à tous les hockeyeurs, indépendamment de l'âge, du sexe ou du niveau d'habilité. Code d'éthique des parents L. Éviter la discrimination familiale à l'endroit des filles. On en est loin.

Kuper Academy ne satisfait pas au critère résidentiel et ne coûte "que" 11,000. Certaines organisations (dirigeants ?) ont le cran de ne pas appliquer les directives lorsqu'elles ne font que pénaliser les joueurs. Un extrait du rapport d'activité du TGV Pentagone (Hockey Bas St-Laurent) http://www.hockeybsl.com/tgv_pentagone_2010.pdf: