normand lalonde

Je me demande ce qu'il y a de mieux pour introduire fiston au contact: un bon camp d'été ou le AAA. Fiston joue pw BB à Montréal. (2e année). Bantam l'an prochain. Norm

Bonjour, quelles sont les qualités d'un excellent aréna? Quel serait votre aréna idéal? On demande peu l'avis des utilisateurs, lorsque venu le temps de rénover ou de construire les équipements. Les contraintes physiques et économiques limitent souvent leur conception. Parfois, on est déçu du résultat. Ex.: Belle déco, mais chambres microscopiques... nouveaux sièges, mais air frigorifique pour les spectateurs... beau panneau indicateur, mais mal placé pour les coach derrière le banc... etc. Voici un exemple à surveiller. Un aréna connu sera bientôt rénové: celui de Père-Marquette (Rosemont-La Petite-Patrie). Avec une certification LEED, ça coûtera 9,1 M $. Le système de réfrigération au fréon sera remplacé par un autre à l'ammoniac (comme partout à Mtl d'ici 2020). Les travaux commenceront en mai prochain, pour se terminer en novembre 2011. L'aréna est situé dans un centre relié à l'école secondaire du même nom, où il y a de belles piscines neuves. Sauf que... les chambres seront-elles plus grandes? C'est à voir... Donc, répétons la question: «Qu'attendez-vous d'un nouvel amphithéâtre? À quoi ressemblerait votre aréna idéal???» À vous la parole...

Ah ben, justement... voici un article paru hier au sujet de l'aréna Père-Marquette dans Rosemont-La Petite-Patrie. http://www.journalderosemont.com/Actual ... arquette/1

L'aréna Père-Marquette dans Rosemont sera rénovée d'ici 2 ans. C'est retardé d'année en année. C'est presqu'une demi-glace. À chaque fois qu'on ré-allume le compresseur, faut monter les marches de l'Oratoire en priant que ça pètera pas définitivement. Une fois, les matchs ont été cancellés, car il pleuvait dans l'aréna. Et il y fait frette. La vingtaine de sièges pour les spectateurs sont situés derrière un but, d'un seul côté. Les autres spectateurs se tiennent debout sur une planche qui longe un mur de côté. Les chambres sont des cagibis. Il n'y a pas de pro-shop. Chez Rousseau à deux coins de rue, l'aiguisage vaut deux étoiles sur cinq. Au moins, le gril-cheese est bien taponné, quand la cantine est ouverte. Et il y a trois-quatre tables et chaises dans le hall. L'aréna est dans la même bâtisse que la super piscine. Mais les gyms sont vétustes. Tout est relié par un tunnel à l'école secondaire Père-Marquette, qui sera dans le futur, équipée (avec, n'oublions pas ses 2 terrains de foot synthétique extérieurs très populaires).

J'ai oublié d'ajouter http://instantrimshot.com/

Je suis vraiment curieux. Me semble qu'il s'agit d'une solution d'avenir, si le produit s'améliore et ressemble de plus en plus au «feeling» et à la résistance qu'une glace naturelle. Pourquoi: à cause de sa viabilité économique. Une glace coûte une fortune en énergie. Et c'est sacrément polluant!

Merci abq.

ROOKIE J'espère que c'est une joke, Rookie. De l'ironie? Sinon, ça ressemble à: «regroupons les b-s au Nunavut et gazons-les»! MCTRU Merci mctru de nous ramener à la base de la discussion, c-à-d les possibilités, les avantages et désavantages, soit les facettes d'une politique liant sport-études au bantam AA et les difficultés de sa mise en application concrète. Avec ce genre de forum, l'un des défauts est de glisser à un sujet ou d'oublier l'intention première. Faudrait relire les 7 pages pour voir d'où on est partis... ouf! La question des inégalités économiques a toutefois émergée. Suggestion: soulever cette question dans l'index. C'est pourquoi ma prochaine réponse à 123456 sera la dernière sur le sujet «BantamAA/études». Merci à tous, j'en ai pas mal appris. 123456 Oui, plus ça vieillit c't'affaire-là, plus ça coûte cher!!! On sait tous la légende d'untel, joueur moyennement talentueux, qui a eu le bonheur d'avoir un père ayant trouvé facilement un «commanditaire». Et des Maurice et Henri Richard, issus de la classe ouvrière... c'est fini. Si le hockey est toujours blanc, il est devenu monoclassiste. C'est pourquoi chaque décision a son influence là-dessus, doit être sous-pesée, non seulement en fonction de ceux qui pratiquent ce sport, mais également en fonction de ceux qui en sont exclus structurellement. Il est là, le futur du développement du hockey. Elle est là, la masse de joueurs potentiels.

Pour notre ami 123456: «Le hockey au Québec s'aligne comme les autres sports d'élites, utilisateurs-payeurs. Ton enfant a un certain talent et tu veux le supporter dans ses rêves...alors met ta main dans ta poche et $$$. Le Québec n'est pas la Russie du temps des communistes où l'état paye pour tout le monde. (Mes impôts doivent servir aux prioritées)». Ben voyons don'! Le concept d'utilisateur-payeur est un dérivé tordu de celui de «pollueur-payeur», tiré de l'idéologie néo-libérale, et met de l'avant la responsabilité individuelle VERSUS la responsabilité sociale. Or, il n'y a rien de moins équitable. Car cela nie qu'il y a des gens moins fortunés, qui ne jouissent pas des mêmes avantages économiques. C'est pourquoi les systèmes démocratiques accordent une certaine redistribution pour éviter l'exclusion des personnes d'un service (par exemple) pour motif d'inégalité économique. Et ceci n'a rien à voir avec une dictature stalinienne, où l'État contrôle tout. Au contraire. Pourquoi payer pour les garderies si t'as pas d'enfant qui la fréquente? Pourquoi payer pour des trottoirs si t'es toujours en bazou? Pourquoi payer pour les bancs de parcs aussi? Pourquoi payer l'éco-taxe sur l'essence dirigée vers le transport en commun, si t'as un gros 4x4? Parce que c'est un choix de société. L'individu fait sa grosse part et l'État pluraliste doit, en principe, combler les grands écarts. Mais la réalité est toute autre. Reste que 123456 a raison... cette idéologie a (malheureusement à mon sens) le haut du pavé et s'étend sous nos deux gouvernements, même dans le sport-loisir. Elle contamine nos conceptions sur le rôle de l'État, les droits individuels vs collectifs, etc. Ça va bien aux élitistes, ceux pour qui la compétition est le but, non le moyen... ceux qui calquent le hockey mineur sur les entreprises privées de la LNH... ben ceux-là vont me détester c'est sûr! hahaha ;-)

Juste les avertir, c'est comme supporter l'idée que si ça fait pas l'affaire d'un parent, il n'a qu'à descendre son gars dans le CC. En amont, il doit y avoir consultation. Les décisions doivent aussi être fondées sur des arguments solides, pas juste de l'idéologie et de la politique. L'enfer des embouteillages! J'imagine que c'est ça, le fameux courage et le dévouement, l'abnégation proverbiale des parents de hockey. Une chance qu'on est pas au Nunavut! Voici un autre point: Admettons que le classement final POC de l’an dernier est un portrait juste du calibre. Sur les six premières équipes, cinq sont de Richelieu. Le gros du lot se ressemble pas mal, tandis que sur les 5-6 équipes de queue, une seule est de Mtl. Vu que toutes les équipes ne se rencontrent pas nécessairement, en saison régulière… combien de fois les équipes de Mtl (à part Ahuntsic) ont rencontré les équipes rivales supérieures (les 3-4 tops) en saison? Une fois? Deux? Est-ce suffisant pour hausser significativement le niveau compétitif montréalais? Six équipes qui se rencontrent plus souvent, s’étudient, jouent de stratégie, ça améliore le jeu avec moins de souffrance$. Il aurait probablement été plus économique et efficace pour accroître la compétivité, de payer pour un tournoi à Richelieu, contre les clubs de Richelieu bien entendu, plutôt que de dépenser ce fric en pétrole pour une saison complète. J'attends encore l'explication...

Cher John_latou, ta réponse est déplorable. Ça ressemble à: «Si t'es pas d'accord avec le premier Ministre, déménage dans un autre pays». Méprisante intervention. Bouh! Mon gars va jouer BB où on lui dira de jouer, on aura une belle saison n'importe où, et ici c'est un site de DISCUSSION. Un «forum», en latin. C'est normal de sursauter en voyant sa facture bondir suite à une décision nébuleuse. Pour se faire une idée juste d'une question, mon John_latou, faut prendre en compte toutes les dimensions. Même les effets pervers, ce qui est moins positif. Pas éluder l'affaire en disant à l'autre de fermer sa trappe ou sacrer son camp. Ton intervention m'encourage du contraire. Revenons au fond. Certains ont argués améliorer ainsi la compétivité de Montréal. Qu'en est-il vraiment? Qui peut me démontrer que fiston a plus de chance d'améliorer son développement en jouant avec le BB Mtl/Richelieu, comparativement à ce qu'il serait si le BB restait à Mtl seulement? Il faut me convaincre. Et je suis très ouvert, contrairement à certains... Un défi, mon John_latou? En quoi HM a pris une excellente décision?

Neuf parties régulières* sur la Rive-Sud équivalent pour nous à 841 km (aller-retour). Ajoutons les matchs hors-concours et les séries. Ça équivaudra à 2 000 km (minimum) imposés aux parents. Et ceci ne tient pas compte des détours à cause de la construction (ex.: obligation de prendre l'autre pont, etc.). Cette saison, je vais additionner chaque km et calculer chaque cenne dépensée en pétrole et envoyer symboliquement mes factures aux 5 présidents d'associations qui ont voté pour ça. J'ai choisi de vivre à Montréal. Pas en banlieue. Et les parents de la Rive Sud, qu'en pensent-ils? *Chambly, Marieville, Delson, St-Jean, Boucherville, Varenne, St-Bruno, Sorel, St-Hyacinthe.

Je suis très perplexe. Il s'agit manifestement d'une discrimination fondée sur le portefeuille. Il est difficile d'accepter le principe d'exclusion sur la base de l'obligation d'être inscrit dans une école privée. J'aimerais bien avoir l'avis d'un avocat sur cette affaire. Être un parent d'un jeune au potentiel AA et choisi sous cette condition, je penserais fortement à faire lever une injonction contre cette décision discriminatoire. Il me semble qu'il y a ici contradiction avec la Charte. Entéka, l'école privée se vante d'offrir le libre choix. Or, c'est le contraire qui se passe.

Tiens, une autre affaire... Si fiston se verrait exclu du bantam de Mtl à cause que celui-ci est affilié à une école privée, je demanderais immédiatement une injonction. Il s'agirait manifestement d'une discrimination fondée sur le portefeuille, d'une véritable exclusion parce que mon jeune est inscrit dans une école publique. L'école privée se targue offrir le libre choix. Or, c'est le contraire qui se passe. Pour ce qui est du motif «compétition» pour que le BB de Mtl joue avec Richelieu, ça ne tient pas la route comme argument. Il y a tant de clubs Richelieu-Mtl réunis qui se valent... Ça n'apporte rien du point de vue compétitif. Il doit certainement y avoir une autre raison, mais il semble que personne ne doive des comptes. De plus, quelle sera alors la différence entre le AA (Mtl-Laval-Laurentides-Lanaudière) et le BB (Mtl-Richelieu). Le gap de talent et la qualité de l'apprentissage ne serait-il pas réduit à la fin? Chais pas. Me semble que le jeu ne vaut pas la chandelle. Anyway, mon gars fait le camp AA et quoi qu'il arrive, AA ou BB, va falloir voyager. On aime le hockey, on en mange, quitte à déguster nos bas. Alors, puisque l'opinion d'un parent comme moi ne vaut que peu de chose, on va prendre notre mal en patience (dans la congestion) au sud, comme au nord.

Fiston a joué il y a deux ans avec un BB montréalais dans la ligue Richelieu. Résultat: 35 arénas visitées, une sacrée facture $$$ de pétrole, et un stress pas croyable pour les parents. On dirait que la fibre compétitive vibre assez fort chez certains décideurs, jusqu'à leur en brûler les neurones. Est-ce eux qui devront se taper le trafic? Et parlant de facture... le rapport qualité/prix ne vaut pas la chandelle. Le p-w BB ne jouait qu'à Mtl l'an dernier et c'était ben correct. Il y en a pour qui le hockey est l'essence exclusive de la vie. Au point de prendre ses ambitions pour celles des jeunes et des autres parents.

Une autre question, cher arbitre-conseil, Une équipe peut-elle adjoindre un vidéo au rapport contre une contre une décision d'un arbitre? Tiens... en v'là une autre: Les arbitres peuvent-ils conseiller des modifications de règlement aux organisateurs d'un tournoi qui applique ses propres règlements? Ah pis, une autre encore: Un arbitre doit-il demander de baisser le volume du système de son quand celui-ci nuit au déroulement du match (exemple: quand l'arbitre a peine à s'entendre avec le marqueur officiel, ou les coach à crier leurs directives aux joueurs dans les périodes d'arrêt du jeu)? MARCI ! ... comme disait Gerry Boulet.

Bonjour l'arbitre-conseil, Existe-t-il ne directive au hockey mineur pour protéger les gardiens du dardage et assauts? Il me semble que les punitions pour rudesse, et l'accumulation de frustration qui produit plus de violence en fin de match viennent du fait que les arbitres sont permissifs et ne protègent pas les gardiens des coups (ex.: sur le gant qui gèle la rondelle) souvent difficiles à voir quand il y a un petit tas (attroupement) devant le filet. Merci

Oui, faut pas généraliser. Il faut distinguer ceux qui ont le chandail rayé blanc-noir-blanc-noir... et les autres en noir-blanc-noir-blanc... ;-) Bonnes Séries!

Pas vite-vite... dans quatre-cinq ans on fera les séries...

Hé, CFL... il arrive quand ton gros coup? Pause Olympique oblige? Entéka, George a certainement été hypnotisé par Mesmer pour passer au vert!

Excellente idée à suggérer aux arbitres! J'ai déjà été évaluateur («juge») des performances en compétition de corps de clairons et tambours. Chaque année, nous avions une rencontre avec les jeunes pour leur parler de notre rôle, démonter les préjugés, et échanger sur la passion pour l'activité. Ce genre de rencontre permettrait en même temps d'intéresser les jeunes au «métier» d'arbitre, eux qui ont tellement de mal à en recruter. Souvent, le premier commentaire qu'on entends après une défaite est: «Ouan, c'était pas sa meilleure!». Le rôle du coach est d'identifier les véritables raisons de la défaite ou de la victoire. Refuser la défaite, c'est bien, mais c'est fautif quand c'est pour de mauvaises raisons. «Les meilleures excuses font les meilleurs trous-du-....» est un dicton qu'on doit se rappeler, sinon, on n'apprends pas de ses erreurs. Même si des fois, l'arbitrage fait dur par moment. Aussi, il suffit d'une mauvaise décision pour faire oublier 10 d'excellentes. C'est comme pour les goalers: un mauvais but efface 45 arrêts miraculeux. Enfin, l'arbitre aussi se prépare pour une performance. C'est son «thrill». C'est sûrement pas la paie qui le tient en activité. Alors je me fais un devoir de leur souhaiter «bon match» lorsque je leur remet la feuille de match avant la rencontre. Une fois, j'ai mal jugé une performance et je m'en veux encore. J'avais mal au ventre après la compétition. J'imagine qu'en débriefing après le match, les arbitres se parlent et doivent se dire «Ouan, c'était pas notre meilleure!».

Je me demande s'il n'y a pas une étude sur le lien entre la baisse démographique et la pratique du hockey mineur, notamment en ce qui a trait à la spatialisation. En clair, voici: les clubs où il y a un gros bassin de joueurs sont plus forts. Le cas de Montréal est spécial. Les jeunes familles enclins à procréer s'en vont vivre en banlieue de Montréal et avec le vieillissement de la population, le bassin de jeunes sur l'île ne suffit pas à l'équilibre. Les couronnes ont connu un boom (Blainville, notamment). Comme le hockey est un sport de chars (vous en connaissez des familles qui vont à leurs matchs en transport en commun?), et que la banlieue est le royaume de la bagnole... Je pense qu'une des pistes pour la relance du hockey dépasse le hockey, mais concerne davantage le phénomène néfaste pour la société et l'environnement qu'est l'étalement urbain. Chais pas... :?:

Démographie, bassin de joueurs, conditions socio-économiques... il y a plusieurs facteurs qui se croisent et participent au problème. Disons qu'il y a plein d'hypothèses et de pistes de réflexion sur les raisons d'un (relatif) déclin de participation du hockey mineur, sur les raisons qui font qu'une association est plus dominante que d'autres, et que sans une véritable et sérieuse étude sur le sujet, notre sport national* est voué à se laisser tanguer par la force des choses plutôt que de s'enligner vers un cap prometteur. On travaille fort, avec beaucoup d'intention et d'invention, dans nos limites, à l'image d'une demi-glace. * Sport national? Je parle du Québec, bien entendu, même si son statut n'est peut-être pas défini comme tel par l'État québécois. C'est un autre sujet concomitent sur les manières de rehausser le hockey, comme la formation d'une équipe nationale, l'institutionnalisation dans les écoles le sport-études, etc.). Entéka, les Maurice Richard de ce monde, ça semble fini. Ouvrier, fils d'ouvrier devenu héros... On a maintenant une désillusion complète même chez les jeunes en ce qui a trait en leurs chances (moins de 1%) d'accéder à la LNH. Une source de motivation désespérée maintenant. Aujourd'hui, il faut que papa ait du fric pour payer sous table, une fois dans la haute sphère de l'élite midget et junior. (Là, j'arrête, car je vais déchaîner des passions ici et c'est un peu pas mal à côté du sujet). Ciao

Dans Rosemont, on pratique à demi-glace sur la petite glace de l'aréna Père-Marquette. Difficile de pratiquer le patin, les entrées de zone, etc. Pas grand chose à faire... sinon pratiquer les lancers... quelques exercices dans un espace restreint... les coach doivent s'adapter.

Il y a peut-être d'autres facteurs qui expliquent la difficulté de rivaliser au niveau provincial. À St-Jérôme, il manque de glace. Il était question que la Ville s'associe en PPP pour palier à la fermeture de l'aréna mineure notamment. Le projet a avorté. À Montréal, notre équipe est obligée de partager ses entraînement sur une demi-glace au Centre Père-Marquette, sur une glace déjà très petite. Sur une patinoire de dimension olympique en tournoi, la différence est trop marquée. On manque de patin. Pour ce qui est des conditions socio-économiques... bon point. Mais encore-là, il y a des liens à faire avec le bassin. Il doit y avoir des corrélations avec plusieurs facteurs. À Montréal, l'immigration est plus forte et cette population est tournée vers le soccer. Une forte proportion des jeunes est justement issue de l'immigration et a des conditions socio-économiques plus faibles. Il s'est d'ailleurs perdu énormément d'emplois à Montréal. Aussi en région, mais la différence, c'est qu'il s'est créé des emplois en région, très peu sinon pantoute à Montréal. Le hockey est un sport onéreux (inscription, équipement, gazoline...) et avoir un job, ça aide en ta. L'un dans l'autre, je saisis mal comment on peut se faire une tête de la situation sans une étude approfondie, ce qui est nécessaire pour trouver des solutions au hockey mineur.