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Président

Hockey Québec invite 20 entraineur de la finlande

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Développement

 

Apprendre de la Finlande.

 

Contrairement à la croyance populaire, le Canada n'est pas en tête du classement de la Fédération internationale de hockey.

 

 

 

Les représentants de l'unifolié occupent plutôt le cinquième rang, derrière la Russie, la Finlande, la République tchèque et la Suède.

 

Dans le but d'améliorer son programme, Hockey Québec a invité 20 membres de la délégation finlandaise pour des rencontres et des formations d'entraîneurs.

 

La plus grande différence entre les deux cultures se situe dans la sélection des joueurs d'élite. La Finlande permet beaucoup plus l'éclosion des joueurs au développement tardif.

 

Rencontré par la chaîne TVA Sports, le directeur des entraîneurs finlandais, Arto Sieppi, croit qu'il «faut se concentrer sur les joueurs qui prennent du temps avant d'atteindre leur plein potentiel».

 

«Un des exemples est Saku Koivu, qui ne faisait pas partie des meilleurs joueurs d'âge junior à l'époque», ajoute-t-il.

 

Moins de pression

 

Au Québec, l'âge crucial est fixé à 15 ans, mais en Finlande, la sélection des joueurs d'élite semble se faire beaucoup plus tard.

 

«C'est difficile de parler d'un âge précis, mais nous travaillons souvent avec des joueurs âgés de 20, 21 ou 22 ans», soutient Sieppi.

 

Tentant de s'inspirer d'une telle philosophie, les dirigeants de Hockey Québec doivent cependant se battre contre un système qui est en place depuis déjà longtemps.

 

«Au niveau junior majeur, le repêchage se fait à 15 ans, rappelle Yves Archambault, directeur technique à Hockey Québec. Tant que cela ne changera pas, cela mettra une pression sur les jeunes joueurs. Le repêchage de la LNH, lui, se fait à 18 ans. Il n'y a pas autant de pression en Finlande et ailleurs en Europe.»

 

D'un côté, Hockey Québec veut favoriser le développement des meilleurs athlètes. De l'autre, il veut servir de pépinière pour les équipes de la LNH. Voilà un choix difficile lorsque l'appât du gain est aussi élevé.

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Développement

 

Apprendre de la Finlande.

 

Contrairement à la croyance populaire, le Canada n'est pas en tête du classement de la Fédération internationale de hockey.

 

 

 

Les représentants de l'unifolié occupent plutôt le cinquième rang, derrière la Russie, la Finlande, la République tchèque et la Suède.

 

Dans le but d'améliorer son programme, Hockey Québec a invité 20 membres de la délégation finlandaise pour des rencontres et des formations d'entraîneurs.

 

La plus grande différence entre les deux cultures se situe dans la sélection des joueurs d'élite. La Finlande permet beaucoup plus l'éclosion des joueurs au développement tardif.

 

Rencontré par la chaîne TVA Sports, le directeur des entraîneurs finlandais, Arto Sieppi, croit qu'il «faut se concentrer sur les joueurs qui prennent du temps avant d'atteindre leur plein potentiel».

 

«Un des exemples est Saku Koivu, qui ne faisait pas partie des meilleurs joueurs d'âge junior à l'époque», ajoute-t-il.

 

Moins de pression

 

Au Québec, l'âge crucial est fixé à 15 ans, mais en Finlande, la sélection des joueurs d'élite semble se faire beaucoup plus tard.

 

«C'est difficile de parler d'un âge précis, mais nous travaillons souvent avec des joueurs âgés de 20, 21 ou 22 ans», soutient Sieppi.

 

Tentant de s'inspirer d'une telle philosophie, les dirigeants de Hockey Québec doivent cependant se battre contre un système qui est en place depuis déjà longtemps.

 

«Au niveau junior majeur, le repêchage se fait à 15 ans, rappelle Yves Archambault, directeur technique à Hockey Québec. Tant que cela ne changera pas, cela mettra une pression sur les jeunes joueurs. Le repêchage de la LNH, lui, se fait à 18 ans. Il n'y a pas autant de pression en Finlande et ailleurs en Europe.»

 

D'un côté, Hockey Québec veut favoriser le développement des meilleurs athlètes. De l'autre, il veut servir de pépinière pour les équipes de la LNH. Voilà un choix difficile lorsque l'appât du gain est aussi élevé.

Bonjour Président.

 

Beau texte après cette lecture va t on comprendre que la philosophie que se véhicule dans la LHPS va devenir la nouvelle philosophie de HQ.

 

Je vous félicite.

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Mon equipe, les Tigres du Lac St Louis (Midget Espoir) a eu le plaisir d'en avoir 3 de c coach sur la glace pendant 2 de nos pratique cette semaine.

 

Une experience tres bien apprecier par tout les membres de l'equipe.

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Développement

 

Apprendre de la Finlande.

 

Contrairement à la croyance populaire, le Canada n'est pas en tête du classement de la Fédération internationale de hockey.

 

 

 

Les représentants de l'unifolié occupent plutôt le cinquième rang, derrière la Russie, la Finlande, la République tchèque et la Suède.

 

Dans le but d'améliorer son programme, Hockey Québec a invité 20 membres de la délégation finlandaise pour des rencontres et des formations d'entraîneurs.

 

La plus grande différence entre les deux cultures se situe dans la sélection des joueurs d'élite. La Finlande permet beaucoup plus l'éclosion des joueurs au développement tardif.

 

Rencontré par la chaîne TVA Sports, le directeur des entraîneurs finlandais, Arto Sieppi, croit qu'il «faut se concentrer sur les joueurs qui prennent du temps avant d'atteindre leur plein potentiel».

 

«Un des exemples est Saku Koivu, qui ne faisait pas partie des meilleurs joueurs d'âge junior à l'époque», ajoute-t-il.

 

Moins de pression

 

Au Québec, l'âge crucial est fixé à 15 ans, mais en Finlande, la sélection des joueurs d'élite semble se faire beaucoup plus tard.

 

«C'est difficile de parler d'un âge précis, mais nous travaillons souvent avec des joueurs âgés de 20, 21 ou 22 ans», soutient Sieppi.

 

Tentant de s'inspirer d'une telle philosophie, les dirigeants de Hockey Québec doivent cependant se battre contre un système qui est en place depuis déjà longtemps.

 

«Au niveau junior majeur, le repêchage se fait à 15 ans, rappelle Yves Archambault, directeur technique à Hockey Québec. Tant que cela ne changera pas, cela mettra une pression sur les jeunes joueurs. Le repêchage de la LNH, lui, se fait à 18 ans. Il n'y a pas autant de pression en Finlande et ailleurs en Europe.»

 

D'un côté, Hockey Québec veut favoriser le développement des meilleurs athlètes. De l'autre, il veut servir de pépinière pour les équipes de la LNH. Voilà un choix difficile lorsque l'appât du gain est aussi élevé.

Bonjour Président.

 

Beau texte après cette lecture va t on comprendre que la philosophie que se véhicule dans la LHPS va devenir la nouvelle philosophie de HQ.

 

Le développement tardif ainsi que les études qui sont prioritaires.

 

Je vous félicite.

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