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rookie coach

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Tout ce qui a été posté par rookie coach

  1. meilleurs joueurs peewee CC

    Est ce que les jeunes que vous nommer ont déjà leur agent?
  2. série richelieu

    D'accord avec toi monsieur David. De plus je croyais que le hockey était un jeu d'équipe.
  3. J,ai écouté le reportage et je suis abasourdi par les propos des parents. Je mettrai les deux autres reportages en ligne. http://www.radio-canada.ca/sports/PlusS ... opo2.shtml Voici le texte du reportage. Le sport, c'est la santé, dit-on. Si les jeunes ne bougent pas assez, ceux qui vivent leur passion sportive le font de plus en plus sérieusement, de plus en plus professionnellement.Trop? Assez pour sonner l'alarme. Jeudi après-midi, Axel Côté, 12 ans, participe au Tournoi international pee-wee de Québec avec son équipe, les Conquérants des Basses-Laurentides. Le lendemain matin, c'est le branle-bas de combat : Axel change de sac de hockey, cette fois, c'est avec son programme scolaire de La Plaine qu'il joue, à 11 h. Puis, en début de soirée, un autre match, à l'aréna Saint-Michel, avec les Conquérants. En fait, Axel et trois autres de ses coéquipiers jouent pour deux équipes de hockey cette saison. L'horaire a de quoi essouffler ces jeunes sportifs. « Le lundi, je me lève à 4 h 30, je vais m'entraîner sur la glace. Après ça, je vais à l'école jusqu'à 14 h 30 », précise Daven Castonguay, un coéquipier. « Le soir, il a un entraînement à 18 h avec son autre équipe. Il fait des devoirs entre les deux », de préciser Sylvain, le père d'Axel. « Le mercredi, c'est la même chose, mais sans entraînement avec les Conquérants », ajoute Axel. « Deux entraînements par semaine ici, deux avec l'autre équipe, deux matchs par semaine avec l'autre équipe, plus les tournois », résume son père. « Le mardi, j'ai aussi un cours de cardiovélo », ajoute Daven. Les parents Tout ça au nom de la passion, une passion irrésistible pour les parents. « C'est un peu difficile de l'empêcher, pense Nancy Hogan, mère de joueur. On dit souvent : "C'est assez; il faut que tu prennes un petit temps de répit. " On l'inscrit moins à des programmes de développement. » « On aime beaucoup le hockey aussi, mentionne Kathy Boucher, mère de Daven. C'est sa passion, on est derrière lui. On va le suivre dans ce qu'il aime. » Et le hockey, ça se joue sérieusement pour Daven, cet adolescent de 12 ans qui a décidé de se rajouter une charge de travail dans l'intersaison. « Je vais avoir un entraîneur privé qui va m'entraîner tout l'été. Je vais peut-être jouer dans le AAA pour garder le rythme du hockey. » « Aujourd'hui, je vois beaucoup de jeunes qui font l'école à la maison alors qu'ils n'ont que 8 ans. À la maison à 8 ans, parce qu'ils ont trop d'entraînements. » faq // Mise à jour technique Pour Séverine Tamborero, entraîneuse nationale à Tennis Canada, les jeunes sportifs sont de plus en plus nombreux à vivre comme des professionnels, ou du moins à se prendre pour des professionnels. « On fait tout vite et tôt. En plus, on a le nutritionniste, le massothérapeute, le psychologue sportif. À 8 ans, quand tu fais du sport, tu le fais pourquoi? Parce que tu as du plaisir à le faire, parce que tu aimes compétitionner, parce que tu veux te dépasser. Tu n'es pas censé commencer à parler de ta gestion d'émotions. » Un phénomène qu'on voit pratiquement partout, rajoute celle qui compte plus de 20 ans d'expérience. Plus d'encadrement, de plus en plus jeune, ça veut dire plus d'attentes, et fort possiblement de mauvais choix autant de la part des jeunes, des entraîneurs que des parents. Parlez-en à la nutritionniste Mélanie Olivier. « Un parent d'un jeune qui fait du hockey récréatif m'a dit que quand son enfant est fatigué avant d'aller jouer, il lui donne une boisson énergisante, à 8 ans. J'étais bouche bée. Comme s'il n'y avait plus de différence entre les enfants et les adultes », lance-t-elle. Il lui arrive de recevoir des hockeyeurs d'à peine 14 ans qui veulent prendre 8 kg durant l'été ou des jeunes qui tiennent absolument à connaître leur taux de gras. « Les parents peuvent vouloir qu'on leur recommande des suppléments s'ils ont vu, par exemple, un joueur de hockey qui prend des suppléments. Donc, ils se demandent si ça seraitapproprié pour leur garçon. C'est un enfant, ce n'est pas un adulte. » Pourquoi? « De voir des enfants de 9 ans qui sont obligés de passer presque deux heures en physiothérapie pour rétablir un débalancement à l'épaule ou aux hanches, je trouve que c'est rentrer dans l'excès », pense Mme Tamborero. Tout ça au nom de la passion, disent-ils, mais la passion de qui? « Certains parents pensent à la LNH quand leur enfant n'a que 12 ans, mais je sais que ce n'est pas comme ça, estime Sylvain Côté. Ils sont trop jeunes pour savoir s'ils vont aller loin. » Cette pression parentale qui se conjugue de toutes les façons n'est pas nouvelle. Il reste que le sport est un jeu, qui se joue de plus en plus sérieusement pour ces jeunes, fatigués ou pas. « Parfois, je me sens fatigué, mais je passe par-dessus. Je recommence les autres matins, je continue », explique Daven. « On se fait dire souvent que c'est beaucoup, mais on dirait qu'une fois dedans, c'est correct », pense Kathy Boucher, sa mère. Sauf que vivre sa passion la pédale au fond, ça peut causer des dérapages et mener tout droit à la catastrophe. Séverine Tamborero sonne l'alarme. « On veut des résultats vite, on veut que les jeunes performent rapidement. Pour ça, on prend des moyens qui deviennent très coûteux et des fois ça coûte une carrière sportive, qui au lieu de s'échelonner sur 20, 25 ou 30 ans, s'arrête à 12 ans. » Des rêves brisés, des carrières stoppées, au nom de quoi? Autres sujets : •Mardi 18 h 29 : Les conséquences du surentraînement •Mercredi 18 h 29 : Trouver le juste... et délicat équilibre
  4. Étude sur les commotions en ontario

    Carey au lieu de dire que personnes ne prends ces études au sérieux je te suggère de sortir de ta bulle des 5%. Il y a pas mal plus de gens qui prennent ces études au sérieux que tu ne le pense. Deux, au football ils adoptent plein de règlements pour justement essayé d'enrayer ce fléau et dans un récent article du très sérieux magzine new yorker il y a mention de bannir le football. De toute façon au footbal il y a un recour collectif d'anciens joueurs de plusieurs centaines millions de dollards qui s'organise et tu verras encore beaucoup de changements au footbal. Au hockey le problème c'est justement ton 5% de dinausores qui gèrent le hockey. Mais heureusement cela est en train de changer.
  5. Ensemble de l'oeuvre Matt Cooke

    Tous les coups de Matt Cooke sur vidéo. Et il joue encore et encore http://www.russianmachineneverbreaks.co ... ooke-hits/
  6. Étude sur les commotions en ontario

    Et non Carey, tu ne comprends rien et cette études provient de l'ontario. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire quand il vont mettre le contact bantam partout au Canada. Moi je suis pour le contact à partir du bantam et aucun contact au centre de la patinoire. Seulement le long des bandes.
  7. midget CC JSH

    Très belle poussée de votre équipe.
  8. Hockey USA contact bantam prise 2

    Voici le lien du Hockey USA et la demande de changement du règlement concernant le conatct. Étude clinique Mayo et d'autres intervenants. De plus Bob Hartley sur les ondes de CKAC ce matin a mentionné être en accord avec ce changement après avoir discuté avec son ami qui est un des directeur de Hockey USA et Bob Hartley a offert aux animateurs une entrevue avec ce directeur la semaine prochaine. Comme quoi tout peut changer. Mais des fois cela prend du temps. http://www.usahockey.com/Template_Usaho ... &id=299512
  9. Bon visionnement http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/40 ... 65147.html
  10. Pétition du 98,5 fm

    Benoit Dutrizac et Jean Charles ont parti cette pétition et Dutrizac va aller la porter en main propre à Bettman à New York la semaine prochaine. http://www.ipetitions.com/petition/chara/
  11. Écrivez à bettman

    gbettman@nhl.com
  12. A voir, j'en ai la chair de poule!

    merci coachsteph
  13. Hockey USA contact bantam prise 2

    Carey tu sembles ne pas comprendre ou tu fais exprès de ne pas comprendre le résultat du contact sur le cerveau. Plus tu commence jeune à avoir des commotions plus jeunes tu développes des maladies dégénératrices. Ex; alzhameir, démence, dépression etc. Prends le temps de lire et de comprendre les études. Tu expliqueras à ton garçon quand il aura 40 ans.. non tu ne pourras pas il ne se souviendra peut-être plus de toi dû au alzeimer, ou tu ne pourras plus lui parler car il se sera suicidé dans une dépression majeure dûe au commotions à répétition dont il a souffert en jouant au hockey.
  14. Chara,LES COMMOTIONS Vs Les corporation$$$$ BRAVO AIR CANADA

    Ares d'accord avec toi mais les québécois n'ont pas une grande historique de solidarité quand viens le temps de boycotter. Deux exemples, cadbury et récemment shell. Mais quand viens le temps de notre religion peut-être seront nous plus solidaire.
  15. Un arbitre passé à tabac par des adultes

    Publié le 04 mars 2011 à 07h21 | Mis à jour à 07h21 http://www.cyberpresse.ca/le-nouvellist ... cueil_POS2 Le Nouvelliste (Trois-Rivières) Un arbitre bien connu en Mauricie a été agressé par trois joueurs de loisir adulte le 12 février à l'extérieur de la surface glacée du Complexe sportif les deux glaces de Saint-Louis-de-de-France. Même s'il n'a pas porté plainte au criminel, l'officiel s'est confié à l'Association des arbitres du Trois-Rivières métropolitain de même qu'au directeur général du Complexe sportif, Alain Bérubé, qui a réagi en suspendant les trois hockeyeurs à vie au sein des circuits qu'il gère. «Nous avons cinq ligues fédérées chez nous qui comptent 46 clubs et c'est le pire geste qui s'est produit ici depuis mon arrivée il y a 20 ans», souligne M. Bérubé. «Ça prenait une sentence dissuasive pour un geste aussi grave. C'est très difficile de trouver des arbitres pour le loisir adulte, car il y a beaucoup de chialage. Au mineur, ce sont les spectateurs qui crient après eux mais dans le loisir adulte, c'est sur la glace que ça se passe et c'est encore plus désagréable pour la majorité. C'est inacceptable de voir trois gars s'en prendre physiquement à un officiel et il fallait lancer un message clair à tous nos joueurs que nous ne pouvons accepter un tel comportement», ajoute-t-il. Les joueurs en question avaient été éjectés de leur match par l'officiel quelques minutes plus tôt. Quand l'arbitre est sorti de la glace après le match vers midi, ils l'attendaient dans le corridor pour régler leurs comptes. L'officiel s'en est sorti avec le nez cassé et des ecchymoses. «Nous avons recueilli la version de l'officiel visé, de l'autre officiel qui était avec lui et d'un employé de l'aréna qui a entendu les trois joueurs planifier ce qu'ils feraient quelques minutes plus tard. De notre côté, c'est clair que nos arbitres ne sauteront pas sur la glace si ces trois gars-là sont en uniforme», indique pour sa part le responsable pour le loisir adulte de l'Association des arbitres du Trois-Rivières métropolitain, Charles Lemire, en saluant l'initiative de Bérubé de les bannir à vie de la circulation au Complexe de Saint-Louis-de-France. Ce dernier n'a toutefois pas encouragé son collègue à porter plainte au criminel. «La décision lui revient. Nous, notre rôle, c'est de le supporter dans sa décision.» Le principal intéressé a confirmé les informations du Nouvelliste mais il a décliné toute demande d'entrevue. Quant aux trois joueurs suspendus, ils ont été contactés via Facebook mais aucun n'a voulu commenter l'altercation.
  16. Loi concernant les commotions

    New Concussion Law in New Jersey New Jersey has just passed a new law to protect young athletes from the dangers of sports related concussions. New Jersey Governor Chris Christie signed the law into place on Tuesday December 10 at a press conference held at the New Meadowlands Arena in East Rutherford. The law, which was first introduced by Assemblyman Patrick Diegnan and later Senator Dick Codey, requires the development of an interscholastic athletic head injury safety training program. It also requires certain measures to protect student athletes with concussion and requires continuing education for athletic trainers. Click here to read the entire law This Web site is developed and maintained by the Brain Injury Association of New Jersey, Inc. © 2010 BIANJ, Inc. | All rights reserved BIANJ.org | UGotBrains.com | NJTeenDriving.com | NJDriverEducation.com | Stop-The-Damage.com | BrainyBunch.info The contents of this website are not intended to replace medical, legal or professional advice, but to provide information and increase public awareness. The Brain Injury Association of New Jersey, Inc. does not support, endorse or recommend any method, treatment or program for people with brain injury.
  17. Loi concernant les commotions

    le lien http://www.sportsconcussion.com/
  18. quel beau sport

    http://blogues.cyberpresse.ca/lnh/2011/ ... ECRAN1POS1 Bigboy mctru voici le lien concernant la blessure de Taylor Hall des Oilers. Il s'est blessé en se battant. Regarder la réaction des partisans qui applaudissent. Même chez les pros on aime les combats. Tant que l'exemple viendra d'en haut rien ne changera.
  19. quel beau sport

    Bigboy tu as oublié Pat Patterson. L'homme de la wwe.
  20. Blog sur les commotions très instructif

    http://theconcussionblog.com/ Je le remet.
  21. Blog sur les commotions très instructif

    Voici la liste des joeurs ayant subi ou encore avec une commotion. Il y en a 70 pour cette année. Et elle n'est pas finie. Lyndman Toni ANA Pravelec Ondrej ATL Savard Marc BOS Bourque Rene CAL Mueller Peter COL Benn Jamie DAL Bouchard Pierre-Marc MIN Salvador Bryce NJ Tavares John NYI Laperriere Ian PHI Janssen Cam STL Pominville Jason BUF Ivanas Raitis CAL Franzen Johan DET Goc Marcel NAS Lombardi Matthew NAS Ballard Keith VAN Foote Adam COL Doughty Drew LAK Little Brian ATL Miettnen Antti MIN Beleskey Matt ANA Meszaros Andrej PHI Chipchura Kyle ANA Colaiacovo Carlo STL Krejci David BOS Cumiskey Kyle COL Quincey Kyle COL Sauer Kurt PHX Perron David STL Gagne Simon TB Koci David COL Smid Ladislav EDM Hillen Jack NYI Knuble Mike WAS Morrisonn Shaone BUF McDonald Andy STL Ehrhoff Christian VAN Stalberg Viktor CHI Schultz Nick MIN Boogaard Derek NYR Mauldin Greg COL Poti Tom WAS Slater Jim ATL Stuart Brad DET Crosby Sidney PIT Rakhshani Rhett NYI Skratins Karlis DAL Scandella Marco MIN Hemsky Alex EDM Orr Colton TOR Schlemko David PHX Savard Marc BOS Comeau Blake NYI Green Mike WAS Hamhuis Dan VAN Dorsett Derek CLB Montador Steve BUF Pisani Fernando CHI Tangradi Eric PIT Thompson Nate TB Armstrong Colby TOR Hiller Jonas ANA Holos Jonas COL Richards Brad DAL Gaborik Marian NYR Schlemko David PHX Asham Aaron PIT Johnson Nick PIT
  22. Concussions If football and hockey were safer, would we watch? http://www.theglobeandmail.com/sports/f ... le1888923/ Michael Grange Globe and Mail Blog Posted on Monday, January 31, 2011 12:56PM EST 30 comments Email Print/License Decrease text size Increase text size With the NHL All-Star game and NFL Pro Bowl finished, it’s back to reality for two of the most violent sports on the planet. The two leagues paused their schedules to hold showcase events that no one takes seriously in part because no one is at risk of being separated from their senses. What does that say about how we consume sports? The build up to the Super Bowl begins in earnest this week, and front and centre will be the Pittsburgh Steelers defense, led by the much-maligned and much fined James Harrison, featured on the cover of Sports Illustrated this week. The build up to the Super Bowl begins in earnest this week, and front and centre will be the Pittsburgh Steelers defense, led by the much-maligned and much fined James Harrison, featured on the cover of Sports Illustrated this week. The story relates how Pittsuburgh was thrown off balance mid-season when the NFL began cracking down on hits to the head; and how they – as a group – regained their equilibrium by resolving to keep dropping the hammer: Even as the NFL sought to make its game safer, Pittsburgh found a way to make it no less punishing. "You could say we learned to adjust, a little bit," [steelers safety Ryan] Clark said on Sunday night. "But we remained physical. People walking out of this place"—he pointed from the locker room to the Heinz turf outside—"still feel like they've been in a football game." Meanwhile, real hockey is back after the All-Star game, a no-hit affair designed to emphasize the skill and flair of the best players, but which no one really likes because absent high stakes and the possibility of someone being levelled by a human missile, the skill and the flair are icing without cake. The Pro Bowl is worse; so inconsequential that even ravenous NFL fans pay it no mind. Real hockey means more hits like this one by the Edmonton Oilers Zack Stortini on Patric Hornqvist before the All-Star break, which would seem to be exhibit A for those arguing that players need to think before they attempt to decapitate an opponent whose sin is looking for the puck at their feet while otherwise standing harmlessly in the neutral zone. Both the NFL and the NHL have a problem: their leagues are populated by players like Stortini and Harrison and many others who feel it is their role to not only to hit their opponents, but to punish them to full extent allowed by physics. But perhaps a bigger problem is that some fans (most; all?) like their favourite games played just that way: on the edge, with the possibility of mayhem lurking. We can watch Alexander Ovechkin dangle his way through a team in the All-Star game and yawn; watching him do it when guys are lining him up to nail him is electric. Watching quarterbacks lob touchdown passes in the Pro Bowl isn’t worth moving your thumb on the remote; watching how the Green Bay Packers quarterback Aaron Rogers will manage when Harrison blitzes early in the first quarter, eager to separate him from the ball, consequences be damned, makes for compelling theatre. You wonder if it will always be this way, however What is driving the concern about head shots in hockey and football is the growing evidence that participating in activities where having your head violently snapped back and forth is dangerous to your long-term health. Find a parent who isn't concerned about having their kids play lacrosse, hockey or football these days and you've found a parent whose head is so far in the sand it may never come out. In a provocative story in the New Yorker the question asked – Should football be banned? – could be applied to hockey as well, and the answers may come not from the leagues or the fans but from the courts; in the same way tobacco reforms were driven: I know of two groups of lawyers preparing class-action suits, on behalf of recent players, against the N.F.L., with an eye toward filing in the first six months of this year. At issue is what the league knew and when, and, ultimately, what responsibility it has to its players, with a likely focus on the difference between two documents that were distributed in locker rooms as safety guidelines. The first, a pamphlet written in 2007, left open the question of whether “there are any long-term effects of concussion in N.F.L. athletes,” while the second, a poster that was introduced before the start of this season, mentioned that “concussions and conditions resulting from repeated brain injury can change your life and your family’s life forever.” Trial lawyers, tort reform, the nanny state: this is no small part of football’s future. It could part of hockey’s too; if not at the NHL level than at the minor hockey level. Like smoking, hockey is addictive. But if you know it's harmful to your health, what do you do about it? Obviously the question becomes balancing the risk against the joys and the benefits -- an argument the tobacco companies could never make. Regardless it’s hard to ignore the notion that that there does need to be some kind shift in the attitudes of the players themselves on the ice or on the field. Easier said than done. Can you play football or hockey at the highest level if you remove the intent to devastate opponents with a check or a hit? And if it was possible to play a knder, gentler brand of football or hockey, would we want to watch?
  23. Article d'Yves Boiverts coup à la tête

    Publié le 17 janvier 2011 à 08h08 | Mis à jour à 08h08 http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... cueil_POS1 Les coups à la tête Yves Boisvert La Presse Au cas où vous ne le sauriez pas, le Québec est la seule province où les mises en échec au hockey sont interdites avant le niveau bantam (13, 14 ans). Ailleurs au Canada, on commence dès le niveau pee-wee (11, 12 ans). Et ça agace plusieurs de nos experts locaux. Ils voudraient qu'on adopte la norme canadienne, pour que nos joueurs apprennent plus rapidement comment frapper et comment recevoir des coups. La mise en échec fait partie du hockey depuis longtemps, l'empêcher dénature le jeu et défavorise les joueurs québécois, disent-ils. Les joueurs québécois ont ici et là la réputation d'être plus timides, et pour certains, ça vient de leur éducation trop tardive en matière de contact. Ils seraient donc désavantagés dans ce jeu où la combativité est nécessaire. D'autres, plus ratoureux, nous disent que c'est même une question de sécurité pour les enfants: plus ils apprennent cela jeunes, plus ils en maîtrisent la technique et, donc, ils risquent moins de se blesser. Une étude avait fait grand bruit il y a 10 ans, qui affirmait même qu'il y avait moins de blessures dans les provinces canadiennes permettant la mise en échec. Un journaliste de la CBC, en analysant les données tronquées par les chercheurs, avait démontré que c'était totalement faux et que, comme de raison, c'est là où il y a des mises en échec qu'il y a plus de blessures. Voilà maintenant qu'une nouvelle étude de l'Université de Calgary confirme cette évidence. Elle est citée par Michel Marois, qui publie un dossier sur le sujet depuis samedi dans La Presse. On a comparé le taux de blessures au Québec et en Alberta au niveau pee-wee. «Notre étude a montré que jouer dans une ligue où les coups sont permis entraîne trois fois plus de risques de blessures, y compris les commotions, que jouer dans une ligue où les mises en échec sont interdites, a indiqué Carolyn Emery, chercheur principal de l'étude. Si les mises en échec étaient interdites au niveau peewee en Alberta, nous pourrions prévenir 1000 matchs ratés pour cause de blessure et 400 matchs ratés pour cause de commotions.» Ça fait drôle de voir ça comptabilisé en matchs perdus et non en enfants blessés, mais bon, c'est ce qu'on a observé. Bien sûr, on nous dira que c'est «seulement» dans le hockey deux lettres, supposément d'élite, qu'on permet les mises en échec. Mais d'abord, on en a tellement étendu le concept (AA, BB, CC) que ce n'est plus de l'élite du tout, et que cette catégorie est très large. Et ensuite, on changerait le règlement pour faire plaisir à qui? Pour la minuscule fraction qui aspire à la Ligue nationale? Il reste à démontrer qu'on a assassiné des Mozart du hockey parce qu'on ne les a pas laissés se plaquer à 11, 12 ans. Cet argument ne vaut pas une seule commotion cérébrale d'un enfant de 11 ans. Les petits gars vous diront tous, d'ailleurs, qu'ils ont hâte de plaquer. Jusqu'à ce qu'ils se fassent «geler» dans la bande par un gros qui a eu sa poussée de croissance prématurément. Ou qu'ils voient un de leurs coéquipiers qui vomit 10 fois après s'être fait rentrer dans la bande, comme dans une équipe que je connais. Et à voir ce qui se passe dans le hockey à tous les niveaux, même dans la LNH, le problème n'est pas vraiment l'âge auquel on enseigne les subtilités de la mise en échec. C'est plutôt ce qu'on en fait. Dans la «culture» actuelle du hockey, on s'en sert beaucoup pour intimider, pour faire mal, autant que pour récupérer la rondelle. On glorifie les joueurs qui «complètent leur mise en échec», langage codé pour dire qu'on étampe bien comme il faut l'adversaire en toutes circonstances. C'est de ça qu'on devrait se préoccuper, pas de se demander si on va repêcher plus de Québécois parce qu'on leur apprend à plaquer à 11 ans. Mais on vous dira que si vous n'aimez pas les mises en échec, c'est votre problème, y a toujours le ping pong... C'est une sorte de bonne nouvelle, au fond, que le meilleur joueur de hockey du monde, Sidney Crosby, soit sur la touche depuis une semaine et demie à cause d'une commotion cérébrale à cause d'un coup sournois. Peut-être finira-t-on un jour par établir dans le hockey une règle de responsabilité civile élémentaire: chacun est responsable des conséquences prévisible de ses actes. On ne parle pas d'accidents. On parle d'intention de blesser. Au hockey, on peut faire ça «légalement». Le gars jouait la tête trop basse, tant pis pour lui! En attendant que cette ligue évolue, vu que ça peut être long, il ne faudrait surtout pas que notre hockey mineur québécois marche à l'envers de l'histoire. On devrait être fiers de mieux protéger les jeunes joueurs. Avec ce qu'on sait des commotions cérébrales, leurs conséquences potentiellement graves à long terme, ce serait irresponsable de décider d'envoyer des enfants à l'hôpital pour la gloire du sport national. C'est forcément ce qui se produirait chez les 11, 12 ans. On peut le prévoir. Or, on est responsable des conséquences prévisibles de nos actions...
  24. L'histoire de Bob Probert dans le globe and mail http://www.theglobeandmail.com/sports/h ... le1927734/ HAYLEY MICK From Thursday's Globe and Mail Published Wednesday, Mar. 02, 2011 9:43PM EST Last updated Thursday, Mar. 03, 2011 9:06AM EST Dani Probert, widow of former NHL player Bob Probert, who died last July of heart failure at 45, in Ontario, Canada, March 1, 2011. After examining Bob Probert's brain tissue, researchers at Boston University said this week they found the same degenerative disease, chronic traumatic encephalopathy, whose presence in more than 20 deceased professional football players has prompted the NFL to change some rules and policies in an effort to limit dangerous head impacts. (Fabrizio Costantini/The New York Times) 143 comments Email Print/License Decrease text size Increase text size Six months before he died of a heart attack at age 45, former National Hockey League enforcer Bob Probert was flipping television channels when he stumbled upon a documentary about scientists analyzing the brains of dead professional football players. Their findings so intrigued the former NHL tough guy that, when the researchers lamented how few hockey players had volunteered to help them understand the aftermath of multiple hits to the head, he vowed to do his part. More related to this story •The fighter’s penalty box: dementia •If football and hockey were safer, would we watch? •Linking concussions to brain disease ‘complicated’ Video Reggie Fleming interview Video How to diagnose a concussion Poll Do minor hockey coaches have suitable training to know when their players have suffered a concussion? Yes No I don't know Results & past polls .4% 271 votes Yes .75% 5255 votes No .21% 1488 votes I don't know .More polls .“It was just me looking at Bob, and saying, ‘Well, your brain would be a fine specimen,’ ” his wife of 17 years, Dani Probert, recalled in a phone interview from her home in Windsor, Ont. On Thursday, Boston University researchers will release findings that show Mr. Probert had chronic traumatic encephalopathy (CTE) when his heart gave out during a fishing trip last summer. The diagnosis makes him the second former professional hockey player to be found with the degenerative disease after Reggie Fleming, who died in 2009 at the age of 73 with dementia after three decades of worsening behavioural and cognitive problems. Like Mr. Fleming, Mr. Probert was a fighter who banged his way through more than 200 fights during 16 seasons with the Detroit Red Wings and Chicago Blackhawks. He had suffered at least three concussions and struggled with substance abuse. And in his 40s, Ms. Probert said, her normally laid-back husband may have begun to show some of the telltale signs of CTE, such as odd bouts of road rage and memory gaps. “If he was playing blackjack, he could remember plays from years ago, and every player’s hand and what the dealer had. But boy, if you asked him what he had for breakfast that morning … It definitely makes you think.” The Boston researchers said more brain samples will need to be studied before broad conclusions can be made about hockey’s ramifications. “CTE is now documented in National Hockey League players, but each of these players was somewhat unique in that they were both enforcers and had a lot of fights,” said Robert Cantu, co-director of the Center for the Study of Traumatic Encephalopathy at the Boston University School of Medicine. “So whether this is more an indictment about their fighting, or their hockey, really can’t be said.” The hockey world is grappling with growing scientific evidence of the debilitating effects of concussions and other head injuries. Those findings have ignited fierce debate about the need for rule changes and better concussion protocols at all levels of the sport, enflamed recently by high-profile examples such as star player Sidney Crosby being sidelined from the 2010 NHL season with concussion symptoms. “At the highest level, unfortunately it’s going to take these types of findings to really put the pressure, or have a sustainable drive to change,” said Keith Primeau, a former teammate of Mr. Probert and also the first former professional hockey player to promise his brain to the Sports Legacy Institute in Boston, where Mr. Probert’s brain was studied. Of the 40 brains studied so far, CTE has been found in more than 30 former elite athletes – several of whom committed suicide – including boxers, professional wrestlers and more than a dozen former National Football League players. Since CTE can only be diagnosed post-mortem, the athletes died unaware that protein deposits and damaged neurons in their brains that are typical of the condition may have contributed to symptoms including memory loss, erratic behaviour, depression and eventually dementia. Dr. Cantu said of Mr. Probert’s results: “They’re not nearly as severe as we’ve seen in a number of other athletes in other sports like boxing or football, but nonetheless it’s unequivocally there.” CTE can result from what Dr. Cantu called “total brain trauma” – which includes concussions but also hits to the head that cause the brain to rattle off the skull, something that doesn’t always result in a concussion. “In football, the number of blows to the head is much greater than in hockey,” he said, but added: “When they do happen [in hockey], they can be equally as great as the big blows in football – if not greater – because the speeds are greater.” Mr. Primeau said hockey players are hesitant to discuss brain donation. “It’s still a tough topic of conversation.” Which is why Ms. Probert has decided to reach out to the Boston researchers and make her husband’s results public, she said. “Having Bob’s name attached to that can show other athletes, and especially the hockey players, that they need to get involved.” Ms. Probert had other reasons, too, she said. They included the couple’s four children: three daughters and a son, now ages 10 to 16. They are all athletes and avid hockey, lacrosse and volleyball players. “I remember leaving the hospital and coming home [after Bob died],” Ms. Probert said. “It was the following morning that I looked at my aunt and asked her to take care of getting the numbers for me. I didn’t know who to contact, I just knew that it was in Boston. “It’s so surreal, even looking back now. I just knew with such certainty when I was doing the [funeral] planning that that was the only thing I knew that he wanted, because he was so young.” She paused to collect herself. “That was the one thing I knew that had to be done for him.”
  25. Coomotion Probert suffered from degenerative brain disease

    Comme l'écrit si bien Mathias Brunet ce matin ""Mais ce n’est pas bien grave au fond. Une bonne bagarre ajoute au spectacle, peut changer le momentum et surtout… ça fait partie de la game… (prière de lire ici l’ironie). "" Beaucoup, beaucoup de gens pensent comme cela. Et tant et aussi longtemps que ce sera comme cela rien ne changera.
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