rookie coach
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Du pain et des jeux. C'est cela que les gens veulent voir. Voyons président et abq le contact en bas âge c'est bon on va leur apprendre comment le faire comme il faut. Et misère, j'ai hâte que les mentalités changent. Abq très bon lien. Si tu en as d'autres tu devrais les mettre.
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Globe editorial The fighter’s penalty box: dementia From Thursday's Globe and Mail Published Wednesday, Mar. 02, 2011 9:49PM EST Last updated Wednesday, Mar. 02, 2011 10:58PM EST 27 comments Email Print/License Decrease text size Increase text size The late Bob Probert, toughest of the National Hockey League’s tough guys, fought 200 times in his career. He destroyed his brain in doing so. His brain tissue has been found by researchers at the Boston University School of Medicine to have had chronic traumatic encephalopathy, a preventable form of dementia. More related to this story •Probert suffered from degenerative brain disease, scientists find Video Reggie Fleming interview This discovery should concern more than just the NHL. It is an alarm bell that needs to be heard by hockey players, parents, coaches and team and league executives at all levels. It shows the lifelong damage that those who specialize in fighting are at risk of. The risks to those who fight regularly in hockey have been almost completely ignored. One type is catastrophic, as exemplified by the death two years ago of a 21-year-old amateur player, Don Sanderson of Ontario, who had his helmet knocked off by a punch and struck his head on the ice. But there’s a more habitual risk faced by those who fight 10, 20 or 30 times a season. These fighters may rarely be flattened by a punch. Even so, they regularly absorb direct (not merely glancing) blows to the head from experienced fighters (today’s fighters take boxing lessons) weighing 220 to 260 pounds. A fighter’s fists turn to mush after striking a skull repeatedly; hence teams carry two fighters, so that one can fight when the other can’t. And yet where is the concern for the fighter’s brain turning to mush? Mr. Probert, who died last year at 45 from a heart attack, is not the first hockey player whose brain tissue decayed from CTE. Reggie Fleming, who played helmetless in the 1960s and 70s, also had CTE. It has been found in more than a score of football players in the United States, including traces in an 18-year-old high-school player. Tough guys in any sport, even hockey, have soft brains like anyone else. Is it worth it? The debate over fighting in hockey should no longer be about whether it is good or bad for the game. That is far too esoteric. The debate is over whether the supposed entertainment value justifies the risk of brain damage to the young men and teenagers who engage in it. What possible excuse is there for exposing the teenagers who play major junior hockey in Canada to that risk? The NHL won’t ban fighting until the fighters themselves wake up and decide it’s not worth the fame and the $750,000 a year. Until then, the league should immediately institute a protocol to protect fighters from returning to play after a concussion.
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Carey cela viens de l'ontario.
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Avez vous vu Marc Savard samedi soir. Plus l'ombre de lui-même depuis sa commotion. David Perron et Sydney Crosby out commotion. Kostopoulos fracture la machoire de Stewart et possiblement commotion. Vous verrez. On attend quoi pour faire quelque chose. Le règlement adopté récemment par la LNH vaut de la m... Tant et aussi longtemps qu'il n'y aura pas de politique claires et surtout appliquées par les officiels rien ne changera et beaucoup de bon joueurs auront de courtes carrières.
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rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Ares toutes tes solutions coûte des sous. Location d'heure de glace au privé par le gouvernement. Argent. De plus le privé ne fera pas de cadeau. Comme à Laval avec le Centre Guimond. Coûte très cher à Hockey Laval. Tes spécialistes coûtent aussi des sous. Sais-tu combien coûte la location d'autobus pour une école qui joue dans ligue scolaire présentement? Très cher. Si tu mets tous ces coûts ensemble cela reviens à beaucou plus cher qu'une cotisation. Mais je suis d'accord avec ton commentaire en général. Il faut trouver un moyen mettre de l'argent de ce coté. -
Exact mctru :D :D
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Est ce que les organisations de hockey devraient demander aux joueurs et instructeurs de laisser leurs cellulaires et autre appareils aux portes de la chambre de hockey? Ce matin il y a une très bonne série d'articles sur cyberpresse concernant les sextos qui sont devenus un fléau. Voici le lien. http://www.cyberpresse.ca/actualites/20 ... cueil_POS1 La cyber honte frappe nos ados Du même auteur Un festival de poursuites Vouloir être cool Commencer petit La cyber honte frappe nos ados Déprimés et oubliés Chaque mois, au moins un ou deux parents horrifiés alertent le SPVM après avoir découvert que circulent des photos ou vidéos osées mettant en scène leur enfant. Photo: AP Marie-Claude Malboeuf La Presse Après avoir fait les manchettes aux États-Unis, le phénomène des «sextos» fait aujourd'hui de vrais ravages à Montréal. Des dizaines d'adolescents qui se sont échangé des images montrant des camarades nus ont été arrêtés, suspendus de l'école ou interrogés par des enquêteurs. Humiliées, certaines de leurs cibles parlent de suicide ou craquent après avoir été victimes de chantage. Juste avant Noël, une Montréalaise de 13 ans a écrit sur sa page Facebook qu'elle voulait s'enlever la vie. La moitié de son école avait vu des photos d'elle à demi nue. Destinées à un ami, les images se sont retrouvées un peu partout. L'humiliation a été terrible. «Tous les élèves se sont mis à la harceler en lui disant: "Espèce de pute!" raconte une de ses connaissances éloignées. Si des élèves n'avaient pas avisé la direction, le pire aurait pu arriver.» Quelques mois plus tôt, dans une autre école de l'île de Montréal, un garçon a été embarqué par la police. Son ex-copine lui avait envoyé une photo de sa poitrine, que l'adolescent s'est empressé de diffuser à la ronde après leur rupture. «Les parents de la fille ont appelé la police. Le garçon n'a pas été accusé, mais il a dû rester un mois à la maison, jusqu'à ce que l'enquête se termine», raconte Maureen Baron, responsable du dossier cyberintimidation à la commission scolaire English-Montreal. «C'est un scénario très fréquent», précise celle-ci, qui intervient également dans des écoles francophones et des collèges privés. Chaque mois, au moins un ou deux parents horrifiés alertent en effet le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) après avoir découvert que circulent des photos ou vidéos osées mettant en scène leur enfant. «Malheureusement, la majorité des histoires du genre ne nous sont jamais signalées. Même les adultes qui travaillent avec les jeunes se rendent rarement compte du fait que distribuer des photos pareilles est un crime», affirme le lieutenant-détective Guy Bianchi, spécialisé dans les dossiers d'agression sexuelle et d'exploitation d'enfants à des fins commerciales. «Plusieurs parents préfèrent régler ça entre eux ou avec l'école parce qu'ils ne veulent pas que leur enfant soit obligé de témoigner en cour», renchérit le commandant Francesco Secondi, qui dirige la section des crimes technologiques. Chaque année, des dossiers se corsent: des jeunes se servent d'une première image compromettante pour extorquer de l'argent ou des faveurs. «Même une fille qui a gardé ses sous-vêtements sur la première photo peut donner prise au chantage parce qu'elle craint la réaction de ses parents. Elle ne veut pas leur dire qu'elle s'est déjà exposée, constate M. Secondi. Quand la fille surmonte cette peur, c'est souvent allé très loin déjà, dit-il. Souvent, elle ne nous racontera pas la moitié de ce qu'elle a fait.» Malgré tout, plusieurs adolescents appellent à l'aide. «Depuis six mois, ils sont de plus en plus nombreux à nous joindre et ils semblent particulièrement désespérés», indique Signy Arnason, directrice de Cyberaide.ca, centrale canadienne de signalement des cas d'exploitation sexuelle d'enfants sur l'internet. Depuis janvier, dit-elle, une jeune Ontarienne et une jeune Manitobaine ont indiqué qu'elles étaient au bord du suicide. «Et on est maintenant interpellés par des jeunes de 12 ans», ajoute Mme Arnason. Au total, quelque 400 adolescents canadiens ont alerté Cyberaide l'an dernier, dit-elle. Et une grande proportion d'entre eux s'inquiétaient du sort réservé à leurs propres photos. Sanctions? Une fille qui se déshabille devant sa webcam et découvre bientôt que la moitié de son école l'a vue. Une autre qui fait une fellation à son copain sans réaliser qu'il la filme avec son téléphone - et sans se douter qu'il s'empressera ensuite d'envoyer la vidéo à son ami ou s'en servira pour la faire chanter. Les policiers montréalais ont tout entendu, dit M. Secondi. Des accusations criminelles sont portées à coup sûr lorsqu'il y a du chantage ou que de l'argent est en jeu. Ç'a été le cas contre un garçon qui avait vendu des photos de lui-même à un site internet. L'an dernier, un adolescent a été poursuivi devant le tribunal de la jeunesse et expulsé de son collège privé, au coeur de Montréal. Il avait convaincu quatre filles de l'école de lui envoyer des photos d'elles nues, puis de se caresser devant la caméra et d'avoir des relations sexuelles - filmées - entre elles et avec lui. L'adolescent prétendait être dans la mafia et qu'il serait tué à moins qu'elles n'obtempèrent. Il a plaidé coupable et attend maintenant sa peine. Dans un autre collège privé, un garçon de 16 ans a photographié une camarade de classe qui montait l'escalier et ne portait pas de petite culotte. Il a aussi été arrêté. À Pierrefonds, un adolescent a utilisé des sites de clavardage pour menacer plusieurs camarades de classe. Il exigeait des photos compromettantes sous peine de représailles. Il a aussi été arrêté. Lorsque les choses ne vont pas aussi loin, les accusations sont relativement rares. Au Québec, montrer les seins d'une adolescente n'est pas considéré comme de la pornographie juvénile, explique le lieutenant-détective Bianchi. Les photos plus explicites le sont. «Mais on ne traite pas les ados comme des prédateurs. Même si on considère ça comme un crime grave, on a un pouvoir discrétionnaire. Selon nous, la justice ne serait pas servie si on portait des accusations», explique le policier. Plutôt que d'exposer un jeune à un an de détention (la peine minimale pour la distribution de pornographie juvénile), les policiers le mettent en garde. «Ce ne sont pas des criminels, mais des jeunes qui ont pris de mauvaises décisions, approuve Signy Anderson, de Cyberaide. Explorer sa sexualité est normal à l'adolescence. Le problème, c'est que les risques sont aujourd'hui infiniment plus grands. Les photos peuvent être vues par un nombre incalculable de personnes. Et elles peuvent rester là pour toujours.» Cyberaide prépare une vaste campagne de prévention pancanadienne qui sera lancée cette année. Il reste qu'il est difficile de se protéger totalement contre l'humiliation. Une jeune Montréalaise, fâchée d'avoir été plaquée par son petit ami sur Facebook, a mis la photo d'un petit #POC# difforme sur sa propre page en écrivant: «Voyez pourquoi j'ai rompu avec lui.» «Les photos avaient beau être fausses, le garçon était si humilié qu'il est resté un mois entier à la maison, raconte Maureen Baron. Il a fallu le changer d'école.»
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Ares présentement les écoles ont de la difficultés à se gérer et tu voudrais leur mettre tout le volet sportif en plus. Cela va venir mais il faut prendre le temps de voir comemnt cela va se faire. Il va falloir plus de profs. Pas d'argent. Il va falloir des arénas. Car présentement beaucoup d'écoles ne sont pas à proximité d'arénas. Pas d'argent. Louer des autobus pour aller à l'aréna? Pas d'argent. Je suis d'accord pour le hockey aux écoles mais il y a beaucoup de problèmes à règler. -
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Mctru toujours dans le 3ie reportage "Les recommandations varient selon les sports : en patinage artistique, par exemple, on recommande environ 12 heures d'entraînement par semaine aux jeunes filles de 10-11 ans. Alors que le jeune nageur de 9 à 12 ans devrait s'entraîner entre quatre et sept heures par semaine." Pas besoins de te lever à 4.30 am pour la natation si on se fie aux recommandations -
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rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Mctru que penses-tu de cette phrase dans le 3ie reportage """« Les statistiques démontrent que l'enfant qui est spécialisé trop tôt dans son sport va abandonner le sport à long terme. »" -
Eric Desjardins aussi. Quasiment pas de mise en échec.
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http://www.radio-canada.ca/sports/PlusS ... opo3.shtml Trouver le juste... et délicat équilibre Mise à jour le mercredi 23 février 2011 à 23 h 19 Le sport en équilibre, le juste milieu, le bon dosage. Un beau cliché, mais qui demeure le scénario gagnant. C'est le sujet sur lequel se penche Diane Sauvé dans son troisième reportage sur le surentraînement. À la patinoire de quartier, Éloi se prend pour Sidney Crosby, son idole. « Je n'aime pas ça jouer dans une équipe, j'aime mieux jouer avec mes amis seulement pour le plaisir. » Jouer pour jouer. Banal, mais impératif pour le développement des enfants, insistent les experts. S'ils veulent aussi des médailles, s'ils veulent se dépasser, les jeunes ont besoin de leurs parents. Mais il faut aussi diriger les parents, qui en mènent large à l'occasion, avec des scénarios connus. « De parler par symboles, par signes lorsque j'ai le dos tourné. Oui, c'est arrivé », avoue l'entraîneur de patinage de vitesse sur courte piste Éric Bédard, à l'emploi de l'équipe nationale italienne. « L'entraîneur dit à un jeune qu'il doit patiner plus vite, image Chantal Daigle, coordonnatrice de l'enseignement clinique au département de kinésiologie de l'Université de Montréal. Et là, les parents lui offrent des cours de patin sans nécessairement consulter l'entraîneur. » Des parents qui se mettent parfois à jouer à l'entraîneur, avec les meilleures intentions du monde, pour le bien de l'enfant. Rien de mieux pour stresser le jeune davantage. Quelle est la clé? « C'est la communication, précise Bédard. C'est de ne pas avoir peur de venir parler à l'entraîneur. D'en rajouter? Oui, on peut en rajouter, on peut en rajouter beaucoup. Mais quand et pourquoi? Le lundi, le samedi, le jeudi? Quelle journée, pourquoi? Quel entraînement doit-on faire avant? » À force de vouloir les encadrer, on peut aussi les étouffer... « Je pense que les parents ne prennent pas les bons choix parce qu'ils ne sont pas outillés pour les prendre non plus, estime Séverine Tamborero, entraîneuse nationale chez Tennis Canada. Je crois que c'est notre rôle, aux entraîneurs, de leur parler, de les diriger. » Des parents sont aussi souvent démunis face à des entraîneurs trop ambitieux. Il faut savoir reconnaître ceux qui carburent à la performance et ceux qui refusent même que leurs athlètes s'amusent ailleurs. Une spécialisation? Des jeunes spécialisés dans un seul sport? On en voit de plus en plus, mais surtout pas avant 12 ans, recommande Élise Martin, première pédiatre au Québec à pratiquer la médecine sportive. Les enfants ont encore un cerveau en développement et ont besoin de travailler leurs réflexes. Puis, il y a l'après. Photo: La Presse Canadienne /AP Photo/Jim Cole Un match de hockey sur un étang « Les statistiques démontrent que l'enfant qui est spécialisé trop tôt dans son sport va abandonner le sport à long terme. » Il y a de la pression de toutes parts, mais certains jeunes sont les premiers à s'en mettre, des hyperperformants difficiles à retenir. Pour l'orthopédiste-animateur Jacques Toueg, il y a des signes avant-coureurs d'un épuisement sportif. « Un adolescent, ça fait deux choses : ça dort et ça mange. À partir du moment où il dort moins ou qu'il ne dort plus, ou qu'il a de la difficulté à dormir ou qu'il ne mange plus, il y a un problème. Ça, c'est le premier indice. » « Nos adolescents, ce n'est pas un hasard s'ils dorment 10 heures ou 12 heures, ils ont aussi ce besoin-là, soutient Suzanne Leclerc, médecin pour l'équipe canadienne de courte piste. Le corps est en croissance, en développement. Donc, il a besoin de récupérer. Le corps récupère pendant le sommeil. » Système immunitaire à plat, manque de concentration et de motivation, d'autres signaux pour alerter les parents. Consulter, oui, et aussi relativiser. Et pour vous guider, sachez que chaque fédération sportive doit avoir son programme de développement de l'athlète à long terme concocté par un comité d'experts. Les recommandations varient selon les sports : en patinage artistique, par exemple, on recommande environ 12 heures d'entraînement par semaine aux jeunes filles de 10-11 ans. Alors que le jeune nageur de 9 à 12 ans devrait s'entraîner entre quatre et sept heures par semaine. « L'enfant ne doit pas être sacrifié pour son sport, on doit sacrifier le sport pour nos enfants, explique Élise Martin. On doit faire une école de vie du sport. » Le sport, ça peut être un jeu. (D'après un reportage de Diane Sauvé) À consulter: •Les sites des fédérations sportives, qui ont chacune des programmes de développement à long terme. •LINE DÉZIEL (dir). L'enfant, l'adolescent et le sport de compétition, Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2011, 190 p.
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Probablement le meilleur des trois. ""« Les statistiques démontrent que l'enfant qui est spécialisé trop tôt dans son sport va abandonner le sport à long terme. » ""Une spécialisation? Des jeunes spécialisés dans un seul sport? On en voit de plus en plus, mais surtout pas avant 12 ans, recommande Élise Martin, première pédiatre au Québec à pratiquer la médecine sportive. Les enfants ont encore un cerveau en développement et ont besoin de travailler leurs réflexes. Puis, il y a l'après.""
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Cher CFL est ce que tu as lu sur le site de hockey USA? As-tu pris le temps de lire la recherche de la clinique MAYO?
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Quelle belle intervention vieux fan. Merci pour la description de ton expérience en Suède. J,ai demandé il y a deux mois le programme de hockey suédois et j'attends toujours. Je vais les relancer. -
http://www.radio-canada.ca/sports/PlusS ... opo1.shtml Surentraînement À quel prix? Mise à jour le mardi 22 février 2011 à 11 h 06 Dans ce deuxième reportage d'une série de trois, Diane Sauvé se penche sur les dangers du surentraînement. Le sport qui se prend au sérieux, des jeunes qui s'investissent à fond, une recette qui mène parfois à la catastrophe. Des athlètes sont victimes de surentraînement et doivent faire une croix sur leurs rêves. Des situations dramatiques, des carrières brisées. « Quand j'ai eu mes quatre fractures de fatigue, les médecins m'ont dit qu'ils n'avaient jamais vu ça, que ça ne peut pas exister autant de fractures de fatigue sur les tibias en même temps », se rappelle Anne-Christine Voicu. « Je ne le savais pas tout de suite ce que j'avais, et ça empirait tout le temps », renchérit Sébastien Landry. Anne-Christine avait tout pour elle, championne canadienne de tennis chez les moins de 14 ans. Sébastien, lui, collectionnait les médailles : vice-champion canadien de patinage de vitesse aussi à 14 ans. L'ex-champion olympique Éric Bédard l'avait même déjà remarqué. « Je trouvais vraiment qu'il avait le gabarit pour performer et j'aurais vraiment aimé ça l'entraîner, de l'amener à un niveau supérieur », avoue Bédard. Deux athlètes pleins de promesses, poussés au bout d'eux-mêmes, jusqu'à ce que tout flanche. « Mon corps m'a dit : "Regarde, arrête, ça fonctionne plus. Si tu continues, moi je vais juste briser." » Anne-Christine Voicu se voyait parmi les meilleures du monde. À 14 ans, la joueuse de Repentigny s'est exilée en France pour étudier à l'Académie Mouratoglou, qui a formé entre autres Marcos Baghdatis, ancien huitième joueur mondial. Le régime d'entraînement y était féroce. « Quatre heures de tennis par jour, l'équivalent probablement en entraînement physique, 15 exercices de courses, de VO2 max, de développement musculaire en salle. » Rajoutez à ça l'école qu'elle faisait par correspondance, en soirée après l'entraînement. « Tu embarques dans un moule où les gens t'imposent un rythme de vie et tu penses que c'est la solution, l'unique solution pour réussir. » Les bouchées triples Photo: Hebdo Rive-Nord Anne-Christine Voicu Sébastien Landry, lui, venait de connaître une saison prodigieuse, poussé vers l'avant par cinq médailles décrochées aux Championnats canadiens. Il a donc mis toute la gomme. « Tout de suite après la saison de patin, j'ai embarqué sur le vélo de route. Je n'ai pas arrêté. J'ai fait beaucoup de vélo de route. » « Je pense qu'il faisait des 100-150 km de vélo par jour, se souvient Pierre-Paul Landry, son père. C'était beaucoup trop. Ça, c'était dans sa période de repos. » De retour sur la glace, le patineur de Pointe-aux-Trembles a pris les bouchées doubles, ou plutôt les bouchées triples. Il s'entraînait dans trois clubs à la fois. « Ça tournait autour de 10 ou 11 entraînements par semaine. C'était beaucoup trop pour ce dont j'avais besoin et mon entraîneur n'était pas au courant de tout ce que je faisais. » « Souvent, on trouvait qu'il en faisait trop, dit sa mère Isabelle Duclos. On lui disait qu'il devrait prendre une pause. Mais les adolescents, à 14-15 ans, ils pensent qu'il ne peut rien leur arriver, ils ont plein d'énergie. » « De semaine en semaine, le volume, l'intensité de travail se sont accumulés sans que je sois au courant, précise Annie Sarrat, l'entraîneuse de Sébastien. Après cinq mois, c'est vraiment là que l'état de fatigue s'est installé. Il était rendu dans un état un peu trop avancé pour arriver à le contrôler. » Maux de tête, insomnie, infections en séries, toux persistante, Landry voyait ses performances déraper. Il n'arrivait même plus à terminer ses entraînements. « Il se levait le matin et ses jambes tremblaient, se souvient sa mère. Ça pouvait prendre une demi-heure avant que ça revienne à la normale. » Corps brisés De son côté, Anne-Christine Voicu a accumulé les blessures : quatre fractures de stress, deux à chaque tibia, de nombreuses foulures aux chevilles, aux poignets, deux côtes fracturées. Ces blessures l'ont souvent stoppée, alors que les autres progressaient. Le fameux cercle vicieux. « Elles gagnent contre toi. Tu sens vraiment la différence. Et là, tu veux les rattraper, donc tu n'as pas le choix d'en mettre plus. Si tu en mets plus, tu te rends à la limite, donc tu es plus près encore de briser ton corps. » Leur corps a brisé et ces deux jeunes ont été contraints d'arrêter de vivre leur passion. Photo: L'Avenir de l'Est Sébastien Landry « C'est très difficile sur le moral, pense Landry. Ce n'est pas vraiment une dépression, mais tu es déprimé et pour assez longtemps. » « Les jeunes sont plus vulnérables parce qu'ils ont moins de bagages, soutient Suzanne Leclerc, médecin qui a traité Sébastien et qui s'occupe de l'équipe canadienne de courte piste. C'est souvent leur premier échec, la première grosse difficulté qu'ils vont affronter. Pour eux, c'est souvent quelque chose de très gros à surmonter. » Élise Martin a été la première pédiatre au Québec à pratiquer la médecine sportive. Des cas du genre, elle en voit aussi. Surtout en gymnastique et en patinage artistique, là où le corps est sollicité très tôt, là où le poids est un gros facteur pour les jeunes filles. Les dommages peuvent être considérables. « On se retrouve dans une condition égale à la ménopause chez la femme, explique Mme Martin. Taux d'oestrogène bas, déminéralisation des os. Que l'enfant soit à l'écoute de son corps, il faut lui enseigner ça. » On a ce qu'on appelle la triade de la femme athlète : trouble de conduite alimentaire, fracture de stress, ostéoporose, aménorrhée... La suite Aujourd'hui, Anne-Christine Voicu ne joue plus au tennis. Elle se contente de l'enseigner. Si elle revoit les mêmes excès, elle veut de son côté faire autrement. « J'écoute le jeune. Quand il me dit qu'il est fatigué, je le prends en considération. Et je ne dis pas juste : "Non, on a du temps à passer sur le terrain." Je l'écoute. » Sébastien Landry, lui, a repris la compétition après deux ans de repos. Il est maintenant beaucoup plus à l'écoute de son corps, beaucoup plus à l'écoute de son entraîneur. « J'ai appris à toujours faire confiance à mon entraîneur, lui dire tous les entraînements que je fais par exemple. » « On se dit toujours que c'est un jeune, qu'il n'y a pas de danger, pense la mère de Sébastien. Je pense que les adolescents ont des limites et qu'il faut essayer d'être à l'écoute. » Le grand rêve, lui, semble toujours là, même si le retard fait mal... « C'est un athlète, s'il rebondit, il va revenir fort, estime Éric Bédard. Il a su gagner, il a su se relever. Ce sont ces athlètes qu'on veut dans le fond. » (D'après un reportage de Diane Sauvé)
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2ie de 3, surentrainement à quel prix
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Commentaires sur ce reportage? -
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Excellent commentaire Hum -
Ces jeunes qui vivent comme des pros(1 de 3 Radio Can
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Tu es pas mal familié pour un peureux en arrière d'un nick. Pour ton commentaire, je ne sais pas combien de jeunes mais donne donc tes commentaires sur le reportage de Radio Canada. -
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Cher Arès je ne dicte rien. Je met le lien de la série de reportage de rado canada. Et si tu prenais le temps de lire une des intervenante est de tennis canada. De plus, ici on parle de beaucoup plus de 20 heures semaines. Et en terminant, tu en connais beaucoup des jeunes de 12 ans qui commencent leur semaine le lundi à 4.30 am? -
Ces jeunes qui vivent comme des pros(1 de 3 Radio Can
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Séverine Tamborero, entraîneuse nationale à Tennis Canada. Bigboy je suppose que cette femme dit n'importe quoi? On parle de jeune 8 ans 12 ans 15 ans en pleine croissance. As-tu pris la peine de lire et de regarder le reportage? Donnes toi la peine de regarder les nouvelles ce soir pour la deuxième partie. Non laisse faire comme je l'ai dit je vais mettre le lien demain matin. -
Ces jeunes qui vivent comme des pros(1 de 3 Radio Can
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Prends-tu la peine de lire et de comprendre Carey? -
Voici e reportage de Ces jeunes qui vivent comme des pros. 1 de 3 http://www.radio-canada.ca/sports/PlusS ... opo2.shtml
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Selon l'entrevue à CKAC mélange vitamine b12, gatorade et une boisson énergisante (genre red bull). Cependant nous n'avons qu'un seul coté de la médaille. J'aimerais avoir le coté des instructeurs. Par contre voir le reportage de radio can sur le sur entrainement des jeunes.
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Carey est en train d'écrire sur le classement poc ontarien que le hockey est bien meilleur au Québec :P :P :P