rookie coach
Members-
Compteur de contenus
1983 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par rookie coach
-
http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201305/25/01-4654504-hockey-canada-la-mise-en-echec-bannie-au-niveau-pee-wee.php La Presse Canadienne CHARLOTTETOWN Le conseil d'administration de Hockey Canada s'est fortement prononcé en faveur de l'interdiction de la mise en échec au niveau pee-wee, samedi, lors de son assemblée générale annuelle qui se tenait à Charlottetown. Seul l'Association de hockey de la Saskatchewan a voté contre la motion. La décision survient après que Hockey Alberta et Hockey Nouvelle-Écosse aient récemment banni la mise en échec à ce niveau. Hockey Québec interdisait déjà cette pratique depuis plusieurs années pour les joueurs qui sont habituellement âgés entre 11 et 12 ans. Le débat qui faisait rage à savoir à quel âge on devait permettre la mise en échec a soulevé les passions pendant plusieurs années au Canada. Les recherches ont toutefois démontré qu'il y avait trois fois plus de chances de blessures chez les joueurs de niveau pee-wee qui peuvent mettre leurs adversaires en échec en Alberta, comparativement à ceux du Québec, où la mise en échec est permise à partir du niveau bantam seulement. Le vice-président du développement hockey à Hockey Canada, Paul Carson, a indiqué que la sécurité des joueurs était un argument de taille dans la décision du conseil d'administration. Il a affirmé que les réactions des membres du conseil étaient mitigées, mais que la plupart d'entre eux croyaient qu'il s'agissait de la bonne décision. « Même si quelques-uns étaient réticents, ils ont compris que la sécurité et le développement des habiletés des joueurs devaient être pris en compte », a déclaré Carson, samedi. Kelly McClintock, le directeur général de l'Association de Hockey de la Saskatchewan, maintient que la mise en échec est une habileté qui doit être enseignée aux enfants dès l'âge de huit ou neuf ans. « Nos membres ont toujours étaient fortement en faveur de la mise en échec chez les jeunes, a-t-il dit. Ç'a toujours été une question épineuse chez nous. »
-
Hockey Canada: la mise en échec bannie au niveau pee-wee
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Carey doit avoir beaucoup de famille en Saskatchewan. -
Mise en échec chez les pee-wee: le modèle québécois s'impose au pays
rookie coach a posté un sujet dans GÉNÉRAL
http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201305/20/01-4652450-mise-en-echec-chez-les-pee-wee-le-modele-quebecois-simpose-au-pays.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_sports_257_accueil_POS2 -
Le collège privé St-Jean Vianney aurait été refusé pour faire son entrée dans la LHPS. Pourquoi? Mctru pourrais-tu nous éclairer. Savoir si cette rumeur est vrai. Et si oui pourquoi. Ce qui circule est une histoire de territoire.
-
Mise en échec chez les pee-wee: le modèle québécois s'impose au pays
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Le Québec a fait cavalier seul pendant 27 ans. Puis coup sur coup, la semaine dernière, la Nouvelle-Écosse et l'Alberta ont aussi décidé d'interdire la mise en échec au niveau pee-wee. D'autres provinces canadiennes pourraient maintenant les imiter. Et si les mentalités étaient en train de changer dans le hockey canadien? Faut-il permettre à de jeunes hockeyeurs de 11 et 12 ans de s'asséner des mises en échec? À cette question précise, pendant des années, le Québec a été la seule province canadienne à répondre «non». Pendant 27 ans, pour être plus précis. Depuis qu'il a banni les mises en échec au niveau pee-wee en 1986, Hockey Québec faisait figure d'exception en Amérique du Nord. Cette position minoritaire a engendré de nombreux débats dans la province; sur le caractère soi-disant «feluette» des joueurs d'ici, incapables de faire face au jeu physique du hockey moderne. Plusieurs parents et entraîneurs ont même demandé au fil des ans que la province en finisse avec l'interdiction et rejoigne enfin les autres provinces canadiennes. Mais le vent semble désormais avoir tourné. Depuis qu'une étude a démontré en 2010 une incidence quatre fois supérieure des commotions cérébrales chez les hockeyeurs pee-wee de l'Alberta par rapport à ceux du Québec, les autorités du hockey nord-américain ont pris note. Les États-Unis ont été les premiers à imiter le Québec il y a deux ans. Puis la fin de semaine dernière, Hockey Nouvelle-Écosse a annoncé qu'elle interdisait désormais les mises en échec chez les joueurs de 11 et 12 ans, quelques jours après une annonce similaire de l'Alberta. La décision de l'Alberta en a surpris plusieurs. Les joueurs de la province sont reconnus pour leur jeu physique. «S'il y avait la gauche et la droite sur cet enjeu et que la gauche disait: «Enlevez les mises en échec maintenant» et la droite disait: «Le sport est parfait», alors Hockey Alberta a certainement été plus proche de la droite dans le passé», illustre Rob Litwinski, directeur général de Hockey Alberta. Le Québec, l'Alberta et la Nouvelle-Écosse sont désormais les trois provinces canadiennes qui interdisent la mise en échec au niveau pee-wee. Quelques appels de La Presse ont cependant permis de constater que plusieurs autres provinces entendent leur emboîter le pas. Hockey Colombie-Britannique va soumettre la question à ses membres en juin dans le cadre de son assemblée annuelle. Toutes les provinces atlantiques comptent en faire autant. En fait, seuls le Manitoba et la Saskatchewan semblent vouloir garder coûte que coûte les mises en échec dans cette catégorie d'âge. «Il y a sept ans, à mes débuts à la barre de Hockey Québec, on était vraiment montrés du doigt, se rappelle le directeur général de la fédération québécoise, Sylvain Lalonde. Il y a 10 ans encore, des gens exigeaient dans certaines provinces la mise en échec au niveau atome. C'était très partagé. Mais je vois qu'aujourd'hui, l'opinion publique semble s'opposer aux mises en échec chez les pee-wee. Il y a eu de longs débats même au Québec, mais je pense qu'aujourd'hui, notre position est acceptée.» L'effet Sidney Crosby Le directeur de Hockey Québec a remarqué chez ses homologues du Canada anglais une sensibilité accrue au phénomène des commotions cérébrales depuis quelques années. «La perte de Sidney Crosby a vraiment sensibilisé les gens», dit-il, en référence aux commotions cérébrales qui ont privé l'attaquant-vedette d'une bonne partie de sa saison 2010 et de la presque totalité de la suivante. Les ennuis de Crosby ont coïncidé avec la publication de deux études coup sur coup. La Dre Carolyn Emery, de l'Université de Calgary, a d'abord suivi de jeunes joueurs pee-wee du Québec et de l'Alberta. «On a découvert qu'il y avait trois fois plus de blessures chez les joueurs pee-wee de l'Alberta que chez ceux du Québec. Ce qui nous a surpris davantage, c'est qu'il y avait aussi quatre fois plus de commotions cérébrales», rappelle Claude Goulet, professeur au département d'éducation physique de l'Université Laval, qui a participé à l'étude publiée en 2010. Carolyn Emery a ensuite mené une seconde étude. Plusieurs des défenseurs de la mise en échec en bas âge font valoir qu'elle a un «effet protecteur». Selon eux, plus les enfants apprennent tôt à mettre en échec, moins ils subiront de blessures plus tard. Cette affirmation n'avait bien sûr jamais été documentée. La chercheuse a donc suivi encore une fois des joueurs du Québec et de l'Alberta, mais cette fois-ci du niveau bantam et pratiquant la mise en échec. La mise en échec apparaît au Québec dès 13 et 14 ans (bantam), mais seulement dans les catégories double lettre et supérieures, donc chez les meilleurs joueurs. «On a découvert qu'il y avait un nombre similaire de blessures entre les joueurs bantam des deux provinces. Il n'y a donc pas d'effet protecteur au niveau bantam», dit Claude Goulet. Il rappelle que c'est aussi une étude qui avait convaincu Hockey Québec d'interdire les mises en échec au niveau pee-wee en 1986. Elle démontrait que les jeunes joueurs qui utilisaient la mise en échec subissaient 12 fois plus de fractures que les autres. «À cet âge-là, les joueurs sont en pleine puberté. On constate des différences énormes de gabarit; des différences de taille de 30 cm et de 30 kg entre les plus grands et les plus petits, poursuit M. Goulet. On a même constaté une différence de la force des mises en échec de 70 % entre certains de ces jeunes joueurs.» Les deux études de Carolyn Emery ont été citées par les autorités de la Nouvelle-Écosse et de l'Alberta au moment d'annoncer leur décision, la semaine dernière. L'Alberta pense pouvoir éliminer 500 commotions cérébrales par année chez ses joueurs de 11 et 12 ans. Même dans l'Ouest, des chroniqueurs sportifs l'ont admis: devant de telles statistiques, il faudrait être fou pour défendre la mise en échec au niveau pee-wee. «J'ai vraiment l'impression qu'on est en train d'assister à un changement de culture», tranche Claude Goulet. *** Un Albertain en croisade Les parents et les instructeurs qui se battent pour le maintien des mises en échec au niveau pee-wee sont des «morons». Todd Millar a regretté avoir écrit ce terme - 14 fois plutôt qu'une - dans un billet mis en ligne sur son blogue personnel. M. Millar s'est impliqué bénévolement pendant plusieurs années dans le hockey albertain. Lorsqu'il a pris la tête, en 2011, d'une des plus grandes ligues mineures du pays, Hockey Calgary, il s'est donné pour mission de réduire les blessures sur les patinoires. Il avait vu trop de jeunes victimes de commotions cérébrales. Il avait trop lu sur la question pour se croiser les bras. «L'exemple du Québec nous a vraiment inspirés», a raconté Todd Millar cette semaine lors d'un entretien téléphonique. À peine en poste, le directeur de Hockey Calgary s'est donné pour mission l'interdiction des mises en échec au niveau pee-wee dans la plus grande ville de l'Alberta. Il a rencontré les parents de joueurs, leur a soumis les faits. «On a passé en revue plusieurs études, mais surtout celle de l'Université de Calgary. Ce qui nous a sauté aux yeux, c'est qu'en Alberta, il y a quatre fois plus de commotions cérébrales qu'au Québec au niveau pee-wee.» Todd Millar avait bon espoir de réussir. Il croyait pouvoir changer les mentalités dans cette province où le hockey viril fait partie du paysage comme les puits de pétrole. Mais lors du vote fatidique, les associations membres de Hockey Calgary ont rejeté la proposition. «Il y a eu du bullying. Certaines associations ont fait pression sur les plus petites pour qu'elles s'opposent à la mesure», croit-il. C'est dans la foulée de ce vote que le directeur de Hockey Calgary a écrit le fameux billet sur son blogue. «Il y a tellement de morons dans ce sport qui ne peuvent même pas comprendre qu'en changeant un petit règlement de rien, on protège des enfants de 11 et 12 ans», pouvait-on y lire. Ses adversaires ont envoyé le billet à la presse. Todd Millar a démissionné. Près de deux ans plus tard, l'organisation mère de Hockey Calgary, Hockey Alberta, décide d'interdire les mises en échec chez les pee-wee à la grandeur de la province. «Quand ils en ont fait l'annonce la semaine dernière, ç'a été un jour magnifique!» a lancé M. Millar. «Je me rappelle que les opposants disaient: "Ça va nuire au développement des jeunes qui veulent devenir des joueurs professionnels." Je n'ai pas de données précises, mais d'un point de vue anecdotique, l'exemple du Québec nous démontre l'inverse, estime Todd Millar. Le Québec fait un excellent travail lorsque vient le temps de produire de grands joueurs professionnels.» *** Le Québec n'est plus seul Pendant des années, le Québec a été la seule province canadienne à interdire complètement les mises en échec au niveau pee-wee. L'Alberta et la Nouvelle-Écosse ont décidé de l'imiter la semaine dernière. Voici un portrait de la situation au pays. Les mises en échec sont permises pour tous les joueurs pee-wee (11-12 ans) Les mises en échec ne sont permises que pour les joueurs pee-wee élite. Les mises en échec sont bannies pour tous les joueurs pee-wee. 1 - Colombie-Britannique La Colombie-Britannique permet les mises en échec à tous les niveaux pee-wee. Mais cette situation pourrait bientôt changer. Un porte-parole confirme que Hockey BC entend proposer à ses membres de les interdire à sa prochaine assemblée annuelle, du 7 au 9 juin. 2 - Alberta L'Alberta, qui permettait les mises en échec dans toutes les catégories pee-wee, a annoncé la semaine dernière qu'elle les interdirait dès la saison prochaine. Hockey Alberta estime que la décision va permettre de réduire de 500 le nombre de commotions cérébrales chez ses joueurs pee-wee chaque année. 3 - Saskatchewan La Saskatchewan n'entend pas interdire les mises en échec chez les pee-wee. Le directeur de la Saskatchewan Hockey Association aimerait même les voir permises au niveau atome. «Nos membres ont toujours réitéré qu'ils voulaient les mises en échec au niveau pee-wee et même plus tôt», dit Kelly McClintock. «Je ne vois pas la Saskatchewan suivre l'exemple de l'Alberta, à moins qu'il y ait un changement pancanadien qui oblige leur interdiction», ajoute-t-il. 4 - Manitoba Les mises en échec sont permises pour les joueurs pee-wee de toutes les catégories au Manitoba. La situation ne devrait pas changer de sitôt. «Notre assemblée générale vient d'avoir lieu alors il est certain qu'il n'y aura pas de changement avant l'année prochaine», dit Peter Woods, directeur de Hockey Manitoba. 5 - Ontario L'Ontario a décidé il y a deux ans de limiter les mises en échec aux joueurs pee-wee élite. Hockey Ontario estime que 70 % des joueurs pee-wee de la province n'ont pas le droit de plaquer. La province pourrait-elle aller plus loin? «Nous allons débattre de cette question à Hockey Ontario à la lumière des décisions en Alberta et en Nouvelle-Écosse. Nous n'allons pas nous enfouir la tête dans le sable», dit Phillip McKee, directeur de Hockey Ontario. 6 - Québec Le Québec est devenu en 1986 la première province canadienne (et le premier territoire en Amérique du Nord) à interdire les mises en échec chez les 11-12 ans. Il les a aussi limitées à ses joueurs élite (double lettres) dans toutes les catégories supérieures. «La mise en échec est pratiquée par seulement 9% des jeunes joueurs au Québec, soit 9000 joueurs», estime le directeur de Hockey Québec, Sylvain Lalonde. 7 - Nouveau-Brunswick Le Nouveau-Brunswick entend revoir sa position sur les mises en échec chez les pee-wee. «On veut réduire le nombre de blessures, surtout les blessures à la tête», a expliqué dans une entrevue à CBC un porte-parole de Hockey Nouveau-Brunswick, Nic Jansen. Il ajoute que la question sera débattue en juin lors des instances annuelles de l'organisation. 8 - Île-du-Prince-Édouard Le directeur de Hockey PEI ne s'en cache pas: les récents développements en Alberta et en Nouvelle-Écosse pourraient mener à l'interdiction des mises en échec chez les pee-wee de la province. «On prévoit pousser plus loin la réflexion, c'est certain», dit-il. Pour l'instant, elles sont permises chez les joueurs pee-wee double et triple lettres. 9 - Nouvelle-Écosse Dans un communiqué la fin de semaine dernière, Hockey Nouvelle-Écosse a annoncé sa décision d'emboîter le pas au Québec et à l'Alberta. L'organisme a choisi de bannir les mises en échec dans toutes les catégories pee-wee. Elles ne seront plus permises non plus dans les catégories B et C des niveaux bantam (13 et 14 ans) et midget (15 à 17 ans). 10 - Terre-Neuve et-Labrador «Nous jouons plusieurs matches interligues contre des équipes de Nouvelle-Écosse, alors leur décision va certainement mener à une réflexion chez nous», affirme Craig Tulk, directeur de Hockey NL. Les mises en échec sont permises pour l'instant à tous les niveaux à Terre-Neuve-et-Labrador. -
Mctru, je crois que tu as du sable dans les yeux,... :cool: :cool: je croyais que le but de ta ligue était d'amener les joueurs à devenir de meilleurs hommes, de pousser les joueurs-étudiants vers les collèges américains, vers le collégial québéquois, vers les universités. Je suis déçu que tu t'offusques de n'avoir pas beaucoup de joueurs sur cette foutue liste. Avoir de si bons jeunes étudiants et les obliger à étudier dans un autobus entre Shawinigan et Cap Breton,...c'est vraiment ça que tu veux pour tes joueurs ? Il faudrait réaliser que la LHPS est une ligue jeune composée de joueurs qui ont souvent été coupés du pee wee AA, Bantam AA ou de l'espoir et dont les parents se disent : '' Mon jeune, ils connaissent rien au hockey, on va prendre un autre chemin pour que tu te rendes à la ligue nationale.'' Tous les joueurs élites sont suivis par des évaluateurs tôt ou tard. Avec le U13, U14, etc., les jeunes talentueux sont vites repérés et ces dépisteurs ne sont pas tous innocents. Tu peux bien croire au coup monté mais je crois moi aussi que tu es sur la mauvaise piste. Comme je te l'ai déjà dit, c'est par le recrutement des meilleurs jeunes que ta ligue va évoluer, les convaincre de venir avec vous pour les bonnes raisons. L'avenir du hockey passe par l'école, tout le monde est d'accord. Seulement 2 ou 3 joueurs de cette liste vont jouer professionnels. Il est important d'être instruit. Je suis quand même déçu que malgré tout, tu veux qu'ils finissent dans un autobus de la LHJMQ,... :razz: Desert Storm Excllent commentaire. Cependant Desert, quand tu prend la peine de discuter avec les parents dont les enfants sont dans cette ligue le propos reviens souvent à '' oui mais mon jeune a plus de chances de se faire repêcher'' les parents ont toujours le repêchage en tête. Souvent ils sont hypocrites. Tu leurs réponds oui mais pas grave s'ils ne sont pas repêchés et ils reviennet avec ils ont de meilleures chances au repêchage. Je te dirais que pour 90% des parents ils pensent seulement au repêchage. L'école est secondaire.
-
subban sur neil Gryba sur eller
-
C'est drôle mais Subban saute patins touchent pas à terre,coude dans les airs. Gryba légal mais aurait du jouer différemment. Tu ne frappes pas un joueur en position vulnérable. Il devrait être suspendu pour son manque de jugement et Subban aussi mais lui pour son geste.
-
OHF Ontario introduit vote pour banir mise en echec
rookie coach a répondu à un sujet de ThreeA dans GÉNÉRAL
Président j'avais déjà abordé ce sujet il y a quelques mois et j'avais dit qu'une fois Ontario adopte un tel règlement et bien Carey va déménager en Alberta ou il écrira que l'Ontario ne connait rien au développement. Après quand l'Alberta adoptera un tel règlement je ne sais pas ou Carey ira. -
http://www.lapresse.ca/sports/hockey-ju ... ction_POS1 L'Armada de Blainville-Boisbriand a jugé que son attaquant vedette Stefan Matteau fils avait dépassé les bornes et a décidé de le libérer. Insatisfait de son utilisation depuis le début des séries éliminatoires, Matteau a déserté l'équipe, dimanche, pour rentrer de Baie-Comeau à bord de l'autobus des partisans. > Réagissez sur le blogue de hockey junior de François Parenteau L'Armada s'est incliné 2-1, samedi, contre le Drakkar, accusant un déficit de 2-0 dans cette série demi-finale. Le directeur général de l'Armada, Joël Bouchard, a justifié la décision en expliquant que l'organisation n'avait pas l'intention de déroger de ses valeurs, même si l'équipe est en séries éliminatoires. «Deux choses sont exigées de tous nos joueurs: de fournir des efforts soutenus dans le système de jeu et d'être un bon coéquipier respectueux», est-il écrit dans le communiqué de l'équipe. Selon l'équipe, Matteau, qui a disputé 17 matchs avec les Devils du New Jersey cette saison, n'en était pas à ses premiers incidents. «Nous lui avons indiqué à maintes reprises que son comportement était inacceptable pour notre organisation et nous l'avons souvent ramené à l'ordre au cours de la présente saison», dit encore le communiqué. L'Armada a souligné que cette décision ne changeait rien au statut de Stéphane Matteau père, qui occupe le poste d'entraîneur-adjoint avec l'équipe. Pour l'Armada, l'incident est clos. «Toute l'équipe se concentre maintenant en vue des deux prochains matchs, mardi et mercredi.» Partager
-
Concernant la bataille générale j'espère que Bouchard sera conséquent avec les propos qu'il a tenu lors de la suspension de Matteau. Il devrait suspendre au moins 2 joueurs. S"il ne le fait pas alors il parle des deux cotés de la bouche.
-
Sisu aucun intervenants n'a dit qu'il était au courant de l'histoire. On émet des commentaires à partir d'articles de journaux de journalistes sportifs qui eux sont plus près de l'action que les lecteurs. Maintenant si tu as des informations ou une autre version de cette histoire ne te gênes pas nous nous le laisser savoir et ainsi peut-être nous faire changer d'opinion. Mais jusqu'à maintenant tous les intervenants vont dans le même sens. Ils ne peuvent surement pas tous être dans le champ. Mais cela s'est déjà vu. Bonne journée.
-
http://www.lapresse.ca/debats/chronique ... cueil_POS1 Les témoignages sont bouleversants. PAUL: «J'aimais lire. Mais aujourd'hui, après une demi-heure, je ne suis plus capable. Si je le fais, je deviens épuisé.» BRUCE: «Je ne peux plus retenir un numéro de téléphone. Même si je le répète cinq fois, j'ai de la difficulté à m'en souvenir.» GARY: «Je ressens des maux de tête presque tous les jours. Je ne crois pas que ça se réglera.» JAMES: «J'ai connu une dépression profonde. Un jour, ma femme est rentrée à la maison et je pense que je pleurais sous une table.» ZACH: «Pendant trois semaines, personne n'a compris ce qui m'arrivait. Je ne l'oublierai jamais car je ne me suis jamais senti si seul dans ma vie.» Paul, Bruce, Gary, James et Zach sont les pseudonymes de cinq anciens joueurs de la LNH. Après une carrière professionnelle d'au moins dix saisons, ils ont été contraints à la retraite en raison de symptômes liés aux commotions cérébrales. Sous le couvert de l'anonymat, ils ont participé à une étude menée par des chercheurs de l'Université McGill et de l'Université de Toronto sur les conséquences des nombreux coups à la tête reçus durant leur carrière. Les cinq ont répondu à des questions personnelles dans l'espoir d'enrichir les connaissances sur le mal du siècle dans le sport. Leurs confidences sont troublantes. «Les effets des commotions cérébrales sur leur qualité de vie sont majeurs, explique Jeffrey Caron, qui a interrogé les cinq ex-hockeyeurs. Ces symptômes sévères ont eu des impacts dans leur vie de père et de mari.» Étudiant au doctorat en kinésiologie et psychologie sportive à l'Université McGill, Jeffrey Caron a lui-même joué au hockey aux niveaux junior majeur et universitaire. Cette expérience lui a permis d'établir une relation de confiance avec ces anciens joueurs, qui ont surtout évolué dans la LNH durant les années 90. La revue Sports Exercise & Psychology a publié dans son plus récent numéro le rapport des chercheurs. * * * Jeffrey Caron a été ému par les propos de «Gary», qui lui a raconté la fin de sa carrière. Même s'il espérait participer au camp d'entraînement de son équipe, un médecin lui a annoncé qu'il ne l'autoriserait pas à revenir au jeu. En rentrant à la maison après ce verdict sans appel, «Gary» était choqué, mais aussi soulagé. Car il savait que quelqu'un devait prendre cette décision pour lui. «Sinon, j'aurais essayé de revenir et de jouer jusqu'à en mourir», confie-t-il. L'article démontre aussi à quel point l'impact des commotions cérébrales a longtemps été mal compris. Les dirigeants de plusieurs équipes étaient dépassés par cette blessure mystérieuse. «Mon entraîneur ne pouvait voir une radiographie de ma commotion cérébrale...», explique «Paul». «Zach» ajoute qu'un jour, un médecin à qui il confiait son mal minimisa ses symptômes. «Tu te sentiras mieux après avoir marqué un but ou deux», lui a-t-il dit, en substance. Heureusement, cette ignorance est chose du passé. Le problème des commotions cérébrales n'est plus balayé sous le tapis. Mais les solutions pour mieux les détecter et les soigner demeurent embryonnaires. Ken Dryden, l'ancien gardien du Canadien, l'a rappelé dans un colloque tenu à Calgary, hier. Il a proposé que tous les gens concernés - athlètes, médecins, chercheurs, entraîneurs et dirigeants d'équipe - se regroupent pour trouver des réponses. «Même les gens qui en savent un peu sur le sujet savent peu de choses», a-t-il dit à La Presse Canadienne. Dryden a ainsi fait écho à Roger Goodell, commissaire de la Ligue nationale de football (NFL). Le mois dernier, en annonçant un partenariat avec General Electric afin de mieux comprendre ce fléau, Goodell a déclaré: «Malgré tous les progrès scientifiques, notre connaissance du cerveau est moins avancée que celle des autres organes du corps.» La NFL, rappelle Jeffrey Caron, est le leader du sport professionnel dans la lutte aux commotions cérébrales. «La ligue n'hésite pas à changer les règlements lorsqu'il le faut», dit-il. * * * Malgré les commotions cérébrales à répétition, la direction de la LNH et l'Association des joueurs n'affichent aucun leadership dans l'espoir d'en diminuer le nombre et les conséquences. Pendant que la NFL multiplie les initiatives concrètes, le circuit Bettman se contente d'un pathétique laisser-aller. La simple adoption du dégagement hybride devient une affaire d'État devant être évaluée et réévaluée jusqu'à plus soif. Le débat sur le port de la visière l'a démontré: les questions liées à la sécurité physique des joueurs embêtent le circuit. Si ce sujet générait autant d'intérêt que la sécurité financière, le progrès serait plus rapide. Pour que les mentalités évoluent, il faudra modifier l'approche des joueurs dès leur plus jeune âge. «La notion de respect est importante, dit Jeffrey Caron. Respect pour soi et pour l'adversaire.» Contrairement aux générations de hockeyeurs qui les ont précédés, les joueurs d'aujourd'hui - et leurs patrons - ne peuvent plaider l'ignorance. Les commotions cérébrales laissent trop souvent des traces terribles. «Ce n'est pas parce qu'on prend notre retraite que cette blessure disparaît», a résumé «Gary», un des joueurs interrogés par Jeffrey Caron. La LNH n'a plus d'excuses. Elle doit participer activement à la recherche de solutions.
-
Commotions: des confidences troublantes
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Imaginez quand ce sont des jeunes qui vont à l'école et qui subissent une commotion. et comme PAUL: «J'aimais lire. Mais aujourd'hui, après une demi-heure, je ne suis plus capable. Si je le fais, je deviens épuisé.» Beaucoup de difficulté à lire. Incroyable et les dirigeants de ce sport autant que les joueurs ne font rien. À croire que l'intelligence n,est pas au rendez-vous pour le hockey. -
Tom Gulitti @TGfireandice Lamoriello said he hasn't spoken to Matteau yet, but talked to Blainville-Boisbriand GM and supports his decision, which he called "mutual
-
Même si je n'aime pas beaucoup Joel Bouchard je suis entièrement d'accord avec sa décision. Le jeune Matteau s'est fait servir une belle leçcon de vie. Et je suis aussi d'accord avec la fin du texte de Martin Leclerc, Matteau devrait redouter ce que Lamorielo va lui dire.
-
http://blogues.radio-canada.ca/bloguesp ... n-matteau/ Il y a des réactions impulsives qui, parfois, peuvent vous coller à la peau pendant des années. Et même changer le cours de votre vie. Stefan Matteau, attaquant de l’Armada de Blainville-Boisbriand et premier choix au repêchage des Devils du New Jersey l’été dernier, s’est fait coller au banc par son entraîneur Jean-François Houle samedi soir lors du dernier match de son équipe. Lundi midi, le directeur général de l’Armada, Joël Bouchard, a annoncé que Matteau avait été définitivement renvoyé et que l’Armada terminera la saison sans lui. La nouvelle a rapidement fait le tour de la planète hockey. Et elle a particulièrement fait jaser au New Jersey… L’Armada affronte le Drakkar de Baie-Comeau en demi-finales de la LHJMQ. L’incident est survenu à Baie-Comeau, en fin de deuxième période, dans le second match de la série. Matteau a écopé une énième pénalité inutile alors que le pointage était de 1-1. Il s’agissait d’un match crucial pour l’Armada, qui s’était déjà incliné dans la première rencontre. Dix secondes après la pénalité de Matteau, le Drakkar a inscrit ce qui allait devenir le but gagnant. Matteau n’est plus retourné sur la patinoire par la suite. *** Jean-François Houle est un entraîneur apprécié de ses joueurs. Il les traite avec respect et il dialogue constamment avec eux. Contrairement à bien d’autres entraîneurs de carrière, Houle s’efforce d’être accessible et de ne pas marquer de frontière entre lui et ses athlètes. Houle est aussi un gagnant. Avec lui, le sort de l’équipe passe en premier. Cela explique sans doute pourquoi ses formations surpassent constamment les attentes. Dans le cas de Matteau, le premier mauvais présage est apparu dès le début de la saison. Fraîchement débarqué du programme de développement américain, le jeune ailier a rapidement eu maille à partir avec son nouvel entraîneur parce qu’il faisait régulièrement preuve d’indiscipline sur la patinoire. En octobre, Houle l’avait même suspendu pour un match, alors que Matteau était censé camper un rôle de leader. Voilà qui débutait fort mal son association avec l’Armada, d’autant plus que son père, Stéphane, fait partie du personnel d’entraîneurs de l’équipe. En point de presse lundi, Bouchard a indiqué que la saison de Matteau avait été marquée de plusieurs autres incidents et rappels à l’ordre. *** Samedi soir donc, après avoir été confiné au banc jusqu’à la fin du match, Matteau est rentré au vestiaire avec le reste de l’équipe. Et comme cela survient très souvent dans ce genre de situation, de vifs échanges verbaux ont alors eu lieu. On imagine facilement que la blessure ait été vive pour Matteau. Comment avait-on pu le clouer au banc dans un moment aussi important, lui qui a pourtant disputé 17 matchs dans la LNH cette saison, et même quelques-uns aux côtés d’Ilya Kovalchuk? Frustré par la tournure des événements, Matteau aurait toutefois dépassé les limites en lançant une remarque particulièrement désobligeante à l’endroit de ses coéquipiers. En quelques instants, sans doute transporté par un trop-plein d’émotions, il a ainsi commis les deux plus grands péchés mortels du monde du hockey : a) faire passer ses intérêts avant ceux de l’équipe; et b) manquer de respect envers ses coéquipiers. Sur-le-champ, Joël Bouchard aurait décidé que le séjour de Matteau avec l’Armada était terminé. Lorsqu’il s’est adressé aux représentants des médias lundi, Joël Bouchard a plusieurs fois répété que la direction de l’Armada exige seulement deux choses de ses joueurs. « Nous leur demandons un effort soutenu dans le cadre du système de l’équipe et nous leur demandons d’être de bons coéquipiers respectueux », a-t-il insisté, en refusant toutefois d’entrer dans les détails et de lapider Matteau sur la place publique. *** Pour les joueurs et la direction de l’Armada, c’est la fin de l’histoire. Alea jacta est, comme disait Jules César. L’équipe poursuivra sa route en séries éliminatoires sans Matteau, advienne que pourra. Malheureusement pour le principal intéressé, ce n’est qu’un début. L’annonce de son renvoi dans la dernière ligne droite des séries éliminatoires marque probablement le commencement d’une pénible odyssée. Tout d’abord d’un point de vue personnel. Peut-on imaginer l’embarras dans lequel cette histoire plonge le paternel, qui faisait partie du personnel d’entraîneurs de l’Armada avant que son fils ne devienne membre de l’organisation? Combien de temps leur faudra-t-il pour raccommoder leur relation père-fils? Ensuite, sur le plan professionnel, Matteau sera marqué au fer rouge pendant plusieurs années. Il s’est fait indiquer la porte de sortie par un directeur général qui porté le chandail de plusieurs équipes dans la LNH et qui connaît beaucoup de gens. Il vient de se faire congédier pour cause de « comportement inacceptable » en pleines séries éliminatoires par une équipe appartenant à Jean-Sébastien Giguère, Daniel Brière et Ian Laperrière! Il faudra beaucoup de temps pour effacer cet astérisque de son dossier. D’ici là, peu de directeurs généraux seront enclins à acquérir ses services. Et ce que Matteau ne sait peut-être pas, c’est que parmi les 30 directeurs généraux de la LNH, Lou Lamoriello est justement celui dont il faut le plus craindre la réaction après un incident pareil. Chez les Devils du New Jersey, les joueurs qui font le moindrement preuve d’égoïsme sont systématiquement expédiés sous d’autres cieux. Cette philosophie est la pierre d’assise de l’organisation. Dans le meilleur des cas, s’il parvenait par miracle à échapper au couperet, il ne faudrait pas se surprendre que Matteau doive longtemps expier ses fautes dans la Ligue américaine. En plus d’entacher sa réputation, ce renvoi de l’Armada pourrait aussi lui coûter très cher en argent sonnant. Quel dommage. Et en même temps, quelle nécessaire leçon.
-
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/so ... rale.shtml Toujours das cet article on y mentionne une autre étude qui dit Selon une étude de l'Institut canadien de la recherche sur la condition physique et le mode de vie de 2010-2011, c'est le soccer qui est l'activité la plus répandue au pays, avec 38 % des jeunes âgés de 5 à 17 ans qui pratiquent ce sport. Le hockey et la ringuette se placent en deuxième position avec 17 % des jeunes qui pratiquent l'un de ces sports.
-
hockey responsable de 44 % des traumatismes crâniens
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Carey je croyais qu'il n'y avait pas de aa bb cc en Ontario? je me trompe? Par ce que comme l'étude ne parle pas du Québec ce commentaire n'aurait pas sa place. Car d'autres études montre clairement qu'il y a moins de blessures de toutes sortes au Québec par rapport aux autres provinces ou il y a du contact dans le pee-wee et pas au Québec. -
hockey responsable de 44 % des traumatismes crâniens
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Carey quand tu feras une étude je lirai tes conclusions. Pour l'instant prends le temps de lire comme il faut la phrase qui suit. L'étude dirigée par le docteur Michael Cusimano, neurochirurgien à l'hôpital St-Michael de Toronto, s'est penchée sur les cas de près de 13 000 enfants âgés de 5 à 19 ans ayant subi des blessures à la tête entre 1990 et 2009. L'étude a été faite en Ontario. Pas au Québec. Donc tes trois points ne servent à rien car ils sont déjà en application en Ontario. 13,000 jeunes Ontariens ont été vus et sur une période de 20 ans. Il s'agit d'un bon échantillionnage et sur une longue période. Et je te le rappelle cette étude a été faite en Ontario pas au Québec. Juste au cas ou tu l'aurais déjà oublié. Et en terminant Carey avec tes énoncés genre on peut faire dire n'importe quoi à des chiffres, tu dois être plus créationniste que scientifique. Mctru, pour la boxe ce n'est pas un sport très populaire. Oui les gens aiment la regarder mais pas la pratiquer j'imagine. De plus, beaucoup de jeunes pratiquent la boxe mais surtout l'entrainement de la boxe et non les combats. mais elle ne fait pas partie de l'étude. -
hockey responsable de 44 % des traumatismes crâniens
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Pour Carey, l'étude a étét faite en Ontario. L'étude dirigée par le docteur Michael Cusimano, neurochirurgien à l'hôpital St-Michael de Toronto, s'est penchée sur les cas de près de 13 000 enfants âgés de 5 à 19 ans ayant subi des blessures à la tête entre 1990 et 2009. La majorité de ces blessures ont été observées chez des garçons âgés de 10 et 14 ans. Les causes des traumatismes crâniens étaient soit une collision avec un autre joueur, avec la bande ou avec un objet. Dans la majorité des cas, les joueurs se sont blessés après avoir été frappés par un autre joueur. Le Dr Michael Cusimano s'étonne notamment que les mises en échec par derrière soient toujours la cause de 10 % des traumatismes crâniens chez les 10-14 ans, malgré les règlements implantés dans différentes ligues pour les interdire. À tous les niveaux, les ligues de hockey devraient punir plus sévèrement de telles infractions afin de prévenir les traumatismes crâniens chez les jeunes, croit le neurochirurgien, puisque ces blessures ont des conséquences à long terme sur les plans cognitif et psychosocial. Après le hockey, c'est le soccer, avec 19 % des cas, qui cause le plus de traumatismes crâniens, suivi par le football avec 13 % des cas, et le rugby à 5,6 %. -
hockey responsable de 44 % des traumatismes crâniens
rookie coach a répondu à un sujet de rookie coach dans GÉNÉRAL
Les chiffres expliquent une partie du grand mystère Pourquoi il y a moins de joueurs québécois et candiens dans la lnh. -
http://www.lapresse.ca/sports/hockey/20 ... -echec.php Plate à dire mais il va en falloir que cela arrive ici aussi à quelques reprises pour qu'enfin on change les choses. Bonne chance à ce joueur.
-
Félicitations à ton fils.
-
Article dans la Presse d'hier sur ce sujet. Il y a des discussion ebn coulisse afin que le programme de la LHPS soit reconnu par HQ. Il semble selon cet article que ce n,est qu'une question de temps. Qui a des nouvelles sur ces discussions?