rookie coach

Abq que de mauvaise foi. Je vais maintenant dire ce que les jeunes devrait savoir sur le hockey scolaire. À un jeune qui ne pourra être admis dans une école privée qui a une équipe bantam aa ou un programme sports études à cause de ses notes. Excuse nous mon jeune mais tu ne correspond au genre d'élève et de joueurs que l'on recherche soit intelligents, autonome étant capable d'avoir de très bonne notes même si le progrmme hockey prends assez de temps etc. On vas lui souhaiter bonne chance et qu'avec ses résultats scolaires so-so même si tu es un très bon joueur tu iras bb ou cc. C'est plate mais c'est comme cela quand tu es moins fort intellectuellement. Dans le cas d'un jeune dont les parents n'ont pas les moyens financiers pour les envoyer dans un programme sports études soit dans le public ou privé on lui expliquera qu'étant donné que ses parents sont des citoyens sans envergure financière alors le jeune ne pourra se développer à son plein potentiel. J,aimerais cela voir comment on gère ces situations. De plus arrêtes donc de dire que dans l'ensemble il y a plus de mauvais choix de de bon choix. C'est sur qu'en essayant d'influancer certain parents avec de tels propos pour les attirer dans un sport étude cela doit marcher.

Pourquoi on parle plus de commorion que d'autres blessures? Par ce que cela concerne le cerveau quelque chose que tu sembles manquer.

D' ailleur la final midjet AAA opposant Syracuse a une equipe ontariene (chadaille vert) je crois du nord de l' Ontario CA FINI 3 A 2 7 BAGARE CASQUE ENLEVE ET PERSONNE DES ORGANISATEURS OU DES PARENT PRESENT A DIT UN SEUL MOTS! les seul qui etait exiter et qui criaient etait nos jeunes dont le mien qui criait fight! fight! avec les autres j' ai ete pour lui dire d'arreter cela j' ai ete reprimender par certain de nos parent et nos coach c' etait voulu le coach les a sortie de la chambre pour qu' ils voient ca et soit pret et agressif pour notre final bien on a mager l' autre equipe 6 a 0 c' etait 2 a 0 dans la premiere minute de jeux le pire on avait perdu 5 a 2 la veille contre eux Carey tu es plus innocent que je ne le croyais. Les instructeurs de ton fils sont des colons sans cerveaux et tu n'es pas loin d'eux. À ta place je sortirais mon jeune de là mais maintenent je comprends mieux ton attitude envers hq. Tu fait parti de ce que j'appelle des dinosaures incapable d'évoluer. Tu fais pitié Carey

Ici on parle de jeunes adultes. nous on parle de mettre le contact à 10 ans wow j'ai hâte de voir les petits bonhommes dans 30 ans souffrant de démence ou d'alzheimer.

autre étude 2009 .Accueil Recherche Sciences de la santé Les commotions cérébrales et leurs effets 30 ans plus tard Mercredi, 28 Janvier 2009 17:48 Communiqué . L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents après plus de 30 ans Des chercheurs de l’Université de Montréal ont découvert les premières données indiquant que les processus mentaux et physiques des athlètes ayant subi des commotions cérébrales pendant leur carrière sportive en ressentent encore les effets plus de 30 ans plus tard, selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain. Louis De Beaumont, un étudiant au doctorat au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l’Université de Montréal, a comparé 19 anciens athlètes en bonne santé ayant subi des commotions cérébrales plus de 30 ans auparavant à 21 anciens athlètes en bonne santé n’ayant jamais subi de commotions cérébrales. L’étude a été effectuée sous la supervision de Maryse Lassonde, professeure de neuropsychologie à l’UdeM. L’étude a observé que les anciens athlètes n’ayant subi qu’une ou deux commotions cérébrales lorsqu’ils étaient de jeunes adultes ont une capacité d’attention et une mémoire inférieures à celles d’athlètes n’ayant jamais subi de commotions; de plus, certains de leurs mouvements sont plus lents que ceux des athlètes n’ayant jamais subi de commotions. Jusqu’à ce jour, la plupart des recherches menées sur les commotions cérébrales et leurs effets portaient sur les conséquences observables immédiatement et à court terme après la commotion et visaient à prendre de meilleures décisions quant au moment où un athlète peut retourner au jeu en toute sécurité. Ces recherches avaient tendance à négliger les conséquences potentielles à long terme. « L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents plus de 30 ans après la date de la commotion et que ces effets altèrent notamment la cognition et les fonctions motrices quand l’athlète vieillit, souligne l’auteur, Louis De Beaumont. À la lumière de ces résultats, il est évident que les athlètes doivent être mieux informés des effets à long terme sur les processus mentaux et physiques des commotions cérébrales à répétition subies en pratiquant des sports, afin qu’ils soient plus à même d’évaluer les risques liés à un retour au jeu. » En guise de participants, l’équipe de recherche a recruté d’anciens athlètes de niveau universitaire âgés de 50 à 60 ans, encore en bonne condition physique, en bonne santé et faisant encore de l’activité physique régulièrement, au moins trois fois par semaine. Les anciens athlètes ont répondu à des questionnaires portant sur leur état de santé général et sur leurs antécédents en matière de commotions cérébrales. Les processus mentaux et physiques des participants ont été évalués par l’entremise de toute une gamme de tests, notamment : le mini-examen de l’état mental (MMSE), qui évalue l’orientation, l’attention, la mémoire immédiate et à court terme, le langage ainsi que la capacité de réagir à des instructions orales et écrites simples; des tests neuropsychologiques visant à détecter des altérations de la mémoire épisodique, de la capacité d’attention et des fonctions exécutives, y compris des éléments comme l’apprentissage incident et la mémoire visuelle; des tests avec stimulateur magnétique transcrânien et des tests visant à évaluer la réaction du cerveau à un stimulus externe; un test des fonctions motrices dans lequel il fallait faire tourner le plus rapidement possible deux sphères en les tenant dans les mains. Les résultats ont permis de constater que, par rapport à d’anciens athlètes n’ayant jamais subi de commotion cérébrale, les anciens athlètes ayant subi leur dernière commotion cérébrale sportive plus de 30 ans auparavant ont : obtenu des résultats inférieurs aux tests neuropsychologiques portant sur la mémoire et ont montré une inhibition de la réaction; des réactions retardées et atténuées de manière importante en présence de stimuli imprévisibles; des mouvements ralentis de manière significative. « Des études longitudinales sont requises pour déterminer si les commotions cérébrales subies en pratiquant des sports provoquent des changements latents dans la fonction cognitive revenant à la surface à mesure que l’athlète prend de l’âge plutôt que de simplement accélérer le processus du vieillissement, a déclaré M. De Beaumont. Le vieillissement prématuré est assorti d’implications cliniques importantes étant donné que le vieillissement est le principal facteur de risque exposant à la maladie d’Alzheimer. » http://www.nouvelles.umontreal.ca/reche ... -tard.html

Une étude copubliée par l'Université de Calgary relance le débat sur les mises en échec dans les ligues mineures de hockey. Les chercheurs ont suivi pendant un an 1108 joueurs de 11 et 12 ans dans 74 équipes de l'Alberta où les mises en échec sont permises, ainsi que 1046 joueurs dans 76 équipes du Québec où elles ne sont autorisées qu'à partir de 13 ans. Ils ensuite comparé les résultats. Conclusion : les équipes albertaines totalisent trois fois plus de blessures que leurs homologues québécoises et notamment, plus de commotions cérébrales. L'étude démontre aussi que le jeu est plus agressif lorsque les mises en échec sont admises et que les joueurs les plus petits font les frais de cette situation. Le quart des joueurs les plus petits subissent en effet des blessures à répétition. L'étude a été réalisée en collaboration avec des chercheurs de l'université McGill University et de l'université de Laval. Elle a été publiée dans l'édition du 9 juin du Journal of the American Medical Association. Des risques sur le long terme Selon Claude Goulet, professeur agrégé au département de l'éducation de l'Université Laval, le fait d'avoir subi des commotions cérébrales peut entraîner des conséquences sur le long terme pour ce qui est de la capacité des jeunes à se concentrer. Les entraîneurs reçoivent d'ailleurs des formations spéciales pour enseigner la mise en échec tout en limitant les risques de blessures. Certains entraîneurs pensent donc que ce qu'il faudrait revoir, c'est l'âge auquel on enseigne les mises en échec : soit il faudrait commencer très jeune afin que les enfants apprennent les bonnes techniques le plus tôt possible, soit il faudrait attendre qu'ils soient plus vieux pour les leur enseigner afin qu'ils aient plus de maturité. De son côté, Hockey Canada estime que l'écart entre les blessures au Québec et en Alberta n'est pas assez élevé pour nécessiter un changement des règles. Hockey Québec a, pour sa part, refusé de commenter l'étude. L'organisme a toutefois indiqué à Radio-Canada que sa direction allait se réunir cette fin de semaine et discuter d'éventuels changements aux règlements. D'après des reportages d'Yvan Côté et de Tiphanie Roquette http://www.radio-canada.ca/nouvelles/so ... tude.shtml

Je tiens à remercier le Junior de Montréal, qui pour nos activités d'ouverture de saison, ont envoyer 5 jeunes joueurs dont Louis Leblanc pour signer des autographes et pour une période de questions posées par les jeunes. Les 5 joueurs ont fait preuve d'une très grande maturité et surtout très patient. Les jeunes étaient très heureux et rien ne vaut un grand sourire sur un visage d'un jeune. Merci Junior de Montréal.

D'accord avec toi abq

Oui car le Junior est impliqué avec d'autres organisations dont certaines de la rive sud. Communique à l'adresse d'Abq.

Abq pas un peu rough.Tu énonce une réalité qui n'est pas seulement de Montréal mais d'autres régions aussi.

Je ne fais que poser des questions car pour moi la solution ce n'est pas celle là. Car tu empêche des bon joueurs de jouer dan sleur calibre en mettant des restrictions. Tu sais abq il n'y a pas des système parfait. Le hockey dans les écoles je n'ai pas de problème mais pas de cette façon.

Bon article mais je mets un bémol quand on parle de coûts car tous les programme mentionné dans cet article sont aussi sinon plus dispendieux que le midget aaa. Pas que je défende le midget aaa loin de là mais je parle des couts. Abq j'ai une question, au programme Ulysse si un jeune qui va à l'école privé mais veut faire parti du programme hockey, est ce possible?

Yvon Pednault mentionne dans son article de ce matin qu'Hockey Canada après avoir connu une année record de ses revenus et bien cette organisation procède à l'embauche de 4 vice présidents. Des nouveaux employés. Encore des dépenses sur le dos des parents payeurs.

Je n'ai pas de doutes abq. et ce sera la même chose pour le scolaire alors il ne faut pas s,en faire. Mais si vous voulez reprochez des choses à pitou il faut le faire à minou quand c'est le temps c,est tout.

Carey prends tu le temps de lire ou seulement de cpmprendre l,article fait mention de dépenses par nomination de petits amis à Hockey canada pas hockey Québec. Hockey Canada. La nomination d'amis à des postes de VP à Hockey Canada comprends tu Carey. Hockey Canada a aussi ses amis. Arrêtes avec hockey québec et ses amis c'est pareil partout. Et tu vas êtres surpris même dans le scolaire.

Carey arrêtes un peu d,ailleurs tu viens de l'écrire la ou il y de l'homme il y a de l'hommerie. Alors arr^tes si tu en veux de la triche dans ton aa d'été il y en a plein et il n'y a pas de système parfait. Nulle part au monde. Alors arrêtes. Quand tu auras une hictoire nouvelle tu reviendras. En attendant va voir hockey d'été et va dénoncer les triches. Si tu as un exemple de triche récent pas il y a 3 ans alors parles en. Et arrêtes de dire qu'il y en a sans exemple.

carey penses-tu sincèrement que dans le aa d.été il n'y a pas de tricherie? Là arrêtes de jouer à la vierge offensée et mon chum va voir le sujet hockey d'été et regarde toutes les histoires de tricheries après tu reviendras. Essai juste d'être objectif, je sais que dans ton cas cela va être dur nais fait juste essayer. En plus tu n'es pas encore parti?

Voici la des cription du programme hockey scolaire de hockey canada auquel hockey québec à décider d'adhérer cette année. je mets également le lien internet. Ce programme est fait en collaboration entre le scolaire et le civil. Le modèle des AHHC utilise le modèle centré sur l’athlète en vertu duquel l’étudiant-athlète est au cœur du développement. Les besoins de l’étudiant-athlète en matière de développement de ses habiletés physiques, mentales et sociales sont toujours respectés par chaque organisation associée à un programme des AHHC. Bien que des normes minimales de rendement soient attendues tant sur le plan scolaire que sportif (tel que convenues par les partenaires concernés), chaque étudiant-athlète progresse à son propre rythme et selon ses propres ambitions. L’objectif n’est pas de développer de futurs joueurs professionnels ou des athlètes pour la scène internationale ou encore des récipiendaires de la bourse d’études Rhodes. L’objectif consiste à améliorer la confiance, les habiletés individuelles et l’estime de soi de l’étudiant-athlète en plus de lui offrir des occasions de développement scolaire et sportif autres que celles que lui offre le système scolaire primaire et secondaire tout en assurant une utilisation efficace des arénas pendant les heures de classe. La mise en place d’un programme des Académies des habiletés Hockey Canada exige la création de partenariats entre plusieurs groupes pour que le programme soit efficient et efficace. Tous les partenaires doivent appuyer la demande d’une AHHC. Commission scolaire - S’assure que le programme scolaire adapté répond aux exigences du ministère de l’Éducation et que les étudiants reçoivent des crédits pour leur participation à une AHHC École - Permet à l’étudiant de consacrer jusqu’à un maximum de 15 heures par semaine à l’AHHC Association de hockey mineur - Offre une expérience totale en hockey aux joueurs dans un milieu sécuritaire où règne l’esprit sportif Division - Étudie et approuve annuellement les nouvelles demandes de licences pour une AHHC Les droits de permis annuels pour une école souhaitant présenter le programme sont de 1 000 $. De plus, des frais d’inscription de 20 $ par participant sont exigés. Il existe d’autres options de frais alternatifs pour les modèles d’arrondissement scolaire. Pour de plus amples renseignements sur ces modèles, cliquez ici. (Insert PDF “License Fee Structure”.) De plus amples renseignements sont disponibles auprès de Paul Carson, directeur du développement chez Hockey Canada. Tous les détenteurs actuels d’une licence des AHHC reçoivent annuellement les produits et services suivants : 1. Cadre de référence du curriculum pédagogique des AHHC 2. Séminaire annuel des instructeurs des AHHC 3. Ressources pédagogiques des AHHC 4. Régime d’assurance médicale et responsabilité de Hockey Canada 5. Accès à un fabricant autorisé de vêtements de Hockey Canada 6. Utilisation du logo des Académies des habiletés Hockey Canada (approbation; certaines restrictions pourraient s’appliquer) 7. Outil permettant l’inscription des étudiants sur le Web 8. Matériel de promotion, bannières, cartes professionnelles et gabarit pour en-tête de lettre Pour des informations plus détaillées sur la présentation d’une demande de licence pour une AHHC, veuillez lire les trousses d’information suivantes : http://www.hockeycanada.ca/index.php/ci ... a_id/2.htm

Tu ne règle pas cependant ton supposé problème d'élite. Car dans un comme cas dans l'autre tu n'auras pas tous les joueurs élites dans une même équipe. Dans un comme dans l'autre tu pourrais te retrouver avec 5 vrai aa et les autres bb cc etc.

C'est en plein cela que je dis il faut enlever le territoire pour tout ce qui concerne les régions de hockey avec hockey québec je ne parle pas des écoles.

Pas fort pour quoi? Par ce que cela coute moins cher que ton programme? Pourquoi pas fort? Carey arrête et vas-t-en en ontario ou je ne sais plus ou et quand tu auras eu l'expérience d,un an complet tu reviendras.

Pourquoi au travers de mon chapeau explique toi

Il y a trop de choses à regarder avant de permettre cela. Comme les territoires. Commes le fait de ne pas envoyer les jeunes dans les écoles privées. Il faut mettre le hockey dans les écoles publques et permettre aux élèves du privé de se joindre quand même au programme hockey. Car il y en a qui ont des problèmes monétaires et d,autre pas assez fort à lécole. Pour ceux qui parlent de bourses et de commanditaires, nos médaillés d,or ax derniers jeux olympiques ont de la difficulté à monnayer leurs médailles alors on repassera. Pour les bourses pas facile à obtenir. Donc le public semble être la meilleure avenue. Avant de voupoir mettre en place des décrets et autres solutions sans penser à rien il faut prendre le temps de regarder la situation dans son ensemble. On est bon au Québec de vouloir tout changer mais pas penser plus loin que le bout de son nez

Hum il va falloir non seulement un décret mais aussi enlever toute la notion de territoire car les écoles non pas de territoires. Deux tu parles de sucker je penses plus que les sucker ce sont ceux qui vont payer 10k et plus pour envoyer les enfants dans des projets sports études comme c,est le cas présentement.

Les termes de l'article sont les suivants: Monsieur Nicholson qui prend toutes les décisions a expliqué les changements administratifs en soulignant que son organisme a pris de l'ampleurau cours des dernières annéeset qu'il fallait maintenant s'attarder à d'autres projets. Fin citation. Donc aucune précision sur les titres exacts. De plus selon monsieur Pednault aucun des 4 vp n'est francophone.