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rookie coach

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Tout ce qui a été posté par rookie coach

  1. Mise en échec de Mike Richard.

    CFL tu représentes tous les problèmes du hockey. Et après on se demande pourquoi on fait du sur place. J'espère juste que tu n'est pas en position pour demander à des joueurs de jouer de cette façon par ce que si oui c'est déplorable.
  2. Pour le plaisir. Gionta 4 buts 2 passes 6 points et plus 4 Gomez 2 5 7 plus 1 Camilleri 5 buts 7 passes 12 points plus 5 Spacek 1 3 4 plus4 Mara 0 5 5 plus 5 Gill 0 0 0 moins 4 Anciens Kovalev 3 buts 1 passe 4 points moins 4 Koivu 1 2 3 moins 5 Beauchemin 1 2 3 moins 5 Komisarek 0 0 0 moins 5 Jusqu'à présent total des nouveaux= 34 points et total de plus 15 Anciens 10 points et moins 19 Pas fort en stats mais qui a le meilleur jusqu'à maintenant
  3. Commotions encore..

    Carey bon commentaire, pas d'accord avec tout mais en général oui. Cependant tu touches un point important le respect. Inculquer le respect aux joueurs en bas âge. Mais comment veux-tu faire cela quand l'exemple de la maison ne respecte pas grand chose. Comment veux-tu que les enfants se respectent entre eux s'ils n'ont pas l'exemple à la maison? Quand les parents donnent leurs propres instructions pour les parties et disent à leurs enfants de faire ceci et cela et laisse faire l'instructeur. L'association des joueurs ne donne même pas de directives à ses membres concernant les mises en échec à la tête. Dans notre socité il y a de moins en moins de respect alors? Même si je ne suis pas un grand fan de Réjean Tremblay il y a une bonne phrase dans son texte de ce matin, Au hockey, les meilleurs on est assez sans dessein pour les envoyer à l'hôpital. Bonne journée Carey
  4. Commotions encore..

    Mikel,juste à voir la façon dont tu t'exprimes, je penses que tu as subi plusieurs commotions.
  5. Commotions encore..

    J'oubliais, dans le point meilleure formation des entrianeurs il faut ajouter respect des arbitres par les entraineurs
  6. Commotions encore..

    Cher Carey les solutions il n'y en a pas des tonnes et tu le les aimeras pas. Pas de contact avant le junior. Application des règlements à la lettre. Pas d'arbitre qui dit selon mon jugement il n'y avait pas de pénalité. Mise en échec par derrière c'est une pénalité. Point. Coup de coude point. etc Meilleure formation des arbitres. Meilleure formation des entraineurs relativement à l'application de la mise en échec. Soit la raison première de la mise en échec est de prendre possession de la rondelle. Pas nécéssaire de terminer sa mise en échec sur tous les jeux, il faut choisir son moment. Je vois régulièrement des joueurs terminer leurs mise en échec dans la lnh et ce faisant il se sorte du jeux et leur équipe se fait compter un but car en terminant sa mise en échec il donne un deux contre un. Éducation des parents concernant les mises en échec. En fait éducation des parents de joueurs sur beaucoup de points.Mais entre autre celui là.
  7. Commotions encore..

    http://www.oxfordjournals.org/our_journ ... awn347.pdf Je sais les études ne veulent rien dire et oxford n'est pas une université fiable il n'y a que des idiots qui vont là. :lol: :lol:
  8. Commotions encore..

    Je sais que cette solution n'arrivera jamais car nous n'avons pas les moyens de construire des glaces de cette grandeur. Mais voici une piste de solution.
  9. Commotions encore..

    Carey tu voulais des solutions en voici une. Titre du document / Document title Collision frequency in elite hockey on North American versus international size rinks Auteur(s) / Author(s) WENNBERG Richard (1) ; Affiliation(s) du ou des auteurs / Author(s) Affiliation(s) (1) Division of Neurology and Krembil Neuroscience Centre, Toronto Western Hospital, University Health Network, University of Toronto, Toronto, ON, CANADA Résumé / Abstract Objectif: La mise en échec ou la collision est le facteur de risque principal de toutes les commotions cérébrales reliées aux sports. Le but de cette étude était de déterminer si le taux de collisions dans le hockey élite était différent si la joute avait lieu sur une patinoire de taille Nord Américaine ou sur une patinoire plus grande, soit de taille internationale, Méthodes: Nous avons analysé les bandes vidéo de parties de la série finale de la Coupe Stanley de la Ligue nationale de hockey 2001 et 2002, du Championnat junior mondial et des Jeux olympiques d'hiver 2002. Toutes les collisions ont été comptées et réparties en différentes catégories (mise en échec joueur/joueur, joueur/joueur/bande, joueur/bande, joueur/glace, tête/bâton, tête/rondelle), avec subdivision selon que la tête était directement ou indirectement impliquée. Vingt-deux parties ont été analysées, soit 11 jouées sur une glace de petite taille et Il sur une glace de grande taille. Résultats: Un nombre significativement supérieur de collisions de tous types (de toutes catégories et subdivisions) ont été observées pendant les joutes jouées sur la glace de petite taille, selon les règles Nord américaines (p = 0,01 à 0,00001). Conclusions: Les résultats de cette étude démontrent qu'il y a significativement moins de collisions de tous types pendant les joutes de hockey élite jouées sur une glace de taille internationale. Les groupes comparés étaient différents sous certains autres aspects. Il sera donc nécessaire de corroborer ces résultats par l'étude de groupes plus semblables pour tirer des conclusions définitives. Cependant si nos observations sont reproductibles, l'utilisation de glaces de taille internationale, sans changement de règlements ou autre modification du jeux pourrait constituer une prévention primaire directe pour réduire le nombre de collisions et ainsi de commotions cérébrales qui surviennent au hockey. Revue / Journal Title Canadian journal of neurological sciences ISSN 0317-1671 CODEN CJNSA2 Source / Source 2004, vol. 31, no3, pp. 373-377 [5 page(s) (article)] (4 ref.) Langue / Language Anglais Editeur / Publisher Canadian Journal of Neurological Sciences, Calgary, AB, CANADA (1974) (Revue) Mots-clés anglais / English Keywords Comparative study ; American ; North ; Nervous system diseases ; Mots-clés français / French Keywords Etude comparative ; Américain ; Nord ; Système nerveux pathologie ; Mots-clés espagnols / Spanish Keywords Estudio comparativo ; Americano ; Norte ; Sistema nervioso patología ; Localisation / Location INIST-CNRS, Cote INIST : 17449, 35400011396596.
  10. Commotions encore..

    J'oubliais ce n'est pas grave.
  11. Commotions encore..

    Attention aux commotions cérébrales chez les enfants Santé Parents : Ressources : Fiches pratiques : Prévention : Attention aux commotions cérébrales chez les enfants Instituts de recherche en santé du Canada (EN) Autrefois, on faisait peu de cas des coups à la tête reçus par les enfants en jouant au soccer ou en faisant de la planche à roulette: on les consolait un peu avant de leur permettre de continuer à jouer. Cependant, une nouvelle étude canadienne révèle que même une commotion cérébrale légère chez l'enfant doit être traitée en «reposant» son cerveau, faute de quoi son comportement ou ses habilités scolaires pourraient en souffrir à long terme. Votre enfant a subi une commotion? C'est le temps de «reposer» son cerveau «Il n'existe aucune pilule «anticommotion» - la clé de la guérison réside dans le «repos» du cerveau», explique le Dr Ellemberg. Le Dr Ellemberg précise que les enfants ayant subi une commotion légère en faisant du sport ne devraient pas retourner jouer avant d'avoir passé une semaine complète sans aucun symptôme. Ils devraient aussi éviter les activités mentales exigeantes - comme l'école et les jeux intenses - pendant cette semaine. «On avait toujours cru que les cerveaux en développement des enfants se remettaient plus vite de leurs blessures que les cerveaux adultes. Mais certaines données portent à conclure que le cerveau des enfants serait plus sensible aux effets d'une commotion», a déclaré le Dr David Ellemberg, neuropsychologue de l'Université de Montréal. Le Dr Ellemberg est engagé dans la première étude à grande échelle réalisée dans le monde sur les effets des commotions cérébrales chez les enfants. Le projet d'une durée de cinq ans financé par les Instituts de recherche en santé du Canada portera sur l'étude de cas de commotion cérébrale chez plus de 200 enfants de la région de Montréal. Déjà, les résultats préliminaires obligent à réévaluer les effets d'un coup à la tête pour les enfants. Dans un cas, le Dr Ellemberg et ses collègues ont étudié l'activité cérébrale d'une fillette de huit ans lorsqu'elle est tombée à la renverse sur la tête en jouant au soccer. Elle n'a subi qu'une légère commotion, sans perte de conscience. Néanmoins, la blessure a perturbé l'activité électrique de son cerveau pendant presque un an. «Nous savons que quelque chose est arrivé aux cellules cérébrales. En général, les neurones réagissaient moins vite», affirme le Dr Ellemberg. Cela s'est traduit par des difficultés de concentration pour la fillette. Le Dr Ellemberg précise que ce changement peut passer inaperçu chez les adultes. Mais puisque les enfants sont constamment en train d'apprendre, même un léger déficit d'attention peut avoir des effets marqués. Dans ce cas particulier, la fillette a eu des problèmes scolaires pour la première fois de sa vie. Les cinq principaux symptômes de commotion sont: •Perte de conscience •Étourdissement ou désorientation •Maux de tête, nausées ou vomissement •Sonnerie ou bourdonnement dans l'oreille immédiatement après la blessure •Vision étoilée au moment de l'impact, et vision double ou embrouillée par la suite Le Dr Ellemberg souligne que ces résultats ne signifient pas qu'il faut empêcher les enfants de faire du sport et d'autres activités. Ils indiquent plutôt que les parents et les entraîneurs doivent être à l'affût des symptômes de commotion et donner aux jeunes cerveaux une chance de se rétablir. «En prenant les précautions adéquates après une commotion, nous pouvons réduire considérablement les effets sur le cerveau», conclut le Dr Ellemberg. -------------------------------------------------------------------------------- Fiche pratique – Dernière mise à jour le 8/8/2007 Réactions à cet article Envoyer à un ami .Voir aussi •Le traumatisme crânien léger •Les blessures à la tête •La perte de connaissance chez l'enfant .IncontournablesAXA - soumissions auto Pub Voir aussiLe traumatisme crânien léger Les blessures à la tête La perte de connaissance chez l'enfant Énurésie nocturne Accueil | À propos du site | Contactez nous | Plan du site | Annoncer chez-nous ©1998-2009 PetitMonde.com | Tous droits réservés | Conditions d'utilisation .
  12. Commotions encore..

    Imaginez vous si on met le contact de plus en plus jeune.
  13. Commotions encore..

    Mercredi, 28 Janvier 2009 17:48 Communiqué . L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents après plus de 30 ans Des chercheurs de l’Université de Montréal ont découvert les premières données indiquant que les processus mentaux et physiques des athlètes ayant subi des commotions cérébrales pendant leur carrière sportive en ressentent encore les effets plus de 30 ans plus tard, selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain. Louis De Beaumont, un étudiant au doctorat au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l’Université de Montréal, a comparé 19 anciens athlètes en bonne santé ayant subi des commotions cérébrales plus de 30 ans auparavant à 21 anciens athlètes en bonne santé n’ayant jamais subi de commotions cérébrales. L’étude a été effectuée sous la supervision de Maryse Lassonde, professeure de neuropsychologie à l’UdeM. L’étude a observé que les anciens athlètes n’ayant subi qu’une ou deux commotions cérébrales lorsqu’ils étaient de jeunes adultes ont une capacité d’attention et une mémoire inférieures à celles d’athlètes n’ayant jamais subi de commotions; de plus, certains de leurs mouvements sont plus lents que ceux des athlètes n’ayant jamais subi de commotions. Jusqu’à ce jour, la plupart des recherches menées sur les commotions cérébrales et leurs effets portaient sur les conséquences observables immédiatement et à court terme après la commotion et visaient à prendre de meilleures décisions quant au moment où un athlète peut retourner au jeu en toute sécurité. Ces recherches avaient tendance à négliger les conséquences potentielles à long terme. « L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents plus de 30 ans après la date de la commotion et que ces effets altèrent notamment la cognition et les fonctions motrices quand l’athlète vieillit, souligne l’auteur, Louis De Beaumont. À la lumière de ces résultats, il est évident que les athlètes doivent être mieux informés des effets à long terme sur les processus mentaux et physiques des commotions cérébrales à répétition subies en pratiquant des sports, afin qu’ils soient plus à même d’évaluer les risques liés à un retour au jeu. » En guise de participants, l’équipe de recherche a recruté d’anciens athlètes de niveau universitaire âgés de 50 à 60 ans, encore en bonne condition physique, en bonne santé et faisant encore de l’activité physique régulièrement, au moins trois fois par semaine. Les anciens athlètes ont répondu à des questionnaires portant sur leur état de santé général et sur leurs antécédents en matière de commotions cérébrales. Les processus mentaux et physiques des participants ont été évalués par l’entremise de toute une gamme de tests, notamment : le mini-examen de l’état mental (MMSE), qui évalue l’orientation, l’attention, la mémoire immédiate et à court terme, le langage ainsi que la capacité de réagir à des instructions orales et écrites simples; des tests neuropsychologiques visant à détecter des altérations de la mémoire épisodique, de la capacité d’attention et des fonctions exécutives, y compris des éléments comme l’apprentissage incident et la mémoire visuelle; des tests avec stimulateur magnétique transcrânien et des tests visant à évaluer la réaction du cerveau à un stimulus externe; un test des fonctions motrices dans lequel il fallait faire tourner le plus rapidement possible deux sphères en les tenant dans les mains. Les résultats ont permis de constater que, par rapport à d’anciens athlètes n’ayant jamais subi de commotion cérébrale, les anciens athlètes ayant subi leur dernière commotion cérébrale sportive plus de 30 ans auparavant ont : obtenu des résultats inférieurs aux tests neuropsychologiques portant sur la mémoire et ont montré une inhibition de la réaction; des réactions retardées et atténuées de manière importante en présence de stimuli imprévisibles; des mouvements ralentis de manière significative. « Des études longitudinales sont requises pour déterminer si les commotions cérébrales subies en pratiquant des sports provoquent des changements latents dans la fonction cognitive revenant à la surface à mesure que l’athlète prend de l’âge plutôt que de simplement accélérer le processus du vieillissement, a déclaré M. De Beaumont. Le vieillissement prématuré est assorti d’implications cliniques importantes étant donné que le vieillissement est le principal facteur de risque exposant à la maladie d’Alzheimer. » Sur le Web : Brain (article cité) Département de psychologie Centre de recherche en neuropsychologie et cognition Source : Emma Mason Adresse électronique : wordmason@mac.com
  14. Mise en échec de Mike Richard.

    Belle émission de ckac ce matin sur les commotions. Gabriel Grégoire viens de faire la liste de tous les joueurs souffrant de commotions au hockey incroyable. *********************************************
  15. Joueurs Francophone dans laLNH

    Il y a de bonnes idées dans le texte de monsieur x. Abq pour un peureux tu as émis de bonnes idées. Guy Beauvais.
  16. Parent mécontent qui trouve que son jeune ne joue pas assez

    Wow beaucoup de courage. Il y a un dicton qui s'applique bien à ton attitude. Sauvons nous les braves la victoire est dans la fuite.
  17. Parent mécontent qui trouve que son jeune ne joue pas assez

    Cher Abq, oui je vais me justifier car tu attaques ma façon de fonctionner sans avoir toutes les informations ce qui est souvent le cas des gens sur ce forum toi y compris.Oui les gardiens ont joué de façon égale. Chacun a joué le même de nombre de match à la fin de l'année et tout a été calculé. J'ai encore les feuilles de matchs et je peux te les envoyer. Pour ce qui est du capitaine qui a perdu son c c'est à cause de son manque d'effort et de présence aux pratiques sur glace et entrainemant hors glace. Nous avons eu une rencontre avec le père et l'enfant et le père était entièrement d'accord. Avec la décision. Sais-tu combien de fois nous nous sommes assis avec le jeune pour lui parler? Sais-tu combien de fois nous avons parlé avec les parents? Le talent n'est pas la seule chose dans la vie. Pour ce qui est des défenseurs ils ont tous joué de façon égale. C'est vrai qu'il y a deux cotés à une médaille mais il faut avoir toutes les informations avant d' émettre un commentaire. Guy Beauvais. au fait c'est quoi ton nom.
  18. Joueurs Francophone dans laLNH

    Mctru quand douze équipes non pas de dépisteurs au Québec viens pas dire que cela est correct. Et Je ne parlerais pas tant de discrimination que de favoritisme. Même Bob Mckenzie en a parlé hier soir. Quand Barnaby a descendu la ligue Junior Majeur Mckenzie était mal à l'aise et a ajouter que Sutter et sa gang préférait prendre des joueurs qu,Ils connaissaient. Mais comment veux-tu qu'il sache de quoi il parle si 12 équipes non pas de dépisteur ici et que les dépisteurs qui sont ici font comme tout bon québécois et baisse la tête devant le directeur général canadien anglophone. Le dépisteur ne vend pas bien ses choix, pas très convaincant et cela vient de Michel Langevin qui rapportait les propos de gens très impliqués dans le hockey. Par contre je ne dis pas que le hockey québécois est parfait loin de là. Il faut améliorer le développement des joueurs et cela presse. Ce n'est pas normal que des midget aient de la difficulté avec les techniques individuelles. Il faut faire comprendre aux instructeurs et parents que la victoire n,est pas tout ce qui importe.
  19. Joueurs Francophone dans laLNH

    J'écoute présenetment Bob Sirois, à ceux qui le traitent de séparatisssse vous devriez reviser vos positions. Il a mentionné que son père est américain et qu'il est venu s'établir au Québec il y a plusieurs années. Le frère de Sirois est retourné vivre au USA. Il dit qu'il est apolitique.
  20. Joueurs Francophone dans laLNH

    Voici un texte pris sur corus sports. J'attends tes commentaires Mctru (Corus Sports)- Réagissant à la publication du livre de Bob Sirois, le père de Nicola Riopel, Richard Riopel, a raconté l'histoire de son fils à l'émission « Parlons hockey », mercredi, à CKAC Sports. Il hésite à parler de discrimination, cependant. « 'Discrimination', c'est peut-être un grand mot. », lance Richard Riopel, d'emblée. On avait averti son fils dès le début de sa carrière vers le hockey professionnel : « À l'époque où il était Bantam, il avait rencontré son agent, Gilles Lupien. Une des choses que l'on avait retenues de cette rencontre, c'est que Lupien lui avait dit 'Nicola, à cause de ton nom, tu pars avec deux prises contre toi. Tu devras toujours être obligé d'en faire plus.' L'expérience que l'on a vécue démontre qu'il avait raison. » Plusieurs formations avaient pourtant démontré de l'intérêt pour Riopel, à 17 ans : « À sa première année d'éligibilité, à Columbus, il y a trois ans, Nicola était classé 6e parmi les gardiens de but nord-américains. Il avait rencontré entre 10 et 15 équipes avant le repêchage. Ils l'avaient fait venir à Toronto pour le tester. Il avait rencontré les Panthers de la Floride, entre autres. » Ça ne s'est pas déroulé comme prévu : « Tu es assis dans les estrades. Tu connais tout le monde autour car tu les as vus dans le hockey mineur, et, avec le hockey AAA, il est allé jouer à travers le Canada. Tu vois sortir le 2e, le 4e... Nicola croyait que ça allait être bientôt son tour. Puis là, oups, le 10e, le 15e, le 20e... jusqu'à la septième ronde où je me suis souvenu de sa réaction. Il voulait rester jusqu'à la fin. » Riopel, découragé, n'a pas baissé les bras : « Après le dernier choix de la 7e ronde, qui n'était pas lui, il s'est retourné, a arraché sa cravate, puis il est allé prendre une marche dans la ville de Columbus. Nous étions dans la chambre d'hôtel avec son agent; nous avons entendu une porte claquer quand il est revenu. Il avait retiré son habit, portait un survêtement et nous a dit : 'Ils ne m'auront pas.' Une chance qu'il a réagi ainsi! Ceci l'a motivé encore plus afin de leur prouver qu'ils avaient tort. » Cette motivation l'a quand même bien servi : « Il est retourné à Moncton et a essayé de prouver à toutes les équipes qu'elles s'étaient trompé. Il a eu une bonne année, malgré que l'équipe ait été en reconstruction après qu'elle ait gagné la Coupe Memorial. Il voulait maintenir un excellent pourcentage d'efficacité et gagner le plus grand nombre de matchs possibles. » Pour la deuxième occasion, les espoirs étaient peu élevés : « Il voulait aller à la séance de repêchage à Ottawa. Il n'avait rencontré que deux ou trois équipes. Lorsque tu manques l'occasion à ta première séance de repêchage, tu as le sentiment d'être passé dans le vide. On allait là sans aucune attente. On croyait qu'il allait être invité à un camp professionnel après la séance de repêchage. » Puis, un coup du destin : « Au cours de l'été, Nicola est allé travailler dans des écoles de hockey. Suite à une discussion avec son entraîneur des gardiens à Moncton, qui est associé avec Roland Melanson dans une école de hockey à Montréal, il a fait le voyage pour aller travailler avec eux. Nicola se disait qu'il n'avait pas besoin de son équipement mais a décidé de l'amener quand même. Roland Melanson a parlé à Trevor Timmins et ils l'ont invité au camp du Canadien. Suite au camp, il a rencontré Bob Gainey et Trevor Timmins. Ils ont décidé d'y aller avec Robert Mayer, un joueur européen qui jouait avec les Sea Dogs de Saint John. Il lui ont demandé de leur prouver qu'il était capable de gagner. » Et gagner, il l'a fait : « Il est reparti avec ce bagage à Moncton pour sa saison de 19 ans. Ça lui a permis de voir ce que ça lui prenait pour monter à un niveau supérieur. Il a connu une année de rêve l'an dernier, réécrivant le livre des records de la LHJMQ pour la moyenne de buts alloués, le pourcentage d'efficacité et le nombre de victoires. Il a finalement été sélectionné par les Flyers de Philadelphie en 5e ronde, 142e au total. On était là en famille, à Montréal. Tout était dessiné pour ça. Ses amis et sa famille y ont assisté. Ça a été un grand jour. Il joue maintenant avec les Phantoms d'Adirondack, le club-école des Flyers de la Ligue américaine. » Peut-on parler de discrimination dans ce cas? Avec un bémol : « Bof. C'est dur, mais tu n'as pas le choix que de réfléchir à tout ce qui s'est produit. Au moment des invitations pour Équipe Canada junior, l'an dernier, Nicola avait les meilleures statistiques à travers tout le Canada, et de loin. Les dirigeants d'Équipe Canada sont venus le voir jouer à Québec et à Drummondville, lors d'un voyage su rla route. En fin de compte, ils ont invité Jake Allen comme troisième gardien. Il n'a jamais eu la chance d'évoluer à ce niveau-là. Il ne faisait pas partie de l'engrenage au tout début. Il a gagné le Championnat du monde avec Équipe Québec chez les moins de 17 ans et n'a même pas été invité pour celui des moins de 18 ans! » Richard Riopel préfère utiliser un autre mot : « C'est peut-être du favoritisme. De l'extérieur, je vois la LNH comme le hockey mineur. C'est le club des petits amis. Il n'y pas de dirigeants francophones dans la LNH. » Il n'est pas étonné que ce soit les Flyers qui aient choisi son fils : « Surprenant, oui et non, car les Flyers sont la formation qui compte sur le plus grand nombre de joueurs francophones. Au niveau mineur, ils sont cinq dans la Ligue américaine. Il y en a quelques-uns dans la East Coast, également. » En audio, l'entrevue de Richard Riopel à l'émission « Parlons hockey » à CKAC Sports, mercredi
  21. Joueurs Francophone dans laLNH

    Non je ne pense pas. Le Québec et les québécois sont trop acceuillants et trop colonisé pour faire du racisme. La minorité anglophone est très bien bien traité au Québec. Journaux, hopitaux,écoles etc. Vous voulez du racisme envers les minorités, allez voir comment est traité la minorité francophone en Ontario, en Alberta etc.
  22. Joueurs Francophone dans laLNH

    12 équipes de la lnh n'ont aucun dépisteurs au Québec.
  23. Joueurs Francophone dans laLNH

    Écouter ckac sur ce sujet.
  24. Joueurs Francophone dans laLNH

    Mctru parle moi de Nicolas Riopel gardien de but. Son père viens de donner une entrevue à ckac. Première chose que son agent Gilles Lupien lui a dit c'est ton nom va être un problème. Si tu étais anglophone cela irait mieux. Il avait les meilleurs statistiques dans le junior au niveau canadien et il n'a pas été invité pour le camp d'Équipe canada junior. Il a été ignoré au cours de deux repéchage et il a été enfin réclamé cet été par les Flyers.5ie ronde et ce après avoir réécrit le livre des records de la ligue pour les gardiens de but. Mctru je suis d'accord avec ton dernier paragraphe mais je pense qu'il y a quand même un peu d'anti francophone dans la lnh.
  25. Joueurs Francophone dans laLNH

    Bon texte mctru. Je suis en train de lire et je te reviens.
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