Inspecteur Specteur

Pour voir l’horaire complet du Showcase de Boston. Plusieurs équipes du Collégial AAA joueront contre des puissantes formations du Junior A Américain de la AJHL et EJHL. http://easternjunior.pointstreaksites.c ... ternjunior

Concernant une éventuelle rencontre entre le CEGEP Ste-Foy et Saint-Lawrence dans un Showcase aux États-Unis, je ne crois pas que ça arrivera. Sauf erreur, Ste-Foy joue dans la division Empire, tout comme Team Ulysse. Empire c'est la division Junior B Américain. Les équipes du Collégial jouent dans la division AJHL et EJHL, soit le Junior A. Maintenant la 2e question. Ni l'une ni l'autre. Ce que je constate, c'est que la participation à ces Showcase ne suffisent pas. Le joueur et l'organisation doivent faire un Pitch de vente auprès des équipe Universitaires - avant de se rendre. Il faut aussi qu'un joueur fasse un petit montage vidéo de ses habiletés. Il envoi son vidéo aux coach et assistants coach des universités convoitées. Les adresses courriel sont facilement trouvable sur les sites Internet des Universités. Le courriel doit aussi contenir les statistiques personnelles et un lien de la ligue. En plus, quelque mots sur les résultats académiques. Voici un bon exemple. Raphaël Girard Il a été repêché par LHJMQ par Saint Jean. Il ne s'est jamais présenté aux camps. Il a préféré se rendre jouer à Northwood à Lake Placid pendant 2 ans. Il est gardien de but à Harvard. posting.php?mode=reply&f=52&t=8662

Effectivement, les Lions ont été pénible à voir ce WE. Il y a des semaines comme ça. Il faudra que la défensive se resserre. Ç'est bien que ça arrive à un moment de la saison alors qu'il n'est pas trop tard pour améliorer les choses. Laflèche et Saint-Laurent n'ont pas volé leurs victoires sur les Lions qui avaient très peu de mordant.

Sorel, Laflèche et Alma ont 18 parties de joués. Saint-Laurent en a 19. Les lions ont seulement 15 matchs de joué. Ils sont à 1 point de le 3e position.

C'est le CÉGEP Sorel qui sera pas content de cette nouvelle. Plusieurs joueurs des Rebelles sont recrutés chez les Gaulois midget AAA. Je crois qu'il est encore trop tôt pour accueillir d'autres équipes. Bien que j''encourage le hockey Collégial AAA et son programme compétitif et scolaire. J'aimerais mieux que le calibre de jeu s'élève encore. J'ai peur qu'une nouvelle équipe affaiblit le calibre de l'ensemble de la ligue.

Passer de la Ligue de hockey collégial AAA du Québec au championnat mondial junior n’est pas qu’un rêve fou. Ilya Silik, des Lions du Collège Champlain-St. Lawrence, fera ce bond prodigieux lorsqu’il renouera avec son Bélarus natal, où il portera les couleurs de son pays, du 10 au 19 décembre. Le jeune joueur de 19 ans né à Kobrin, au Bélarus, a immigré avec ses parents et sa sœur à Québec lorsqu’il avait dix ans. Détenteur de la double citoyenneté, il pourra porter les couleurs de son pays d’origine, dans son pays de surcroît, puisque le tournoi de la division B sera présenté à Bobruisk. « C’est le rêve de chaque petit gars du Bélarus de représenter un jour son pays. Et de pouvoir le faire devant ma famille et des amis d’enfance, c’est encore plus extraordinaire », a confié le jeune attaquant, hier, à la veille de son départ. « Je cherche toujours à m’améliorer comme joueur et ça me permettra de vivre un autre style de hockey. Puis on va être sur notre glace, avec notre foule », a-t-il continué. Retrouvailles émotives Bien au-delà de la compétition, qui opposera son pays à l’Ukraine, l’Italie, le Japon, la Grande-Bretagne et la Lettonie, Ilya Silik renouera fièrement avec ses racines. Il n’a remis les pieds au Bélarus que deux fois en neuf ans et a eu le cœur brisé lorsqu’il n’a pu faire le voyage pour le décès de son grand-père, il y a deux mois. « J’aurai une grosse pensée pour lui en mettant le pied dans le pays », a-t-il confié la gorge serrée. Il m’a beaucoup poussé sur le plan académique. À part de ma famille immédiate, personne ne m’a vu jouer au hockey. On a tenu la surprise le plus longtemps possible et maintenant qu’ils savent tous, ils sont excités pas mal.» Au sein même de son équipe, Silik retrouvera deux amis d’enfance avec lesquels il a appris le hockey. Il renouera aussi avec l’aréna où il a effectué ses premiers coups de patin lorsqu’il s’entraînera en préparation du tournoi. « Je vais revivre mon enfance. J’ai laissé beaucoup derrière en partant et bientôt tous ces gens seront avec moi. Il faudra gérer les émotions. » Merci aux Lions Aux yeux de Silik, le moment est donc grandiose et il le doit en bonne partie à son équipe des Lions, tout comme aux responsables de son cheminement académique à St. Lawrence. « Les entraîneurs des Lions m’ont permis de me développer et m’ont fait confiance. Puis, sans le personnel de l’école qui m’a accommodé, jamais tout cela n’aurait été possible. » Le Québécois d’adoption Ilya Silik vivra un rêve en représentant son pays natal, le Bélarus, lors du championnat mondial de hockey junior. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journ ... 31920.html

Concernant le recrutement dans le Collégial AAA, les équipes ont effectivement des recruteurs qui parcourent les matchs de Midget AAA, AA, Junior AAA ETC. Les équipes envoient aussi des lettres à des joueurs potentiels. Par exemple, Une équipe Collégial AAA peut envoyer des lettres à tout les joueurs d'une équipe Midget AAA sur son territoire. Elle les invite à un Try Out. Le Collégial AAA fonctionne beaucoup avec les Try out. Les sites Internet des équipes à la fin de la saison, donnent les dates de ces camps d'essais. Tu peux t'inscrire en ligne. Tu trouveras toutes les adresses des équipes dans le lien suivant: http://www.sportetudiant.com/fre/CollLi ... quipes.cfm Un joueur intéresse peut aussi ( et c'est très conseillé) communiquer directement avec le coach de l'équipe qui t'intéresse. J'ai vu des gars venir saluer le coach avec ses parents dans des arénas lors des matchs. Concernant la NJCAA, il faut comprendre qu'il y a trois division: 1, 2 et 3. Toutes les équipes ne jouent pas ensemble et ce ne sont pas tous des superstars qui y sont. J'ai vu Boston College l'an passé et je crois pas qu'une équipe du Collégial AAA rivaliseraient contre. J'ai aussi vu Team Ulysse l'an passé et cette année. Dans les showcases, ils évoluaient dans la division Empire, soit la division Junior B aux États-Unis. Les équipes du Collégial AAA étaient inscrites dans la Division Junior A, soit l'équivalent du Junior AAA au Québec. Tu parles du Collège Monroe, ils sont dans ce qu'on appelle la division 3. Ils ne jouent pas dans une ligue régulière comme la NCAA division 1. Le calibre est un mélange de Junior A et Junior B américain, selon les équipes.

Aucune équipe du Collégial AAA serait compétitive contre des équipes de la NCAA, division 1. Ce sont des gars allant jusqu'à 24 ans. J'ai vu un match l'an passé entre UMass et Boston College, à Boston. Le calibre est fort intéressant. Du hockey de très bon niveau. Joué par des hommes. Concernant le recrutement et les scouts. Les équipes riches ont une équipe de recruteurs qui parcourent les arénas et les showcases. Lorsqu'ils sont très intéréssé à un joueur, il faut comprendre qu'il sera aussi attiré par d'autres. Mais laissons les exceptions de côté. Qu'en est-il d'un joueur moyen qui n'a pas été vu par un scout et qui veut jouer dans la NCAA? Il doit contacter directement l'instructeur de l'Université de son choix. Lui signifier qu'il veut jouer pour cette université car il veut s'y inscrire. Par exemple, j'en connais à Harvard et à Princeton qui n'ont pas été vu par des recruteurs. Ils se sont inscrit à l'Université, ont été admis et comme ils étaient de calibre pour jouer NCAA, ils ont reçu une bourse partielle et admis dans l'équipe. On appelle ces joueurs des Call On. L'Université de l'UTAH par exemple, fait des try out en plus du recrutement. La plupart des Universités font des try out. http://www.usu.edu/hockey/tryouts.htm

Voici un petit lexique démêlant les différentes divisions 1 2 et 3 de la NCAA et aussi de la NAIA. NCAA Division I : Les universités qui appartiennent à cette division ont une fréquentation qui dépasse les 15 000 étudiants. Les classes ont un effectif beaucoup plus important que dans les autres types d’université. Le travail personnel est privilégié. Ce type d’université offre un large choix de disciplines ; les activités sur le campus sont diverses et nombreuses (matchs de football américain, fraternités, concerts…). C’est la division la plus compétitive dans le domaine sportif. Les conditions d’admission sont en général draconiennes NCAA Division II : Le nombre d’étudiants oscille entre 3000 et 15 000. Les championnats de la NCAA division II sont moins disputés que ceux de division I. Les universités qui tiennent le haut de l’affiche en division II rivalisent avec les universités de division I. Les campus des universités sont plus petits que les universités de la NCAA division I et les conditions d’admission plus souples. NCAA Division III : Les universités qui font parties de cette division ne peuvent offrir de bourses aux sportifs. Néanmoins, ces universités sont classées parmi les meilleures d’un point de vue scolaire. NAIA : Cette division comprend des universités de petites tailles (3000 étudiants ou moins). Le petit nombre d’étudiants par classe permet de très bonnes conditions de travail (un enseignement à dimension humaine). Les professeurs sont d’une manière générale plus accessibles. L’élève n’est pas anonyme : il est reconnu pour ses talents académiques et sportifs. En revanche, l’élève a un choix de matières plus limité. Les universités de la NAIA offrent des programmes sportifs et académiques qui peuvent varier de l’excellence au médiocre : d’où la nécessité d’un choix judicieux et réfléchi. Les meilleurs programmes universitaires de la NAIA ont un niveau sportif comparable à celui de la NCAA division II. Junior College : La durée des études dans ces universités n’est que de 2 ans. L’athlète pourra intégrer par la suite l’une des 3 autres divisions : la NCAA division I, la NCAA division II et la division NAIA. Les Junior Colleges ont plus de souplesse en ce qui concerne les critères d’admission.

Concernant les Preps Québécois, je parle de la nouvelle Ligue (LHPS) inspirée des "Prep schools" aux États-Unis. Cette Ligue de hockey préparatoire scolaire est aussi une pépinière pour le Hockey Collégial AAA. N'oublions pas que ces joueurs sont majoritairement d'âge secondaire. Concernant l'éventuel développement du Hockey Universitaire, l'Université Laval serait un naturel. Son programme de Football universitaire est un model au pays. Toutefois, la grande popularité des Remparts pourrait refroidir la venue d'une telle équipe. Mais ils y pensent, c'est évident. L'Université de Montréal est aussi en réflexion sur le sujet. Les Carabins sont aussi un bel exemple de réussite au Football. L'Université de Sherbrooke a aussi une bonne réputation de sport avec le Volley-ball notamment. Et pourquoi pas l'UQAM? Concernant le hockey Universitaire Canadien, même les joueurs de la LHJMQ sont éligibles. Ce qui retarde certain, c'est évidemment, les études. Rappelons qu'ils ne sont pas éligibles pour les Universités Américaines. Le Junior Majeur étant considéré là-bas comme une ligue professionnelle. Les joueurs du Junior AAA ainsi que ceux du Collégial AAA sont admissibles autant du côté américain que Canadien. Ce qui est le plus important dans tout ça, c'est que des jeunes ont maintenant la chance de jouer du hockey de compétition à des moments important de leur vie. Peu importe où la majorité ira, si elle continue à jouer au hockey jusqu'à 19-20 ans, en mettant une emphase sur les études, c'est déjà ça. Qu'auraient-ils fait si non? Abandonner le hockey à 16-17 ans alors qu'un adolescent a vraiment besoin de dépenser son trop plein de testostérone? C'est pas une bonne idée ça. Le sport-étude élite canalise les énergies dans le bon sens et fera d'eux des jeunes adultes mieux préparés. Pour les meilleurs, ils pourront allier Hockey et études jusqu'à 24 ans - à la poursuite d'un rêve de faire carrière dans les pros. 99% n'y parviendront pas dans ce segment non plus. Sauf que leurs études auront permis d'atteindre des niveaux d'emplois supérieurs qu'ils n'auraient pas obtenus sans les études. Ces jeunes seront à l'évidence de meilleures personne car ils auront développé le sens du travail d'équipe pendant leur carrière de hockeyeur d'élite. Nous les embaucherons pour leur intelligence et leurs compétences transversales et leur expérience de vie.

C'est quoi un scholarship américain en division1? Les coûts Universitaires sont à peu près de 50 000$. Pour un joueur de première année, il peut se voir offrir une bourse de 10 à 15 000$. Pour un joueur qui serait sur le liste de repêchage en première ronde NHL, ça pourrait aller au full scholarchip. ( aucun frais à payer) Pour les autres, c'est 40$ à 25$ mille à payer quand même pour les parents pour la première année. Le temps de glace d'un rookie est très bas, généralement quand c'est pas dans les estrades. Il y a quelques fois 4 gardiens dans les équipes. Un rookie gardien pourrait jouer seulement 2-3 matchs dans une année ou pas du tout. La seconde année, selon les résultats académique et performance sur la glace, la bourse peut augmenter ou demeures la même. Le temps de glace augmente. Selon les performances, à la fin de ses études, la bourse pourrait être totale, rien à payer pour le joueur. En division 2 et division 3, ce sont des Universités moins riches. Les équipes sont aussi compétitives mais n'offrent pas de grosses bourses. Donc, la part des parents est très grande. Il y a des joueurs moyens aussi dans la NCAA. Des joueurs de parents fortuné qui paient pendant 5 ans la totalité des frais et un droit de jouer. Il en faut pour compenser les bourses aux autres. Ce qui revient à dire qu'il faut que nos universités Canadiennes (québécoises) développent davantage le Hockey Universitaire. Ces Universités sont largement subventionnées par nos taxes et Impôts, ce qui explique que les frais sont moindre. Le hockey US n'est pas à la protée de toutes les bourses.

Ah, j'oubliais, vivement l'expansion de la Ligue Universitaire Canadienne. Il en est de plus en plus question. Notamment avec le Collégial AAA et le Hockey Preps québécois qui forme de bons joueurs potentiel aux Université. Je ne serais pas surpris de voir une telle expansion en 2012.

Mais une chose est certaine, les collèges Universités américaines ne sont pas attirés par un québécois qui ne parle pas anglais et qui est ordinaire à l'école. À moins qu'il soit vraiment exceptionnel point de vue Hockey. Je connais des exceptions comme ça. Il est évident que les Universités américaines recrutent beaucoup dans les ligues AJHL et EJHL et autres Junior A américain. Les Lions de Saint-Lawrence ont joué l'an passé contre les Monarch du New Hampshire. Il y avait 14 joueurs dans cette équipe repêché en division 1 NCAA et 2 joueurs sur la liste de repêchage de la NHL. Les Lions ont perdu 4 à 3. L'équipe des Lions est beaucoup plus compétitive cette année que l'an passée. Lors du premier showcase aux States, 4 victoires. Les Lions seront également à Boston en Janvier. L'an passé il y avait une centaine de recruteurs sur place. Pas en même temps à tout les match mais durant le WE.

Reportage Radio-Canada http://www.radio-canada.ca/audio-video/ ... ee%3Dcourt

LES PREP SCHOOLS Pas la mer à boire Journal de Québec En septembre 2009, la NCAA a modifié sa réglementation quant à l’admissibilité, entre autres des hockeyeurs désirant joindre ses rangs. À leur sortie du secondaire, plusieurs Québécois prennent la route des prep schools américains afin d’améliorer leurs chances de décrocher une bourse d’études dans une université de division 1. Selon Mike Labadie, entraîneur des Lions du Collège St. Lawrence et qui revient d’un séminaire sur l’admissibilité dans la NCAA, il ne s’agirait pas de la meilleure solution. « Dans les trois dernières années seulement, selon les chiffres de la NCAA, les 100 premiers joueurs ayant obtenu des bourses d’études en division 1 ont été issus des différentes ligues juniors A du Canada et des États-Unis ainsi que de la USHL. Aucun ne provenait d’un prep school », a-t-il averti. Labadie met en garde les parents qui rêvent de payer le gros montant pour que leurs enfants s’expatrient au pays de l’Oncle Sam. « Pour être admissible à jouer en division 1 de la NCAA, en plus de bien performer au hockey, ça prend 16 unités scolaires (selon le modèle américain). En sortant du secondaire, les jeunes en ont habituellement accumulé entre 13 et 16. Ceux-ci peuvent ensuite aller au cégep, qu’ils doivent terminer dans un délai maximum de trois ans. Seulement au cégep, un étudiant, selon le calcul de la NCAA, peut cumuler près de 25 unités (un cours de 2,66 crédits au Québec compte pour une unité dans la NCAA). « Dans un prep school, un étudiant ayant obtenu son diplôme d’études secondaires au Québec ne peut pas recevoir plus d’une unité. En plus, il peut recommencer l’équivalent de son secondaire 5. Si c’est le cas, aucune unité supplémentaire ne sera portée à son dossier. Un autre avantage de fréquenter un cégep québécois est que la NCAA prend en considération les 16 meilleures unités gagnées. » En passant par le cégep, l’étudiant profite d’une période de cinq ans pour cumuler les 16 unités exigées. En prenant le chemin des prep schools, il n’aurait que quatre ans. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journ ... 33313.html