Maskoutain2003

Ramenez le Midget AAA à 8 équipes au Québec comme auparavant, et la pyramide du bas va se compresser de façon toute naturelle. Mais il y a trop de business en jeu.

De nos jours dans notre nouvelle culture au hockey on ne distingue plus la présence d'un "talent supérieur" à "des jeunes en avance sur d'autres" parce qu'ils ont simplement été mieux encadrés par des parents qui ont pris les choses en main dès qu'ils avaient 4 ans (le jeune indépendamment de son talent hockey qui commence à magh 2 est "cuit" dans la plupart des AHM au Québec); mais la résultante en bout de ligne sera la même puisque sans un grand talent la courbe d'apprentissage va plafonner et Hockey Québec n'observera pas plus de joueurs dans les ligues professionnelles. La salade vendue par Hockey Québec est qu'on va "construire" des joueurs de hockey avec plus d'heures de glace et surtout à l'école secondaire où il y a de la business à faire, sans se soucier des standards de c'est quoi un joueur élite, c'est quoi le talent des joueurs. Pourquoi 25 organisations en LEQ qui ont des restrictions territoriales? La raison est la géographie des territoires comme le hockey d'association. Aujourd'hui un joueur élite est celui qui passe la coupure indépendamment de standards, les équipes dites élites n'ont pas de standards de performances à accomplir pour être dans une ligue dite d'excellence et la culture a trop changé au Québec face aux générations des parents. Il n'y a aucune raison pour du PW AAA ou BT AAA de ne pas avoir 3 lignes dangereuses en power play, on sait tous dans la réalité actuelle des équipes qui manque de talent que souvent après le 4e attaquants d'une équipe les habilités offensives des autres ne sont pas digne d'un réel calibre AAA, il y a des défenseurs au PW AAA que leur shot de la bleue se rend à peine au filet, est-ce normal? Il sera bientôt grand temps d'ouvrir les territoires et d'avoir une libre sélection de réels joueurs élites qui joueront pour des organisations de leur choix. C'est le seul moyen de propulser tout le monde vers le haut, les jeunes qui tirent de la patte ne seront pas sélectionnés, les organisations qui coupent dans le service donné et la qualité verront les gens ignorer leurs camps au profit de d'autres organisations dans un réel libre-choix pour tous. En attendant, on observe davantage ce que l'on voit actuellement : des équipes où le talent est dispersé, parfois plus concentré, parfois plus dilué avec d'autres offres de service, ce n'est plus homogène en 2016 la pratique du hockey au Québec. C'est quasi comme la boxe où il y a presqu'une demi-douzaine de ceintures de champions par catégorie de poids, au Québec le hockey dit élite ressemble à ça en 2016.

Un instant messieurs. Le développement par des spécialistes ne compensera jamais le manque de talent pur au Québec, il n'y a pas de baguette magique même en mettant les jeunes plus sur la glace (sur-entrainement ne donne rien). Pas pour rien qu'il y avait plus de québécois avant qui perçaient qu'aujourd'hui, il y avait tout simplement plus de talent au kilomètre carré au Québec auparavant et cela n'a rien à voir avec qui poussent les jeunes de nos jours pour prendre le dessus sur les autres régions amorphes. LSL domine dans la LEQ, ok, mais combien de territoires ont des problèmes avec leur clientèle pour réunir et garder leur élite? Je suis de la région Richelieu et regardez dans la fin des années 1980 début des années 1990 qui a joué pour les Élites du Richelieu, 47 du Richelieu, Toros 87; des grands joueurs de talent y ont passé. D'autres régions c'était pareil où la culture du hockey a évolué. Aujourd'hui, le même territoire voit peu de joueurs d'aussi haut niveau, mais pourtant jamais autant de jeunes ont joué Midget AAA et dans la pépinière (Espoir, etc.) e avec en plus 2 clubs Midget AAA qui couvrent le Richelieu depuis nombre d'années (avant c'était juste à Sorel). On aura beau faire jouer les jeunes au hockey 4 jours par semaine à l'école en remplacement à des heures d'enseignement de matières scolaires, mais quand un grand talent n'y est pas alors ça n'aboutira à rien pour ce que Hockey Québec souhaite : plus de québécois dans les ligues professionnelles. On a juste créé plus de business autour du hockey, point à la ligne; pas plus de talent. Et les résultats actuels sont à l'inverse du passé pour produire plus de québécois en haut. La culture a changé du hockey, associer hockey et école sous la catégorie midget est une grande erreur de mon opinion étant donné la grandeur des régions au Québec à couvrir. LSL a une particularité indéniable : beaucoup de gens sont en moyens et en 2016 les moyens financiers jouent pour beaucoup pour développer n'importe quel jeune dans n'importe quelle discipline.

Louis Leblanc avait une bonne réputation "hockey" jusqu'à ce qu'il soit repêché NHL (aucun match dans le junior majeur); une fois dans la LHJMQ plusieurs ont réalisé qu'il était en réalité "moyen" et pour le calibre des ligues professionnelles la suite va en ce sens. Normal que certains prospects ne poursuivent pas tous leur développement comme prévu. Reste que des choix de 1ere ronde NHL qui ne percent pas sont catalogués comme flop dans l'histoire, le CH en a plusieurs dans les 30 dernières années et il ne sera pas le dernier, malheureusement ça fait parti de la game. Bonne chance pour sa 2e carrière.

L'hiver dernier nous avions un joueur qui jouait avec nous en LEQ, et parfois des matchs comme remplaçant en LHPS M13. Ce n'est pas unique comme cas. Je ne vois pas ça comme un problème, ça reste du remplacement au besoin.

Il y a plusieurs jeunes qui jouaient PW AAA-AA l'an dernier qui ne sont pas de retour en LEQ par choix (regardez leur profil sur Publications Sports au Bantam AA), et jouent Bantam AA cette saison par choix. Certains autres jouent Cadet sous RSEQ, c'est correct aussi, correct s'ils veulent jouer des matchs gratis comme joueurs affiliés au Bantam AA sur leur territoire avec et contre des anciens de l'an dernier. En bout de ligne, tout le monde y gagne.

Alors on va revenir sur le concept de base. Pourquoi tel ou tel territoire a une ou des équipes en LEQ? La réponse est le nombre d'inscriptions au total dans les associations et ça inclut à 80% du hockey récréatif dans le nombre d'inscriptions considérés, pas le talent d'une cuvée sur un secteur donné. C'est pas super rigoureux ce système. Alors, il est où le critère "d'élite" là-dedans pour établir que la LEQ doit avoir 25 équipes AAA et 27 équipes Relève? C'est quoi le standard à atteindre pour jouer dans la ligue élite pour un joueur? Faire la coupure? À bantam, il y a plus qu'un territoire où souvent il y a 6 chaises de défenseurs pour moins de 10 candidats, 4 chaises de gardiens pour 5 candidats, et ça c'est si aucun se retire, grosse sélection ici. Tant qu'il n'y aura pas de standards pour définir c'est quoi un joueur élite alors il n'y aura pas de résultat concret dans l'ensemble. Les tops ne vous en faites pas vous vous rendrez jusqu'en haut, mais vous jouerez avec qui avant d'atteindre le Midget AAA et à jouer 1 shift sur 3? Je crois que l'expérimentation de la LEQ a amené du bien dans ses premières années avec un gros "hype" quand c'est nouveau, on est dû pour un ajustement de Hockey Québec là où il y a de l'essoufflement. Ça ne veut pas dire mettre cela à terre, non, mais à mon sens surtout questionner la quantité d'équipes, elles sont localisées. On ne me fera pas croire qu'au printemps ils n'ont aucune idée si le territoire est compétitif ou pas. Tous niveaux confondus, c'est plus difficile participer au tournoi PW de Québec que de jouer en LEQ... faut le faire.

Scolaire ce n'est pas mieux, mais de leur côté leur philosophie est plus "claire" où ils savent qu'ils n'existent pas pour produire des joueurs pour la réputation de Hockey Québec et combien vont se rendre au pro; LEQ le bassin d'équipes est trop grand pour cette philosophie à mon avis.

Le hockey au Québec est un "sport de masse" indépendamment du talent. C'est une business, maintenant dans les sports-études. Votre mentalité est applicable si la LEQ avait, par exemple dans mon secteur, 1 organisation pour la rive-sud de Montréal et non 4 organisations. À 4 organisations avec du AAA et du Relève par catégorie, ça prend plusieurs jeunes et c'est impossible de conserver que la crème comme vous le désirez.

Le problème c'est que les 5-6 très bons d'un territoire ont quand même besoin d'une ÉQUIPE de calibre autour d'eux durant leurs années pee-wee et bantam. C'est un tour de force de satisfaire tout le monde. Si LSL réussit à garder tout son monde heureux, certains territoires ont lamentablement échoué à être compétitif jusqu'au Midget AAA.

Nick30 - Le fond de la discussion reste les stats individuelles en LEQ qui prouvent publiquement sur leur site web la dilution du talent dans une ligue de non-excellence (le 15% - 85% est bien estimé de mon avis aussi dans l'état de la ligue, le 85% ça peut être n'importe quel joueur "correct"). L'excellence, ce n'est pas que 4 joueurs sur une équipe de 17, l'équipe globale doit être de calibre. Compter la quantité de joueurs qui ne feront même pas 10 goals dans une saison en LEQ quand c'est la concentration souhaitée des meilleurs de souvent 6 à 8 AHM, c'est alarmant; mais ça reflète que beaucoup d'équipes ont plusieurs joueurs choisis qui manquent d'aptitudes offensives. Et détrompez-vous, ils ne feraient pas 10 goals aussi une coche ou 2 plus bas dans les catégories. C'est simplement une absence de ce type de talent dans leur coffre à outil. Comme des Lars Eller, des Jacob De La Rose où même AHL c'est difficile compter. Un joueur de bel allure, mais au final la feuille reste blanche. C'est beau le jouage sans la rondelle, apprendre des systèmes de jeu pour espérer gagner des matchs 2-1 puisque tout le monde dans l'organisation est conscient que le skill offensif est très faible, mais la base du hockey reste de compter des buts. Faites l'exercice d'identifier les meilleurs jeunes sur votre territoire pour une année de naissance de votre choix, et à bantam/midget les noms retenus ne sont pas qu'en LEQ et loin de là.

Aurèle Joliat - Tu prétends que c'est de l'excellence avec les 2002/2003 en Bantam Relève aux Conquérants, Gaulois, Cascades, Collège Français, Grenadiers, etc? De plus, les statistiques individuelles confirment cette dilution. Explique-nous ton raisonnement si tu arrives à structurer tes idées. Dans mon livre, quand on débat sur le concept d'une ligue d'excellence et que le réflexe est d'attaquer l'individu et non ses arguments apportés, c'est le signe d'une position en défensive désarçonnée. J'espère que mes arguments ne t'ont pas fait recroqueviller en position fœtale! :razz:

Ici nous avions un intervenant POCiste qui disait que le U16 c'était mauvais avec des premiers marqueurs qui étaient pee-wee CC/A il y a à peine 3 ans, soit à leur 1ere année pee-wee. Or, ce que j'affirme c'est que la LEQ ce n'est pas mieux présentement avec la dilution. Donc, regardons ce qui se trouve sous le capot de la LEQ, où était l'alignement du Bantam Relève actuel de mon territoire à leur 1ere année pee-wee : 2 Gardiens (2003) : 1 PWA, 1 PWAA. 6 Défenseurs (2003) : 4 PWCC, 2 PWBB. 3 Attaquants (2002) : 2 PWAA, 1 PWBB. 6 Attaquants (2003) : 1 PWAA, 1 PWBB, 2 PW CC, 2 PW A. Ça c'est un noyau d'excellence en développement pour du Bantam AAA l'an prochain? En tout respect, on ne vise pas les jeunes ici mais le processus de cette ligue d'excellence dans son état amoché actuel, tu peux trouver plein de joueurs meilleurs, et au pire comparables, dans les associations et le scolaire dans les 8 villes couvertes sur le territoire. Cette observation est aussi présente sur d'autres territoires comme les Conquérants, les Cascades, Collège Français, Grenadiers, etc. Bref, il y a beaucoup trop d'équipes en LEQ pour le réel talent présent. Est-ce si difficile à comprendre? Voilà pourquoi entre le 3e marqueur de la ligue en LEQ et le 150e, il y a peu d'écart où le talent est dilué dans la LEQ dans le contexte actuel. Ce n'est pas la faute des coachs qui ont pour la plupart aucune stabilité dans plusieurs organisations, ni la faute des parents et jeunes, c'est l'unique faute du recrutement des structures qui fait défaut où les besoins exprimés par la clientèle ne sont pas répondus. Faire payer $400 par jeune en camp de sélection printemps/été avec un vice-caché que les camps sont vides en août (les parents sont au courant seulement quand eux-même comptent le nombre de jeunes présents sur la glace au final et que leurs chèques sont encaissés), est-ce ça de l'excellence? Donc, pour mon $400 perdu en début de saison, je vais au moins le faire fructifier avec vous avec mon opinion payée de ma poche où ce n'est pas de la fiction mais des faits vécus en 2016 dans du hockey mineur. Sur ce, bonne journée.

Vous ne comprenez pas, ce n'est pas 1 jeune qui ferait une différence, c'est l'addition où ce sont 6 jeunes 2002 et 6 jeunes 2003 qui manquent au pipeline et qui étaient là auparavant dans l'équation mais dont ils n'ont pas su satisfaire leurs minimes besoins pour les garder au détriment d'avoir des équipes moins compétitives et des saisons moins agréables pour les jeunes. Boqué je reviens plus tard, en attendant regarde le résultat du match d'aujourd'hui au calendrier. Les gens sur POC qui applaudissent ce genre de processus qui serait dans l'excellence du hockey mineur sont malheureusement à l'image des organisations unidimensionnelles dans la façon de bâtir la vraie relève du hockey de demain; un moment donné vous me donnerez raison à voir l'accumulation des faits.

Ça exagère ici. Ok on va y aller avec des faits. Je vais vous arriver les boys avec les catégories d'origine des joueurs de l'équipe Bantam sur mon territoire en LEQ où ils étaient il y a 2 ans précisément. Vous dites qu'ils étaient des AAA-AA... attachez vos tuques! :cool: On va se bidonner sur la crème de cette ligue que vous aimez tant mousser comme le kondike du hockey mineur malgré une évidente débandade. Cette ligue a été diluée. Stay tuned, le party va commencer et on va voir ce qu'il y a sous le capot de la LEQ :!:

Boqué joue fairplay sur le forum avec tes affirmations. Parce que tu parles aussi avec tes comparatifs de jeunes qui étaient PWA et PWCC il y a pas longtemps et qui sont actuellement dans l'alignement en LEQ des Gaulois Antoine-Girouard Bantam Relève, des Dynamiques du CCL, du Noir & Or de Mortagne, du Collège Français, c'est en plein ça. Je parle pour la rive-sud de Montréal que je connais sur les doigts de ma main, regarde les autres organisations et plusieurs sont dans le même bateau. Avec Publications Sports, les alignements de 2014 sont retraçables facilement, je pourrais te publier ça avec une précision déconcertante. Et l'an prochain ils seront, avec la tendance qui se maintient, du Bantam AAA. De PW A à Bantam AAA, c'est ça la LEQ aussi. C'est pourquoi entre le 3e marqueur de la ligue et le 150e, la ligne est très mince avec la dilution observée. À pratiquer à tous les jours à l'école, c'est certains qu'ils seront "corrects" peu importe s'ils sont en LHPS, RSEQ ou LEQ. La LEQ n'est plus ce que c'était, en tout cas pas ce qu'espérait que ça soit selon les standards de Hockey Québec avec que la crème. Pas tout le monde est prêt à payer $5000 pour remplir un chandail et aller dans n'importe quel programme scolaire et école imposée.

Nick30 - Je critique la LEQ parce que c'est supposé être le summum du hockey mineur québécois. Au novice et atome, personne n'a le choix du hockey de bénévolat des associations avec les coachs-papas. La plupart du temps ça fonctionne bien, parfois à certains endroits ça dérape. À pee-wee, avant le jeune avait une pleine liberté en LEQ hors des écoles avec 2 pratiques le soir et les matchs le week-end, un concept de hockey traditionnel qui était parfait pour tout le monde et les camps étaient remplis. Il y a PLEIN DE COACHS qui travaillent durant le jour à temps plein dans leur vraie profession et ne peuvent pas coacher du hockey mineur de jour pour le pee-wee AAA, les 2 clubs bantam, et le midget espoir. Les coachs aussi ne sont pas là en LEQ pour une carrière au junior majeur ou NHL! Aussi, il y a plein de parents qui ne veulent rien savoir de l’ingérence du hockey dans la vie scolaire de nos enfants, en plus que plusieurs enfants n'ont pas les mêmes capacités à l'école et au hockey. Sans compter les problèmes de transport face à la géographie du territoire en combinant école et hockey. Par conséquent, la LEQ n'est plus le point de rassemblement unanime lorsque l'école est imposée avec les pratiques les jours de semaine durant leurs horaires des classes à la place de matières scolaires enseignées en classe, ça devient un point de divergence, en plus que les organisations tiennent les jeunes en otage face à leur parcours scolaire du secondaire 1 à 5 et ils ne se gênent pas pour se bomber le torse du dominant face à la situation. En plus, j'ai la malchance d'habiter sur un territoire que plusieurs des meilleurs 2002 et 2003 ne veulent plus rien savoir de la structure, ou sont tannés du hockey et ont déjà arrêté de jouer, donc à quoi sert une ligue d'excellence quand ce n'est plus le point de convergence de la communauté vers l'âge de bantam? Et les autres équipes, gagner contre des formations amputées des meilleurs joueurs enlève le concept de jouer contre les meilleurs. Le seul gain est oui pas de papas head-coachs est intéressant (mais souvent ils sont préposés aux bâtons ou pas loin!), mais quand l'école est imposée ça devient véritablement un détail dans l'équation. Chose certaine, le hockey québécois perd plusieurs bons éléments en chemin pour avoir les meilleures équipes possibles. Mais comme me disent des parents, on s'en fout ça fait juste plus de place pour mon gars et c'est, sans le dire tout haut, ce que la majorité pense ici également où ils ne souhaitent pas une amélioration au processus actuel.

Président - Avec encore des matchs serrés de 7-1, 6-0, 7-2 dernièrement, c'est ça qui arrive quand une organisation est prête à courser avec n'importe quels bolides en piste. C'est très malheureux pour les jeunes, leur confiance et leur estime. C'est ça une ligue d'excellence? Le monde n'est pas cave avec des camps de sélection vides. Bonne journée.

Albelin-2005 Quand je recevrai le remboursement de $400 pour la non-transparence d'un pré-camp du printemps loufoque suivi d'un camp bantam en août vide où il n'y avait que 14 joueurs et 2 gardiens au majeur (avoir su on aurait économisé notre argent et pas perdu notre temps), pour ainsi se retrouver presque sans options en août en plus d'une absence de vision, là vous achèterez mon silence sur le sérieux véritable vécu de cette ligue d'excellence. Tout se négocie. En attendant, bien c'est ça, on attend la cessation de cette mascarade de ligue d'excellence à moins de changements structuraux majeurs, et on discute entre pocistes.

Quand l'expérimentation sur cette ligue sera terminée et qu'ils réajusteront le tir, là on jasera. En attendant, on échangera sur les incongruités loufoques sur l'excellence de notre sport national.

Les stats individuelles démontrent plus de la non-performance que l'inverse, c'est ça qui est ironique pour une ligue qui prône l'excellence.

Ce que Hockey Québec a créé dans le hockey mineur est tout à fait divertissant. Comptez sur moi pour frapper droit sur le clou avec la désorganisation observée sur la rive-sud de Montréal. Il est tellement gros ce clou que c'est impossible de manquer la cible.

Pas trop d'écart de points entre le #3 et le #150 de la ligue! :cool: C'est ça la parité j'imagine, les recruteurs ne sauront plus qui regarder tellement il y a du talent au Québec ;-) :smile:

Il ne faut pas se cacher, ça reste du hockey mineur; l'implication donne une certaine immunité dans le système. La grandeur devient soudainement un critère secondaire, les habilités défensives sans la rondelle sont priorisées à celles d'un meilleur marquer, toutes les philosophies au hockey sont justifiables selon ceux qui décident. Le monde n'est pas cave. Personnellement, ça ne me dérange pas puisque c'est culturellement accepté et ça ne nous empêche pas de dormir comme parent. Le problème c'est quand l'influence s'élargit à l'entourage avec des assistant-parents et gérants qui interviennent dans les décisions, quand ça ratisse pas mal large, ça revient alors à une ambiance de hockey d'association indépendamment des lettres de la catégorie.

Trop drôle!