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Maskoutain2003

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Messages posté(e)s par Maskoutain2003

  1. Posté(e)

    Qu'un jeune soit joue junior A en Colombie-Britannique, reculé dans un coin de l'Europe ou peu importe, s'il a du talent il sera repéré. Rien ne sert de débuter le marathon/carrière à Hockey Québec chez les tous petits, ce n'est pas là que ça se joue. Ça prend des athlètes talentueux. "Athlète" passe par le multi-sports à l'école secondaire en éducation physique comme traditionnellement (et non que du hockey avec des demi-journées sur la glace avec un programme scolaire aminci), et "talentueux" passe par l'ADN et le package du joueur où ce n'est pas avec 425 jeunes par cuvée que n'importe qui deviendra de la crème. Midget AAA (trop d'équipes, encore du $$$$) et LHJMQ une ligue business des 18-19 ans où les 16-17 ans ne jouent pas beaucoup, que ça prend un coup de barre pour resserrer autour du talent, mais Hockey Québec a trop de partenaires business/hockey de nos jours pour recentrer sur les intérêts des jeunes avec école comme priorité #1 en libre-choix aux parents autour du multi-sports en éducation physique. La spécialisation hockey à l'école secondaire ne construit pas de meilleurs athlètes québécois, et n'a aucun effet sur l'ADN/talent du joueur.

  3. Posté(e)

    Conditionner 425 jeunes par cuvée à un marathon/carrière hockey avec un parcours scolaire aminci est à l'image de la fédération Hockey Québec pour en faire une business lucrative pour plusieurs partenaires, et ce dans l'espoir de redorer son image populaire puisque le Québec ne produit presque plus de NHLers québécois de souche de qualité, d'où leur discours de marathon/carrière qu'on entend au hockey mineur. Des jeunes qui sont focus hockey beaucoup trop tôt et avec 1 seul sport unidimensionnel à l'école secondaire, tels des junior majeurs de 16-20 ans qui se foutent de l'école pour plusieurs (pas la totalité, mais une bonne gang), mais ils n'ont que 12 ans. Dites-moi pas le contraire, c'est la réalité. Avant l'âge midget, c'est une grosse erreur sociale de la part de Hockey Québec de s'être laissée embarquée dans cette vague business des écoles où trop de monde se grattent mutuellement le dos et en récoltent les $$$$.

  6. Posté(e)

    Côté anonymat, maskoutain2003, ça me dit pas grand chose non plus.

     

    Boqué -

     

    Give me a break. Tu tiens à rester anonyme. Au bas mot je discute dans les arénas du Québec avec une cinquantaine de POCistes provenant des quatre coins de la province, sans compter ceux qui lisent mais qui ne commentent pas. Il y en a qui y vont pour une potentielle carrière au hockey pour leur jeune tout en étant terre à terre, mais du monde comme toi pour sauter à pieds joints à 180 degrés de la logique école-hockey normale, c'est assez incroyable.

     

     

    Hockey Freak -

     

    Penses-tu que je ne fais pas exprès pour te teaser?  ;-)  C'est vrai qu'à 4 parents pour 1 joueur souvent de nos jours, on augmente les probabilités d'avoir un des parents qui a été un peu à l'école  :mrgreen:  

     

    Bonne journée.

  10. Posté(e)

    Boqué - J'ai le privilège d'avoir des enfants doués à l'école et dans les sports. Les pommes ne tombent jamais loin du pommier, c'est dans l'ADN comme vous dites! Ma dernière est, comme certains disent, une machine sur un terrain  :cool: . Je suis conscient que notre situation n'est pas commune dans le domaine du hockey mineur quand on regarde le bassin des bons hockeyeurs, les parents qui ont étudié à l'université aussi ne font pas légion (donc qui ont un penchant naturel pour les études), et je ne compte pas faire l'unanimité sur POC dans votre marathon d'une carrière hockey pour des jeunes qui peinent à écrire en français comme du monde et qui obtiennent un bagage scolaire aminci en plus! Comme je l'ai dit, il y en a des terre-à-terre mais peu nombreux (ils ne sont pas des yes-man envers les organisations), et il y en a plusieurs à côté de la track et le système actuel capitalise sur votre faiblesse émotionnelle du rêve de la carrière de fiston et votre quête du marathon sans fin. Dites-moi pas que j'ai tort. Si j'ai démarré ce sujet de discussion, c'est justement pour vous chatouiller là-dessus.

  12. Posté(e)

    Tiens, tiens...  On dirait qu'il y en a un qui n'a pas fait le club qu'il convoitait.

     

    Pas facile à gérer un rêve brisé faut croire.

    Pourquoi tu dis cela Aurèle? Il y en a du BTAAA qui n'ont eu aucun feedback encore pour le midget en août.

     

    Des 12 gardiens au camp du Midget AAA, c'est plutôt le gardien 2002 du Midget Espoir de votre organisation que cela n'avait pas bien été pantoute. Sans compter pour un autre 2002 du Midget Espoir qu'ils lui ont dit que l'aventure était terminée mais on ira pas dans le pourquoi, jase-en avec tes collègues clients, tout le monde le sait si je le sais.

     

    Et le papa du gardien avec qui tu te tiens, c'est direction Juvénile D2 on dirait; votre Espoir c'est sold out! Et D1 ce sont pour les secondaire 5 ex-Espoir et ex-D2! 

     

    De notre côté, notre décision est prise.  

  13. Posté(e)

    La mission de la LEQ n'a jamais été dite ouvertement comme le début du marathon, ils doivent éclaircir leur mission et dire les vraies affaires. Tout n'a jamais été transparent, la non-transparence leur fait mal où de notre expérience vécue on perçoit que le jeune doit choisir entre le hockey ou l'école en priorité. Or, les jeunes hockeyeurs au Québec sont normalement classés par le talent, mais le talent ne veut pas dire que la pratique du hockey vise une carrière. Arrive l'école imposée avec un parcours scolaire aminci, les divergences de philosophies école/hockey surviennent assurément dans cette non-clarté de mission de la LEQ, le monde est vite menotté sur un territoire où ton adresse civique dicte tout. Tout ça pour du hockey? Ont-ils besoin d'un slogan marketing? "Hey le jeune, viens débuter ton marathon en LEQ"  :cool: Là ce serait clair.  ;-)

  14. Posté(e)

    Tout comme je ne comprends pas les nombreux parents québécois d'envoyer leurs enfants de 0 à 4 ans en garderie 5 jours par semaine à longueur d'année, mais cela est un autre dossier social québécois. Le dossier social du hockey mineur québécois a un gros travail à faire. Très heureux de ne pas contribuer à engraisser financièrement ces institutions.

     

    Ce que je n'en reviens pas, c'est à cause de la piètre qualité du hockey junior des jeunes québécois de souche, on a trouvé comme solution d'amorcer le marathon de la route vers le hockey professionnel avec les jeunes sur la glace quotidiennement dès le pee-wee dans un format scolaire aminci. Le problème de la Formule 1 ne descend pas aussi bas que la karting, mais au hockey Hockey Québec semble vouloir se rendre quasi jusqu'au berceau des enfants! Au hockey, le problème est le réseau Midget AAA et LHJMQ, mais il semble y avoir un omerta du silence là-dessus. Trop de personnes se grattent mutuellement le dos visiblement.

     

    Comme parents vous êtes tellement investis dans l'aventure du marathon que vous ne pouvez vous empêcher de ne pas répondre à une opinion qui vient à l'encontre de vos croyances. C'est exactement pour cela que ce sujet ne peut être sans réponse par les LEQistes, et c'était prévisible!  ;-)

  15. Posté(e)

    Hockey Québec :

     

    « Tout ce que nous faisons à Hockey Québec, nous le faisons dans le but de faire graduer le plus grand nombre de joueurs possible à Hockey Canada et, éventuellement, à la LNH », a déclaré M. Ménard. « Ce n’est jamais assez et nous ne pouvons être complètement satisfaits ou complaisants ».

     

    Hockey Québec se sent responsable de quelque chose qui ne la concerne pas, et pense MAHG, novice, atome, pee-wee et bantam en fonction de la NHL qui est totalement hors de sa portée. Hockey Québec devrait comprendre que le marathon est simplement dans la tête de crinqués. Si tu penses NHL, c'est la LHJMQ le problème où les 16-17 ans jouent trop peu dans l'ensemble pendant 2 saisons complètes.

  16. Posté(e)

    J'espère que ton fiston se rendra très loin Boqué dans son marathon de carrière au hockey  :mrgreen: Ta dérape sur ce sujet qui avait pour objectif, entre autre, de te chatouiller en dit long! 

     

    Pu moyen de jouer au hockey au Québec pour simplement performer, il faut s’enrôler dans un marathon de carrière de hockey via des écoles secondaires discutables  :razz:

     

    Je le répète, il y en a qui sont terre à terre dans ce processus, mais il y en a si peu où dans un réseau de 25 organisations ça fait beaucoup de monde pour un tel marathon fictif! 

     

    Répétez la parole de votre seigneur... "Une carrière, ce n'est pas un sprint de 100 mètres, c'est un marathon"  :cool:  :cool:  :cool:

  19. Posté(e)

    Ma fille de 7 ans dans son groupe d'âge au soccer a compté 10 des 15 buts de son équipe dans sa saison à date. Faut-il voir le soccer aussi comme un marathon parce que nos enfants performent dans leur sport? Les gens spécialement au hockey mineur, oublient la raison première de la pratique du hockey indépendamment du talent des jeunes. Je me ferai un plaisir de souligner cet aspect de la culture du hockey mineur québécois Estrie70. Il y en a qui sont terre à terre mais trop peu nombreux, et Hockey Québec capitalise sur le rêve cultivé (la notion de marathon, le plan A qui reposerait sur le hockey qui impose tout, etc...) et la business avec les écoles secondaires imposées de qualité et programmes discutables.

  20. Posté(e)

    Déclaré encore, ici: https://www.rds.ca/hockey/lnh/lnh-le-repechage-ne-fait-pas-toujours-foi-de-tout-pour-les-jeunes-hockeyeurs-1.6160527

     

    On entend souvent cette phrase chez les parents LEQistes sur ce forum, donc vous pensez "carrière" au hockey pour répandre cette parabole et conditionner votre fiston! :mrgreen:  Si vous parlez marathon au hockey mineur, vous pensez carrière au hockey c'est clair.  :razz: 

     

    Rien de mal, à chacun ses raisons dans la pratique du hockey, mais ne jouez pas à l'autruche disant que vous ne pensez pas carrière!  ;-)

  22. Posté(e)

    C’est compliqué juste si tu veux que ça soit compliqué. Si tu veux pas aller à l’école imposé peu importe la raison, tu vas ailleurs.

     

    Si tu veux faire l’équipe mais que tu ne fais pas partie des ¨no brainer" tu te prépare un plan b en avril. C’est pas compliqué, c’est juste de planifié!!

     

    Pépé

     

    En LEQ, effectivement le hockey est le plan A   :razz:  :razz:  :razz:

     

    Même de très bons 2003 ne savent pas où ils s'en vont pour leur année secondaire 4 à l'heure où on se parle. Le mien sait où il s'en va  :cool:  ;-)

  25. Posté(e)

    Boqué - Le salaire annuel moyen dont tu parles est bien loin des domaines où il y a de la demande. Et fais le tour des ordres professionnels, tu vas faire le saut si 35000 est ton estimé! Il y a des disciplines où même avec un doctorat la société ne payera pas, c'est sans issue. Tout le monde connaît des personnes qui ont fait des études dans un domaine où il n'y a pas d'emploi, c'est une question d'offre et de demande (la loi de base des marchés).

     

    Chose certaine, un joueur de hockey moyen dans la ligue américaine, cela ne paye pas pas très bien, et imaginez pour ceux en East Coast! Et en plus cela fait boule de neige pour la suite de la carrière du jeune où s'il est resté accroché trop longtemps à un "loisir" comme le hockey alors il arrive dans la trentaine et il n'est pas encore branché sur un avenir solide. Ça ne sert à rien de chercher la meilleure cuvée au Québec, rare pour ceux dont le hockey en donnera plus qu'une carrière via des études à l'université.

     

    Aurèle Joliat - Ça dépend ce que cela prend pour faire vivre une famille de plusieurs personnes; mais c'est certain qu'un métrosexuel égocentrique dans son petit condo à Boucherville à côté du Costco en a suffisamment  :razz: Chose certaine, avec la tonne de familles reconstituées au Québec, des grosses factures pour des jeunes du secondaire ce n'est pas winner. Mon jeune a joué au pee-wee en LEQ hors école imposée à 650$ par saison, 2 pratiques et 2 matchs par semaine, c'était bien parfait. De copier les grandes ligues avec du hockey pour les jeunes à tous les jours de semaine est pour aider à cultiver le rêve et ainsi faire fermer les yeux des parents pour qu'ils payent peu importe le montant face à ce rêve.

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