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IPON

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  1. Les papa qui coach!!!

    Selon moi Gérante d'estrade, c'est un peu irréaliste de ta part d'espérer retrouver plus de justice au hockey mineur que dans la vraie vie. Du favoritisme et des passe-droits il y en a partout et il faut vivre avec. Si un jeune veut plus de temps de glace, il doit s'arranger pour améliorer ses habilités individuelles, être capable de monter le puck d'un bout à l'autre et de la mettre dedans de temps en temps. Si c'est impossible pour lui il faut que le parent s'en mêle mais c'est tout un contrat . Un coach qui pensent comme toi c'est rare au hockey mineur. Le mieux pour toi serait de donner ton nom pour coacher. Personnellement, je crois qu'en bas âge, ce sont les habilitées individuelles que tu dois developper, plus un jeune est habile, plus il aura de plaisir à pratiquer son sport. Le jeu collectif ça peut attendre. Dans un sens, les revirements ça fait partie de la game si tu veux que tes joueurs se developpent. Je te dirais en plus que l'égalité du temps de glace, c'est bien plus le parent que ça dérange que le jeune lui-même. Pour ce qui est des fils de coach moins talentueux, ils finissent par avoir moins de temps de glace avec les années. Mon garcon était souvent le troisieme centre de son équipe et avec les années, il a accepté le fait que tout le monde n'est pas égal et que certains sont plus talentueux que lui. Il a fini par accepter sans problème de laisser sa place à un plus talentueux lors des moments importants. Dis-toi bien que le hockey n'est pas différent du reste de la vie. La meilleure façon de s'assurer une belle place c'est de s'investir à fond.
  2. En bout de ligne c'est probablement ce qui fini par faire la différence. Ça doit être plus qu'une passion, ça doit devenir une obsession.
  3. À condition qu'ils ne se découragent pas en cours de route. Il faut aussi qu'ils se taille une place ds l'élite assez jeune et la conserve.
  4. Exacte, on sélectionne les joueurs développés, plus gros, plus rapides et semblent plus habiles au niveau pee wee et on les remplacent au niveau midget, rendus trop petit, par des plus gros qui ont peu de millage, incapables de faire une passe qui se débarassent de la rondelle, etc...etc...
  5. Voici un texte extrait du modèle canadien de développement à long terme du participant/athlète. http://www.canadiansportforlife.ca/defa ... &LangID=fr Tous les enfants ne commencent pas leur adolescence au même âge, et le processus complet s’étale sur une période dont la durée varie d’un sujet à l’autre. En général, les enfants qui ont une adolescence précoce passent à travers cette période plus rapidement que ceux qui ont une adolescence tardive, et l’arrivée hâtive ou tardive de l’adolescence dépend en partie de la forme du corps. Les enfants plus trapus, plus musclés, commencent leur adolescence généralement plus tôt que leurs pairs plus minces et maigres. Le processus complet, qui s’amorce vers l’âge de 10 ou 11 ans chez les filles, et plus ou moins deux années plus tard chez les garçons, s’étale sur 3 à 4 années habituellement. Autrement dit, certaines fillettes âgées de 12 ans peuvent avoir presque terminé la phase des changements physiques de la puberté, tandis que d’autres l’ont à peine amorcée. Chez les garçons, c’est à l’âge de 14 ans que l’on observe les changements les plus importants. Peu d’intervenants du milieu du sport comprennent les difficultés que doivent surmonter les enfants qui ont un développement précoce et ceux qui ont un développement tardif, difficultés qui ne sont pas les mêmes pour les garçons et pour les filles. Ce manque de connaissance sur le développement précoce ou tardif, peut comporter des désavantages pour bon nombre d’organismes sportifs. Pour les enfants qui se développent tardivement, la durée plus longue de la période qui s’écoule entre l’acquisition des fondements du mouvement et des déterminants de la condition motrice et l’arrivée de l’adolescence (voir la figure 10) devrait représenter un avantage. Au cours de cette période, qui est celle du stade « Formation de base à la pratique d’activités sportives », le corps humain est dans un état optimal pour acquérir et consolider les habiletés sportives; par conséquent, plus cette période dure longtemps, plus un enfant a la possibilité de bien développer ses habiletés sportives. Garçons : En réalité, les garçons qui ont un développement tardif sont souvent très défavorisés, plus particulièrement dans les sports où les jeunes sont répartis en groupes d’âge pour les compétitions. Les garçons qui ont un développement tardif sont alors plus petits, moins musclés et physiquement plus faibles que leurs pairs qui sont en pleine puberté. Se mesurer, à l’entraînement et en compétition, à des opposants plus gros, plus forts et plus rapides n’est pas toujours agréable, surtout dans les sports de contact, et les garçons qui ont un développement tardif ont alors tendance à abandonner – et ce, en dépit du fait qu’à la longue, leur potentiel de réussite est supérieur. Mais il y a aussi des désavantages à avoir un développement précoce. Dès le début de leur adolescence, les garçons qui ont un développement précoce (adolescence relativement rapide, mais de courte durée) sont plus gros, plus forts et plus rapides que leurs pairs, ce qui leur permet souvent de connaître le succès dans le sport. Toutefois, leurs coéquipiers et opposants, au développement tardif, qui connaissent une poussée de croissance plus longue et soutenue, finissent par les rattraper et les surpasser. Quand il devient évident que leurs pairs au développement tardif sont désormais plus gros, plus forts et plus habiles qu’eux, les garçons au développement précoce ont tendance à laisser tomber le sport vers la fin de l’adolescence. Filles : Bien que les choses soient moins tranchées chez les filles, il semble qu’un phénomène inverse existe. La croissance rapide des seins et l’apparition des hanches, ce à quoi il faut ajouter les pressions sociales incitant les filles à laisser tomber le sport au début de l’adolescence, sont des facteurs qui peuvent pousser les filles au développement précoce à abandonner le sport; tandis que leurs coéquipières à développement tardif, qui connaissent le succès sportif grâce à leur corps prépubère, font face aux mêmes difficultés, mais quelques années plus tard.
  6. Merveilleux d'entendre ça, dans notre région c'est gros bras petite tête
  7. 2009 LA PIRE ANNÉE DU REPÊCHAGE MIDGET AAA

    Voici proncipales lacunes que vise a corrigé le programme en question, comme mentionné dans le document. Quelles sont les carences ou lacunes? • Les athlètes en développement participent à trop de compétitions et ne s’entraînent pas suffisamment. • Les programmes de compétition et d’entraînement pour adultes sont appliqués aux athlètes en développement. • Les méthodes d’entraînement et les programmes de compétition conçus pour les athlètes masculins sont appliqués à des athlètes féminines. • La préparation est axée sur le résultat à court terme – la victoire – et non sur le processus de développement. • La planification de l’entraînement et des compétitions est fondée sur l’âge chronologique plutôt que sur le stade de développement. • La majorité des entraîneurs ne tirent pas parti des périodes critiques d’adaptation accélérée à l’entraînement. • Les déterminants de la condition motrice et les habiletés sportives fondamentales ne sont pas enseignés de manière adéquate. • Les entraîneurs les plus compétents travaillent dans le sport de haut niveau et des bénévoles oeuvrent auprès des athlètes en développement, alors que des entraîneurs qualifiés seraient nécessaires à ce niveau également. • Les parents ne connaissent pas le DLTA. • Les besoins d’entraînement particuliers des athlètes ayant un handicap ne sont pas bien compris. • Dans la plupart des sports, le système de compétition entrave le développement des athlètes. • Il n’existe pas de système d’identification du talent. • Il n’y a pas de cohésion entre les programmes scolaires d’éducation physique, les programmes récréatifs communautaires et les programmes de compétition de haut niveau. • Les sports préconisent une spécialisation trop hâtive dans le but d’attirer et de retenir les participants. Selon moi, ça ressemble pas mal a ce qui ce passe dans le hockey mineur au Québec.
  8. À cet âge les dés son jetés. À moins d'avoir un talant exceptionnel et d'être en retard de deux ou trois ans au niveau du développement physiologique, les chanses de percer sont très minces pour les joueurs moyens. Les joueurs à développe sont dejà connus et il sont peu nombreux. L'âge importe peu. Late ou pas, ça change pas grand chose quand t'as pas un taient exceptionnel. Si tu ne fais pas parti de cette cathégorie, c'est peut-être mieux que tu concacre tes énergies sur autre chose que d'aller perdre ton temps et ton argent dans le midget aaa et le junior majeur.
  9. Quand notre aveuglement permet les abus !

    J’ai déjà entendu un entraineur demander à un joueur de faire l'approche au porteur comme il l’avait appris lors de sa dernière pratique. Le jeune s'est essayé et à manqué son coup. Il y a eu but. Le jeune lui a dit qu'il ne voulait plus s'essayer pour ne pas mettre son équipe dans le trouble. Le catch lui a dit " je m'en fous que tu te fasses passé 10 fois dans le match, je veux juste que tu fasses l'approche au porteur". Je l'ai trouvé brillant. Imaginez-vous donc qu'il s'est fait viré après 10 matches. Trop de défaites à son actif...La victoire oui, mais pas au détriment du développement...
  10. LES "PAPA COACH" n'ont pas leur place!...

    Le hockey et le soccer sont des sports populaires au Québec. Il y a beaucoup d'équipes et peu de moyens. Il serait impensable de rémunérer tous les entraineurs. On retrouve des entraineurs rémunérés ayant des connaissances techniques élevés dans des sports comme la natation, le plongeon, athlétisme, le cyclisme, le judo, le canoë-kayac etc. Je crois personnellement que ça devrais se faire au hockey au niveau élite. Parent ou pas, les entraineurs sont soumis a énormément de pression et finissent par se laisser influencer. L'important c'est qu'ils aient suffisamment de connaissances techniques pour faire progresser les jeunes.
  11. Mon gars a dû cran...

    À mon avis, avoir du cran aurait pu aussi vouloir dire que le jeune se relève les manches, redouble d'ardeur afin de faire sa place au niveau supérieur. S'il y a eu injustice, l'occasion aurait été belle pour lui d'en faire la preuve. Sélectionner des joueurs n'est pas une science exacte.Les recruteurs professionnels passent des mois à observer les joueurs et se trompent régulièrement. Imagine un bénévole qui n'a que quelques séances pour faire ses choix. Ça dépend toujours de la façon dont on voit ça, se faire retrancher peut devenir une grande source de motivation. Si le jeune veut vraiment jouer dans une catégorie supérieure, en refusant l'offre c'est lui qui en sort perdant.
  12. Arrêtons de vouloir faire de l'élite avec la masse!

    Je savais que David était un joueur exceptionnel mais le fait de jouer dans un calibre ridiculement bas pour lui aurait normalement dû l'empêcher de progresser, ce qui semble ne pas avoir été le cas. Il a perdu son temps durant toutes ces années. Ça veut donc dire qu'un jeune rempli de talent finira par percer, surclassement ou pas.
  13. D'accord avec CFL, le power skating doit s'enseigner durant des camps avec des professionnels ( Julie Robitaille et les autres ). Les entraîneurs ne sont pas des spécialistes en activité physique pour diagnostiquer et corriger le mouvement. Ça me semble un peu spécial non. Le patin est un élément essentiel. Comment procède-t-on dans les sports comme le patinage de vitesse, la natation ou le patinage artistique. Il me semble que l'enseignement des techniques de base est essentiel. On ne se contente pas de les laisser patiner en rond durant des heures, on les corrige. Tous les vidéos produits par hockey Canada, à qui sont-ils destinés, les écoles de hockey?
  14. Arrêtons de vouloir faire de l'élite avec la masse!

    Comment pouvez-vous expliquer que David Perron ai pu se développer à jouer simple lettre si longtemps? Quand-Même étonnant! Si le calibre est aussi déterminant dans le développement d'un joueur, il n'aurait logiquement jamais pu se développer à jouer contre des midget B. Ça me semble un non sens.
  15. Ça existe déjà. Certaines écoles privés offre un programme enrichi en hockey. Les jeunes ont accès à une glace extérieure dans la cour, le midi. Ils ont aussi accès à un aréna pour les périodes "hockey", 4 heures aux 7 jours prévues à l'horaire. Le programme n'est pas réservé au joueurs élites. Les entraineurs sont d'anciens joueurs professionnels. Il sont très compétents. Les joueurs se développent à leur propre rythme. L'accent est mis principalement sur les habiletés individuelles. Tout se fait dans le plaisir. Pas de parents, pas de chialage... Le ratio pratique match (10 pour un) se compare à ce qui se fait dans les autres disciplines, ex: natation. Les parties ont lieu lors des journées pédagogiques, donc sur les heures de travail, pas de parent, pas de chialage. Personnellement, je crois que ce modèle pourrait être élargi à l'ensemble des écoles. Cela aurait pour effet d'augmenter le nombre de jeunes qui jouent au hockey donc plus de possibilités de découvrir des joueurs de talent. J'ai découvert plusieurs vidéos produits par hockey canada sur you tube. C'est excellent. Ce sont des exercices simples ayant pour but d'améliorer le coup de patin, la maniement de rondelles, les mises en jeux etc.. Je n'ai jamais pratiqué le hockey étant jeune. Je suis donc limité au niveau des connaissances techniques. Mon fils joue habituellement dans la catégorie A la première année et dans le "2 lettres" à sa deuxième année. Au civil, il a eu la chance d'avoir d'excellents entraineurs mais aucun d'entre eux n'a su le corriger sur le plan technique. C'est pourtant l'essentiel, selon moi.
  16. Rencontre avec Mme Courchesne

    J'aimerais bien quel est la proportion de jeune qui pratique le hockey au Québec. Le hockey dans les écoles, ce serait bien, mais ça ne devrait pas se limiter a l'élite. En plus des programmes de sports études, réservé à l'élite, il pourait y avoir des écoles qui offre l'option hockey. Ça ce fait déja pour le vélo-plein air, l'anglais etc. Certaines écoles privés offre un programme enrichi en hockey. Les jeunes ont accès à une glace extérieure dans la cour, le midi. Ils ont aussi accès à un aréna pour les périodes "hockey", 4 heures aux 7 jours prévues à l'horaire. Le programme n'est pas réservé au joueurs élites. Les entraineurs sont d'anciens joueurs professionnels. Il sont très compétents. Les joueurs se développent à leur propre rythme. L'accent est mis principalement sur les habiletés individuelles. Tout se fait dans le plaisir. Pas de parents, pas de chialage... Le ratio pratique match (10 pour un) se compare à ce qui se fait dans les autres disciplines, ex: natation. Les parties ont lieu lors des journées pédagogiques, donc sur les heures de travail, pas de parent, pas de chialage. Personnellement, je crois que ce modèle pourrait être élargi à l'ensemble des écoles. Cela aurait pour effet d'augmenter le nombre de jeunes qui jouent au hockey donc plus de possibilités de découvrir des joueurs de talent.
  17. Retour des lates?

    Mon fils n'a fait qu'une année atome à l'époque, alors que son ami, qui était late, n'a pas été touché par le changement d'age et a fait ses deux ans atome . Au lieu de reculer de 12 mois, ils ont reculé de 9 mois mais mon fils n'a jouer qu'une année atome et il ne s'en ai jamais remis. Cette année, c'est son amis perd une année. Pour ce qui est des nouveaux arrivants, j'avoue qu'ils ont dû commencé a 5 ans au lieu de 4.
  18. ma vision de developpement

    Je me demande si le fait de réer des groupe d'élite avant que le développement physique des jeunes ne soit complété n'a pas pour conséquence de développer seulement les jeunes au développement physique hâtif. Voici l'information que j'ai trouvé sur le site du programme DELTA. http://www.ltad.ca/Content/home.asp?langid=2 Les garçons dont la maturation est hâtive peuvent donc bénéficier d’un avantage physiologique pouvant aller jusqu’à quatre ans par rapport aux garçons dont la maturation est tardive. Ces derniers rejoindront éventuellement les autres lorsqu’ils vivront leur poussée de croissance. La plupart des programmes actuels d’entraînement et de compétition sont fondés sur l’âge chronologique. Cependant, du point de vue du développement, des athlètes âgés de 10 à 16 ans peuvent présenter une différence de développement de 4 à 5 ans. L’âge chronologique est donc un outil peu fiable pour sélectionner des adolescents en vue des compétitions. L’âge d’entraînement désigne l’âge auquel les athlètes commencent à s’engager dans un processus d’entraînement planifié, régulier et sérieux. Le rythme du développement de l’enfant a d’importantes répercussions sur l’entraînement des qualités athlétiques parce que, par rapport aux enfants qui atteignent la maturité tardivement ou à un âge moyen, l’enfant dont la maturation se fait à un jeune âge bénéficie d’un avantage considérable lors du stade « S’entraîner à s’entraîner ». Toutefois, lorsque tous les athlètes ont terminé leur poussée de croissance, ce sont souvent ceux dont la maturation a été tardive qui ont le plus de chances de devenir des athlètes de haut niveau, à condition qu’ils aient bénéficié d’un entraînement de qualité tout au long de cette période.
  19. ma vision de developpement

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  20. Retour des lates?

    Les non-lates ont tous perdus une année de développement il y a 7 ans lors du permier changement d'âge...seulement les lates ont-étés épargnés à l'époque. Ils ont donc eus le privilège d'etre des joueurs dominants dans leurs niveau durant toutes ces années...
  21. Retour des lates?

    La motivaiton vient avec le succès. Le jeune peut croire en ses capacités lors qu'il est dominant dans son groupe d'âge. Le succès est le facteur le plus important pour le développement d'un jeune . C'est le moteur, Comment le calibre peut-il avoir diminué de façon si importante simplement en retranchant 25% des joueurs. À ce que je sache, l'écart est toujours de 2 ans entre le plus vieux et les plus jeunes. Il n'i a que trois mois de différence par rapport a l'an passé. Est-ce possible que seulement 25% des joueurs (les plus agés) puisse se développer dans la structure actuelle? Je crois que le changement d'âge nous indique bien que le fait d'être dominant dans son groupe d'âge est un des facteur les plus important dans le développent d'un joueur. Le jeune est plus motivé, il a plus d'attention, il est mieux encadré etc.... Si on ne produit de l'élite qu'avec 25% des joueurs disponibles, il est donc probable qu'on échape plusieurs joueurs qui , s'il avaient été bien encadré, aurait pu devenir des joueurs de haut calibre... Si le changement d'âge n'avait pas eu lieu il y a 7 ans, les joueurs non-late, qui sont responsable de la baise de callibre cette année, auraient surement étés dominent, motivés et encouragé durant toutes ces années et seraient certainement beaucoup meilleur aujourd'hui. Est-ce dire qu'on ne développe que 25% des joueurs disponibles, (les plus développés phisiquement)?
  22. Que pensez-vous de la déclaration de Pat Quinn ?

    Je connais bien les sports de contacts. Les blessures y sont très rares. Les jeunes sont classés par catégorie d'âge mais aussi par poids. Le problème de différence de maturité physique ne se pose donc pas, contrairement au hockey. La majorité des joueurs qui évoluant ds l'élite jouent également ds le AAA d'été. Ils ont donc une certaine expérience du contact lors de leur première saison bantam. C'est l'écart au niveau du poid lors de la période de croissance qui fait du hockey un sport plus à risque. J'ai vu plusieurs blesseures sérieuse lors d'un seul tournoi de AAA pee wee.
  23. Retour des lates?

    Comment le calibre peut-il avoir diminué de façon si importante simplement en retranchant 25% des joueurs. À ce que je sache, l'écart est toujours de 2 ans entre le plus vieux et les plus jeunes. Il n'i a que trois mois de différence par rapport a l'an passé. Est-ce possible que seulement 25% des joueurs (les plus agés) puisse se développer dans la structure actuelle? Je crois que le changement d'âge nous indique bien que le fait d'être dominant dans son groupe d'âge est un des facteur les plus important dans le développent d'un joueur. Le jeune est plus motivé, il a plus d'attention, il est mieux encadré etc.... Si on ne produit de l'élite qu'avec 25% des joueurs disponibles, il est donc probable qu'on échape plusieurs joueurs qui , s'il avaient été bien encadré, aurait pu devenir des joueurs de haut calibre... Si le changement d'âge n'avait pas eu lieu il y a 7 ans, les joueurs non-late, qui sont responsable de la baise de callibre cette année, auraient surement étés dominent, motivés et encouragé durant toutes ces années et seraient certainement beaucoup meilleur aujourd'hui. Est-ce dire qu'on ne développe que 25% des joueurs disponibles, (les plus développés phisiquement)?
  24. Hommage aux « lates » ’95

    L'âge réel, c'est l'âge osseux. On peut la déterminer à l'aide de la poussé de croissance. Un jeune peut avoir sa poussé de croissance (6 pousse en un an) a l'age de 11 ans alors qu'un autre peut l'avoir à 15 ans, ça fait 4 ans de différence entre les deux. En bout de ligne, les jeunes qui sont vraiment avantagés sont ceux qui ont une croissance hâtive...
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