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CarpeDiem

Danger: trop parler et se faire barrer au hockey mineur

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Carey

 

Dans pays de gauchistes socialeux comme le Québec vouloir sauter des étapes ,c'est très mal vu.

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Que cette conversation est intéressante :) James 73 tu vises le mille avec tes propos de coach qui démolissent un jeune pour faire passer en avant le leur...le problème c'est qu'éventuellement quand ton jeune est meilleur il va passer pareil....Moi je me tais, j'aide et j'influence discrètement en faisant semblant que je ne comprends rien...ça passe mieux...

 

Pour les discussions autour de boisson alcoolisées je mettrais un bémol là dessus...il y a des vipères...

 

Moi je montre l'exemple à mon fils: travaille, soit gentil et poli (sinon tu vas dealer avec moi) et joue le meilleur hockey que tu peux! Le reste tu verras....le sport m'a appris ça...les rapaces disparaissent aussi...

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cabotine tu as raison car pour ajouter mon fils je lui dit de JOUER au hockey car demain on le sais pas

ce que je trouve difficile justement ces de voir certain parent se donner de la bonne façon et de voir que les autres parents les regardes comme des étranges.  beaucoup de personne on perdu la définition de bénévole 

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Réseautez-vous au hockey mineur hors du village, c'est la seule façon d'ouvrir dans le besoin potentiellement des portes, et si le jeune est bon ils vont le prendre. Sinon c'est de déménager. Sinon c'est d'aller RSEQ ou LHPS. Ou bien, peu importe si le jeune est très bon, c'est de choisir intentionnellement le récréatif pour tasser tout ce magouillage du double lettre, ce qui donne du temps à d'autres occupations. Dans mon livre, un jeune qui veut jouer élite doit passer par le pee-wee AAA-AA, celui qui ne passe pas par là doit alors reprioriser la place du hockey. C'est pour cela que si vous avez des efforts comme parents à faire avec un jeune talentueux mais que le problème se situe au niveau des bénévoles pour le faire progresser, faites-le à l'atome et au pee-wee, après il sera trop tard pour avoir des regrets d'avoir été silencieux et de ne pas avoir agit quand le jeune avait 9-10-11-12 ans et qu'il n'a pas évolué dans un environnement pour le faire progresser à son potentiel à lui, rendu bantam c'est terminé s'il n'a jamais eu le flambeau. Mais parfois aussi il n'y a pas de solutions à certaines situations au hockey mineur, ça c'est fâchant d'être impuissant à ne pouvoir résoudre une situation même avec le vouloir des parents.

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Si je peux me permettre une suggestion de lecture: Surviving Minor Hockey. C'est un petit livret de 8 pages facilement trouvable sur Google. Remplie d'humour et de compassion. Bonne lecture!

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"Surviving minor hockey" est fait pour jouer au hockey récréatif sans notion de dépassement, demande presque de se fier au "destin" pour développer un jeune. Quand ça résume à “You cannot increase your child’s true potential to be great at hockey or anything else, you can only nurture it or ruin it.” ça ne réalise pas à quel point le problème n'est pas là en 2015, mais simplement que le potentiel du jeune est souvent inexploité dans notre hockey mineur, les parents ne demandent pas à augmenter le potentiel mais simplement à développer le jeune à son potentiel à lui, mais le système de bénévolat à carte blanche empêche bon nombre de jeunes de se développer. Ce livret n'explique pas au parent quoi faire dans ces situations qui sont très fréquentes. Beaucoup de parents sont intelligents, ont un background hockey bien plus relevé que du novice A ou de l'atome BB, et l'image du cabochon avec un secondaire 2 n'est pas le parent moyen en 2015, encore moins qu'il a besoin que son garçon devienne un joueur de hockey pour gagner un revenu dans les 6 chiffres. Quand je regarde qui a progressé dans les 2-3 dernières années, qui a stagné ou régressé, c'est rarement le fruit du hasard. Ce n'est pas comment "survivre" au hockey mineur le questionnement à avoir, mais comment "développer" au hockey mineur le problème. Si l'encadrement Hockey Québec est déficient (le contenant), on ne change pas le jeune (le contenu) mais on change seulement le contenant et tu l'envoies dans un prep school en LHPS ou dans un programme scolaire RSEQ si disponible dans votre secteur, et c'est réglé si le parent en a les moyens. Mais l'encadrement Hockey Québec peut aussi fonctionner si tout va bien comme normalement on s'attend à ce que cela va, ou si le parent sait comment jongler avec les options du système quand des pépins surviennent. Sans budget avec les plus bas frais d'inscription visés, sans ressources techniques rémunérées avec des papas-bénévoles qui forment nos jeunes dans les associations en bas âges, on n'a pas les outils en place pour façonner avec les meilleurs outils.

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Je suggérais cette lecture car je trouve qu'elle apporte une belle perspective du recul que l'on doit parfois avoir dans le hockey mineur. Je le vois comme un essai philosophique qui aide  à se détacher des dramatiques qui se jouent dans nos arénas locaux. Je suis entièrement d'accord avec l'auteur lorsqu'il parle des injustices de la vie vs les injustices au hockey...oui ça fait parti de la vie....Ça n'empêche pas de tenter de s'améliorer à son sport et je le recommande fortement à mon fils mais toujours en lui faisant réaliser que c'est dans le but de se faire encore plus de plaisir à jouer et non pour me valoriser personnellement face à ses exploits. L'auteur mentionne de ne pas dépenser dans les écoles de hockey et je suis en désaccord. Depuis deux ans mon fils va à une école l'été qui à mon avis est probablement le meilleur investissement que j'ai pu faire pour lui.

 

L'auteur parle de son vécu dans le compétitif et il mentionne même que ce fut très bénéfique pour ses fils. Moi je crois que c'est un beau texte qui ne fait que réitérer un message clair: Prends ton gaz égal...tu es loin de la ligue nationale!

 

PS Maskoutain pour le hockey scolaire j'abonde en ton sens....no brainer :) 

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C'est très bien Cabotine comme lecture, mais l'image de la première page du lien me fait tellement penser à la croyance populaire que le parent est toujours le problème au hockey, n'a aucune notion de ce sport, ne sait pas communiquer et est sans savoir-vivre, crie après les jeunes constamment, c'est peut-être un maximum de 5% des parents ainsi qui ont un trouble de comportement mais qui font la réputation de tous les parents.

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