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rookie coach

Violence au hockey Pourquoi

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Se pourrait-il que nous assistons à de plus en plus de violence au hockey à cause de la drogue et stimulants de toutes sortes? Red Bull et toutes ces sortes de boissons, stimulants pour les plus vieux speed etc.

 

Combien de fois avez vous vu un joueur de catégorie bantam et midget et même des fois pee-wee boire un ou deux red bull avant une partie. Que pensez vous que ces boissons ont comme effet?

 

Pour les midget des stimulants plus fort speed et autres sortes.

 

Patrice cormier c'est peut-être cela et dans la ligue nationale aussi. Il ne faut pas se cacher la tête dans le sable le dopage existe dans tous les sports et le hockey ne fait pas exception.

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C'est possible, mais j'ai deja eu des joueurs qui lorsqu'ils n'avaient pas de patins dans les pieds et que je les voyaient dans la vie de tous les joueurs c'etait de bon gars gentils , polis , calme et respectueux mais lorsqu'ils etaient en uniforme les fils se touchaient , les crampes au cerveau etaient frequentes , deux personnes completement differentes et tout ca sans drogue ni red bull.

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article de Ronald King de l apresse de ce matin.

Publié le 20 janvier 2010 à 07h53 | Mis à jour à 07h54

 

Le hockey est un sport tellement rapide que lorsque nous jouons dans nos ligues de garage, par exemple, il nous est impossible de cacher notre vraie personnalité.

 

Vous êtes un leader ou un suiveux, un mangeux de puck ou un joueur d'équipe; un joueur courageux ou craintif; vous perdez en équipe ou bien vous blâmez vos coéquipiers; vous travaillez fort ou vous laissez travailler les autres...

 

Dans un contexte d'action-réaction, on n'a pas toujours le temps de réfléchir et on montre qui on est vraiment.

 

C'est un peu ce qu'a fait Patrice Cormier, des Huskies de Rouyn-Noranda, contre Mikaël Tam, des Remparts de Québec, dimanche. Sauf que dans son cas, le réflexe naturel aurait dû être éliminé il y a très longtemps.

 

 

Mes collègues ont été durs pour les dirigeants de la LHJMQ et ont demandé des comptes. Ils ont tout à fait raison. Mais l'affaire est plus compliquée.

 

Il faut aussi blâmer tous les entraîneurs du hockey mineur sous lesquels Cormier a appris à jouer depuis qu'il est tout petit. Il faut aussi blâmer les parents et les joyeux spectateurs qui applaudissent chaque mise en échec dure et chaque bagarre, au moins autant qu'un beau but, sinon plus.

 

Bref, il faut blâmer cette culture de brutalité qui sévit dans le monde du hockey canadien, plutôt que de s'en vanter, comme ce fut toujours le cas. Pensez à Don Cherry. Il n'est pas le seul. Il y a plein de petits Don Cherry dans nos arénas. Des machos qui oublient trop vite que le hockey est un sport et non une guerre, et encore moins une occasion pour eux de prouver leur virilité.

 

S'asseoir dans les gradins et encourager des jeunes à se taper dessus n'est pas une preuve de virilité, bien au contraire.

 

Tout ça pour vous dire que lorsque Cormier a levé le coude pour frapper son adversaire à la tête, il l'a fait par réflexe, parce qu'il en a toujours eu le droit, parce qu'on a toujours applaudi les agressions, depuis qu'il est tout petit. Il n'a pas réfléchi parce qu'on n'a pas toujours le temps de réfléchir à l'intérieur d'une seconde.

 

Aujourd'hui, on n'applaudit plus et c'est tant mieux. Je ne crois pas que Cormier soit une brute. Mais il est le produit de tous ces entraîneurs de hockey mineur et de tous ces joyeux parents et partisans qui se lèvent quand il y a une bagarre et en redemandent...

 

Vous pardonnerez le cliché, mais la solution vient de l'éducation et non pas des dirigeants de la LHJMQ. Il est trop tard pour eux. Ils ne font que mettre un pansement en attendant les autres agressions.

 

La suite sera décourageante. Patrick Roy qui a le coeur en peine, la ministre des Sports, Michelle Courchesne, qui parle de geste inacceptable...

 

Vous vous souvenez d'elle? Elle avait promis d'enrayer la violence dans le hockey junior... après l'incident dans lequel Jonathan Roy, des Remparts, a été impliqué.

 

Elle ne savait pas dans quoi elle s'embarquait, elle ne savait rien de la culture particulière de monde du hockey. Elle a dû reculer, un peu humiliée.

 

Si j'étais à sa place, je ferais des gestes, si possible, mais je ne ferais surtout pas de commentaires vides.

 

Préparez-vous à en entendre des croustillants.

 

La chambre

 

Nos amis de Passe-Partout n'ont pas retenu la leçon de nos tribunes sportives: ce qui se passe dans la chambre reste dans la chambre. Cette formule-là me fait rire chaque fois que je l'entends, mais elle ne disparaît pas, grâce à nos linguistes des ondes sportives.

 

C'est un vestiaire, les gars, un simple vestiaire. Une chambre, c'est pour dormir.

 

Maintenant, mes amis de Passe-Partout, vous avez tous l'air un peu con, surtout devant la génération à qui vous avez appris l'amitié, le partage et tout.

 

Vous aussi me faites rire.

 

Je suis un peu content, aussi: la petite toune d'ouverture m'a toujours tombé royalement sur les nerfs.

 

 

voici le lienhttp://www.cyberpresse.ca/opinions/ ... s-loin.php

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Le texte de Ronald King exprime exactement ma pensé, que j'ai essayé de traduire ds l'autre poste(geste de cormier). Le King s'exprime mieux par contre :lol: Quoique j'ai rien compris à son histoire de passe-partout?

 

En résumé lapider Cormier vous défouleras peut-être mais ne réglera pas le problème de la violence au hockey. Les pistes de solution sont ds son texte, LISEZ-LE SVP

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Voici ce que j'ai fait parvenir à Ronald King:

 

La violence...nous sommes entourés de violence. Violence à la télévision,

violence au cinéma, violence dans les médias, on pourrait continuer avec la

violence familiale, la violence scolaire, etc, etc. Doit-on pour autant la

cautionner, la banaliser, l'excuser? Je ne crois pas.

 

Doit-on essayer de trouver des coupables ''sociologiques''? Je ne crois pas

non plus. Chaque personne est responsable de ses actes. Les gestes que

l'on pose dans la vie, que ce soit en milieu de travail, familial ou sportif

nous appartiennent. Nous en sommes redevables. Essayer de trouver une

raison ou des excuses à un geste posé par Patrice Cormier ( qui est en plus

un récidiviste) démontre de l'inconscience.

 

''Tout ça pour vous dire que lorsque Cormier a levé le coude pour frapper

son adversaire à la tête, il l'a fait par réflexe, parce qu'il en a toujours

eu le droit, parce qu'on a toujours applaudi les agressions, depuis qu'il

est tout petit. Il n'a pas réfléchi parce qu'on n'a pas toujours le temps de

réfléchir à l'intérieur d'une seconde.''

 

Drôle de constatation venant de votre part M King. On a pas le temps de

réfléchir en une seconde? Regardez le film de l'évènement comme il se doit,

en le décortiquant à la seconde près.

Il se lève de son banc et regarde sa proie ( seconde 0). Il part du banc

avec un angle d'attaque ( seconde 2 ) , il arrive au centre de la

patinoire, il se baisse et se prépare à frapper de bas en haut pour que le

coup soit encore plus violent (seconde 4 ), et finalement il attaque sa

proie en se relevant, en sortant le coude et en visant délibérément le

visage ( seconde 5 ).

 

C'était un geste prémédité, calculé et voulu!

 

Un geste de la sorte n'a pas sa place dans aucuns sports. Patrice Cormier

devrait être banni pour le reste de la saison et les séries éliminatoires. J'irais

encore plus loin, il devrait être banni à vie du hockey mineur. Il devrait aussi

être poursuivi au criminel par les parents du jeune Tam.

 

Il est plus que temps que toutes les ligues de hockey en Amérique du nord

légifèrent pour bannir à tout jamais les coups à la tête de notre sport

national.

Nous avons assister, mon garçon et moi à deux matchs de hockey prep

le week-end dernier, un en Pennsylvanie et l'autre au Connecticut. J'ai vu à

ces endroits du hockey physique, avec des contacts sévères à haute vitesse.

J'y ai vu des joueurs ébranlés, mais je n'ai vu aucuns coups vicieux, pas de

bâtons au visage, pas de coudes hauts. J'ai vu des mises en échec solides,

légales et bien appliquées. J'y ai vu du jeu beaucoup plus physique qu'au

Québec, des équipes physiquement supérieure à notre Midget AAA. Malgré la

robustesse du jeu, j'ai vu à ces endroits le respect du joueur adverse. Ce

que l'on ne voit guère dans nos arénas...serait-ce le fruit d'une éducation

plus rigoureuse?...

 

Malheureusement pour lui, Patrice Cormier doit payer pour le geste qu'il a

commis. Vouloir l'excuser avec des raisons associées à la psychologie

sociale est irresponsable. S'il avait posé le même geste dans la rue, il

aurait été emprisonné sur le champ. La violence gratuite n'a pas sa place dans

notre société, encore moins au hockey organisé.

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Le texte de M Yves Boisvert:

 

Criminaliser la connerie.

 

Ça ne paraît pas tout de suite, mais l'affaire Cormier nous indique que le hockey a déjà changé pour le mieux.

 

Aussi inacceptable qu'ait été le coup de coude de Patrice Cormier, ne venez pas me dire qu'il ne s'est rien fait d'équivalent dans les 30 dernières années. La différence, à part du fait que la télé est partout, c'est que maintenant, ces gestes-là sont dénoncés. Du premier ministre du Québec au très conservateur milieu du hockey professionnel.

 

Aurait-on vu un entraîneur appeler la police après un incident du genre? Jamais de la vie.

 

Quand on est au point où Patrick Roy fait le 9-1-1, ce n'est pas tant que l'heure est grave. C'est plutôt le signe que même les gens de hockey ont diminué leur tolérance à la violence gratuite.

 

On a vu le même Patrick Roy faire des signes pas très subtils en direction de son fils, un certain soir de mars 2008, juste avant la pathétique bagarre qui a valu une condamnation criminelle à Jonathan Roy. Voir le même Roy appeler la SQ ne manque donc pas de piquant.

 

Pardon? Une bagarre et un coup vicieux, ce n'est pas la même chose? Allez dire ça à Dean Bergeron, devenu paraplégique après avoir reçu un coup de poing dans un match de hockey de la LHJMQ.

 

Mais cette fois, Roy a raison. Il est temps que la justice criminelle débarque sur les patinoires. C'est le seul moyen réaliste de faire évoluer encore la sous-culture du hockey.

 

Le milieu de notre sport préféré a tellement intériorisé la violence, qu'il est incapable de la gérer. Il est tout mêlé. Chaque tentative de la limiter, que ce soit pour les bagarres ou les coups de toutes sortes, est l'objet de débats byzantins sur la nature du hockey ou ce qui est une «mise en échec légale». On est incapable de définir ce qui devrait être illégal, sauf les cas les plus grossièrement évidents. C'est un peu comme ce juge qui disait, à propos de l'indécence: je ne peux pas vous dire ce que c'est, mais quand je la vois, je la reconnais.

 

On en est rendu à vouloir rendre l'équipement plus mou pour régler le problème des coups à la tête!

 

Dans la vie civile, une personne est pourtant responsable de la conséquence prévisible de ses actions. Foncer en toute connaissance de cause avec sa voiture sur un piéton distrait qui traverse au feu rouge est une agression armée, éventuellement un meurtre. «Oui, mais monsieur le juge, j'avais la verte, c'était légal», n'est pas un moyen de défense.

 

Même chose pour un joueur de hockey qui sait, ou devrait savoir, qu'en cognant la tête de l'adversaire, il risque de le blesser. Remarquez qu'ils ne plaident jamais l'accident. Ils disent que c'est la faute de la victime: c'est à lui de lever la tête! Évidemment, c'est une sage mesure de prudence. Mais l'imprudence, la distraction et même la stupidité des uns ne donnent pas un permis d'agresser aux autres. Bien des victimes de crimes ont été imprudentes, naïves, mal avisées.

 

Tout le monde accepte un risque raisonnable en jouant un sport de contact. Ça n'inclut pas les coups volontaires à la tête.

 

En 2008, quand une poursuite criminelle a été déposée contre Jonathan Roy, il a fallu changer les directives des procureurs. Avant cet été-là, si un joueur refusant la bagarre était frappé mais n'était pas blessé, il n'y avait pas de poursuite. Désormais, on poursuit. On a ensuite changé les règlements de la LHJMQ. On l'a accusée de se transformer en ligue de fifis. Mais le nombre de bagarres a diminué des deux tiers et l'Ontario est en train de l'imiter.

 

Si on poursuit au criminel dans l'affaire Cormier, cela pourrait créer le même genre de remous positifs qui permettront enfin de dire aux joueurs, professionnels ou non: votre ticket n'inclut pas de permis de tuer.

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Celui de Réjean Tremblay:

 

Mikaël Tam avait confié son sort et sa protection à quelques adultes. Patrick Roy, son coach et directeur général, Raymond Bolduc, un supposé préfet de discipline, et surtout Gilles Courteau, commissaire grassement payé de la Ligue de hockey junior majeure du Québec. Une entreprise visant le profit de ses membres.

 

Patrice Cormier, des Huskies de Rouyn-Noranda, capitaine de l'équipe nationale du Canada en décembre dernier, est sorti du banc de son équipe pendant la prolongation du match contre les Remparts de Québec et s'est dirigé droit vers Mikaël Tam pour tenter de l'assassiner.

 

Heureusement, il a raté son coup. Mais les images de Tam étendu sur la glace, pris de convulsions et souffrant d'un traumatisme crânien, sont effroyables.

 

Évidemment que Gilles Courteau se pousse. Il se réfugie derrière Raymond Bolduc et je présume qu'il doit tenter d'amadouer le pouvoir politique pour éviter que le procureur de la Couronne à Rouyn n'intente des poursuites au criminel.

 

Envoyer un message

 

Poursuites ou pas, Courteau n'a pas le choix. Soit il reste un bedeau et pisse dans son froc, soit il est un vrai commissaire et il envoie un message fort au monde du hockey. Que la LHJMQ est une institution sérieuse et responsable capable d'assurer la protection et l'éducation des jeunes qu'on lui confie.

 

Quand les parents de Tam ont permis à leur fils de jouer pour les Remparts de Québec, ils ont fait confiance à Patrick Roy, à Raymond Bolduc et à Gilles Couteau. Bolduc et Courteau ont trahi cette confiance. Comme les deux ont trahi la ministre de l'Éducation et des Sports, Mme Michelle Courchesne, qui permet à des mineurs de jouer dans l'entreprise commerciale dirigée par les deux hommes.

 

Leur laxisme a fait que Patrice Cormier s'est cru autorisé à tenter de défiguer et de tuer un adversaire. Froidement, avec préméditation puisqu'il sortait du banc des siens après un repos.

 

C'est simple. Patrice Cormier ne doit plus avoir le droit de jouer dans la LMJQ pour le reste de la saison. Incluant les séries éliminatoires. Les propriétaires des Huskies vont pleurer, ils vont se défendre auprès de Courteau qu'ils risquent de perdre beaucoup d'argent, mais M. Courteau doit demeurer ferme. Ou bien il est un bedeau risible ou bien il est un commissaire qui assurera la protection des jeunes joueurs durant le reste de la saison.

 

Une agression violente

 

De plus, même si M. Courteau se comporte en commissaire, ça n'enlève pas l'obligation aux policiers et au procureur de Rouyn de mener l'enquête et si on se fie aux images de l'incident, d'intenter des poursuites. Puisque, jusqu'à preuve du contraire, on ne peut se fier à MM. Courteau et Bolduc, alors la Justice doit faire son travail. C'est-à-dire assurer la protection du citoyen ordinaire. L'agression sauvage de Cormier ne respecte pas les règles du hockey. C'est une agression violente qui a mis en cause l'intégrité physique et mentale d'un jeune homme.

 

Les séquelles pourraient être importantes et je souhaite que la famille Tam dépose des plaintes au civil pour dommages et intérêts. Des dents, un visage et un cerveau endommagés, ça vaut quelque chose. Qu'on laisse un juge décider du montant.

 

Débile

 

À toutes les fois que je me réconcilie avec le hockey junior grâce à mes amis des Saguenéens de Chicoutimi, il se produit une autre agression complètement débile pour sabrer dans les efforts des propriétaires et de ceux qui sont prêts à aider avec sincérité les jeunes qu'on confie aux organisations.

 

Gilles Courteau doit punir et il doit prévenir. La prochaine fois qu'un autre Patrice Cormier sortira du banc de pénalité ou du banc des joueurs pour aller tenter de blesser un adversaire, il devra se dire que son geste pourrait lui coûter le reste de sa saison. Et peut-être sa carrière.

 

Et en passant, même si Patrice Cormier est fort gentil à ce qu'on dit, il avait déjà tenté de décapiter un joueur suédois, le 20 décembre dernier, dans un match hors-concours en préparation au championnat du monde.

 

Ce genre d'individu ne mérite pas de jouer contre des jeunes civilisés.

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Ecoute ca part de loin!! hors contexte

Ce soir (mon fils joue a l`occation a des jeu en ligne) comme il touche pas souvent a l`ordi! il prend les liens de ses amis a l`école

Quel ne fut pas ma suprise de le voir jouer a lancer des haches a Ben Laden attacher a en X sur une table renverser et plus il le torture avant de le tuer :oops: plus plus il fait de point :roll: :( :!: et il y avait plein de jeux toute aussi sanglant!! ils s`échangent cela a l`école primaire :!:

Si je surveillerais pas de temps a autre son emplois du temps sur le net!

Immaginez vous le genre de message véhiculer faut etre incinscient et méchant laisser de tel jeu circuler sur le net apres on se demande ce qui pousse a faire des massacres écoles compagnie etc...et pourquoi tant de violence partout meme au hockey je suis convaicu que ce genre de jeu a une incidence!

De toute facon que pensez que le jeune dévloppe a jouer a ces jeux? son empathie! :roll:

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