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srixon

Développement de l'élite // Ce que ça AURAIT pu être...

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srixon, tu as écrit:

On parle ici de former 20 joueurs susceptibles de faire la NHL (c'est bien ce dont on parle non?) par année!

 

Bien non justement ce n'est pas de ça qu'on parle. On parle du développement de l'élite.

L'élite ne joue pas nécessairement dans la LNH. Les sur-doués jouent dans la ligue nationale. L'élite joue un peu partout dans le monde à différent niveau.

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@McTru // Je ne dit PAS QUE CES PROGRAMMES NE SONT PAS BONS! Je dis que je doute que ça réussisse à cause des conditions actuelles (argent - bassin - etc).

 

Mais pour répondre à tes questions :

 

Combien d'écoles comme Notre-Dame au Québec selon toi ( avec un programme hockey )? Pas beaucoup mais sûrement trop en fonction du bassin de joueurs POTENTIELS

 

Combien paye un joueur de hockey talentueux pour aller à BCS?

Bishop? je sais pas, dis-moi?

 

As-tu été visiter l'école?

Non

Es-tu au courant des programmes d'études?

 

Sais-tu dans quelles universités ils placent leurs étudiants?

Universités? Tu veux dire dans quelles ligues de hockey NHL Américaine? Le but c'est de former des joueurs de hockey non?

 

Je répète bien lentement... Je ne dit PAS QUE CES PROGRAMMES NE SONT PAS BONS! Je dis que je doute que ça réussisse à cause des conditions actuelles (argent - bassin - etc).

 

L'idée est bonne McTru, reste à la définir et ne pas MUTILIPLIER les écoles de ce genre. En ce moment, on dirait que tout le monde et son cousin veulent partir une école de ce genre. Et il y en aura trop pour le bassin potentiel RÉEL.

 

Je me trompe où il y a même une école de ce genre au niveau ÉLÉMENTAIRE!!!!

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bigboy, on vit avec nos moyens, ça c'est certain.

Mais...as-tu déjà fait une demande pour que ton gars étudie là-bas?

Si tu en fais une et que ton gars est de calibre élite tu as droit à l'aide financière...s'il ne te l'offre pas, ton gars n'est pas de calibre élite.

 

C'est comme cela partout dans tous les prep de l'amérique.

Ne perdez jamais de vue qu'aucune équipe Midget AAA ne peut rivaliser avec les prep américains et canadiens, tant au niveau des moyens que du calibre de jeux.

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Combien d'écoles comme Notre-Dame au Québec selon toi ( avec un programme hockey )?très peu

Combien paye un joueur de hockey talentueux pour aller à BCS?tout dépend de l'aide financière au départ on parle de 40k par année. L'école possède un beau programme pour aider les gens qui on moins les moyens mais il y a tout de même des limites à l'aide financiere si t'es chanceux 5k par année ce qui te fait tout de même une belle dette et on est pas sorti de l'université encore.

As-tu été visiter l'école?très belle école avec un ratio élève / enseignant très minimes donc un encadrement du tonnerre

Es-tu au courant des programmes d'études?Plus ou moins

Sais-tu dans quelles universités ils placent leurs étudiants?

Ils ont de très bon ratio de placement dans les grandes universités Américaines

 

 

 

C'est pas le prochain président de chez Pierre,Jean et Jacques INC. que l'on cherche à trouvé sur ce forum mais bien d'essayé de trouvé des idées pour développer le prochain Sydney

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srixon

voici les écoles privées québécoises avec un programme sérieux de hockey:

 

-Académie St-Louis

-Séminaire St-Joseph

-College de Lévis

-College Ulysse

-Stanstead College

-BCS

-Harrington College of Canada

-Kuper Academy

-Polybel

-College St-Bernard

 

C'est trop pour le Québec?

Il y a beaucoup de parents qui pensent le contraire.

Il y a même des journalistes experts en hockey qui y croient dur comme fer:

http://ruefrontenac.com/mleclerc/26991- ... clerc-lhps

 

Les coûts pour un joueur par année: entre 10,000.00$ et 20,000.00$, dépendant s'il est pensionnaire ou pas. Je parles de joueurs dominants.

 

Je me rends compte que tu crois que l'on doit absolument former des joueurs pour la LNH. Les études c'est pas important? Tu veux que ton gars ressemble à Lapierre?

 

Personnellement avec le pourcentage de chance que mon gars joue dans la LNH, je préfère lui donner une bonne éducation et lui permettre de continuer à jouer au hockey et au football et à la crosse dans un calibre de jeu élite.

 

Plus il y aura d'écoles de ce genre et plus nous formerons de véritables élites, des élites sportives et des élites dans la communauté.

Et encore mieux, ça sera la mort de l'hégémonie de HQ.

 

Va voir des matchs Collegial AAA cet automne, tu vas être surpris du calibre de jeu mon ami. Pourtant il y a trois ans on riait d'eux.

 

Mathieu Chouinard, choix de première ronde en 1998:

«Si c'était à refaire, je mettrais plus d'accent sur les études. Quand t'es jeune, un plan B, tu ne connais pas ça. Tu passes du midget AAA au junior, t'es pris dans l'engrenage, et tu ne penses à rien d'autre qu'au hockey. Tout le monde te met dans la tête qu'un jour, tu vas jouer dans la LNH et faire des millions.»

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big boy, imagine toi donc que Sydney est justement allé dans une école de ce genre...

On revoie sa dernière phrase???

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Sean Couturier – Futur premier choix de la LNH mais boudé par Hockey Québec

Blogues - Martin Leclerc sur le trottoir

Mercredi, 16 juin 2010 10:31

Plusieurs recruteurs de la LNH qui ont passé l’hiver dans les amphithéâtres de la LHJMQ prédisent que le repêchage qui se déroulera à Los Angeles les 25 et 26 juin sera l’une des plus mauvaises récoltes de l’histoire du hockey québécois (en ce qui a trait au nombre de joueurs repêchés et à leur rang de sélection).

 

Toutefois, certains se consolent en se disant que le tout premier choix du repêchage de 2011 sera peut-être Sean Couturier, un grand et brillant attaquant des Voltigeurs de Drummondville.

 

Or, le père de Couturier refuse que l’on désigne son fils comme un espoir québécois. Voici pourquoi… Sylvain Couturier, le père de Sean, est le directeur général du Titan d’Acadie-Bathurst dans la LHJMQ. C’est un homme posé, doté d’un bon jugement et respecté par tous dans le monde du hockey. Un parfait gentleman.

 

Et Sylvain Couturier n’a pas changé. Il avait exactement la même réputation en tant que joueur il y a un peu plus de 20 ans lorsqu’il portait les couleurs du Titan de Laval.

 

Talentueux, il a mené une carrière de 13 saisons dans les rangs professionnels en Amérique du Nord et en Europe Il a même été un coéquipier de Wayne Gretzky et de Luc Robitaille chez les Kings de Los Angeles.

 

L’histoire commence en août 2005. Couturier est sur le point d’entamer la dernière année de son contrat à Bathurst et il décide de réinstaller sa famille au Québec, dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu. Au Nouveau-Brunswick, son fils Sean vient de disputer ses trois dernières saisons au niveau pee-wee (où les mises en échec sont permises, contrairement au Québec).

 

Il a récolté 100 points en 24 parties et remporté le championnat des marqueurs.

 

Les groupes d’âge étant différents au Québec et au Nouveau-Brunswick, Sean Couturier (qui mesure déjà 5 pieds 10 pouces et pèse 160 livres à l’époque) est encore considéré comme un joueur d’âge pee-wee par Hockey Québec alors qu’il serait passé dans les rangs bantam s’il était resté membre de la fédération du Nouveau-Brunswick.

 

Son père décide donc de contacter Hockey Québec pour demander qu’on évalue la possibilité d’accorder une dérogation à Sean, pour lui permettre de passer immédiatement au niveau bantam.

Traité comme du poisson pourri

 

«J’ai fait cette démarche comme n’importe quel autre parent, sans mentionner que je travaillais dans le monde du hockey et que j’avais joué dans les rangs professionnels. Et on m’a traité comme du poisson pourri», raconte Sylvain Couturier.

 

«L’intervenant de Hockey Québec sur lequel je suis tombé au téléphone a été vraiment arrogant. Il m’appelait Monsieur Crosby! Il disait: Bon, un autre père qui pense que son fils est Sidney Crosby! Alors que tout ce que je voulais, c’était qu’on évalue mon fils et qu’on détermine s’il était prêt à jouer dans les rangs bantam.»

 

L’intervenant de Hockey Québec ne veut rien savoir. «Votre fils n’obtiendra pas de dérogation», tranche-t-il.

 

À son premier match pee-wee en sol québécois, Sean Couturier inscrit quatre buts et fournit sept passes dans une victoire de 12 à 2. Pour ne pas humilier davantage l’équipe adverse, son entraîneur le laisse sur le banc lors des cinq dernières minutes de jeu.

 

Sylvain Couturier trouve la situation aberrante. Son fils perd son temps. Il reprend donc le téléphone et décide de brasser la soupe pour que Hockey Québec daigne enfin évaluer son fils au niveau bantam. Il finit par avoir gain de cause. Hockey Québec dépêche à l’aréna Jacques Fafard, le président de la région du Richelieu. Monsieur Fafard est celui qui l’avait ridiculisé au téléphone en le qualifiant de «Monsieur Crosby».

 

«Un joueur très ordinaire»

 

Sean Couturier dispute donc un match dans la catégorie bantam contre Valleyfield. Il récolte deux buts et deux passes dans une victoire de 5 à 2.

«Trois jours plus tard, j’ai reçu une lettre à la maison me faisant part de l’évaluation qu’on avait faite de mon fils. La lettre disait qu’il était un joueur très ordinaire, qu’il avait une vision du jeu ordinaire et qu’il n’avait aucune qualité particulière. Ça n’avait aucun bon sens. J’ai donc décidé de ramener Sean avec moi au Nouveau-Brunswick.»

 

Cette saison-là, Sean Couturier remporte pourtant le championnat des marqueurs chez les bantam au Nouveau-Brunswick. Et la saison suivante (2006-2007), la fédération de cette province lui accorde une dérogation lui permettant de passer prématurément au midget AAA (où il termine parmi les cinq premiers marqueurs de la ligue).

 

L’année suivante, en 2007-2008, Sylvain Couturier prend la décision d’envoyer son fils à la réputée école secondaire Notre-Dame, en Saskatchewan. Dans le passé, le programme de hockey de cette école a accueilli des joueurs comme Vincent Lecavalier, Brad Richards et plusieurs autres joueurs de la LNH.

 

Deux ou trois équipes midget AAA du Québec, dont la formation du collège Antoine-Girouard, entreprennent toutefois des démarches pour rapatrier ce talent exceptionnel au Québec. Les dirigeants de l’équipe d’Antoine-Girouard contactent Couturier et lui assurent que tout est réglé. Ils lui disent qu’il n’a qu’à téléphoner au directeur général de Hockey Québec pour officialiser la démarche.

 

«J’ai dû laisser dix messages et je n’ai jamais eu de réponse. On ne m’a jamais rappelé», se souvient Sylvain Couturier.

 

En 2008-2009, Sean Couturier obtient un poste au sein de la meilleure équipe de la LHJMQ, les Voltigeurs de Drummondville, qui sont dirigés par Guy Boucher. Il est alors le plus jeune joueur de toute la ligue. Et cette année, en 2009-2010, il remporte le championnat des marqueurs de la ligue même s’il est encore trop jeune pour être admissible au repêchage de la LNH.

 

Le hockey en perte de vitesse au Québec ?

 

En juin 2011, de plus en plus de recruteurs prédisent que Sean Couturier sera le tout premier choix au repêchage de la LNH.

 

Comment un tel talent a-t-il pu passer sous le radar et être ignoré (voire ridiculisé) par Hockey Québec?

 

«À mon avis, le hockey québécois est en perte de vitesse parce que ses dirigeants nivellent par le bas. On freine la progression des meilleurs joueurs», croit Sylvain Couturier.

 

«Nous en sommes rendus au point où, certaines années, les provinces maritimes produisent davantage de joueurs de talent que le Québec. Pourtant, les saisons de hockey sont plus courtes dans les Maritimes et le nombre de joueurs y est cinq fois moins élevé qu’au Québec. Ce n’est pas normal.»

 

En effet

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Je me rends compte que tu crois que l'on doit absolument former des joueurs pour la LNH. Les études c'est pas important? Tu veux que ton gars ressemble à Lapierre?

Personnellement avec le pourcentage de chance que mon gars joue dans la LNH, je préfère lui donner une bonne éducation et lui permettre de continuer à jouer au hockey et au football et à la crosse dans un calibre de jeu élite.

Ah! Voilà ce que je voulais t'amener à dire! Si je ne tiens pas à former un joueur de hockey, y a plein d'écoles pour cela et pleins de programme hockey pour jouer avec du bon calibre tout en étudiant sérieusement. Ex. La ligue Collégiale AA et la ligue universitaire.

 

D'où un retour à la case départ de la discussion.

 

Est-ce que le système actuellement proposé par HQ (affiliation avec les écoles pour l'élite) est le meilleur système pour développer le talent?

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Gaulois j'étais sur le point de te demander de te joindre à cette conversation...toute une entrée!!!!

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