Aller au contenu
rookie coach

Prep school les débouchés aux USA

Messages recommandés

J'ai mis l'article au complet

 

En septembre 2009, la NCAA a modifié sa réglementation quant à l’admissibilité, entre autres des hockeyeurs désirant joindre ses rangs.

 

 

À leur sortie du secondaire, plusieurs Québécois prennent la route des prep schools américains afin d’améliorer leurs chances de décrocher une bourse d’études dans une université de division 1.

 

Selon Mike Labadie, entraîneur des Lions du Collège St. Lawrence et qui revient d’un séminaire sur l’admissibilité dans la NCAA, il ne s’agirait pas de la meilleure solution.

 

« Dans les trois dernières années seulement, selon les chiffres de la NCAA, les 100 premiers joueurs ayant obtenu des bourses d’études en division 1 ont été issus des différentes ligues juniors A du Canada et des États-Unis ainsi que de la USHL. Aucun ne provenait d’un prep school », a-t-il averti.

 

Labadie met en garde les parents qui rêvent de payer le gros montant pour que leurs enfants s’expatrient au pays de l’Oncle Sam.

 

« Pour être admissible à jouer en division 1 de la NCAA, en plus de bien performer au hockey, ça prend 16 unités scolaires (selon le modèle américain). En sortant du secondaire, les jeunes en ont habituellement accumulé entre 13 et 16. Ceux-ci peuvent ensuite aller au cégep, qu’ils doivent terminer dans un délai maximum de trois ans. Seulement au cégep, un étudiant, selon le calcul de la NCAA, peut cumuler près de 25 unités (un cours de 2,66 crédits au Québec compte pour une unité dans la NCAA).

 

« Dans un prep school, un étudiant ayant obtenu son diplôme d’études secondaires au Québec ne peut pas recevoir plus d’une unité. En plus, il peut recommencer l’équivalent de son secondaire 5. Si c’est le cas, aucune unité supplémentaire ne sera portée à son dossier. Un autre avantage de fréquenter un cégep québécois est que la NCAA prend en considération les 16 meilleures unités gagnées. »

 

En passant par le cégep, l’étudiant profite d’une période de cinq ans pour cumuler les 16 unités exigées. En prenant le chemin des prep schools, il n’aurait que quatre ans.

Partager ce message


Lien à poster
Invité abq

un étudiant qui a d excellent résultats obtient ses 16 crédits !

Partager ce message


Lien à poster

``À leur sortie du secondaire, plusieurs Québécois prennent la route des prep schools américains afin d’améliorer leurs chances de décrocher une bourse d’études dans une université de division 1.

 

Selon Mike Labadie, entraîneur des Lions du Collège St. Lawrence et qui revient d’un séminaire sur l’admissibilité dans la NCAA, il ne s’agirait pas de la meilleure solution.``

 

 

Donc ce que je comprends de ton commentaire abq c'est que ce monsieur Labadie est dans le champs. C'est cela? Il est allé au séminaire et il aurait mal compris? Car quand il dit ```il ne s'agirait pas de la meilleure solution`` il a du comprendre cela du séminaire non?

Partager ce message


Lien à poster
Invité abq

du tout mon éclairé !! dans la vie tu fais des choix.. si le jeune veux y allez qu il y aille ..peut etre pas de bourse mais un beau petit diplôme 8)

Partager ce message


Lien à poster

Ok pour le diplome Abq mais les diplomes d'ici ce n'est pas bon? Pourquoi dépenser de l'argent pour le diplome? Les universités d'ici pas assez bonne?

Partager ce message


Lien à poster

Je veux en venir que la ligue collégiale est de très bon calibre et la ligue universitaire aussi. alors si ton but final n'est pas le hockey mais le diplome pourquoi s'expatrier pourquoi ne pas rester ici. Si on veut développer le hockey scolaire il faut toujours bien l'encourager à tous les niveaux.

Partager ce message


Lien à poster

Intéressant point de vue exprimé par Labadie, qui connait son hockey bien mieux que moi, je l'avoue bien humblement. Mais Mike Labadie prêche pour sa paroisse, puisqu'il est coach d'une équipe de niveau Cégep donc, intéressé à attirer le maximum de talent afin d'obtenir l'équipe la plus compétitive possible.

 

Comme "partie intéressée", il n'est donc pas indépendant et j'aurais tendance à aller chercher une opinion plus neutre si la voie des collèges américains m'intéressait vraiment.

 

Quant à la valeur d'un diplôme d'ici vs d'ailleurs, celle-ci est très variable et doit être souspesée en fonction des vrais objectifs de l'individu. Il n'y a pas de réponse universelle là-dessus.

Partager ce message


Lien à poster

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Connectez-vous maintenant

×