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arès

ouais

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Président dans ce temps là on appelle MCtru...:-)

 

Je sais que ça a du être stressant pour toi.

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Bof pas vraiment mctru car tout ce que j'avance ou écrit est de domaine public donc pourquoi stresser avec des écrits accessible a tous... Pis si tu savait qui me menace mctru pas sure que tu voudrait être mon ami :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

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jOE 22, j'ai sorti mon gars de HQ. Il faut agir selon ce que l'on pense. Il est maintenant dans la nouvelle ligue LHPS.

SI vous n'agissez pas c'est votre problème.

Oui je sais mctru mais toi ton gars a pas de misère a l'école ce qui n'ai pas mon cas merci

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Joe, je ne parlais pas de mon gars mais du geste posé. Tu écrivais: ''ont s'obstine ont ce traite de nom mais ont agi pas ont jase''. Je te démontre le contraire. On doit agir en fonction de nos valeurs. Quand ça ne fait plus...bye!

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La liberté d'expression virtuelle a ses limites

Isabelle Audet, La Presse

18 octobre 2009 | 08 h 06

 

Environ 20% des Québécois qui utilisent l'internet en profitent pour exprimer des frustrations. Et si, en diffusant une opinion en ligne, ils dépassaient les bornes? La frontière entre la liberté d'expression et la diffamation est difficile à tracer. Tant et si bien que TD Assurance offre maintenant une protection aux internautes en cas de poursuite.

 

Pour en savoir plus

Facebook | Réseautage social | Droit et technologie

«Tu devrais venir. Qui a dit que dormir dans un logement moisi était mauvais pour toi? Horizon pense qu'il n'y a pas de problème.»

 

La remarque, lancée en mai sur le réseau Twitter, était presque banale. Amanda Bonnen invitait «JessB123» à la rejoindre, écorchant au passage l'entreprise propriétaire de son logement.

 

Le message s'adressait aux 20 personnes abonnées aux réflexions d'Amanda. Le commentaire a toutefois laissé des traces sur l'internet. Et Horizon Group Management n'a pas apprécié.

 

La jeune femme de Chicago fait désormais face à une poursuite de 50 000$ pour avoir «malicieusement» diffusé des propos diffamatoires au sujet de l'entreprise.

 

L'affaire se déroule aux États-Unis, dans un système juridique différent, mais la question du litige sur l'internet est d'actualité même au Canada, estiment François Giroux et David Gray, avocats associés en litige au cabinet McCarthy Tétrault, à Montréal.

 

«Il ne faut pas oublier que sur l'internet, sur Facebook ou ailleurs, on laisse des traces, et que ces traces peuvent être reprises par d'autres. Ce phénomène ne change pas le droit, mais il peut entraîner certains défis dans l'application du droit. Ça, c'est nouveau», explique Me Gray.

 

Ces derniers jours, TD Assurance a mené une campagne au Canada au sujet des commentaires sur l'internet et des risques de dérapage. L'entreprise en profite pour annoncer aux internautes que son assurance responsabilité civile (complémentaire à l'assurance habitation) apporte une protection pour «défendre les clients qui se sont mis dans de fâcheuses situations par suite de quelques frappes du clavier».

 

Les internautes sont-ils, sans le savoir, sur la corde raide? Au Canada, il n'y a pas d'explosion de ce type de bataille judiciaire, tempère Me Giroux. Il ajoute que pour se protéger eux-mêmes, les internautes ont toutefois avantage à demeurer courtois en ligne, comme ils le seraient sur la place publique. Lorsqu'ils émettent une opinion négative, ils se doivent aussi d'éviter de déformer les faits.

 

«Les gens qui veulent exprimer des opinions sur l'internet ne devraient pas penser qu'en faisant des commentaires anonymement, tout à coup les règles changent parce qu'ils sont protégés. On n'est pas plus protégés sur l'internet qu'ailleurs. Il y a là un faux sentiment de sécurité.»

 

Culture du commentaire

 

D'après le sondage mené pour TD Assurance, 9% des internautes affirment avoir des opinions plus arrêtées lorsqu'ils sont derrière leur écran. Les sites de critiques comme TripAdvisor (pour les voyageurs) et RateMyTeachers (pour les élèves et les étudiants) présentent des milliers de commentaires négatifs.

 

«Elle est horrible. Elle gueule tout le temps», affirme un élève au sujet d'un professeur d'art dans un collège privé de Montréal. Les propos sont négatifs, mais pourraient-ils valoir des ennuis à l'auteur anonyme?

 

Sans se prononcer sur ce cas précis, l'avocat François Giroux indique qu'il est impossible de déterminer avec précision ce qui est diffamatoire et ce qui ne l'est pas. «Quand on se commet publiquement, il y a toujours un risque théorique de diffamation. Après, tout est affaire de contexte et de circonstances. Il n'y a pas de réponse qui s'applique à toutes les situations.»

 

Vincent Gautrais, professeur de droit et titulaire de la Chaire en droit des affaires et de la sécurité électronique à l'Université de Montréal, appelle toutefois à une certaine souplesse de la part des personnes ou entreprises visées par des commentaires négatifs.

 

«Il y a une tendance un peu énervante qu'ont les juges de reconnaître la diffamation, dit-il. On vit dans une société un peu moumoune. Sur RateMyTeachers.com, j'ai eu des commentaires qui n'étaient pas bons sur certains de mes cours. Eh bien, c'est correct. Que ce soit vrai ou pas, en tant que personne publique, on doit autoriser une certaine liberté d'expression.»

 

 

 

75% des Canadiens disent avoir le même comportement en ligne qu'en personne

 

9% disent avoir des opinions plus arrêtées sur l'internet

 

53% des Canadiens écrivent en ligne pour partager une opinion au sujet d'une expérience

 

6% des Canadiens admettent faire du commérage sur l'internet

 

29% des internautes âgés de 18 à 34 ans disent avoir déjà regretté des propos émis en ligne (contre 16% des 35 à 54 ans et 5% des 55 ans et plus)

 

27% des Canadiens qui émettent des commentaires en ligne ne se croient pas légalement responsables de leurs propos

 

*D'après un sondage d'Angus Reid Strategies mené pour TD Assurance auprès de 1001 Canadiens d'âge adulte. La marge d'erreur, qui mesure la variation de l'échantillonnage, est de 3,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20.

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D'accord avec toi mctru, mais il y a certaines règles à respecter. Une personne peux dénoncer toutes les situations qu'elle veut mais sans faire de diffamation. Comme le dit l'article beaucoup de personnes se sentent invincible derrière un clavier et un nickname mais ils restent quand même responsable de leurs propos.

 

Comme tu dis live free or die.

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rookie même si tu fait pas de diffamation ces rendue que la mise en demeurre est l'arme pour faire taire surtout ceux qui ne connaisse pas ces quoi de la diffamation. Quand tu émmet des propos dans les journaux faut que tu t'attende que certain vont réagir.

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