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rookie coach

Le hockey canadien à l'agonie?

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Et pourtant mctru il pratique a l'année non??? Donc tu confirme qu'il y auras toujours exeption a la règle peut importe les ligues ou système en place??? Donc une ligue de dévelopement AA au québec peut aussi bien réussir qu'une ligue scolaire americaine. Qu'une ligue comme la LHJMQ pourait aussi bien causer des surprises qu'un programe US a l'année ? Moi je pense que oui et l'équipe junior canadienne avec des ''no body'' et avec deux semaine de préparation est en train de prouver ce que j'avance.

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Et pourtant mctru il pratique a l'année non??? Donc tu confirme qu'il y auras toujours exeption a la règle peut importe les ligues ou système en place??? Donc une ligue de dévelopement AA au québec peut aussi bien réussir qu'une ligue scolaire americaine. Qu'une ligue comme la LHJMQ pourait aussi bien causer des surprises qu'un programe US a l'année ? Moi je pense que oui et l'équipe junior canadienne avec des ''no body'' et avec deux semaine de préparation est en train de prouver ce que j'avance.

Sans oublier que le Canadan pourrait compter sur Tavares, Duchesne, Hall, Séguin et j'en passe!!!!

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Je vais vous en rajouter les gars:

Steven Stamkos ( vous aviez oublier le meilleur), Tyler Myers, Jeff Skinner, Alex Pietrangelo, Evander Kane, Jordan Eberle

 

Tous d'excellents joueurs développés par la LHJMQ et Hockey Québec? :D

 

La ligue canadienne avec des nobodys? Oui président...tous des inconnus...pour toi peut-être...

 

Donc une ligue de dévelopement AA au québec peut aussi bien réussir qu'une ligue scolaire americaine. Désolé mais non jamais! Aucune équipe AA ne développera autant un athlète qu'un prep school. Il faut être ignorant ( pas dans le sens péjoratif, président, dans le vrai sens du mot) pour dire une telle chose.

 

Je continue:

 

450 joueurs dans la LHJMQ

500 joueurs dans la OHL

550 joueurs dans la WHL

 

Pratiquement le même nombre de joueurs dans chaque organisation.

Regardons maintenant le nombre de joueurs de chaque organisation dans l'équipe junior canadienne.

 

LHJMQ: 3 joueurs et un gardien

WOL: 9 joueurs

OHL: 6 joueurs et un gardien

NCAA: 2 joueurs

 

La NCAA développerait pratiquement autant de bons joueurs que la LHJMQ?

Non, ça c'est impossible.

 

Et puis président, équipe-Québec U-17, quatrième derrière la OHL, les USA et la WHL?

Tu m'avais demandé de t'en reparler...

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Jouer dans la LHJMQ ne semble plus le rêve absolu de tous les jeunes Québécois. Le constat semble aussi valable pour les hockeyeurs originaires des Maritimes, de l’Ontario ou des États-Unis.

 

 

Au cours de la dernière semaine, Patrick Roy, le directeur général des Remparts de Québec a multiplié les pitchs de vente auprès de deux joueurs ontariens qu’il désirait greffer à sa formation. Il a également tenté de sortir un Américain de Boston University.

 

Sur les ondes de Quebec 800, lundi soir, Roy a admis à l’animateur Ray Cloutier que lui et ses homologues de la LHJMQ ne faisaient plus le poids face à l’énorme machine promotionnelle des collèges américains.

 

« J’ai appris beaucoup au cours des derniers jours. Les jeunes de l’extérieur se font vendre le rêve des collèges américains. Les sortir de ce rêve-là, c’est toute une aventure.

 

« Les collèges américains vendent bien leur salade et c’est difficile d’affronter ça, même si on sait que nous avons un produit extraordinaire. On a un travail de vente à faire. »

 

Forte concurrence

 

Plus que jamais, le circuit du commissaire Gilles Courteau vit la forte concurrence des ligues scolaires, junior AAA, des Prep Schools américains ou des ligues juniors actives au pays de l’Oncle Sam.

 

Celles-ci jouissent d’un avantage considérable sur les trois entités de la Ligue canadienne de hockey : leurs joueurs ne perdent pas leur admissibilité au sein de la NCAA.

 

Au Canada, dès qu’un jeune passe plus de 48 heures dans un camp d’entraînement d’une équipe de la LHJMQ, de l’OHL ou de la WHL, il est barré à vie du réseau collégial et universitaire régi par la NCAA.

 

La LCH, parce qu’elle distribue à ses joueurs des compensations monétaires de subsistance et de l’argent de poche si vous préférez, les transforme de facto en professionnels aux yeux des grands prêtres de l’éducation des États-Unis.

 

À cause de cette règle archaïque, les jeunes et leurs parents sont donc confrontés à des choix déchirants dès l’âge de 16 ans.

 

« À un moment donné, la Ligue canadienne devra conclure une entente avec la NCAA. Pour ce faire, faudra que David Branch (commissaire de la LCH) s’assoie avec les dirigeants du hockey américain. Les règles actuelles sont tout à fait illogiques », mentionne Patrick Roy, qui considère que la LCH demeure la meilleure école de formation pour les joueurs désirant faire carrière au hockey professionnel.

 

La LHJMQ n’est plus le rêve absolu

Mario Morissette

 

11/01/2011 18h18

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''Les règles actuelles ( de la NCAA ) sont tout à fait illogiques '', mentionne Patrick Roy, qui considère que la LCH demeure la meilleure école de formation pour les joueurs désirant faire carrière au hockey professionnel.

 

Les règles de la NCAA sont très claires (et non pas illogiques). Un joueur qui est payé pour jouer est un professionnel. Il reçoit un salaire pour son travail. La LCH le sait très bien. Tout ce que les clubs ont à faire c'est de ne pas les payer. Pensez-vous que l'argent que les joueurs reçoivent fait une différence dans leur vie? Non.

La LCH paye les joueurs seulement pour les garder les ici. Ça Patrick Roy n'en parle pas. Pourquoi?

 

Je suis tout à fait d'accord avec Patrick Roy, la LCH est une des très bonnes ligues pour faire carrière au hockey professionnel.

LHJMQDe 1995 à 2007, 7,6% des joueurs de la LHJMQ ont été repêchés par une équipe de la LNH.

De ce nombre, 2,6% ont joué au moins un match dans la LNH à ce jour.

NCAADe 1995 à 2007, 1,5% des joueurs de la NCAA ont été repêchés par la LNH.

De ce nombre, 0,6% ont joué au moins un match à ce jour dans la LNH.

 

Ce qui donne un net avantage à la LHJMQ de .8 joueurs.

 

Dans la LHJMQ, il y a .9 joueur par année qui va jouer au moins un match dans la LNH...pas tout à fait un mais presque.

Pour ce qui est de la NCAA, seulement .1 joueur par année jouera dans la LNH.

 

Et vous, en tant que parent, quel est votre choix?

Pensez-vous que l'expérience de la LHJMQ vaut la perte d'au moins trois ans d'études?

Votre fils est-il ce .9 joueur?

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mctru on sait très bien que les jeunes de la NCAA sont payer mais par moyen détourner. Quand tu recoit des bourses d'étude pour faire parti de l'équipe soit football,bassebal ou hockey pour moi ca reste des paiments déguiser.

 

Pour la perte d'étude je suis pas d'accord avec toi car depuis quelque année des équipes ce sont prise en main je dit pas toute mais ca change.

 

Je suis d'accord avec Roy certain vende le rêve de la NCAA et on sait très bien que pour un canadien ce rêve est très difficile a atteindre...Mais bon si ta un rêve je suis qui pour te l'enlevé par contre certain ce font des sous en exploitant cette objectif.

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@ president

 

J'étais d'accord avec toi et agréablement surpris de ta réponse et de tes commentaires sur la brillante analyse de mctru, ...jusqu'à tu ajoute pour terminer;...... " par contre certain se font des sous en exploitant cet objectif ". Aussi bien nommer le Monsieur .....en question. ( peur de mise en demeure ? )

Chassez le naturel et il revient au galop.

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Publié le 11 janvier 2011 à 08h12 | Mis à jour le 11 janvier 2011 à 08h12

Les leçons de la NCAA

Ronald King

La Presse

 

Voici une affaire rapportée par le New York Times la semaine dernière, à quelques jours du match de championnat de football universitaire des États-Unis disputé hier entre l'Université de l'Oregon et les Tigers d'Auburn, une école du Mississippi. Nos dirigeants de sports universitaires devraient prendre note.

Auburn est classé numéro un au pays en football et 85e en sports-études.

 

En 2006, un professeur de sociologie d'Auburn, Jim Gundlach, écoutait une entrevue donnée par un des joueurs où il affirmait préparer une majeure en sociologie. Gundlach ne connaissait pas cet étudiant. Il a joint les autres profs de sociologie pour découvrir qu'aucun d'entre eux ne l'avait vu à leurs cours. Le bon professeur a fini par découvrir que certains footballeurs-étudiants recevaient des diplômes en sociologie à la fin de leurs études sans avoir suivi un seul cours.

 

Il s'est fait whistle blower, comme ils disent, il a dénoncé la pratique, ainsi que bien d'autres. L'université a été chambardée, pénalisée, des dirigeants ont été congédiés, sans parler de l'immense embarras public. La direction a corrigé le tir dans les années qui ont suivi, mais les vieilles habitudes sont revenues, d'où le résultat de cette année. (Jim Gundlach n'enseigne plus à Auburn. Il n'a pas été congédié, mais il ne se sentait plus le bienvenu sur le campus.)

 

 

Nos équipes de football universitaire n'en sont pas à ce point, du moins je l'espère, parce que les revenus qu'ils génèrent sont minimes comparés à ceux des Bowls. Ils servent surtout à la bonne réputation de l'institution.

 

Pendant ma vie, les Bowls sont passés de un - le Rose Bowl, tradition du jour de l'An, le grandaddy of them all, comme ils disent - à 35. On parle de beaucoup d'argent à se partager.

 

Nos universitaires canadiens, déjà éclaboussés par un miniscandale de dopage, devraient toujours garder en tête ce que trop de laxisme peut causer

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