Aller au contenu
mctru

LA LISTE DU CSR 2013

Messages recommandés

Broadway, regarde l'age des joueurs americains sur la liste....

Au Quebec les tatas recrutent des enfants...

Avec l'aval de HQ et HC bien evidemment...

Je me pose la question suivante, en tant qu'organisation privee, peut-on s'approprier les droits sur un mineur?

Partager ce message


Lien à poster

Gignac, meilleur classement pour Esther Blondin a été développé dans qu'elle structure?

Carey avait posté cette article.

 

Prospect or Suspect?

On a recent visit to several Toronto area rinks, I noticed several hockey schools had boasted about some

of their students. It seems that everybody in Toronto

has coached Steven Stamkos and John Tavares. This

may indeed be true but upon further investigation it

became obvious to me that both Stamkos and Tavares were child prodigies when it came to hockey

and I would suspect that they both would have made

the NHL regardless of who they worked with.

You see, during my 10 year career I discovered that

there were basically 3 ways to make it to the top in

the sport of ice hockey.

1. You can make it if you posses natural God given

talent

2. You can make it if you have a relative high up in

the organization who is willing to pull strings for you

3 You can take advantage of the 20% rule

What is the 20% rule, you ask? Let me explain.

Give me any group of hockey players, let’s say 100.

I can assure you that based on my 25 + years experience that only 20% of those in the group will have

great talent, are highly self motivated and coachable.

You can easily recognize them as they are the ones

with their full attention on the coach, they are the

ones who execute every drill to the best of their ability, they are also the ones who frequently ask questions.

If you happen to be in this group, all you have to do

is outwork the rest of the group. If you notice someone in the group possessing better skills than you in

any particular area, simply find out what that player

does to have such superior skills and work twice as

hard to develop the same skill level. If the player is a

natural or a prodigy and can’t explain how they do it,

as most of these guys really don’t know how they do

it, simply analyze them and copy their every move.

I was at practice with the Maple Leafs this year and I

would marvel at how great Phil Kessel’s shot was. I

watched him go in on starting goalie James Reimer

and rip 2 shots high glove. I began to laugh and when he asked me why I was

laughing, I challenged him and bet him $10 that he

couldn’t do it again. He proceeded to walk in and do

the same thing 5 times in a row!! I asked him how

he does it and he responded “don’t you know I can

score on these guys any time I want?” I said “how

do you shoot the puck like that?”, and he simply said

“I don’t know, I just shoot, I have always been able

to do it”

Partager ce message


Lien à poster

Moi je suis d'accord avec Jo22 sur le fait qu'il soit abérant que des JEUNES de 16 et 17 ans soient considérés trop vieux pour avoir une chance de poursuivre leur dévellopement au plus haut niveau. Comme le dis si bien McTru : ils recrutent des enfants....

 

Et il semble que ce ne soit pas seulement au Québec mais dans tout le pays...

 

Il y a-t-il un autre sport d'équipe en Amérique du Nord ou l'on croit qu'un jeune de 16 ou 17 ans est déjà toppé dans son développement.

 

Je suis un amateur de plusieurs autres sports et pas seulement le hockey,

 

Je regarde entre autres les différents sports d'équipe sur ce continent : Football, Baseball, Basketball,Hockey.

 

J'en pratiqué, j'ai initié et encouragé mes fils à faire tous ces sports et autres si vous pouvez le croire.

 

Mais celui du hockey et ce qui l'entoure me jette à terre à chaque fois.

 

Je regardais les top prospect du basket venant du High School.

Ils ont 18-19 ans iront à l'université et par la suite seront peut-être repêché...

 

Seulement que quelques exeptionnel comme : Kevin Garnett, Kobe Bryant, Lebron James ont fait le saut du High School au Pro.

 

Au Football on doit passer par les rang Universitaire et on ne peut être éligible avant notre année junior. 

C'est habituellement des jeunes hommes se situant entre 21 et 23 ans.

 

Mais au hockey on fait un repêchage à 18 ans...pourquoi ??

Cet age du repêchage n'a pas été instauré dans les années 70 ?? à cause de l'AMH qui allaient chercher des jeunes de moins de 20 ans et après ils ont mêmes descendu à des 17 ans....

 

Le hockey comme le basket devrait pensé qu'à part quelques 18 ans exceptionnel ( et cela n'est vraiment pas beaucoup ) les jeunes repêchés devraient au moins avoir 19 sinon même 20 ans.

 

Cela pourrait faire boule de neige dans les rang mineur et on laisserai la chance à certains de ce développer au maximum.

 

Donc, de ne pas les "tassés" à 16-17 ans mais au contraire leur donné la chance d'aller au plus haut niveau qu'ils peuvent...

 

C'est probablement un rêve utopique de ma part...mais n'y avait-il pas quelqu'un qui a dit un jour : " I have a dream..."

Partager ce message


Lien à poster

La common law britanique ( la loi canadienne ) considère que les contrats conclus par un mineur ne sont pas valides — si l’on fait abstraction du cas des necessaries, le contrat conclu par le mineur sera tout simplement considéré nul (void) ou annulable (voidable), à l’initiative du mineur.

Ce qui veut dire qu'un joueur repeche par la LHJMQ peut decider simplement ou il veut jouer. On ne peut s'approprier les droits sur une personne mineure.

Partager ce message


Lien à poster

De plus le fait d'oublier les jeunes de 16 et 17 ans fait en sorte que seulement les plus nantis peuvent aider leur enfant a poursuivre son rêve en les envoyant étudier aux USA.

Si le jeune est un excellent étudiant bien entendu...

17 canadiens jouaient dans la finale du Frozen Four 2013!

Partager ce message


Lien à poster

Les flyingfrenchman, j'aime beaucoup ton commentaire, ca fait changement des commentaires d'un vendu comme president. :-)

Partager ce message


Lien à poster

3 ways to make it to the top in ice hockey.

 

1. You can make it if you posses natural God given

talent

Le talent n'existe pas, il parle ici de genetique.

 

2. You can make it if you have a relative high up in

the organization who is willing to pull strings for you

Absolument vrai.

 

3 You can take advantage of the 20% rule

What is the 20% rule, you ask? Let me explain.

Give me any group of hockey players, let’s say 100.

I can assure you that based on my 25 + years experience that only 20% of those in the group will have

great talent, are highly self motivated and coachable.

You can easily recognize them as they are the ones

with their full attention on the coach, they are the

ones who execute every drill to the best of their ability, they are also the ones who frequently ask questions.

If you happen to be in this group, all you have to do

is outwork the rest of the group. If you notice someone in the group possessing better skills than you in

any particular area, simply find out what that player

does to have such superior skills and work twice as

hard to develop the same skill level. If the player is a

natural or a prodigy and can’t explain how they do it,

as most of these guys really don’t know how they do

it, simply analyze them and copy their every move.

 

Ici le monsieur nous explique, contrairement a sa premiere affirmation que le talent n'existe pas...

Partager ce message


Lien à poster

Oui mais certain sport individuelle sont a un plus jeune age aussi. Regarde seulement le Tennis.

 

Pour ce qui est des U.S.A. il y a 2 gros sport majeur que le tout passe par les collégiales avant d’accéder a la grosse ligue. Seulement le hockey qu'il n'y a pas cet encadrement la.

Partager ce message


Lien à poster

Les Remparts de Québec parleront à six reprises au cours des huit premières rondes le 8 juin prochain à Chicoutimi. Ils ont un choix de deuxième ronde, un autre en troisième, deux en quatrième, aucun en cinquième et un en sixième et un septième.

Pour Alain Préfontaine, recruteur en chef des Remparts de Québec, l’approche est fort simple. «Lorsque tu as un choix de première ronde, tu sélectionnes le meilleur joueur disponible et par la suite tu y vas en fonction des besoins de l’équipe. Comme nous ne choisissons pas au premier tour, il devient doublement important de ne pas se tromper lorsqu’on parle en deuxième ronde. C’est donc dire que nous observons davantage ceux qui peuvent se retrouver entre le 20e et le 30e échelon, car nous savons que les joueurs les plus intéressants ne seront plus disponibles lorsque viendra notre tour de parler.»

Les Remparts de Québec ont des yeux un peu partout en province et rien n’est laissé au hasard. Un joueur peut être scruté à la loupe une cinquantaine de fois dans l’année par différents dépisteurs. «Lorsque les rapports se retrouvent sur mon bureau, il y a des informations qui s’entrecroisent, mais si les commentaires sont diamétralement opposés je discute avec les recruteurs pour avoir leur perception de l’athlète. S’ils ont vu des choses différentes, ça nous donne une vision encore plus globale du joueur.» En cours de saison une présélection est faite, mais il se peut qu’un joueur inintéressant en novembre attire l'attention en février, car le dépistage est une science très inexacte. «Effectivement ajoute Alain, il n’y pas un joueur qui se développe de la même façon. Pour certains la progression est plus lente, mais continue. Arrivé au repêchage il sera peut-être plus attrayant que le patineur qui dominait en début de saison. En tant que recruteur j’essaie de deviner ou de prévoir ce que le jeune de 15 ou 16 ans sera en mesure de nous donner à 18 ans.»

Tous les joueurs sur la liste des Remparts seront appelés. Par exemple sur les 125 rejoints au téléphone, 50 seront rencontrés en entrevue. L’importance de celle-ci est toute relative. «Encore cette année, précise Alain, nous avons interviewé un joueur qui était tout feu tout flamme sur la glace. En tête-à-tête il était tout le contraire, timbre de voix faible, regard fuyant, ce n’était plus le même individu. Environ 70% des parents sont présents et souvent les jeunes ont été préparés par leurs agents, mais nous savons assez vite si la réponse donnée est la sienne ou celle d’un autre.»

Pour aider les clubs de son circuit à être encore mieux préparés lorsqu’arrive la journée du repêchage, la LHJMQ a mis sur pied le Centre de soutien au recrutement (CSR). Son mandat est de fournir aux 18 équipes un support dans l’évaluation, le repérage et le recrutement des meilleurs espoirs qui évoluent au Québec, dans les Maritimes et en Nouvelle-Angleterre. Chaque territoire est bien défini et un recruteur basé en Nouvelle-Écosse n’assistera pas à des rencontres à Drummondville par exemple. Par contre certains membres du Centre vont assister à différents tournois sur l'ensemble du territoire pour observer tous les joueurs disponibles. Composé de dix personnes, le CSR refile aux équipes une quantité d’informations sur les joueurs qui évoluent dans les ligues d’élite, les horaires des tournois, etc. Une liste est établie et publiée sur le site de la ligue le sept mai. Les évaluations du Centre sont à titre indicatif seulement. Pierre Leduc est le directeur des opérations dans la LHJMQ et voir à la bonne marche du CSR fait partie de ses fonctions. «Nous sommes vraiment au service des équipes et nous sommes là pour faciliter la tâche de leurs recruteurs. C’est comme la 19e formation du circuit Courteau  qui donne un coup de pouce aux autres clubs. Contrairement à ceux-ci nous n’avons pas de besoin à combler alors sur notre liste on retrouve toujours le talent brut en premier, peu importe la position du joueur. Ils peuvent donc comparer les listes et pour eux c’est un outil de travail supplémentaire.»

Il y a 14 rondes au total et chaque équipe est obligée de recruter deux joueurs sur le territoire américain, et ce à tout moment pendant le repêchage. Il y a donc douze joueurs qui proviennent du Québec ou des provinces de l’Atlantique et deux originaires des États-Unis. Il y a six états qui appartiennent au Circuit Courteau soit le Maine, le Vermont, le Connecticut, le Massachusetts, le New Hampshire et le Rhode Island. Les équipes peuvent donc opter pour un joueur originaire d’un de ces états, même s’il évolue dans celui de New York par exemple. Concernant les joueurs de 15 ans, ils doivent obligatoirement être choisis dans les huit premières rondes.

Alain Préfontaine tient à préciser une chose en terminant:

«Nous avons de moins en moins de joueurs au Québec qui semblent intéressés à poursuivre un programme études/hockey aux États-Unis, preuve que la ligue et les équipes font un bon travail pour offrir aux jeunes du hockey de qualité tout en leur proposant des programmes d’études qui répondent à leurs besoins.

Partager ce message


Lien à poster

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Connectez-vous maintenant

×