Aurèle Joliat

Avec la LEHQ, tout le monde a été en mesure de constater que la LEAAAQ avait beaucoup plus besoin de la THAAAQ que le contraire.
 
On pouvait clairement distinguer un écart important dans le calibre des équipes et la qualité des tournois entre les deux organisations.
 
L'an dernier, le bluff a fonctionné. Cette année, le poisson n'a pas mordu.

@ Battlax
 
Carey devrait être en mesure de nous brosser un bon portrait de la situation en fonction des nombreuses informations qu'il a pu obtenir.

100% d'accord.  La LEAAAQ avait beaucoup moins d'équipes et celles-ci étaient, règle générale, de calibre nettement inférieur aux équipes de la THAAAQ.  Avec leur concept "d'association" avec les équipes Midget AAA, ils ont laissé croire qu'ils allaient se relancer et prendre une grosse part du marché.  À très peu d'endroits ce "partenariat" s'est implanté solidement. 
 
Avec la LEAAAQ, un dicton s'appliquait:  les règles sont faites pour être contournées.
 
Je ne crois pas que la scission ait un gros impact pour la grande majorité des bonnes organisations de hockey AAA à travers la province.

Ce sera le retour aux clans des Cowboys vs celui des Indiens.  THAAAQ vs LEAAAQ.  C'est ce qui arrive aux mariages de convenance!!

Maskoutain
 
La  LEAAAQ qui était une boite vide a réussi à bluffé la THAAAQ qui a paniqué. La THAAAQ beaucoup plus solide en tout n'avait qu'à attendre qu'ils crèvent. Ça ce serait passé dans l'année suivante.
 
Leur avidité et leur peur de tout perdre leur a fait prendre une mauvaise décision encore une fois.

Je ne pense pas qu'on oublie le talent. En fait, je crois qu'on se laisse facilement berner par la grosseur. Car faut admettre qu'un grand et gros doit faire beaucoup moins d'efforts qu'un petit car à la base y'a un préjugé généralisé que le gros va mieux performer...parce que c'est plus frappant.
 
Pour illustrer mon propos, si tu avais à te battre et tu avais à choisir entre un grand/gros ou petit. Naturellement, tu aurais tendance à choisir le petit sous prétexte qu'il va être plus facile. Et pourtant, le petit peut être plus habile, plus rapide mieux entraîner et donc plus difficile à battre. Mais toutes ces qualités, tu vas le réaliser en cours de route pas au départ. Et pe malgré tout cela... ta première impression va être tellement enracinée que tu ne changeras pas d'idée sous prétexte d'égo ou autre.
 
Tu vois... on oublie jamais le talent mais le petit doit en démontrer plus. Un bon joueur reste un bon joueur qu'il soit petit ou grand. Mais à talent égal ou légèrement inférieur... on va favoriser le plus grand/gros sous prétexte qu'il sera plus facile pour lui de se développer.
 
En fait, il faut arrêter de croire qu'il y a de la magouille partout. Mais simplement voir les choses telles qu'elles sont.

Quand on regarde ça de près, ça pas l'air fou comme idée pour ceux qui ont vu des tournois 2004 D2.
L'an dernier, les Phoenix avait 2 équipes 2004 D2:  Phoenix Sherbrooke et Phoenix Estrie.  Chacun a été finaliste dans un tournoi et en plus, une équipe a éliminée l'autre en demi-finale. Au tournoi Vipers, les deux clubs ont joué contre les Nordiques qui ont bien fait au tournoi de Québec dans le D1 et qui ont gagné tous leurs tournois dans le D2..  Contre Nordiques, une équipe a fait match nul et l'autre a perdu en prolongation. Phoenix Sherbrooke avait une attaque très très forte et ont gagné leurs matchs préliminaires avec souvent 6-7 buts d'écart.  Juste dans cette équipe, ils ont facilement 5-6 joueurs de calibre D1. Si ils prennent les meilleurs éléments des deux clubs en plus d'aller chercher d'autres joueurs de leur coin qui jouent D1 ailleurs et qu'ils recrutent d'autres bons joueurs de la ligue double-lettre Estrie à Drummond, Victo, Plessisville, Bromont, Granby, Farnham.  Ils peuvent très bien monter un club compétitif en D1.  Peut-être pas un club pour tout gagner mais un club qui aurait pas l'air fou pentoute.

Il y a un constat qu'on fait rapidement quand on côtoie les parents de jeunes qui jouent au hockey. Une bonne majorité, voient toujours leur fils un peu meilleur qu'il l'est en réalité et ils voient les autres un peu moins bons qu'ils le sont en réalité.  Un autre groupe ont encore moins d'humilité et ne voient que leur enfant.  Quand leur fils est grand et gros, il n'y a que la grosseur qui compte.  Quand leur enfant est rapide, c'est le patin qui compte. L'objectivité n'est pas la plus grande qualité parentale dans les arénas du Québec.
 
Je suis également ENTIÈREMENT D'ACCORD que tout ceux qui ont joué du hockey de haut niveau ne sont forcément pas de bons entraîneurs.  Parfois, les habiletés de communication avec les jeunes, les habiletés pédagogiques et le niveau de structure requis ne fait pas le poids.
 
Il y a de bons bénévoles compétents au sein des organisations de hockey mineur mais ils doivent avoir la couenne dure et assumer leurs choix  pour faire leur chemin.  S'ils veulent accéder à des équipes de plus haut niveau (AAA/AA/BB) en plus de connaître leur hockey et d'avoir les qualités d'enseignants deux autres qualités sont fondamentales: la transparence et l'habilité à communiquer.  De cette manière, s'ils sont compétents, ils pourront convaincre à la fois les dirigeants et les parents.
 
Il y a des passionnés qui s'investissent bénévolement qui sont des rats d'aréna et qui trippent sur la game.  Ils lisent sur le coaching, consultent des sites internet divers, parlent de hockey avec d'autres gens compétents et deviennent des sacré bons coachs.
 
La pire erreur qu'une organisation de hockey mineur peut faire est de donner ses équipes double-lettre ou son programme initiation à des incompétents (malheureusement ça arrive...).  Par contre, on ne peut mettre la barre trop haute pour le coaching du simple-lettre. Si des bénévoles compétents sont disponibles, c'est un luxe.  Malheureusement, le coaching de ces équipes sont souvent tirés à la courte-paille et c'est le parent qui perd qui se retrouve avec l'équipe.  Avec les résultats qu'on connait.
 
Ce n'est pas une recette miracle mais ça augmente selon moi les chances de succès.

Les alignements au novice, et atome CC-BB, sont souvent trop nombreux aussi. 

Il y a un constat qu'on fait rapidement quand on côtoie les parents de jeunes qui jouent au hockey. Une bonne majorité, voient toujours leur fils un peu meilleur qu'il l'est en réalité et ils voient les autres un peu moins bons qu'ils le sont en réalité.  Un autre groupe ont encore moins d'humilité et ne voient que leur enfant.  Quand leur fils est grand et gros, il n'y a que la grosseur qui compte.  Quand leur enfant est rapide, c'est le patin qui compte. L'objectivité n'est pas la plus grande qualité parentale dans les arénas du Québec.
 
Je suis également ENTIÈREMENT D'ACCORD que tout ceux qui ont joué du hockey de haut niveau ne sont forcément pas de bons entraîneurs.  Parfois, les habiletés de communication avec les jeunes, les habiletés pédagogiques et le niveau de structure requis ne fait pas le poids.
 
Il y a de bons bénévoles compétents au sein des organisations de hockey mineur mais ils doivent avoir la couenne dure et assumer leurs choix  pour faire leur chemin.  S'ils veulent accéder à des équipes de plus haut niveau (AAA/AA/BB) en plus de connaître leur hockey et d'avoir les qualités d'enseignants deux autres qualités sont fondamentales: la transparence et l'habilité à communiquer.  De cette manière, s'ils sont compétents, ils pourront convaincre à la fois les dirigeants et les parents.
 
Il y a des passionnés qui s'investissent bénévolement qui sont des rats d'aréna et qui trippent sur la game.  Ils lisent sur le coaching, consultent des sites internet divers, parlent de hockey avec d'autres gens compétents et deviennent des sacré bons coachs.
 
La pire erreur qu'une organisation de hockey mineur peut faire est de donner ses équipes double-lettre ou son programme initiation à des incompétents (malheureusement ça arrive...).  Par contre, on ne peut mettre la barre trop haute pour le coaching du simple-lettre. Si des bénévoles compétents sont disponibles, c'est un luxe.  Malheureusement, le coaching de ces équipes sont souvent tirés à la courte-paille et c'est le parent qui perd qui se retrouve avec l'équipe.  Avec les résultats qu'on connait.
 
Ce n'est pas une recette miracle mais ça augmente selon moi les chances de succès.

Ça serait le fun si vous ne transformiez pas toujours vos expériences personnels en généralités. Être bénévoles n'est pas synonyme d’incompétence, anciens pros ne veut pas dire automatiquement bon pédagogue. Mon fils ne joue pas au niveau que moi je le vois, y'a de la gamique en arrière de ça. Un peu d’objectivité ne ferait pas de tort.

Le problème de Hockey Québec est qu'il doit gérer un territoire qui est non-uniforme en appliquant un mode de fonctionnement "one size fits all".  Ici au Lac St-Jean, on peut pas se structurer comme à Montréal.  Pas la même réalité.  Ils sont condamnés à pénaliser certains à chaque décision qu'ils vont prendre.
 
Trop gros territoire et trop différente réalité.

Entièrement d'accord avec Packers77!
 
C'est ça le problème avec ce forum.  Il y a toujours des frustrés qui prennent plaisir à emmerder les autres. 
 
Si ça vous intéresse pas, passez à l'autre message.  Pas obligé de descendre les autres.
 
Pis si vous avez besoin d'attention, la SPA cherche des parents adoptifs pour des beaux petits chiens qui vous donneront tout l'amour qui vous manque.