Boqué

Anti Québécois toi Carey? je m'en fous. En fait je m'en fous tellement que je n'y ai même pas pensé, ça n'a pas rapport ici. Tu parles des faits, je t'ai donné des faits. Toi ce que tu appelés des faits sont des appréciations, des jugements que les personnes portaient à ce moment. Les faits Wic est passé premier, Savard a connu une belle carrière, ça se sont les faits.
 
McKinnon Drouin, je t'ai donné les faits. McKinnon 1er choix(en passant c'est correct qui soit premier choix) Drouin 3e. Qui a connu plus de points dans la LHJMQ Drouin, aussi un fait. Qui a jouée dans la NHL le premier McKinon aussi un fait, qui est son coach Roy, aussi un fait, qui sont les gérants de Drouin avec les Bolts, 3 anglais et un Québécois qui fait office d'avocat, encore les faits. Maintenant si tous avaient la même rigueur, on jouerait pas sur les mots pour expliquer des situations.

Les points dans laLHJMQ ça veut rien dire ...quand t'es québécois, Ca prend le kit complet pour le pro...c'est quoi le kit, venir de l'Ontario si possible ou être né anglo-saxon de préférence, savoir entretenir de bons liens avec les intervenants du hockey ''canadiens''. Y a plein d'excellents joueurs dans la LHJMQ qui ont juste le malheur de jouer sur le mauvais côté de la clôture.

Ah voilà...le gabarit
 
Drouin 5'11"  186    McKinnon 6'  195
 
Ça explique tout.
 
Les dépisteurs ont toujours la bonne analyse.
 
Kane 5'11"  182
Giroux 5'11'  172
Pavelski 5'11" 190
Eberle 5'11" 180
Little 5'11"  185
Oshie 5'11" 189
Zuccarello  5'7" 179
 
Je vais arrêter ici, je pense que le gabarit n;a rien à voir dans ce cas-ci.

AAA+ t'as pu voir que les dépisteurs ne sont que des pantins. 2013 Colorado choisit McKinnon en 1er choix, Drouin sort 3e. Voila que contrairement à ce que Carey sur le grand amour des anglais envers les français, les choses se passent assez bizarrement... Drouin a toujours eu de meilleures stats que McKinnon, mais dans le hockey canadien on ne publicise que Mckinnon. OK on peut regarder ça et ne pas se rendre compte de rien. Mais voilà, une fois les choix faits, on continue...McKinnon qui a la chance d'avoir été repêché par un entraineur-gérant québécois, ouvert d'esprit entreprend dès sa première saison son aventure LNH. Drouin repêché pas Tampa lui doit vendre sa salade a Yzerman, grandi en Ontario, Pat Verbeek, grandi en Ontario, Tom Kurvers, un américain, juste Brisebois pour le vendre au reste de l'organisation. Au niveau des entraineurs' il aura pas la même chance que McKinnon, juste des anglais avec leur vision qui font que le ti-cul du Québec va devoir en donner  plus pour garder sa job que le ti-clin de l'Ontario. Carey a déménagée la-bas et leur liche le cul tous les jours, ils le trouvent bien sympathique le petit québécois. Mais le jour qui sera pas d'accord, il va voir que la mèche est courte entre le bon petit singe sympathique et le #POC# de séparatiste that can't speak white. Même si t'es contre la séparation.
 
Un grand détour pour dire que les dépisteurs qui travaillent au Québec, doivent trouver une perle extrêmement rare avant de pouvoir la vendre au grands clubs. Drouin une moyenne de 40 points de plus que McKinnon dans le junior, mais ça aurait pris 60-70 points de plus pour obtenir le même traitement. 40 points, t'es meilleur mais sais-tu, on va essayer de rester avec quelqu'un qui va comprendre les instructions du coach.
 
LHJMQ 2012-2013 Alexandre Lavoie Rimouski 63 games 96 points..pas repéché. OHL 2012-13 Ryan Hartmann 56 games 60 points...repéché 1st round 30eme. C'est juste un exemple de même, en quoi Hartmann est-il tellement meilleur que Lavoie. Ah oui Carey va nous dire que le Hockey Ontarien est tellement plus fort...ok mais Mc Kinnon a toujours ben compter juste une couple de points de plus que Lavoie dans la méme ligue, mais McKinnon, c'est facile à vendre, Lavoie ben faut travailler plus fort pour prononcer son nom. Sivous voulez d'autres exemples, j'en ai d'autres.

AAA+ t'as pu voir que les dépisteurs ne sont que des pantins. 2013 Colorado choisit McKinnon en 1er choix, Drouin sort 3e. Voila que contrairement à ce que Carey sur le grand amour des anglais envers les français, les choses se passent assez bizarrement... Drouin a toujours eu de meilleures stats que McKinnon, mais dans le hockey canadien on ne publicise que Mckinnon. OK on peut regarder ça et ne pas se rendre compte de rien. Mais voilà, une fois les choix faits, on continue...McKinnon qui a la chance d'avoir été repêché par un entraineur-gérant québécois, ouvert d'esprit entreprend dès sa première saison son aventure LNH. Drouin repêché pas Tampa lui doit vendre sa salade a Yzerman, grandi en Ontario, Pat Verbeek, grandi en Ontario, Tom Kurvers, un américain, juste Brisebois pour le vendre au reste de l'organisation. Au niveau des entraineurs' il aura pas la même chance que McKinnon, juste des anglais avec leur vision qui font que le ti-cul du Québec va devoir en donner  plus pour garder sa job que le ti-clin de l'Ontario. Carey a déménagée la-bas et leur liche le cul tous les jours, ils le trouvent bien sympathique le petit québécois. Mais le jour qui sera pas d'accord, il va voir que la mèche est courte entre le bon petit singe sympathique et le #POC# de séparatiste that can't speak white. Même si t'es contre la séparation.
 
Un grand détour pour dire que les dépisteurs qui travaillent au Québec, doivent trouver une perle extrêmement rare avant de pouvoir la vendre au grands clubs. Drouin une moyenne de 40 points de plus que McKinnon dans le junior, mais ça aurait pris 60-70 points de plus pour obtenir le même traitement. 40 points, t'es meilleur mais sais-tu, on va essayer de rester avec quelqu'un qui va comprendre les instructions du coach.
 
LHJMQ 2012-2013 Alexandre Lavoie Rimouski 63 games 96 points..pas repéché. OHL 2012-13 Ryan Hartmann 56 games 60 points...repéché 1st round 30eme. C'est juste un exemple de même, en quoi Hartmann est-il tellement meilleur que Lavoie. Ah oui Carey va nous dire que le Hockey Ontarien est tellement plus fort...ok mais Mc Kinnon a toujours ben compter juste une couple de points de plus que Lavoie dans la méme ligue, mais McKinnon, c'est facile à vendre, Lavoie ben faut travailler plus fort pour prononcer son nom. Sivous voulez d'autres exemples, j'en ai d'autres.

AAA+, j'essaierai pas de dire que le Québec fait sensation en développement des joueurs. Mais de mettre les opinions des dépisteurs dans la balance, tu y vas un peu fort. Ces mêmes dépisteurs qui en 1980, alors qu'il y avait encore plein de bons québécois dans les premières rondes,  ont déterminé que Doug Wichenheiser était le joueur à sélectionner comme tout premier choix. au lieu de prendre Savard. Oublies Savard si tu veux, plein de joueurs avant Wichenheiser auraient du être choisis, mais les génies dépisteurs ont choisi autrement.
 
à part quelques années ou les choix sont faciles parce que le 1er choix est tellement évident, ces même dépisteurs sont pas capables de voir ce qui se passe vraiment sur la glace. En 82 Gord Gluzak 1er choix...c'est pourtant un dépisteur quelque part qui l'a conseillé aux Bruins à la place d' un Ron Sutter ou Scott Stevens.  En 85, quel idiot a conseillé Brent Fedyk au Red Wings 8e chox 1ere ronde alors que Nieuwendyk a glissé jusqu'en 2 e ronde 27 au total. Des exemples de même c'est plein et c'est tous des dépisteurs qui amènent l'eau au moulin.
 
Les dépisteurs me font penser à mon planificateur financier...il dit ce que les autres disent de peur de perdre leur job ou un client. Ils pourraient frapper le jack pot en choisissant le blanc mais comme tout le monde parle du noir, d'un coup que le blanc ètait moins bon que je le voie, je vais choisir le noir pis si il foire, mais je pourrai dire qu'on s;est tous trompé. Pis après ça ils donnent leurs opinions sur le hockey au Québec??? Pire tu te fies à leurs opinions. On ferait des améliorations qu'ils les verraient pas. Juste quand tout le monde commencerait à dire que le Québec fait du bon, qu'ils commenceraient à suivre, des moutons ces dépisteurs.

L'université c'est le meilleur chemin pour habiter chez ses parents et avoir une BMW à crédit à 30 ans. Si tu veux ta maison, un chalet, et ford F150 avec un trailer qui traine 2 skidoo, 1 bateau, 2 4X4 pis une moto quand tu montes à la chasse, et tout ça payé cash, faut devenir électricien.

Dans ce texte, très long j'en convient, il y a une phrase que vous semblez tous avoir manqué ou pas compris. On peu mettre l'enfnt dans le meilleur contexte avec le meilleur enseignement et rien ne se passera si la passion n'émane pas de lui. L'exemple de Venus Williams dans le texte le démontre bien quand à quatre ans et demi el s'entête a vouloir frapper jusqu'à la 500 ième balle. c'était à cet instant une passion naissante qui lui a permis de bénéficier plus que les autres enfants dans le même environnement. Si tu veux un champion cherche un passionné.

Dans ce texte, très long j'en convient, il y a une phrase que vous semblez tous avoir manqué ou pas compris. On peu mettre l'enfnt dans le meilleur contexte avec le meilleur enseignement et rien ne se passera si la passion n'émane pas de lui. L'exemple de Venus Williams dans le texte le démontre bien quand à quatre ans et demi el s'entête a vouloir frapper jusqu'à la 500 ième balle. c'était à cet instant une passion naissante qui lui a permis de bénéficier plus que les autres enfants dans le même environnement. Si tu veux un champion cherche un passionné.

Si la cruche le veut, oui. C'est le vouloir qui est difficile à trouver.

C'est assez incroyable les commentaires méchants envers les enfants...classe de hockeyeurs cabochons, fréquenter des nuls à l'école, etc...les femmes ont sans doute raison, un homme individuellement peut être intelligent mais une couple de gars ensemble et le quotient descend bien prés de celui du singe. Si c'est pour dire des conneries que vous venez vous défouler, au moins laissez les enfants en dehors du coup.

Wow!!!
 
Élite, écoles, entraîneurs, régions, calibre, plaisir, nuls, coûts...
Et on se demande pourquoi le hockey est en baisse de popularité au Québec...
 
À l'école pour qui je travaille, notre fierté est d'avoir placé 5 de nos joueurs dans le collégial AAA cette saison et un aux USA Prep.
Ils iront tous dans des collèges qui privilégient l'école avant le hockey.
 
Nos joueurs sont-ils des élites?
Oui, ils le sont à leur manière.
Doit-on absolument aller jouer dans la LHJMQ et la NHL pour être un joueur-élite?
L'élitisme n'est-elle pas plutôt citoyenne?
 
Un esprit sain dans un corps sain.
Le problème au Québec, comme partout ailleurs dans le monde du hockey,  c'est que les parents ne sont pas tous sains...d'esprit.

LOL. Rien ne m'a couté $8000 jusqu'à présent. Mais l'argent n'a jamais garanti le résultat, ce n'est pas une raison qui devrait motiver ou démotiver. Mais à la base si tu dois passer par l'espoir, analyses bien les raisons pourquoi, et ais une bonne conversation avec ton jeune pour savoir il en est rendu ou dans son désir de performer.

Le pire dans l'atome BB, un paquet sortent de là avec aucune chance de faire le PW AA c'est un des pire cul de sac pour trop de jeunes
 
 
Le pire dans la LHEQ PW AAA, un paquet sortent de là avec aucun chance de faire le Bantam AAA a cause du contact, c'est un des pire cul de sac pour ben du monde...
 
 
.....       .....
 
Le pire dans la LHJMQ un paquet sortent de là avec aucun avenir hockey autre que de jouer dans une ligue de garage, avec un retard scolaire à combler,  c'est un des pire cul de sac pour ben du monde...
 
Le pire dans la ligue américaine, un paquet sortent de là avec aucun avenir hockey autre que de jouer dans une ligue de garage, pis de travailler dans la construction, c'est un des pire cul de sac pour ben du monde...
 
Ça arrive à tous les niveaux. Arrétez de penser que tous feraient la LNH si on développait mieux, un très petit pourcentage vont percer jusqu'au bout.
 
Ça n'empêchera pas ben du monde de tout donner pour essayer d'y arriver (ça au moins c'est une bonne chose)
 
Critére numero 1 pour faire de l'élite, il faut vouloir être là.

Le pire dans l'atome BB, un paquet sortent de là avec aucune chance de faire le PW AA c'est un des pire cul de sac pour trop de jeunes
 
 
Le pire dans la LHEQ PW AAA, un paquet sortent de là avec aucun chance de faire le Bantam AAA a cause du contact, c'est un des pire cul de sac pour ben du monde...
 
 
.....       .....
 
Le pire dans la LHJMQ un paquet sortent de là avec aucun avenir hockey autre que de jouer dans une ligue de garage, avec un retard scolaire à combler,  c'est un des pire cul de sac pour ben du monde...
 
Le pire dans la ligue américaine, un paquet sortent de là avec aucun avenir hockey autre que de jouer dans une ligue de garage, pis de travailler dans la construction, c'est un des pire cul de sac pour ben du monde...
 
Ça arrive à tous les niveaux. Arrétez de penser que tous feraient la LNH si on développait mieux, un très petit pourcentage vont percer jusqu'au bout.
 
Ça n'empêchera pas ben du monde de tout donner pour essayer d'y arriver (ça au moins c'est une bonne chose)
 
Critére numero 1 pour faire de l'élite, il faut vouloir être là.

Carey...qu'est ce que tu dis la....un programme de hockey qui correspond au besoin actuel du jeune dans sa progression...que les parents choisisse...j'ai tu bien lu? que les parents choisisse.
 
Whow...tu nous garoches souvent tes expériences, mais là, j'espère que t'as juste fait un erreur de syntaxe. Qu'est ce qu'un parent connait de ce que son jeune a besoin? Vraiment à part nous faire part de ce que tu vois en Ontario, qu'est ce que tu connais vraiment du développement d'un joueur de hockey? C'est pas parce que t'as un fils qui a du talent que ça fait de toi un connaisseur. Maintenant le modèle de l'Ontario qui est si performant ne développe pas tant que ça mieux qu'ici. Vous les vendez mieux que nous, ça je te l'accorde volontiers, beaucoup de contacts avec la LNH dans votre coin, plus qu'ici, pas juste pour des raisons de hockey. Plus d'anglais dans la LNH et donc obligatoirement plus de gens qui viennent de l'ouest du Québec, c'est normal qu'habitant en Ontario ils voient plus de joueurs Ontariens évoluer et le monde étant ce qu'i est ben les contacts se font. Mais c'est certainement pas du développement sensationnel, sinon on dominerait au niveau international et ce n'est plus le cas, on a de la misère de battre la Suède aux Olympiques, un petit pays de 7 Millions. Donc avant de nous vendre le modèle Ontarien comme étant la seule solution, la solution unique, refais tes devoirs. On fait peut-être pas ce que tu voudrais mais comme ça ne te touche pas, peut-être qu'on a pas les moyens de faire aussi mauvais que l'Ontario et qu'on voudrait plutô suivre le modèle Scandinave. En clair, c'est pas parce que t'es a moitié chemin dans la course que tu peux dire aux autres comment gagner...t'es juste à moitié chemin.

Carey...qu'est ce que tu dis la....un programme de hockey qui correspond au besoin actuel du jeune dans sa progression...que les parents choisisse...j'ai tu bien lu? que les parents choisisse.
 
Whow...tu nous garoches souvent tes expériences, mais là, j'espère que t'as juste fait un erreur de syntaxe. Qu'est ce qu'un parent connait de ce que son jeune a besoin? Vraiment à part nous faire part de ce que tu vois en Ontario, qu'est ce que tu connais vraiment du développement d'un joueur de hockey? C'est pas parce que t'as un fils qui a du talent que ça fait de toi un connaisseur. Maintenant le modèle de l'Ontario qui est si performant ne développe pas tant que ça mieux qu'ici. Vous les vendez mieux que nous, ça je te l'accorde volontiers, beaucoup de contacts avec la LNH dans votre coin, plus qu'ici, pas juste pour des raisons de hockey. Plus d'anglais dans la LNH et donc obligatoirement plus de gens qui viennent de l'ouest du Québec, c'est normal qu'habitant en Ontario ils voient plus de joueurs Ontariens évoluer et le monde étant ce qu'i est ben les contacts se font. Mais c'est certainement pas du développement sensationnel, sinon on dominerait au niveau international et ce n'est plus le cas, on a de la misère de battre la Suède aux Olympiques, un petit pays de 7 Millions. Donc avant de nous vendre le modèle Ontarien comme étant la seule solution, la solution unique, refais tes devoirs. On fait peut-être pas ce que tu voudrais mais comme ça ne te touche pas, peut-être qu'on a pas les moyens de faire aussi mauvais que l'Ontario et qu'on voudrait plutô suivre le modèle Scandinave. En clair, c'est pas parce que t'es a moitié chemin dans la course que tu peux dire aux autres comment gagner...t'es juste à moitié chemin.

AAA+, Qui a imposé ce système les parents? Je sais ce que tu penses mais à ta grande surprise Oui. Les parents insatisfaits trouvent toujours le moyen d'essayer de donner un peu de "justice" à leur jeune. Et d'une implication à une autre, le système finit par être pourri. Tu as passé 13 ans dans les arénas, dis moi pas qu'à chaque fois que quelqu'un essaie de faire quelque chose de bien, y a pas au moins une couple de parents qui sont pas contents. Mon gars est ben ordinaire dans le AAA, bon petit joueur  sans plus mais surtout excellent patineur (il retient de son père  ;-) ) Plus jeune j'entendais des parents dire ...regardes celui la il patine en cr..., mais j'entendais aussi d'autres dire -oui mais il est toujours sur la glace en powerskating, il va partout. C'était à moitié vrai. Mais au début de chaque saison je passais à tous les parents de son équipe, la liste des cours de powerskating disponibles avec les horaires, les couts, le comment réserver, etc. Et tu sais combien de parents en 4 ans sont venus. Je te dirais 5 sont venus une fois ou deux. Et seulement deux ont finalement fait comme moi et donner environ 1.5 heure-2 heures de plus par semaine de plus à leur jeune. Eux ont jamais chiâler, mais les autres, oh my god, s'ils avaient pu réarranger toute la structure de l'équipe pour que leur jeune puisse bien paraitre une fois de temps en temps. ils l'auraient fait.Alors cette attitude explique en grande partie qu'après tant d'années le système est pas mal croche.

Maskoutain, j'ai pataugé toute ma vie dans le sport d'élite, j'ai connu plein d'athlètes olympiens. Tous ont une chose en commun, la passion vient d'eux même. Les parents...des accompagnateurs, des confidents, des consolateurs dans les moments plus difficiles, point à la ligne. C'est plus de travail et de sacrifices que tu peux te l'imaginer, mais si tu veux appeler ça la loi du moindre effort c'est que T'as rien compris de ce que j'ai dit. Les équipes élite comme tu dis, c'est de la grosse merde avant pee wee dans la majorité des cas. Des briseurs de rêve, de la pression inutile, des prises de conscience trop hâtives pour des jeunes pas prêts. Les jeunes sont des éponges c'est sur. Ils peuvent apprendre plein de choses, on peut leur enseigner plein de choses, plein de skills....sans pression inutile, dans le plaisir, sans parents casse pied qui veut le bien de son jeune, mais qui veut aussi que le jeune performe avant même de savoir si c'est le sport qu'il aime vraiment. Sans s'asseoir avec un un adulte et son père pour se faire dire que son rêve finalement il va devoir le revoir à la baisse parce qu'il a pas une ou deux qualités. Mon père a coaché des filles en softball jusqu'aux championnats canadiens, gérer une équipe junior élite au baseball, plus jeune il avait été invité au camps des Mets. Imagine l'amour qu'il avait pour le baseball, ben c'est le seul sport qu'il a jamais été capable de m'enthousiasmer. Et pourtant il aurait pu m'enseigner tout ce qui faut pour devenir un pro. J'ai joué, j'ai aimé mais trop jeune on a commencé les "conseils". Dans le plaisir tu peux "accompagner" ton jeune à se dépasser, dans la logique de la critique du vouloir améliorer les point faibles etc...tu cours à sa perte.

Maskoutain, j'ai pataugé toute ma vie dans le sport d'élite, j'ai connu plein d'athlètes olympiens. Tous ont une chose en commun, la passion vient d'eux même. Les parents...des accompagnateurs, des confidents, des consolateurs dans les moments plus difficiles, point à la ligne. C'est plus de travail et de sacrifices que tu peux te l'imaginer, mais si tu veux appeler ça la loi du moindre effort c'est que T'as rien compris de ce que j'ai dit. Les équipes élite comme tu dis, c'est de la grosse merde avant pee wee dans la majorité des cas. Des briseurs de rêve, de la pression inutile, des prises de conscience trop hâtives pour des jeunes pas prêts. Les jeunes sont des éponges c'est sur. Ils peuvent apprendre plein de choses, on peut leur enseigner plein de choses, plein de skills....sans pression inutile, dans le plaisir, sans parents casse pied qui veut le bien de son jeune, mais qui veut aussi que le jeune performe avant même de savoir si c'est le sport qu'il aime vraiment. Sans s'asseoir avec un un adulte et son père pour se faire dire que son rêve finalement il va devoir le revoir à la baisse parce qu'il a pas une ou deux qualités. Mon père a coaché des filles en softball jusqu'aux championnats canadiens, gérer une équipe junior élite au baseball, plus jeune il avait été invité au camps des Mets. Imagine l'amour qu'il avait pour le baseball, ben c'est le seul sport qu'il a jamais été capable de m'enthousiasmer. Et pourtant il aurait pu m'enseigner tout ce qui faut pour devenir un pro. J'ai joué, j'ai aimé mais trop jeune on a commencé les "conseils". Dans le plaisir tu peux "accompagner" ton jeune à se dépasser, dans la logique de la critique du vouloir améliorer les point faibles etc...tu cours à sa perte.

Maskoutain, j'ai pataugé toute ma vie dans le sport d'élite, j'ai connu plein d'athlètes olympiens. Tous ont une chose en commun, la passion vient d'eux même. Les parents...des accompagnateurs, des confidents, des consolateurs dans les moments plus difficiles, point à la ligne. C'est plus de travail et de sacrifices que tu peux te l'imaginer, mais si tu veux appeler ça la loi du moindre effort c'est que T'as rien compris de ce que j'ai dit. Les équipes élite comme tu dis, c'est de la grosse merde avant pee wee dans la majorité des cas. Des briseurs de rêve, de la pression inutile, des prises de conscience trop hâtives pour des jeunes pas prêts. Les jeunes sont des éponges c'est sur. Ils peuvent apprendre plein de choses, on peut leur enseigner plein de choses, plein de skills....sans pression inutile, dans le plaisir, sans parents casse pied qui veut le bien de son jeune, mais qui veut aussi que le jeune performe avant même de savoir si c'est le sport qu'il aime vraiment. Sans s'asseoir avec un un adulte et son père pour se faire dire que son rêve finalement il va devoir le revoir à la baisse parce qu'il a pas une ou deux qualités. Mon père a coaché des filles en softball jusqu'aux championnats canadiens, gérer une équipe junior élite au baseball, plus jeune il avait été invité au camps des Mets. Imagine l'amour qu'il avait pour le baseball, ben c'est le seul sport qu'il a jamais été capable de m'enthousiasmer. Et pourtant il aurait pu m'enseigner tout ce qui faut pour devenir un pro. J'ai joué, j'ai aimé mais trop jeune on a commencé les "conseils". Dans le plaisir tu peux "accompagner" ton jeune à se dépasser, dans la logique de la critique du vouloir améliorer les point faibles etc...tu cours à sa perte.

Maskoutain, j'ai pataugé toute ma vie dans le sport d'élite, j'ai connu plein d'athlètes olympiens. Tous ont une chose en commun, la passion vient d'eux même. Les parents...des accompagnateurs, des confidents, des consolateurs dans les moments plus difficiles, point à la ligne. C'est plus de travail et de sacrifices que tu peux te l'imaginer, mais si tu veux appeler ça la loi du moindre effort c'est que T'as rien compris de ce que j'ai dit. Les équipes élite comme tu dis, c'est de la grosse merde avant pee wee dans la majorité des cas. Des briseurs de rêve, de la pression inutile, des prises de conscience trop hâtives pour des jeunes pas prêts. Les jeunes sont des éponges c'est sur. Ils peuvent apprendre plein de choses, on peut leur enseigner plein de choses, plein de skills....sans pression inutile, dans le plaisir, sans parents casse pied qui veut le bien de son jeune, mais qui veut aussi que le jeune performe avant même de savoir si c'est le sport qu'il aime vraiment. Sans s'asseoir avec un un adulte et son père pour se faire dire que son rêve finalement il va devoir le revoir à la baisse parce qu'il a pas une ou deux qualités. Mon père a coaché des filles en softball jusqu'aux championnats canadiens, gérer une équipe junior élite au baseball, plus jeune il avait été invité au camps des Mets. Imagine l'amour qu'il avait pour le baseball, ben c'est le seul sport qu'il a jamais été capable de m'enthousiasmer. Et pourtant il aurait pu m'enseigner tout ce qui faut pour devenir un pro. J'ai joué, j'ai aimé mais trop jeune on a commencé les "conseils". Dans le plaisir tu peux "accompagner" ton jeune à se dépasser, dans la logique de la critique du vouloir améliorer les point faibles etc...tu cours à sa perte.

Maskoutain, j'ai pataugé toute ma vie dans le sport d'élite, j'ai connu plein d'athlètes olympiens. Tous ont une chose en commun, la passion vient d'eux même. Les parents...des accompagnateurs, des confidents, des consolateurs dans les moments plus difficiles, point à la ligne. C'est plus de travail et de sacrifices que tu peux te l'imaginer, mais si tu veux appeler ça la loi du moindre effort c'est que T'as rien compris de ce que j'ai dit. Les équipes élite comme tu dis, c'est de la grosse merde avant pee wee dans la majorité des cas. Des briseurs de rêve, de la pression inutile, des prises de conscience trop hâtives pour des jeunes pas prêts. Les jeunes sont des éponges c'est sur. Ils peuvent apprendre plein de choses, on peut leur enseigner plein de choses, plein de skills....sans pression inutile, dans le plaisir, sans parents casse pied qui veut le bien de son jeune, mais qui veut aussi que le jeune performe avant même de savoir si c'est le sport qu'il aime vraiment. Sans s'asseoir avec un un adulte et son père pour se faire dire que son rêve finalement il va devoir le revoir à la baisse parce qu'il a pas une ou deux qualités. Mon père a coaché des filles en softball jusqu'aux championnats canadiens, gérer une équipe junior élite au baseball, plus jeune il avait été invité au camps des Mets. Imagine l'amour qu'il avait pour le baseball, ben c'est le seul sport qu'il a jamais été capable de m'enthousiasmer. Et pourtant il aurait pu m'enseigner tout ce qui faut pour devenir un pro. J'ai joué, j'ai aimé mais trop jeune on a commencé les "conseils". Dans le plaisir tu peux "accompagner" ton jeune à se dépasser, dans la logique de la critique du vouloir améliorer les point faibles etc...tu cours à sa perte.

Maskoutain, j'espère que t'es pas sérieux dans ton dernier post, s'asseoir avec les parents et le jeune avant pee wee? Avant Pee wee c'est des enfants qui veulent juste avoir du fun. Ils rêvent de jouer dans la LNH comme ceux qui jouent au soccer dans la cour d'école rêve de jouer dans la coupe du monde, ils rêvent comme des enfants rêvent, foutez leur la paix avec les réunions pour leur donner ce sur quoi ils doivent travailler, laissez les donc être des enfants un peu et rêver avec tout la naïveté de l'enfance et leur capacité de rêver grand. Si le rêve est assez grand, ils trouveront rendu fin atome, pee wee les moyens de devenir ce à quoi ils ont rêver. Si tu leur arrive avec des grands conseils, orientation, les qualités les défauts tu vas les éteindre ben raide. Certains vont rêver plus que d'autres et la maturité pour commencer à cheminer sera pas pareil pour tous, mais de grâce laissez les décider du moment qui seront prêts, concentrez vous juste à rendre leur expérience hockey le plus plaisante possible, à la hauteur de leur désir de s'amuser, de rêver, de se prendre pour leurs idoles. Pour que ces jeunes performant plus tard, il faut d'abord qu'ils aiment la game comme des fous.

Maskoutain, j'espère que t'es pas sérieux dans ton dernier post, s'asseoir avec les parents et le jeune avant pee wee? Avant Pee wee c'est des enfants qui veulent juste avoir du fun. Ils rêvent de jouer dans la LNH comme ceux qui jouent au soccer dans la cour d'école rêve de jouer dans la coupe du monde, ils rêvent comme des enfants rêvent, foutez leur la paix avec les réunions pour leur donner ce sur quoi ils doivent travailler, laissez les donc être des enfants un peu et rêver avec tout la naïveté de l'enfance et leur capacité de rêver grand. Si le rêve est assez grand, ils trouveront rendu fin atome, pee wee les moyens de devenir ce à quoi ils ont rêver. Si tu leur arrive avec des grands conseils, orientation, les qualités les défauts tu vas les éteindre ben raide. Certains vont rêver plus que d'autres et la maturité pour commencer à cheminer sera pas pareil pour tous, mais de grâce laissez les décider du moment qui seront prêts, concentrez vous juste à rendre leur expérience hockey le plus plaisante possible, à la hauteur de leur désir de s'amuser, de rêver, de se prendre pour leurs idoles. Pour que ces jeunes performant plus tard, il faut d'abord qu'ils aiment la game comme des fous.