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Des Québécois sur la route prep school/université

Messages recommandés

Oui je sais, une belle histoire de persévérance, mais c'est une sur combien.

 

Mais c'est ce que je disais les années passé dans la ligue américaines ne sont pas des années perdues.

 

Il y beaucoup de joueurs qui arrivent vers 24-25 ans dans la grande ligue après avoir joué plusieurs saisons dans les circuits mineurs.

 

Mais ces années sont jouées dans un bon calibre pour les préparés pour la grande ligue. Ce sont des années importantes pour certains.

 

Mais si tu arrives dans la ligue américaine à 24-25 ans, tu ne survivras pas longtemps, la côte est trop grande à monté.

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Malcommode, pour répondre à ta question pour Lionking, et sans vouloir être déplacé ou remontrant.

Ça doit être parce qu'on a pratiqué, qu'on a joué et qu'on s'est entraîné.

C'est ce que j'appelle le syndrome du ''on''.

Les parents, arrêtez d'utiliser le mot ''on'' quand vous parlez entre vous.

''On a joué en fin de semaine et on a perdu''

Vous n'avez pas joué, votre enfant a joué.

On devrait plutôt dire : Jean ( Mon gars ) a joué en fin de semaine et a perdu.

Ça nous dissocie de notre enfant. Essayez d'y penser, vous allez voir ça fait une différence dans notre tête..

 

Je vous remercie tous au nom de mon gars, il ne reste plus qu'à régler le côté Financial aid...la semaine prochaine à ce qu'ils m'ont dit. Espérons que leur offre sera assez substantielle.

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Malcommode, M Leroux n'a pas raison. Esposito et Lecavalier ne sont pas allés dans des college, mais dans des prep schools.

Esposito à Shattuck St-Mary's et Lecavalier à Notre-Dame.

Ils sont ensuite revenu dans la LHJMQ suite aux pressions de leurs agents.

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Invité

Mctru,

juste une question, quel est le nom du prep que ton fils a ete accepter?

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Buddy, comme on a pas encore la reponse du financial aid tu comprendras que je prefere taire le nom

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Malcommode !

 

L'action de féliciter, c'est un compliment sur ce qui est arrivé d'agréable à quelqu'un. Donc pour mctru la joie de voir son fils se faire accepter dans un prep school est une réussite de tout le support accordé à son enfant qui a pu s'épanouir de jour en jour en jouant au hockey ...

 

C'est pour ça que je félicite le fils pour son travail et le père pour ses sacrifices...

 

'' Être un bon père, c’est mettre en place une scène, installer tous les outils disponibles et dire: «Vas-y, mon fils, bâtis TA scène; celle de TA vie!» '' .

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Invité Malcommode

Curieusement Lionking j'aime mieux la réponse de mctru que la tienne. Par contre j'aime ta citation ta scène et ta vie et non pas notre scène et notre vie. Le syndrome du on comme dit mctru.

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Mon fils est allé ce weekend dernier au camp de sélection de l'Académie St-Louis ( école privée), à Québec.

http://www.aslouis.qc.ca/

 

Pour ceux qui ne le savent pas c'est, avec Stanstead et Kuper Academy, la meilleure porte d'entrée pour les prep schools américains.

 

Leurs trois équipes; secondaire 4 ( espoir), secondaire 5 (relève) et collégiale ( junior) ne sont pas fédérées et jouent exclusivement contre des prep schools américains. Les jeunes jouent en moyenne 40 parties, seulement aux USA. Ils jouent contre des équipes de tête et contre des équipes de milieu de peloton mais avec des exigences académiques plus élevées. À partir de septembre jusqu'au mois de mars, ils sont partis tous les weekends aux USA. Ils jouent aussi dans des showcases américains.

 

La partie la plus intéressantes, c'est qu'ils placent en moyenne de 8 à 10 joueurs par années avec des financial aid de plus de 75% du coût du boarding school. Ce qui fait en sorte que le coût des études américaines sont d'environ 5,000$ à 15,000$ ( au lieu de 30,000$ à 45,000$). On parle du placement d'environ un peu moins de la moitié de l'équipe relève.

 

Un autre avantage, c'est le coût. Les frais de scolarité à Stanstead et Kuper sont d'environ 35,000.00$ par année. À l'Académie on parle de la moitié. C'est à dire l'équivalent du coût d'une saison dans le midget AAA si votre fils est en pension.

 

Mais la partie la plus importante, selon moi, c'est le côté académique. On accepte le jeunes ayant une moyenne générale de plus de 75% seulement. Aucuns passe-droits. La première exigence ce ne sont pas les performances sportives, mais bel et bien les exigences académiques. Ce qui est normal si on tient compte du fait que ce sont les mêmes exigences pour enter dans les écoles privées aux USA.

 

AU programme le weekend derniers: évaluations psychologiques ( 2 heures), tests physiques (plus que sérieux), entrevues des joueurs, évaluations en situation de matchs. Trois jours qui ont été très remplis pour les jeunes.

 

Les entraîneurs sont tous diplômés en éducation physique et le site d'entraînement sur glace et hors glace est le PEPS de l'université Laval.

 

Pour ce qui est du niveau de jeu. Ils prennent des joueurs de niveau bantam AA, Espoir , MIdget BB, AA et AAA. Comme ils jouent contre des preps, votre enfant doit avoir des qualités physiques assez fortes ( poids et grandeur). Allez voir ceci vous comprendrez pourquoi. Ils jouent entre autre contre cette équipe.

http://www.exeter.edu/athletics/3165_15022.aspx

 

Quelques noms de prepschools contre qui ils jouent: Hebron ( la meilleure équipe prep de la Nouvelle Angleterre l'an dernier), Philips Exeter, Avon Old Farms, Cushing, Tilton, Deerfield, Kents Hill School, Northwood Academy, Vermont Academy, etc.

 

Voilà, si vous avez des questions, ne vous gênez pas.

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Côté académique, l’Académie St-Louis est 10/10. Le leadership du Directeur et de ses adjoint(e)s rayonne sur toutes les facettes de cette école. Le programme hockey est aussi excellent, mais moins fort que le Midget AAA. Quant à moi, ça n’a aucune importance, car ce qui est important, c’est la visibilité que les matchs aux États-Unis donnent aux joueurs. Après une bonne performance d’un joueur, il y a de grosses chances pour que l’entraîneur adverse aille s’informer auprès de l’entraîneur de l’Académie St-Louis comment ce joueur est comme hockeyeur, comme étudiant et comme individu.

 

Concernant l’aide financière de la part des Prep School, il faut bien comprendre comment ça fonctionne. Dans un premier temps, les parents doivent remplir un formulaire dans lequel ils divulguent leurs revenus, leurs dépenses, leurs actifs et leurs passifs. (Parents Financial Statement). Ce document est analysé par une firme (National Association of Independent Schools) et il en résulte un montant qui correspond à ce que les parents devraient être capables de payer pour l’éducation de l’enfant. Ce résultat est envoyé aux Prep Schools où l’enfant veut faire application. Par exemple, si ce montant est de 15 000$ et qu’une année financière coûte 40 000$, l’école ne donnera pas plus de 25 000$. Si l’école donne le maximum (25 000$), c’est qu’ils veulent vraiment le jeune. Donc, si vous entendez des parents qui disent qu’ils ont eu une aide financière de 37 000$, ça veut dire 2 choses : l’école veut vraiment le jeune ET les parents ne sont pas riches. Toutefois, il y a de rares exceptions. Certaines écoles peuvent octroyer l’aide financière selon le « mérite ». Par exemple, les parents d’un « Vincent Lecavalier » ne paieront probablement pas un sou dans une telle école. On s’entend qu’il n’y a pas beaucoup de « Vincent Lecavalier » et la très grande majorité des Prep Schools (je dirais plus de 95%) ne basent pas l’aide financière sur les performances au hockey.

 

Finalement, concernant un message précédent qui félicitait le jeune ET son père, ces félicitations s’adressent effectivement aux deux. C’est certain que c’est le jeune qui tient le bâton et le crayon, mais les parents doivent être TRÈS disponibles dans le processus. Les parents passent aussi en entrevue. Ça prend aussi plusieurs lettres de recommandations. Les « tout croches » sont rapidement écartés. Ce que les écoles veulent, ce sont de bons individus qui peuvent apporter à leur communauté. Des jeunes qui sont bons à l’école et ayant de bonnes valeurs dans la vie.

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