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faire le bon choix ! Pas facile

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Quel est le meilleur choix pour un jeune de 16 ans qui n'a aucune idée quoi prendre comme décision ? LHPS, midget aaa ou Prep school américain ?

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La question n'est pas claire, le jeune a t'il présentement 16 ans? Au Québec un jeune de 16 ans joue son année Midget AAA ou à 15 ans à l'occasion. S'il ne joue pas actuellement à 16 ans il est préférable de regarder les deux autres options lorsqu'il aura 17 ans.

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Au moins, aujourd'hui, ous avez des choix possibles. Il n'y a pas longtemps la question que vous auriez posée; est-il de calibre pour le midgetAAA? Si non... on oublie ça ou à peu près.

 

D'abord, pour ma part, je crois qu'il est trop tard pour envisager un prep Américain l'an prochain, à moins qu'il y ait déjà une offre formelle sur la table et que les démarches soient enclenchées. Sinon à cette étape, vous auriez à date visité quelques Collèges vos demandes d'admission et d'aide financière seraient déjà dans le courrier. ( vous devrez prévoir +/- 30 heures de travail pour monter votre dossier, en plus d'un vidéo idéalement, etc )

 

De toute façon avant de faire un choix, il y a lieu de se poser plusieurs questions:

Comme déjà mentionné par JosVeusavoir; il joue dans quelle catégorie cette année?

Est-il de calibre?

Quels sont ses objectifs et son potentiel, talent athlétique et académique?

A-t'il de bonnes notes?

Devra-t'il quitter la maison et aller en pension dans l'un ou l'autre choix?

Quel sont les coûts et mon budget disponible?

Etc, etc.

 

Bon, pour les 2 choix possible au Québec, rien ne presse; il devrait être invité au pré-camp du midgetAAA ( habituellement après la saison en cours) et il devrait s'inscrire à un prochain try-out de la LHPS .

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bon je ne voulais pas entrer dans les détails mais voici de façon plus clair

 

 

IL a gagné la coupe dodge l'an passée (bt AA)

IL a été invité au U-15

IL a été coupé du AAA la dernière journée du camp

Il a refusé de se présenté espoir

il joue midget bb pcqu'il voulait aller à l'école publique anglophone

Toutes les démarches pour un prep school sont faites

Il a eu un gros score dans son test SSAT

Pour la LHPS du Québec

il suffit de dire oui, et il est confirmé

pour le prochain camp midget aaa, il espère de se faire invité par une autre équipe

Il est parfait bilingue et excellent à l'école francophone ou anglophone

finalement dans les 3 options il doit être hébergé.

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Pas facile!

 

Je risque une clarification additionnelle:

 

Je présume que vous êtes de la Mauricie car je crois que les Estacades ont gagné la coupe Dodge 2010 si je ne m'abuse dans le BantamAA?

Donc l'invitation de la LHPS serait alors du Séminaire St-François et il jouerait U17 ?

 

Cette année, seulement Ulysse offre le U19 dans la LHPS; Ce qui serait une option possible pour votre fils pour l'an prochain. Est-ce qu'il y aura d'autres collèges de la ligue LHPS qui offriront le U19?

 

Mais, par contre s'il est accepté dans un Prep US ce serait toute une aventure enrichissante à vivre. J'étudierais cette option avec grande attention

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Je présume que vous êtes de la Mauricie car je crois que les Estacades ont gagné la coupe Dodge 2010 si je ne m'abuse dans le BantamAA?

Donc l'invitation de la LHPS serait alors du Séminaire St-François et il jouerait U17 ?

Du séminaire St-Joseph

Cette année, seulement Ulysse offre le U19 dans la LHPS; Ce qui serait une option possible pour votre fils pour l'an prochain. Est-ce qu'il y aura d'autres collèges de la ligue LHPS qui offriront le U19?

Séminaire St-Joseph, Collège de Lévis et ???

 

Pour le prep school américain. Il est fortement recommandé de terminer son secondaire au Québec avant d'aller là bas.

Sans ça, s'il revient ici ( ne termine pas son high school là bas ) il doit le terminer pour entrer au CEGEP.

Il sera plus facile pour lui de jouer de 17 à 19 ans là bas. Les entraîneurs préfèrent avoir des joueurs plus vieux pour deux ans.

Mon gars joue au séminaire actuellement et il a appliqué dans trois écoles américaines pour l'an prochain ( football et hockey ).

N'oubliez pas que le temps où on acceptait les joueurs québécois à bras ouvert est terminé. Les frais à payer sont maintenant de l'ordre de 15,000.00$ à 20,000.00$ par année.

À moins d'avoir une lettre d'intention des entraîneurs ou que votre gars soit une superstar.

Jouer au hockey n'est pas assez, il doit aussi performer dans un autre sport, ça aide pour être accepté.

Si vous voulez en discuter, je suis disponible en privé.

Actuellement, je connais deux gars de TR qui sont dans deux prep américains.

 

PS: A 17 ans, il est barré au AAA.

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J'aimerais ajouter un détail pour la question de partir étudier aux USA sans avoir complété son secondaire V. L'étudiant qui a son secondaire IV en poche sera intégré au mieux en onzième année (grade 11)dans un prep school, ça ressemble au secondaire V du Québec sans cours de français.Par contre, s'il veut son diplôme de secondaire V au Québec il devra faire l'été suivant à son retour à la maison son français de secondaire V. C'est possible mais il faut que l'étudiant soit motivé à étudier quelques semaines l'été suivant.

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Je réactive cette section plutôt moribonde du forum en vous rapportant l'événement suivant survenu la semaine dernière dans le cadre du programme hockey du Collège de Lévis. Ça peut peut-être jeter un éclairage particulier pour ceux, parents et enfants, qui se questionnent sur les choix à faire dans les prochaines années. Il faut parfois aller contre le courant établi pour avancer... c'est du moins ce que relate Marian Stastny dans cet article paru dans le Soleil de Québec. Bonne réflexion!

 

Le coordonnateur du programme études-hockey du Collège de Lévis, Louis Simard (à gauche), trouvait pertinent que Marian Stastny vienne rencontrer ses jeunes joueurs pour leur parler de ses expériences personnelles.

 

Le Soleil, Laetitia Deconinck

 

 

 

(Québec) Quand les Nordiques ont quitté Québec, en mai 1995, la plupart des 55 hockeyeurs du Collège de Lévis n'étaient même pas nés. Pour eux, les exploits de Marian Stastny et de ses frères sur la glace du Colisée relèvent de la préhistoire. Ce qui n'empêche pas l'aîné de Peter et d'Anton de leur servir d'inspiration.

 

«Nos parents préféraient nous voir à la maison ou à l'école plutôt que sur la patinoire», raconte Marian Stastny, dans une salle de l'aréna de Saint-Étienne-de-Lauzon. «Mon père disait que le sport, c'est pour les paresseux, ceux qui ne veulent pas réussir dans la vie. Mais j'ai continué et je n'ai jamais accepté ça. Jusqu'à ce qu'il se mette à me donner des conseils sur mon jeu et que je réalise qu'il venait nous voir jouer en cachette!» lance-t-il en riant, de son accent toujours typique de l'Europe de l'Est malgré les 30 dernières années passées loin de sa Tchécoslovaquie natale.

 

Au cours de sa vie, l'homme d'affaires de 58 ans établi à Saint-Nicolas a eu des choix déchirants à faire. En première ligne, fuir son pays une nuit de juin 1981, en compagnie de sa femme et de ses trois enfants. Dix mois plus tôt, ses deux frangins s'étaient évadés du régime communiste pour atterrir à Québec, avec les Nordiques. Depuis, Marian était interdit de hockey ou d'une quelconque pratique professionnelle. «Un représentant du gouvernement est venu me voir et m'a dit : "Pour toi, il ne reste que le pic et la pelle"», se rappelle-t-il encore.

 

Mais il n'a «jamais regretté» sa décision de fuir. Tout comme celle de compléter sa formation en droit à l'université de Bratislava en marge de sa carrière d'athlète. Quatre des six membres de la fratrie Stastny sont diplômés universitaires, insiste-t-il auprès de ces jeunes de quatrième et cinquième secondaires. «Et ce n'est pas parce que Peter et Anton n'étaient pas capables, mais parce qu'ils ont émigré avant de finir. Ils en étaient à leur cinquième et troisième semestres à l'école de commerce.»

 

 

 

Plan B primordial

 

Entre une anecdote sur les Jeux de Lake Placid et l'autre impliquant le défenseur Pat Price, Stastny insiste de «toujours avoir un plan B, comme le maire Labeaume». Au Collège de Lévis, les études passent au premier plan. Si un élève du programme études-hockey n'a pas 80 % dans toutes ses matières, ses heures de hockey diminuent. Moins de 70 %, plus de hockey du tout. Trois jeunes ont été exclus cette année.

 

Du lot, 35 font partie des deux équipes évoluant au sein de la Ligue de hockey préparatoire scolaire. Un modèle calqué sur les prep school américains. «À une autre échelle, nos joueurs ont choisi d'aller à contre-courant au lieu de continuer dans le cheminement régulier. Je trouvais pertinent de rencontrer Marian Stastny», explique le responsable du programme, Louis Simard. Les Commandeurs ont encore trois tournois à disputer avant la fin de la saison, à Rochester, Boston et Québec.

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