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jeff63

ou est carey price le justicier

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Mon cher Carey, tu portes des jugements sur le niveau de hockey de mes fils en ne sachant absolument pas de quoi tu parles. Tu supposes que je ne connais pas l'élite par les propos que je tiens, et bien, tu te mets peut-être un doigt dans l'oeil pas mal profond mon ami. C'est juste que moi, je n'étale pas sur la place publique les exploits de mes enfants......

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salut carey comment vouler vous que hockey quebec puisse faire ou envisage faire de l elite a voir vos conversation chaque interlocuteur, a sa facon a lui de faire de l elite je te le redit pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple.

dans mon commantaire plus haut sur les commanditaire ses hockey quebec qui les trouve et non pas chaque equipe

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Bon point yserman mais ne mentionne pas hockey quebec à carey il ne jure que par sa province d'adoption. Il pense que tout est plus vert chez le voisin. mais il va déchanter assez vite. Il fait partie de la pensée des dinausores qui ne jure que par l'intimidation, le contact et les batailles.

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hooo attention rookie carey n as pas tord sur toute la ligne le hockey nest pas un court de balais artistique.il ne faut pas oublier qu il est pour le contact mais avec des joueur de meme niveau peut importe la categorie et je ne suis pas en desacord avec lui

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Alors tu fais partie aussi des dinosaures? Je ne suis pas contre le contact, mais pas à toutes les catégories. Les études sont de plus en plus précises sur le fait que beaucoup de maladies mentales sont reliées aux commotions à répétitions.

 

Et que plus ton cerveau n'est pas formé plus les riques de commotions sont élevé. Donc on peut attendre avant de mettre le contact. Regarde ce que leas pros endurent.

 

Comme je dis souvent à Carey, ton jeune ne pourra pas te remercier pour l'avoir laissé jouer contact, il ne se souviendra même pas de qui tu es lorqu'il aura 40 ans. Mais cela ne vous dérange pas je le sais.

 

C,est drôle le seul sport qui porte vraiment attention à cela est le football. Les gens qui sont en charge de ce sport prennent vraiment les int`rets de jeunes à coeur. Pa scomme au hockey ou la viellle garde est au poste coute que coute.

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salut rooki peut tu m expliquer quelque chose.debuton avec les annee 70 combien de jeune jouait au hockey dans ma region aumoin 1 sur 2.pense que 50% on fat de l elite avec du contact.avec cette deduction il y aurais 25% des homme de 40 ans et plus qui son pris de malaise a cause des commotion cerebral.regarde autour de toi et demande au homme de 30 a 40 ans qui on des malaise avec des comotion et je crois que tu en trouveras peus meme tres tres peu.

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Yserman tu devrais écrire aux universités et leur dire de cesser de faire leurs études sur ce sujet car tu as la réponse. Appel Harvard ils sont en train de faire une étude sur ce sujet.

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à voir ce qui s'écrit ici, le 25% me parait bien modeste......

 

 

ne le prenez pas mal, je m'inclus là-dedans!!!

 

ha! ha! ha!

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Les commotions cérébrales au hockey junior sont beaucoup plus fréquentes que ce qui a été estimé à ce jour, montrent les résultats d'une étude ontarienne.

 

Le Dr Paul Echlin et ses collègues ont suivi 67 jeunes regroupés au sein de deux clubs de hockey junior durant la saison 2009-2010 pour constater que 17 joueurs ont subi un total de 21 commotions cérébrales pendant les 52 matchs.

 

Ainsi, le ratio commotions/matchs joués est de sept fois plus élevé que celui rapporté par d'autres études.

 

Environ le quart de ces blessures au cerveau sont survenues chez des joueurs impliqués dans des batailles, ont constaté les chercheurs.

 

Pire encore, pas moins de 29 % des joueurs ayant subi une commotion en ont subi une deuxième, voire plus, au cours de la même saison.

 

Les commotions cérébrales peuvent constituer de très sévères blessures au cerveau. Les auteurs de l'étude rappellent que subir plusieurs commotions peut entraîner des déficits physiques et cognitifs importants et permanents.

 

Les joueurs qui subissent ce genre de blessures ne peuvent revenir au jeu avant 13 jours, en moyenne. Toutefois, le tiers des joueurs doivent attendre bien plus longtemps avant de s'en remettre complètement.

 

L'étude « Hockey Concussion Education Project » est publiée dans le journal Neurosurg Focus ».

 

En mai dernier, une étude menée auprès d'une trentaine de joueurs des Carabins, l'équipe de football de l'Université de Montréal, avait montré que les commotions cérébrales sévères causaient des pertes de l'acuité olfactive.

 

En 2008, une équipe de l'Institut neurologique de Montréal de l'Université McGill avait découvert qu'un état dépressif touchait souvent les athlètes à la suite d'une commotion cérébrale subie lors de la pratique d'un sport

 

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/sa ... ions.shtml

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Les commotions cérébrales et leurs effets 30 ans plus tard

Mercredi, 28 Janvier 2009 17:48 Communiqué .

 

L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents après plus de 30 ans

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont découvert les premières données indiquant que les processus mentaux et physiques des athlètes ayant subi des commotions cérébrales pendant leur carrière sportive en ressentent encore les effets plus de 30 ans plus tard, selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain.

 

Louis De Beaumont, un étudiant au doctorat au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l’Université de Montréal, a comparé 19 anciens athlètes en bonne santé ayant subi des commotions cérébrales plus de 30 ans auparavant à 21 anciens athlètes en bonne santé n’ayant jamais subi de commotions cérébrales. L’étude a été effectuée sous la supervision de Maryse Lassonde, professeure de neuropsychologie à l’UdeM.

 

L’étude a observé que les anciens athlètes n’ayant subi qu’une ou deux commotions cérébrales lorsqu’ils étaient de jeunes adultes ont une capacité d’attention et une mémoire inférieures à celles d’athlètes n’ayant jamais subi de commotions; de plus, certains de leurs mouvements sont plus lents que ceux des athlètes n’ayant jamais subi de commotions.

 

Jusqu’à ce jour, la plupart des recherches menées sur les commotions cérébrales et leurs effets portaient sur les conséquences observables immédiatement et à court terme après la commotion et visaient à prendre de meilleures décisions quant au moment où un athlète peut retourner au jeu en toute sécurité. Ces recherches avaient tendance à négliger les conséquences potentielles à long terme.

 

« L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents plus de 30 ans après la date de la commotion et que ces effets altèrent notamment la cognition et les fonctions motrices quand l’athlète vieillit, souligne l’auteur, Louis De Beaumont. À la lumière de ces résultats, il est évident que les athlètes doivent être mieux informés des effets à long terme sur les processus mentaux et physiques des commotions cérébrales à répétition subies en pratiquant des sports, afin qu’ils soient plus à même d’évaluer les risques liés à un retour au jeu. »

 

En guise de participants, l’équipe de recherche a recruté d’anciens athlètes de niveau universitaire âgés de 50 à 60 ans, encore en bonne condition physique, en bonne santé et faisant encore de l’activité physique régulièrement, au moins trois fois par semaine. Les anciens athlètes ont répondu à des questionnaires portant sur leur état de santé général et sur leurs antécédents en matière de commotions cérébrales. Les processus mentaux et physiques des participants ont été évalués par l’entremise de toute une gamme de tests, notamment :

 

le mini-examen de l’état mental (MMSE), qui évalue l’orientation, l’attention, la mémoire immédiate et à court terme, le langage ainsi que la capacité de réagir à des instructions orales et écrites simples;

des tests neuropsychologiques visant à détecter des altérations de la mémoire épisodique, de la capacité d’attention et des fonctions exécutives, y compris des éléments comme l’apprentissage incident et la mémoire visuelle;

des tests avec stimulateur magnétique transcrânien et des tests visant à évaluer la réaction du cerveau à un stimulus externe;

un test des fonctions motrices dans lequel il fallait faire tourner le plus rapidement possible deux sphères en les tenant dans les mains.

Les résultats ont permis de constater que, par rapport à d’anciens athlètes n’ayant jamais subi de commotion cérébrale, les anciens athlètes ayant subi leur dernière commotion cérébrale sportive plus de 30 ans auparavant ont :

 

obtenu des résultats inférieurs aux tests neuropsychologiques portant sur la mémoire et ont montré une inhibition de la réaction;

des réactions retardées et atténuées de manière importante en présence de stimuli imprévisibles;

des mouvements ralentis de manière significative.

« Des études longitudinales sont requises pour déterminer si les commotions cérébrales subies en pratiquant des sports provoquent des changements latents dans la fonction cognitive revenant à la surface à mesure que l’athlète prend de l’âge plutôt que de simplement accélérer le processus du vieillissement, a déclaré M. De Beaumont. Le vieillissement prématuré est assorti d’implications cliniques importantes étant donné que le vieillissement est le principal facteur de risque exposant à la maladie d’Alzheimer. »

 

http://www.nouvelles.umontreal.ca/reche ... -tard.html

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