Daniel Turbide

L'organisation du Montreal Meltdown est fier d'annoncer qu'en 2019 nous tiendrons en partenariat avec les VRED prospects la premiere version du Montreal Meltdown World Cup. 
 
Du 18 au 23 Juin a l'arena de Boisbriand nous acceuillerons 6 equipes d'Europe et 10 equipes de l'Amerique du Nord. 
 
Chaque equipe a un territoire designer et se doit de le respecter.
 
Cet evenement est pour la categorie 2008 seulement et se tiendra annuellement apres l'annee du Brick ce qui creera une continuitee pour nos jeunes d'Equipe Quebec Brick.
 
7 parties guarantie.
 
Les equipes pour 2019 sont.
 
Canada
Team Ontario
Toronto Bulldogs
Team Quebec
Team Atlantic Canada 
Team Manitoba
USA
Team Eastern USA
Team Southern USA
Team USA
Team Michigan
Team New England 
Europe
Ekateringburg Auto
Moscow Selects
Czech Selects
Ural Selects
Chelybinsk Tankograd
Moscow Red Star
 
Au plaisir de vous voir en grand nombre supporter ces jeunes.

Mange du filet mignon une fois par mois. Tu vas le déguster, tu vas l'apprécier et tu vas avoir hâte d'en remanger.
 
Mange du filet mignon à chaque jour... à la longue tu vas moins l'apprécier, le goût va devenir ordinaire et le fait d'en manger va devenir usuel et monotone.
 
Tu risque d'avoir moins le goût d'en manger.
 
Tout est dans le dosage.
 
Est-ce que ça fait du sens ?

Mange du filet mignon une fois par mois. Tu vas le déguster, tu vas l'apprécier et tu vas avoir hâte d'en remanger.
 
Mange du filet mignon à chaque jour... à la longue tu vas moins l'apprécier, le goût va devenir ordinaire et le fait d'en manger va devenir usuel et monotone.
 
Tu risque d'avoir moins le goût d'en manger.
 
Tout est dans le dosage.
 
Est-ce que ça fait du sens ?

Mange du filet mignon une fois par mois. Tu vas le déguster, tu vas l'apprécier et tu vas avoir hâte d'en remanger.
 
Mange du filet mignon à chaque jour... à la longue tu vas moins l'apprécier, le goût va devenir ordinaire et le fait d'en manger va devenir usuel et monotone.
 
Tu risque d'avoir moins le goût d'en manger.
 
Tout est dans le dosage.
 
Est-ce que ça fait du sens ?

Mange du filet mignon une fois par mois. Tu vas le déguster, tu vas l'apprécier et tu vas avoir hâte d'en remanger.
 
Mange du filet mignon à chaque jour... à la longue tu vas moins l'apprécier, le goût va devenir ordinaire et le fait d'en manger va devenir usuel et monotone.
 
Tu risque d'avoir moins le goût d'en manger.
 
Tout est dans le dosage.
 
Est-ce que ça fait du sens ?

Mange du filet mignon une fois par mois. Tu vas le déguster, tu vas l'apprécier et tu vas avoir hâte d'en remanger.
 
Mange du filet mignon à chaque jour... à la longue tu vas moins l'apprécier, le goût va devenir ordinaire et le fait d'en manger va devenir usuel et monotone.
 
Tu risque d'avoir moins le goût d'en manger.
 
Tout est dans le dosage.
 
Est-ce que ça fait du sens ?

Si, au bout de la ligne, le but est d'en faire de meilleur joueur de hockey... il y a autant de chemin que de joueur. Ça dépend des ingrédients que l'on met dans la recette.
 
La génétique est LE FACTEUR le plus déterminant dans le processus. La grandeur et le type de fibre musculaire dont fiston est composé aura un impact direct sur son développement. Ici, on entre dans le spécifique mais dites-vous qu'à la base, au niveau développement à long terme, vous ne serez jamais perdant si vous choisissez une activitée qui permettra de développer les qualitées athlétiques de fiston.
 
Mais justement, c'est quoi les qualités athlétiques à développer.....
 
En ce qui me concerne le cardiovasculaire est vraiment important. Le muscle cardiaque se développe en grosseur et en épaisseur nécessitant des types d'entraînements différents. Un bon cardiovasculaire permettra de nourrir adéquatement la musculature en oxygène en autre. La coordination entre les yeux et les mains, la coordination entre les pieds (la mobilité), la souplesse... oh ! Bo boy qu'il n'y a pas assez d'emphase à ce niveau. En vieillissant, les fibres musculaires se rétrécissent et ça arrive rapidement. Les joueurs sont très fort physiquement maintenant mais, en majorité, manque beaucoup de souplesse qui nuit également au processus. Il y a un paquet d'autres qualitées à développer mais les 2 ingrédients les plus important sont le plaisir et le repos... sans ces 2 ingrédients , la sauce (l'engagement) ne prendra pas.
 
Choisissez votre chemin judicieusement sans prendre en considération vos objectifs parentals inavoués mais plutôt en vous basant sur ce que vos enfants désirent sans les INFLUENCER et les diriger vers où vous (les parents) désirez aller.
 
Si vous voulez faire de la glace quand même... choisissez un entraîneur qui travaillera la POSTURE afin d'améliorer votre glisse ce qui améliorera nécéssairement le coup de patin de fiston. Durant la saison, les entraîneurs n'ont pas le temps de s'occuper, à tord, du développement technique individuel car, en majorité, ils sont trop préoccupé par les performances de l'équipe en travaillant leur système.
 
C'est mon opinion.
 
Choisissez judicieusement et permettez à vos enfants de respirer.et de ventiler.

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

Si, au bout de la ligne, le but est d'en faire de meilleur joueur de hockey... il y a autant de chemin que de joueur. Ça dépend des ingrédients que l'on met dans la recette.
 
La génétique est LE FACTEUR le plus déterminant dans le processus. La grandeur et le type de fibre musculaire dont fiston est composé aura un impact direct sur son développement. Ici, on entre dans le spécifique mais dites-vous qu'à la base, au niveau développement à long terme, vous ne serez jamais perdant si vous choisissez une activitée qui permettra de développer les qualitées athlétiques de fiston.
 
Mais justement, c'est quoi les qualités athlétiques à développer.....
 
En ce qui me concerne le cardiovasculaire est vraiment important. Le muscle cardiaque se développe en grosseur et en épaisseur nécessitant des types d'entraînements différents. Un bon cardiovasculaire permettra de nourrir adéquatement la musculature en oxygène en autre. La coordination entre les yeux et les mains, la coordination entre les pieds (la mobilité), la souplesse... oh ! Bo boy qu'il n'y a pas assez d'emphase à ce niveau. En vieillissant, les fibres musculaires se rétrécissent et ça arrive rapidement. Les joueurs sont très fort physiquement maintenant mais, en majorité, manque beaucoup de souplesse qui nuit également au processus. Il y a un paquet d'autres qualitées à développer mais les 2 ingrédients les plus important sont le plaisir et le repos... sans ces 2 ingrédients , la sauce (l'engagement) ne prendra pas.
 
Choisissez votre chemin judicieusement sans prendre en considération vos objectifs parentals inavoués mais plutôt en vous basant sur ce que vos enfants désirent sans les INFLUENCER et les diriger vers où vous (les parents) désirez aller.
 
Si vous voulez faire de la glace quand même... choisissez un entraîneur qui travaillera la POSTURE afin d'améliorer votre glisse ce qui améliorera nécéssairement le coup de patin de fiston. Durant la saison, les entraîneurs n'ont pas le temps de s'occuper, à tord, du développement technique individuel car, en majorité, ils sont trop préoccupé par les performances de l'équipe en travaillant leur système.
 
C'est mon opinion.
 
Choisissez judicieusement et permettez à vos enfants de respirer.et de ventiler.

Si, au bout de la ligne, le but est d'en faire de meilleur joueur de hockey... il y a autant de chemin que de joueur. Ça dépend des ingrédients que l'on met dans la recette.
 
La génétique est LE FACTEUR le plus déterminant dans le processus. La grandeur et le type de fibre musculaire dont fiston est composé aura un impact direct sur son développement. Ici, on entre dans le spécifique mais dites-vous qu'à la base, au niveau développement à long terme, vous ne serez jamais perdant si vous choisissez une activitée qui permettra de développer les qualitées athlétiques de fiston.
 
Mais justement, c'est quoi les qualités athlétiques à développer.....
 
En ce qui me concerne le cardiovasculaire est vraiment important. Le muscle cardiaque se développe en grosseur et en épaisseur nécessitant des types d'entraînements différents. Un bon cardiovasculaire permettra de nourrir adéquatement la musculature en oxygène en autre. La coordination entre les yeux et les mains, la coordination entre les pieds (la mobilité), la souplesse... oh ! Bo boy qu'il n'y a pas assez d'emphase à ce niveau. En vieillissant, les fibres musculaires se rétrécissent et ça arrive rapidement. Les joueurs sont très fort physiquement maintenant mais, en majorité, manque beaucoup de souplesse qui nuit également au processus. Il y a un paquet d'autres qualitées à développer mais les 2 ingrédients les plus important sont le plaisir et le repos... sans ces 2 ingrédients , la sauce (l'engagement) ne prendra pas.
 
Choisissez votre chemin judicieusement sans prendre en considération vos objectifs parentals inavoués mais plutôt en vous basant sur ce que vos enfants désirent sans les INFLUENCER et les diriger vers où vous (les parents) désirez aller.
 
Si vous voulez faire de la glace quand même... choisissez un entraîneur qui travaillera la POSTURE afin d'améliorer votre glisse ce qui améliorera nécéssairement le coup de patin de fiston. Durant la saison, les entraîneurs n'ont pas le temps de s'occuper, à tord, du développement technique individuel car, en majorité, ils sont trop préoccupé par les performances de l'équipe en travaillant leur système.
 
C'est mon opinion.
 
Choisissez judicieusement et permettez à vos enfants de respirer.et de ventiler.

Si, au bout de la ligne, le but est d'en faire de meilleur joueur de hockey... il y a autant de chemin que de joueur. Ça dépend des ingrédients que l'on met dans la recette.
 
La génétique est LE FACTEUR le plus déterminant dans le processus. La grandeur et le type de fibre musculaire dont fiston est composé aura un impact direct sur son développement. Ici, on entre dans le spécifique mais dites-vous qu'à la base, au niveau développement à long terme, vous ne serez jamais perdant si vous choisissez une activitée qui permettra de développer les qualitées athlétiques de fiston.
 
Mais justement, c'est quoi les qualités athlétiques à développer.....
 
En ce qui me concerne le cardiovasculaire est vraiment important. Le muscle cardiaque se développe en grosseur et en épaisseur nécessitant des types d'entraînements différents. Un bon cardiovasculaire permettra de nourrir adéquatement la musculature en oxygène en autre. La coordination entre les yeux et les mains, la coordination entre les pieds (la mobilité), la souplesse... oh ! Bo boy qu'il n'y a pas assez d'emphase à ce niveau. En vieillissant, les fibres musculaires se rétrécissent et ça arrive rapidement. Les joueurs sont très fort physiquement maintenant mais, en majorité, manque beaucoup de souplesse qui nuit également au processus. Il y a un paquet d'autres qualitées à développer mais les 2 ingrédients les plus important sont le plaisir et le repos... sans ces 2 ingrédients , la sauce (l'engagement) ne prendra pas.
 
Choisissez votre chemin judicieusement sans prendre en considération vos objectifs parentals inavoués mais plutôt en vous basant sur ce que vos enfants désirent sans les INFLUENCER et les diriger vers où vous (les parents) désirez aller.
 
Si vous voulez faire de la glace quand même... choisissez un entraîneur qui travaillera la POSTURE afin d'améliorer votre glisse ce qui améliorera nécéssairement le coup de patin de fiston. Durant la saison, les entraîneurs n'ont pas le temps de s'occuper, à tord, du développement technique individuel car, en majorité, ils sont trop préoccupé par les performances de l'équipe en travaillant leur système.
 
C'est mon opinion.
 
Choisissez judicieusement et permettez à vos enfants de respirer.et de ventiler.

Si, au bout de la ligne, le but est d'en faire de meilleur joueur de hockey... il y a autant de chemin que de joueur. Ça dépend des ingrédients que l'on met dans la recette.
 
La génétique est LE FACTEUR le plus déterminant dans le processus. La grandeur et le type de fibre musculaire dont fiston est composé aura un impact direct sur son développement. Ici, on entre dans le spécifique mais dites-vous qu'à la base, au niveau développement à long terme, vous ne serez jamais perdant si vous choisissez une activitée qui permettra de développer les qualitées athlétiques de fiston.
 
Mais justement, c'est quoi les qualités athlétiques à développer.....
 
En ce qui me concerne le cardiovasculaire est vraiment important. Le muscle cardiaque se développe en grosseur et en épaisseur nécessitant des types d'entraînements différents. Un bon cardiovasculaire permettra de nourrir adéquatement la musculature en oxygène en autre. La coordination entre les yeux et les mains, la coordination entre les pieds (la mobilité), la souplesse... oh ! Bo boy qu'il n'y a pas assez d'emphase à ce niveau. En vieillissant, les fibres musculaires se rétrécissent et ça arrive rapidement. Les joueurs sont très fort physiquement maintenant mais, en majorité, manque beaucoup de souplesse qui nuit également au processus. Il y a un paquet d'autres qualitées à développer mais les 2 ingrédients les plus important sont le plaisir et le repos... sans ces 2 ingrédients , la sauce (l'engagement) ne prendra pas.
 
Choisissez votre chemin judicieusement sans prendre en considération vos objectifs parentals inavoués mais plutôt en vous basant sur ce que vos enfants désirent sans les INFLUENCER et les diriger vers où vous (les parents) désirez aller.
 
Si vous voulez faire de la glace quand même... choisissez un entraîneur qui travaillera la POSTURE afin d'améliorer votre glisse ce qui améliorera nécéssairement le coup de patin de fiston. Durant la saison, les entraîneurs n'ont pas le temps de s'occuper, à tord, du développement technique individuel car, en majorité, ils sont trop préoccupé par les performances de l'équipe en travaillant leur système.
 
C'est mon opinion.
 
Choisissez judicieusement et permettez à vos enfants de respirer.et de ventiler.

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

En fait, faire autre chose permet de ventiler un brin et surtout de développer d'autres qualitées athlétiques qui, à long terme, permettra d'optimiser son développement sur la glace.
 
Sur le développement à long terme, à talent égal, je vais mettre mon argent sur le joueur multidisciplinaire par rapport à celui qui ne fait que du hockey.
 
Il n'y a pas de débat à avoir. Le sujet est assez documenté merci (surtout aux USA). Tellement que la majorité des collèges américains ont des saisons plus courte et oblige leurs élèves athlètes à pratiquer un deuxième sport.
 
Au Québec, l'élite est identifié et catalogué trop rapidement. La saison n'est pas terminée que les parents pensent déjà aux prochains "Try out" de fiston. Et , comme ils ne veulent pas perdre leur place.... ils s'entraînent et la roue continue de tourner. Donc, le système en place et les parents sont conjointement responsable Au Québec, les jeunes joueurs, doivent avoir le meilleur coup de patin, les meilleures mains et le meilleur "IQ" hockey le plus rapidement possible. Ça ne fait pas de sens. J'ai souvent eu ce genre de discussion avec une multitude de parents..... ils me disent tous: "non, non.... c'est le choix de mon fils, c'est un passionné". Je sais très bien que derrière ce commentaire se cache un objectif parental inavoué... j'ai déjà connu des joueurs qui, à 8 - 9 et 10 ans, n'avaient jamais embarqué sur leur vélo de l'été.
 
J'enseigne le Hockey l'été et quand je vois un joueur qui est physiquement et mentalement fatigué je me fait un devoir de le signaler aux parents. Ça arrive à chaque année. Après, la décision leur appartient.
 
Faire autre chose est très bénéfique.....

Quel autre tournoi?

A Laval, les Éclaires de Monteuil on battu les Cobras de Laval-Nord 8-4 et 3-0 pour passé a la coupe Dodge.
 
C'est une excellente équipe, très intense , très rapide et de très beau jeux de passe.
 
Pour moi, le numéro 47 est le meilleur joueur 2006 que j'ai vue joué, le meilleur 2007 étais a Lachenaie  :mrgreen: !! Justement il est dans le roster du Montreal Ice Storm pour le Brick !!

Ça ne fonctionne qu'à moitié.... c'est la prise en charge des joueurs entre 16 et 20 ans qui fait crissement, mais crissement défaut au Quebec.

Ça ne fonctionne qu'à moitié.... c'est la prise en charge des joueurs entre 16 et 20 ans qui fait crissement, mais crissement défaut au Quebec.

Ça ne fonctionne qu'à moitié.... c'est la prise en charge des joueurs entre 16 et 20 ans qui fait crissement, mais crissement défaut au Quebec.