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GAULOISAA

Entrevue: Stephane Lebeau et François Marcoux à CKAC !

Messages recommandés

mctru .....merci

 

et entre toi et moi , tout le monde, même ma grand mère et la tienne

auraient su que le contact c'est plus risqué que pas de contact

 

ça me fais penser au Karaté

tu peut être ceinture noire en KATA et pas en combat

par contre ceux qui veulent aller dans les combats ultime

ont pour la majorités fait du karaté de combat

 

comme je le dis souvent , à mes yeux à moi

y devrait avoir deux choix

tu adhère ou tu adhère pas au contact

et aussi

 

je le vois à partir de 11 ans ,donc Pee-Wee

sauf ,qu'ont baissent le nombre de clubs AA

ou qu'on trouvent un juste milieu

pour tous le monde !

 

et au niveau double lettre

qu'il y est dans le BB , 2 catégories , avec et sans contact

point final

 

malheureusement , les clubs sans contact deviendrait TRÈS rare

je gagerais sur ça, pour manque de joueurs

très rapidement

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jaideschosesadire

Au niveau Atome on développe la notion d'approche au porteur en exerçant une pression.

C'est à dire: approche devant le porteur de la rondelle de façon à ce que notre corps l'empêche de progresser vers l'avant ou vers le but ( D positionning ).

CECI N'EST PRATIQUEMENT PAS ENSEIGNÉ PAR LES ENTRAÎNEURS QUÉBÉCOIS, MÊME DANS LE DOUBLE LETTRE!!!!!!

( Oui, je sais, vous ce n'est pas la même chose. Vous, vous le faites...mais 99% des entraîneurs n'ont pas la moindre idée de ce que je viens de dire. )

C'est la base de la mise en échec. C'est la -dessus qu'on va amener la progression vers la mise en échec complète.

Et croyez-moi, à cet âge ( et même peewee AA ) c'est beaucoup plus efficace et plus facile à enseigner que la mise en échec complète.

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Bonjour Mctru

 

Dans l'école de hockey que Scotty a donné cet été , il y avait un volet de mise en échec pour les jeunes et c'était exactement comme tu le mentionne :wink:

 

 

Big

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Bien content de l'apprendre.

En passant, il me semble qu'on ne lit plus souvent scotty depuis quelques temps...

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Une étude copubliée par l'Université de Calgary relance le débat sur les mises en échec dans les ligues mineures de hockey.

 

Les chercheurs ont suivi pendant un an 1108 joueurs de 11 et 12 ans dans 74 équipes de l'Alberta où les mises en échec sont permises, ainsi que 1046 joueurs dans 76 équipes du Québec où elles ne sont autorisées qu'à partir de 13 ans. Ils ensuite comparé les résultats.

 

Conclusion : les équipes albertaines totalisent trois fois plus de blessures que leurs homologues québécoises et notamment, plus de commotions cérébrales.

 

L'étude démontre aussi que le jeu est plus agressif lorsque les mises en échec sont admises et que les joueurs les plus petits font les frais de cette situation. Le quart des joueurs les plus petits subissent en effet des blessures à répétition.

 

L'étude a été réalisée en collaboration avec des chercheurs de l'université McGill University et de l'université de Laval. Elle a été publiée dans l'édition du 9 juin du Journal of the American Medical Association.

 

Des risques sur le long terme

 

Selon Claude Goulet, professeur agrégé au département de l'éducation de l'Université Laval, le fait d'avoir subi des commotions cérébrales peut entraîner des conséquences sur le long terme pour ce qui est de la capacité des jeunes à se concentrer.

 

Les entraîneurs reçoivent d'ailleurs des formations spéciales pour enseigner la mise en échec tout en limitant les risques de blessures.

 

Certains entraîneurs pensent donc que ce qu'il faudrait revoir, c'est l'âge auquel on enseigne les mises en échec : soit il faudrait commencer très jeune afin que les enfants apprennent les bonnes techniques le plus tôt possible, soit il faudrait attendre qu'ils soient plus vieux pour les leur enseigner afin qu'ils aient plus de maturité.

 

De son côté, Hockey Canada estime que l'écart entre les blessures au Québec et en Alberta n'est pas assez élevé pour nécessiter un changement des règles.

 

Hockey Québec a, pour sa part, refusé de commenter l'étude. L'organisme a toutefois indiqué à Radio-Canada que sa direction allait se réunir cette fin de semaine et discuter d'éventuels changements aux règlements.

 

D'après des reportages d'Yvan Côté et de Tiphanie Roquette

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/so ... tude.shtml

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autre étude 2009

 

.Accueil Recherche Sciences de la santé

Les commotions cérébrales et leurs effets 30 ans plus tard

Mercredi, 28 Janvier 2009 17:48 Communiqué .

 

L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents après plus de 30 ans

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont découvert les premières données indiquant que les processus mentaux et physiques des athlètes ayant subi des commotions cérébrales pendant leur carrière sportive en ressentent encore les effets plus de 30 ans plus tard, selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain.

 

Louis De Beaumont, un étudiant au doctorat au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l’Université de Montréal, a comparé 19 anciens athlètes en bonne santé ayant subi des commotions cérébrales plus de 30 ans auparavant à 21 anciens athlètes en bonne santé n’ayant jamais subi de commotions cérébrales. L’étude a été effectuée sous la supervision de Maryse Lassonde, professeure de neuropsychologie à l’UdeM.

 

L’étude a observé que les anciens athlètes n’ayant subi qu’une ou deux commotions cérébrales lorsqu’ils étaient de jeunes adultes ont une capacité d’attention et une mémoire inférieures à celles d’athlètes n’ayant jamais subi de commotions; de plus, certains de leurs mouvements sont plus lents que ceux des athlètes n’ayant jamais subi de commotions.

 

Jusqu’à ce jour, la plupart des recherches menées sur les commotions cérébrales et leurs effets portaient sur les conséquences observables immédiatement et à court terme après la commotion et visaient à prendre de meilleures décisions quant au moment où un athlète peut retourner au jeu en toute sécurité. Ces recherches avaient tendance à négliger les conséquences potentielles à long terme.

 

« L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents plus de 30 ans après la date de la commotion et que ces effets altèrent notamment la cognition et les fonctions motrices quand l’athlète vieillit, souligne l’auteur, Louis De Beaumont. À la lumière de ces résultats, il est évident que les athlètes doivent être mieux informés des effets à long terme sur les processus mentaux et physiques des commotions cérébrales à répétition subies en pratiquant des sports, afin qu’ils soient plus à même d’évaluer les risques liés à un retour au jeu. »

 

En guise de participants, l’équipe de recherche a recruté d’anciens athlètes de niveau universitaire âgés de 50 à 60 ans, encore en bonne condition physique, en bonne santé et faisant encore de l’activité physique régulièrement, au moins trois fois par semaine. Les anciens athlètes ont répondu à des questionnaires portant sur leur état de santé général et sur leurs antécédents en matière de commotions cérébrales. Les processus mentaux et physiques des participants ont été évalués par l’entremise de toute une gamme de tests, notamment :

 

le mini-examen de l’état mental (MMSE), qui évalue l’orientation, l’attention, la mémoire immédiate et à court terme, le langage ainsi que la capacité de réagir à des instructions orales et écrites simples;

des tests neuropsychologiques visant à détecter des altérations de la mémoire épisodique, de la capacité d’attention et des fonctions exécutives, y compris des éléments comme l’apprentissage incident et la mémoire visuelle;

des tests avec stimulateur magnétique transcrânien et des tests visant à évaluer la réaction du cerveau à un stimulus externe;

un test des fonctions motrices dans lequel il fallait faire tourner le plus rapidement possible deux sphères en les tenant dans les mains.

Les résultats ont permis de constater que, par rapport à d’anciens athlètes n’ayant jamais subi de commotion cérébrale, les anciens athlètes ayant subi leur dernière commotion cérébrale sportive plus de 30 ans auparavant ont :

 

obtenu des résultats inférieurs aux tests neuropsychologiques portant sur la mémoire et ont montré une inhibition de la réaction;

des réactions retardées et atténuées de manière importante en présence de stimuli imprévisibles;

des mouvements ralentis de manière significative.

« Des études longitudinales sont requises pour déterminer si les commotions cérébrales subies en pratiquant des sports provoquent des changements latents dans la fonction cognitive revenant à la surface à mesure que l’athlète prend de l’âge plutôt que de simplement accélérer le processus du vieillissement, a déclaré M. De Beaumont. Le vieillissement prématuré est assorti d’implications cliniques importantes étant donné que le vieillissement est le principal facteur de risque exposant à la maladie d’Alzheimer. »

 

 

http://www.nouvelles.umontreal.ca/reche ... -tard.html

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Ici on parle de jeunes adultes. nous on parle de mettre le contact à 10 ans wow j'ai hâte de voir les petits bonhommes dans 30 ans souffrant de démence ou d'alzheimer.

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Invité abq

d'accord avec toi rookie sur ce sujet :wink:

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