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rookie coach

Commotions encore..

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jaimerais savoir si ils ya un etude sur ca ? how many kids get hurt cause they dont know how to protect themselves againts a hit or collision compared to how many kids get hurt with a solid bodycheck that play in contact sports ?si vous ne pouvais pas repondre a cette question ,SVP ARRETE AVEC VOS ETUDE :idea: :?

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ben j`ai fait une comparaison avec le football et ils ont dit que le football et le hockey ca avait aucun rapport mais ils se servent d`une étude sur le football

comme distorsion et bullshit tu ne peut avoir mieux

Toujours des études :!: toujours repousser plus loin la mise en échec :roll: mais jamais une proposition un plan pour arrivé a la mise en échec bien beau le lesser a Bantam ou le monter a midjet mais vous faites quoi pour la prevention vous faites pour les ammener les éduquer les preparer a la mise en échec etes vous capable de donné un plan comme je l`ais fait et arreter de dire que vous etes contre ON LE SAIT :roll: :!: les études ONT LE SAIT

ont veut savoir si vous avez un plan qui pourait ammener les jeunes du point A au point B qui eduque sensibilise pratique qui y va par étape de gradation pour contact apprendre a donné a recevoir le pourquoi les consequence etc vos patez ca ou pour arriver a votre solution et vous faite quoi

La je viens ENCORE de vous demander de toute les facon possible j`attend votre reponse pour analyse et poursuivre tres decevant allo! allo! allo!! c`est ce qui se passe quand :oops: :roll: :roll: :!: :lol: :lol: :lol: :lol:

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C'est drole mais a chaque fois que power top pense différemment des autres, il a plus de temps a perdre et c'est nous qui ne comprenont rien. Vraiment je trouve que c'est une belle réaction.

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Mercredi, 28 Janvier 2009 17:48 Communiqué .

 

L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents après plus de 30 ans

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont découvert les premières données indiquant que les processus mentaux et physiques des athlètes ayant subi des commotions cérébrales pendant leur carrière sportive en ressentent encore les effets plus de 30 ans plus tard, selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain.

 

Louis De Beaumont, un étudiant au doctorat au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l’Université de Montréal, a comparé 19 anciens athlètes en bonne santé ayant subi des commotions cérébrales plus de 30 ans auparavant à 21 anciens athlètes en bonne santé n’ayant jamais subi de commotions cérébrales. L’étude a été effectuée sous la supervision de Maryse Lassonde, professeure de neuropsychologie à l’UdeM.

 

L’étude a observé que les anciens athlètes n’ayant subi qu’une ou deux commotions cérébrales lorsqu’ils étaient de jeunes adultes ont une capacité d’attention et une mémoire inférieures à celles d’athlètes n’ayant jamais subi de commotions; de plus, certains de leurs mouvements sont plus lents que ceux des athlètes n’ayant jamais subi de commotions.

 

Jusqu’à ce jour, la plupart des recherches menées sur les commotions cérébrales et leurs effets portaient sur les conséquences observables immédiatement et à court terme après la commotion et visaient à prendre de meilleures décisions quant au moment où un athlète peut retourner au jeu en toute sécurité. Ces recherches avaient tendance à négliger les conséquences potentielles à long terme.

 

« L’étude montre que les effets des commotions cérébrales subies par les jeunes adultes en pratiquant des sports sont encore présents plus de 30 ans après la date de la commotion et que ces effets altèrent notamment la cognition et les fonctions motrices quand l’athlète vieillit, souligne l’auteur, Louis De Beaumont. À la lumière de ces résultats, il est évident que les athlètes doivent être mieux informés des effets à long terme sur les processus mentaux et physiques des commotions cérébrales à répétition subies en pratiquant des sports, afin qu’ils soient plus à même d’évaluer les risques liés à un retour au jeu. »

 

En guise de participants, l’équipe de recherche a recruté d’anciens athlètes de niveau universitaire âgés de 50 à 60 ans, encore en bonne condition physique, en bonne santé et faisant encore de l’activité physique régulièrement, au moins trois fois par semaine. Les anciens athlètes ont répondu à des questionnaires portant sur leur état de santé général et sur leurs antécédents en matière de commotions cérébrales. Les processus mentaux et physiques des participants ont été évalués par l’entremise de toute une gamme de tests, notamment :

 

le mini-examen de l’état mental (MMSE), qui évalue l’orientation, l’attention, la mémoire immédiate et à court terme, le langage ainsi que la capacité de réagir à des instructions orales et écrites simples;

des tests neuropsychologiques visant à détecter des altérations de la mémoire épisodique, de la capacité d’attention et des fonctions exécutives, y compris des éléments comme l’apprentissage incident et la mémoire visuelle;

des tests avec stimulateur magnétique transcrânien et des tests visant à évaluer la réaction du cerveau à un stimulus externe;

un test des fonctions motrices dans lequel il fallait faire tourner le plus rapidement possible deux sphères en les tenant dans les mains.

Les résultats ont permis de constater que, par rapport à d’anciens athlètes n’ayant jamais subi de commotion cérébrale, les anciens athlètes ayant subi leur dernière commotion cérébrale sportive plus de 30 ans auparavant ont :

 

obtenu des résultats inférieurs aux tests neuropsychologiques portant sur la mémoire et ont montré une inhibition de la réaction;

des réactions retardées et atténuées de manière importante en présence de stimuli imprévisibles;

des mouvements ralentis de manière significative.

« Des études longitudinales sont requises pour déterminer si les commotions cérébrales subies en pratiquant des sports provoquent des changements latents dans la fonction cognitive revenant à la surface à mesure que l’athlète prend de l’âge plutôt que de simplement accélérer le processus du vieillissement, a déclaré M. De Beaumont. Le vieillissement prématuré est assorti d’implications cliniques importantes étant donné que le vieillissement est le principal facteur de risque exposant à la maladie d’Alzheimer. »

 

Sur le Web :

 

 

Brain (article cité)

Département de psychologie

Centre de recherche en neuropsychologie et cognition

 

Source :

Emma Mason

Adresse électronique : wordmason@mac.com

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Attention aux commotions cérébrales chez les enfants

Santé

Parents : Ressources : Fiches pratiques : Prévention : Attention aux commotions cérébrales chez les enfants

Instituts de recherche en santé du Canada

 

(EN) Autrefois, on faisait peu de cas des coups à la tête reçus par les enfants en jouant au soccer ou en faisant de la planche à roulette: on les consolait un peu avant de leur permettre de continuer à jouer. Cependant, une nouvelle étude canadienne révèle que même une commotion cérébrale légère chez l'enfant doit être traitée en «reposant» son cerveau, faute de quoi son comportement ou ses habilités scolaires pourraient en souffrir à long terme.

 

Votre enfant a subi une commotion? C'est le temps de «reposer» son cerveau

«Il n'existe aucune pilule «anticommotion» - la clé de la guérison réside dans le «repos» du cerveau», explique le Dr Ellemberg.

 

Le Dr Ellemberg précise que les enfants ayant subi une commotion légère en faisant du sport ne devraient pas retourner jouer avant d'avoir passé une semaine complète sans aucun symptôme. Ils devraient aussi éviter les activités mentales exigeantes - comme l'école et les jeux intenses - pendant cette semaine.

«On avait toujours cru que les cerveaux en développement des enfants se remettaient plus vite de leurs blessures que les cerveaux adultes. Mais certaines données portent à conclure que le cerveau des enfants serait plus sensible aux effets d'une commotion», a déclaré le Dr David Ellemberg, neuropsychologue de l'Université de Montréal.

 

Le Dr Ellemberg est engagé dans la première étude à grande échelle réalisée dans le monde sur les effets des commotions cérébrales chez les enfants. Le projet d'une durée de cinq ans financé par les Instituts de recherche en santé du Canada portera sur l'étude de cas de commotion cérébrale chez plus de 200 enfants de la région de Montréal. Déjà, les résultats préliminaires obligent à réévaluer les effets d'un coup à la tête pour les enfants.

 

Dans un cas, le Dr Ellemberg et ses collègues ont étudié l'activité cérébrale d'une fillette de huit ans lorsqu'elle est tombée à la renverse sur la tête en jouant au soccer. Elle n'a subi qu'une légère commotion, sans perte de conscience. Néanmoins, la blessure a perturbé l'activité électrique de son cerveau pendant presque un an.

 

«Nous savons que quelque chose est arrivé aux cellules cérébrales. En général, les neurones réagissaient moins vite», affirme le Dr Ellemberg.

 

Cela s'est traduit par des difficultés de concentration pour la fillette. Le Dr Ellemberg précise que ce changement peut passer inaperçu chez les adultes. Mais puisque les enfants sont constamment en train d'apprendre, même un léger déficit d'attention peut avoir des effets marqués. Dans ce cas particulier, la fillette a eu des problèmes scolaires pour la première fois de sa vie.

 

Les cinq principaux symptômes de commotion sont:

 

•Perte de conscience

•Étourdissement ou désorientation

•Maux de tête, nausées ou vomissement

•Sonnerie ou bourdonnement dans l'oreille immédiatement après la blessure

•Vision étoilée au moment de l'impact, et vision double ou embrouillée par la suite

Le Dr Ellemberg souligne que ces résultats ne signifient pas qu'il faut empêcher les enfants de faire du sport et d'autres activités. Ils indiquent plutôt que les parents et les entraîneurs doivent être à l'affût des symptômes de commotion et donner aux jeunes cerveaux une chance de se rétablir.

 

«En prenant les précautions adéquates après une commotion, nous pouvons réduire considérablement les effets sur le cerveau», conclut le Dr Ellemberg.

 

 

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Fiche pratique – Dernière mise à jour le 8/8/2007

 

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Envoyer à un ami .Voir aussi

•Le traumatisme crânien léger

•Les blessures à la tête

•La perte de connaissance chez l'enfant

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Les blessures à la tête

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Énurésie nocturne

 

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Carey tu voulais des solutions en voici une.

 

Titre du document / Document title

Collision frequency in elite hockey on North American versus international size rinks

Auteur(s) / Author(s)

WENNBERG Richard (1) ;

Affiliation(s) du ou des auteurs / Author(s) Affiliation(s)

(1) Division of Neurology and Krembil Neuroscience Centre, Toronto Western Hospital, University Health Network, University of Toronto, Toronto, ON, CANADA

 

Résumé / Abstract

Objectif: La mise en échec ou la collision est le facteur de risque principal de toutes les commotions cérébrales reliées aux sports. Le but de cette étude était de déterminer si le taux de collisions dans le hockey élite était différent si la joute avait lieu sur une patinoire de taille Nord Américaine ou sur une patinoire plus grande, soit de taille internationale, Méthodes: Nous avons analysé les bandes vidéo de parties de la série finale de la Coupe Stanley de la Ligue nationale de hockey 2001 et 2002, du Championnat junior mondial et des Jeux olympiques d'hiver 2002. Toutes les collisions ont été comptées et réparties en différentes catégories (mise en échec joueur/joueur, joueur/joueur/bande, joueur/bande, joueur/glace, tête/bâton, tête/rondelle), avec subdivision selon que la tête était directement ou indirectement impliquée. Vingt-deux parties ont été analysées, soit 11 jouées sur une glace de petite taille et Il sur une glace de grande taille. Résultats: Un nombre significativement supérieur de collisions de tous types (de toutes catégories et subdivisions) ont été observées pendant les joutes jouées sur la glace de petite taille, selon les règles Nord américaines (p = 0,01 à 0,00001). Conclusions: Les résultats de cette étude démontrent qu'il y a significativement moins de collisions de tous types pendant les joutes de hockey élite jouées sur une glace de taille internationale. Les groupes comparés étaient différents sous certains autres aspects. Il sera donc nécessaire de corroborer ces résultats par l'étude de groupes plus semblables pour tirer des conclusions définitives. Cependant si nos observations sont reproductibles, l'utilisation de glaces de taille internationale, sans changement de règlements ou autre modification du jeux pourrait constituer une prévention primaire directe pour réduire le nombre de collisions et ainsi de commotions cérébrales qui surviennent au hockey.

Revue / Journal Title

Canadian journal of neurological sciences ISSN 0317-1671 CODEN CJNSA2

Source / Source

2004, vol. 31, no3, pp. 373-377 [5 page(s) (article)] (4 ref.)

Langue / Language

Anglais

 

Editeur / Publisher

Canadian Journal of Neurological Sciences, Calgary, AB, CANADA (1974) (Revue)

 

Mots-clés anglais / English Keywords

Comparative study ; American ; North ; Nervous system diseases ;

Mots-clés français / French Keywords

Etude comparative ; Américain ; Nord ; Système nerveux pathologie ;

Mots-clés espagnols / Spanish Keywords

Estudio comparativo ; Americano ; Norte ; Sistema nervioso patología ;

Localisation / Location

INIST-CNRS, Cote INIST : 17449, 35400011396596.

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Je sais que cette solution n'arrivera jamais car nous n'avons pas les moyens de construire des glaces de cette grandeur. Mais voici une piste de solution.

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